Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: chibiusa

Beta-reader(s): Lexine, Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 12-05-05

Ultimo aggiornamento: 30-09-06

 

Commenti: 107 reviews

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General

 

Riassunto: Reflexions, prises de consciences et révélations...

 

Disclaimer: Les personnages de "Au delà des apparences" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Au delà des apparences...

 

Capitolo 6 :: Chapitre 6 : Une fin de soirée inattendue

Pubblicato: 20-06-05 - Ultimo aggiornamento: 20-06-05

Commenti: Kikou tout le monde ! merci beaucoup pour vos reviews qui me font très très plaisir ! Merci. et puis à partir de ce chapitre mdr j'ai une béta en la personne de Lexine... merci à elle et son courage de me supporter mdr ! allez bonne lecture à tous et n'oubliez pas les reviews ^^ :)

 


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Ils sont, à présent, immobilisés dans un coin de la salle, loin des regards indiscrets. Le nettoyeur laissant quelques peu ses mains s’attarder sur le dos dénudé de sa belle.  

Puis, doucement, elles s’octroient un passage sous le tissu de la robe de Kaori, en direction du bas du dos. Mais, tout à coup, la jeune femme se raidie. Ryo s’en aperçoit et enlève immédiatement ses mains baladeuses de l’endroit concerné.  

il lui murmure alors :  

- Pardon…  

- …  

 

Il s’en veut un peu pour son manque de contrôle. Il est conscient que sa partenaire n’en a pas l’habitude. Ryo se décolle, alors, légèrement de sa Kaori et l’observe. Ses joues sont légèrement rosées. Elle a le regard un peu perdu et a du mal à réaliser encore que Ryo vient de lui dire des mots si beau. Mots qu'elle n’espérait plus entendre de la part de l’homme de sa vie.  

- Kaori…  

 

Son nom, prononcé ainsi, avec tant de douceur, la submerge de bonheur. Pourtant, c’est un regard emprunt d’une peur immense qu’elle adresse au nettoyeur, attendant, posément, qu’il la ramène à la réalité.  

- Qu’est ce qu’il y a ? Demande Ryo, dans un murmure.  

 

Kaori met sa main droite devant ses lèvres, comme pour s’assurer que ce baiser était bien réel. L’inquiétude, que perçoit Ryo dans le regard de la jeune femme, ainsi que sa réaction, lui montrent qu’elle doute encore de lui, de son engagement. Alors, il s’approche de son oreille et lui dit doucement :  

- Je t’aime.  

 

Ryo est étonné d’arriver à lui dire, aussi facilement, ces trois mots magiques qui sont capable de la rendre heureuse. Visiblement, le cadenas qui entravait son cœur, le privant ainsi de la capacité à exprimer ce qu’il ressentait pour cette femme, avait fini par céder. Pour sa partenaire, qui l’aide à se maintenir la tête hors de l’eau, pour ne pas qu’il retourne dans les profondeurs des ténèbres. A cet instant précis, le nettoyeur est certain d’avoir fait le bon choix. Il sait qu’il ne le regrettera pas.  

Malheureusement, Kaori doute énormément encore. aussi s'écarte-t-elle de lui, se mordillant la lèvre inférieure, avant de lui demander :  

- C’est vrai ?  

 

Ryo faillit tomber à la renverse devant la question. Il lui répond avec une voix rauque. Voix rauque causée par son désir d'elle.  

- Oui, je t’aime Kaori Makimura.  

 

Le rouge aux joues, Kaori, oubliant toute timidité, encercle le cou du nettoyeur et, les larmes aux yeux, lui dit d’une toute petite voix :  

- Moi aussi je t’aime Ryo Saeba.  

 

Elle lui octroie un sourire digne des déesses, et là, encore, elle prend son courage à deux mains et embrasse l’homme de sa vie. D'abord timidement, mais, très vite, son partenaire accentue ce baiser en quelque chose de plus passionné et profond.  

Sentant sa libido revenir à la charge, Ryo met fin à ce baiser et finit par lui dire :  

- Et si nous retournions finir notre champagne et manger notre dessert.  

 

Un sourire exquis vient illuminer le visage de la jeune femme malgré une larme, qui réussit à se frayer un chemin et qui coule, à présent, sur sa joue. D’un geste doux, Ryo lui essuie cette intruse avec son pouce.  

 

Il l’entraîne jusqu’à la table, où ils commandent le dessert.  

« C'est un autre style de dessert que j’aimerais » (nda : aussi romantique puisse-t-il être par moment bien que ce soit très rare, il n’en demeure pas moins Ryo mdr. Donc les pensées vont avec ^^’)  

 

Il est aux alentour de minuit quand il paie. Il se rend compte que Kaori somnole un peu. Il faut dire que la journée a été bien remplie.  

Quelques minutes plus tard, ils s’installent dans la voiture et Ryo prend la parole :  

- On va rentrer à la maison car je pense que tu es fatiguée.  

- Désolée…  

- C’est rien mon ange.  

 

A ces mots tendres, Ryo voit les joues de Kaori se colorer un peu.  

« Va falloir t’y faire ma belle… » pense-t-il, bien que çà ne l’amuse de la faire rougir comme une collégienne.  

 

Pendant le trajet retour, Kaori s’endort la tête contre la portière. Alors qu’il est arrêté à un feu il jette coup d’œil à sa partenaire et lui remet une mèche rebelle en place, avec beaucoup de douceur, pour ne pas la réveiller. Un sourire illumine le visage de la jeune femme quand elle dort.  

