Capitolo 10 :: Une histoire de **** (censuré ^^)

Pubblicato: 08-02-06 - Ultimo aggiornamento: 08-02-06

Commenti: Bonjour tout le monde ^^ ! Voici enfin la suite de cette fan fiction :) j'espère qeu j'ai toujours des accrocs. Alors je voulais m'excuser, il s'agit évidemment d'une fic alternative j'ai un peu modifié le caractère de Kaori et Ryo, mais vraiment un tout tout petit peu ^^. je tenais à le préciser ^^ :) Bonne lecture à tous ^^ et je vous annonce que cette fic devrait bientôt être finie :) l'affaire n'est pas le plus important dans cette fic alors ne m'en voulez pas si j'avance vite sur ce point là ^^. A bientôt et n'oubliez pas les reviews :)

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L’installation du petit garçon se passa sans problème dans l’appartement de City Hunter, Kaori avait décidé qu’il dormirait dans son lit et qu’elle prendrait le canapé.  

Ryô grogna un peu encore avant de remarquer que Toshio le regardait avec attention, il se baisse à sa hauteur et lui demande :  

- Qu’est ce que tu veux demi-portion ?  

Une massue intitulée « attention à ton langage » atterrit sur la tête du nettoyeur qui ne s’en formalisa pas plus que ça. En revanche le petit garçon éclata d’un rire cristallin. Le nettoyeur fut surpris par son naturel. Alors sans plus de simagrées, juste pour son propre plaisir, il prit le petit garçon comme un sac de patates et lui dit :  

- Allez petit ! il est temps d’aller au bain !  

Et cela ne manqua pas, le garçonnet rigola de plus belle alors que le nettoyeur passait la porte du salon avec son paquet. Kaori le regarda faire avec les yeux brillants. Elle profita de l’absence du nettoyeur pour appeler l’hôpital pour prendre des nouvelles. Et là, ce fut un flot de bonnes nouvelles qu’on déversa dans ses oreilles.  

En effet, on lui apprit que d’après les radios, la paralysie de leur client existait déjà avant l’accident.  

La jeune femme fut soulagée d’un poids, un soulagement sans pareil. Mais avant qu’elle ne puisse vraiment laisser éclater sa joie, le nettoyeur l’appela :  

- Kaori ! tu peux venir ?  

- Oui oui j’arrive ! cria-t-elle tout en se dirigeant vers la salle de bain.  

Quand elle y arriva, elle jaugea la situation. Ryo avait tenté d’aider le petit garçon à enlever son pull mais les cheveux de Toshio étaient restés coincés dans la fermeture éclair ! Elle s’approcha, s’agenouilla, glissa ses mains sous le pull et très vite, l’enfant fut délivré.  

- Ca va Toshio ?  

- oui.  

- Bon je vais vous laisser vous débrouiller.  

Elle allait sortir quand une petite main vint retenir sa jambe. Elle se tourna et demanda :  

- Tu veux que je reste ?  

Il se contenta d’affirmer.  

- D’accord.  

Kaori fit couler le bain, vérifia l’eau. Tout cela lui venait naturellement, cela était sans doute dû au fait que son frère le faisait pour elle. Elle se refusa à penser qu’il s’agissait d’un instinct maternel quelconque. Elle aida le petit garçon à s’installer dans l’eau. Malheureusement ils n’avaient pas de jeux pour lui pour le bain.  

Kaori se promit de lui acheter deux ou trois broutilles pour le bain. Elle le regarda s’amuser dans l’eau, les yeux dans le vague. Ryo était resté lui aussi dans la salle de bains et observait sa partenaire. Il se décida à la prendre dans ses bras, il glissa sa tête sur son épaule et lui demanda ce qui la rendait pensive. Kaori apprécia la proximité quelques minutes avant de se détacher, de prendre la main du nettoyeur et de le tirer en dehors de la salle de bains. Elle lui raconta ce que lui avait dit le médecin au téléphone.  