« A quoi tu rêves mon ange ? .  

 

Une fois dans le garage, il hésite à la réveiller. Cependant, il finit par lui caresser la joue délicatement et l’appelle doucement :  

- Kaori ? mon ange…  

 

Au bout d’un petit moment, la jeune femme ouvre des yeux, encore endormis. Elle a du mal à comprendre où elle se trouve. Puis, elle se rappelle la soirée magique avec Ryo. Elle se tourne vers lui et lui sourit.  

- On est arrivé ma belle.  

 

Le résultat est immédiat. Les joues de Kaori se colorent. Ryo ne peut s’empêcher de sourire. Tranquillement, ils montent les escaliers, en silence. Aucun d’eux n’osent parler, de peur de briser la magie de cette soirée.  

 

Arrivés dans l’appartement, Kaori et Ryo enlèvent leurs vestes. Puis, Kaori entre dans le salon pour voir le répondeur en effet, elle n’a pas oublié que le téléphone était en train de sonner au moment où ils étaient partis. Mais, c’est sans compter Ryo, qui en décide autrement.  

 

Alors que la jeune femme se trouve au milieu du salon, prête à appuyer sur le bouton du répondeur, qui clignote autant qu’il peut, deux bras puissants viennent lui entraver la taille. Surprise, Kaori lâche un petit cri. Elle se redresse alors que le coupable entreprend de l’embrasser dans le cou. La jeune femme sent alors une étrange émotion lui vriller le ventre.  

Son partenaire la retourne délicatement dans ses bras musclés, et, bien qu’il voie le rouge aux joues de la jeune femme, il distingue du désir dans son regard. Il est étonné de voir les yeux de sa Kaori avec une telle lueur. Jamais encore, il n’avait vu son regard s’assombrir à ce point. Sa bouche entrouverte est un appel au crime, de même que ce dos qu’il parcourt habilement de ses doigts.  

N’y tenant plus, il s’empare avec passion de ces lèvres offertes. Très vite, Ryo constate que Kaori prend un plaisir non dissimulé à ce petit jeu cruel, voire même qu’elle commence à devenir audacieuse. Peu à peu, il cède à l’envie de découvrir son corps. Alors, délicatement, il fait glisser ses mains sur son dos de déesse, tout en lui mordillant le lobe de l’oreille droite.  

Kaori émet alors une sorte de gémissement plaintif… La jeune femme est transportée par tant d’attention et, surtout étonnée d’être ensevelie par autant de désir et d'envie de cet homme, son partenaire…  

Ses pensées se bousculent dans sa tête  

« Dire que ce matin j’ai cru qu’il était tombé sur la tête. , et c’était sûrement le cas... – Un sourire éclaircit son visage – mais, c’est pas plus mal si c’est moi qui en profite »  

 

Cela fait déjà quelques minutes que Ryo l’observe, voyant le visage de sa douce et tendre s’éclaircire d’un joli sourire. Il se demande :  

« A quoi pense-t-elle ? »  

 

Il n’a pas le temps de s’attaquer à autre chose, le charme est rompu par : .  

Driiiiiiiiiing – Driiiiiiiiiiiiing - Driiiiiiiiiing – Driiiiiiiiiiiiing (NDB : le coup du téléphone… ça marche à chaque coup lol sadique va !!! pauvre Mokkori. Allez repart te coucher, c'est pas pour ce soir je crois lol)  

 

Kaori sursaute en entendant le bruit plaintif du téléphone et se dégage, un peu, des bras de son partenaire, revenant, ainsi, durement à la réalité.  

- Qui peut appeler à cette heure-ci ? dit-elle tout haut  

 

Le nettoyeur se détache, également, de la jeune femme et va décrocher le téléphone. Lui non plus n’est pas rassuré. Un appel à une heure du matin ne lui dit rien qui vaille.  

- Saeba j’écoute.  

- Ryo c’est Saeko. Un type a été hospitalisé avec son fils tout à l’heure et il est dans un état critique. Sur lui j’ai trouvé le numéro de ton appartement…  

- Son nom ?  

- Kentaro Seno  

- Ça me dit rien… non je connais pas de Kentaro Seno…  

 

Kaori, qui était restée, jusque-là, un peu figée, a du mal à réagir. Elle dit doucement :  

- Ryo… c’est le nom du client qu’on devait rencontrer aujourd’hui… - puis d’une voix un peu tremblante, comme si elle regrettait déjà la question - qu’est ce qui se passe ?  

 

Ryo fronce les sourcils. Cette fois-ci son désir s’est bien envolé, c’est le professionnel qui reprend le dessus.  

- Saeko… c’est le client qu’on devait rencontrer aujourd’hui… c’est lui le comptable qui a un gosse de quatre ans c’est çà ?  

- Oui effectivement… vous pouvez venir à l’hôpital ?  

 

Ryo n’aime pas ça. Il observe sa partenaire, qui n’a toujours pas bougée. Il devine une énorme culpabilité en elle… Il prend sa veste et lui tend la sienne.  

- Il faut qu’on aille à l’hôpital.  

- D’accord.  

 

Sans un mot, ils s’engouffrent dans la voiture qui file à toute vitesse dans la nuit…  

 

FIN DU CHAPITRE

 

 

 


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