Tout comme elle, il éprouva un immense soulagement de ne pas être responsable de sa paralysie. Elle se laissa aller dans ses bras et il resserra son étreinte. Il pouvait sentir le cœur de la jeune femme battre la chamade ; il lui caressa doucement le dos et finit par lui dire :  

- Donc plus d’oppositions possibles à dormir avec moi hein ?  

- Quoi ? s’exclama Kaori en s’écartant un peu.  

- Bah oui ! rien n’empêche plus de faire des câlins ! dit-il le faciès d’obsédé et les mains baladeuses.  

Quand il tripota la poitrine de Kaori, cette dernière vira au rouge de honte puis de colère et lui écrasa sur la tête sans plus ménagement une massue de 100 T, intitulée « attention, je suis la pro de l’enroulement de futon ! ».  

- Piiiiipiiiiiiiiii ! cria le petit garçon.  

Kaori se retourna d’un bloc, elle ne savait plus trop quoi faire. Mais elle vit Toshio debout dans la baignoire se dandinant dans tous les sens. Pragmatique, la jeune femme alla vite vers lui, saisit une serviette l’enroula rapidement dedans et écrasa son partenaire pour rejoindre les WC avec sa petite marchandise dans les bras. Ce dernier devenait rouge à force de se retenir ; elle le lâcha devant le trône et lui dit qu’elle l’attendait dehors. La serviette tomba sur le sol.  

A la porte, Kaori soupira de soulagement, ils étaient arrivés à temps !  

Quelques minutes plus tard, le petit garçon nu comme un ver sortit en courant des WC et cria :  

- J’ai fini !!!!!  

Kaori eut tout juste le de crier :  

- Arrête le Ryo ! il est trempé ! il va en mettre partout !  

Le nettoyeur tel un goal tenta d’attraper le garçon mais ce dernier l’esquiva, glissa sur le sol et continua sa route entre les jambes de Ryo. Toshio était en train de rire, il se releva en toute hâte et voyant qu’il avait un poursuivant, courut jusque dans le salon et grimpa çà et là narguant l’adulte. Au bout de cinq bonnes minutes Ryo cria :  

- Ça y’est Kaori ! je l’ai ! qu’est ce que j’en fais ?  

L’instant d’après Kaori était revenue avec une serviette et entoura le petit garçon avec. Elle lui demanda de se calmer, sur un ton plutôt autoritaire. La perspective de devoir essuyer les traces du gamin ayant fait sérieusement vaciller son sourire. Elle l’emmena jusqu’à sa chambre et l’habilla d’un pyjama bleu. Elle donna ensuite son fardeau à Ryo avant de commencer à nettoyer le désordre que le petit avait semé en cinq minutes d’absence dans la salle de bain et dans le salon. Elle demanda à Ryo de commander chez le traiteur car elle n’avait pas envie de faire à manger. Le nettoyeur proposa de sortir au Cat’s Eyes, mais cette dernière lui fit remarquer qu’elle avait mis le pyjama au petit garçon et qu’elle avait du rangement à faire. Il lui répliqua :  

- Justement on t’attend là-bas et comme ça tu auras le champ libre pour finir de nettoyer.  

- D’accord finit-elle par abdiquer. Attendez-moi dans la voiture…  

Le nettoyeur habilla le petit garçon de chaussettes, de baskets et lui mit son manteau sur le dos puis descendit jusqu’à la voiture en le prenant dans les bras. Il lui dit :  

- Hey ! Loustic ! Tu l’as échappé bel ! Elle n’a pas encore vu l’état des toilettes ! Mais je suis sûr qu’elle va voir rouge.  

- Pourquoi ? demanda le petit garçon une fois solidement attaché sur une sorte de rehausseur qui était en réalité une sorte de coussin surélevé utilisé chez le coiffeur.  

Le nettoyeur était allé l’emprunter à une de ses amies…  

- Parce que tu crois qu’elle va apprécier d’y trouver du pipi partout ? demanda-t-il.  

Le petit garçon se ratatina sur lui-même, il ne l’avait pas fait exprès et ne voulait pas se faire disputer. Les larmes coulèrent sur ses joues.  

Le nettoyeur se retourna au bruit de hoquet et constata étonné que Toshio pleurait. Il ne savait pas comment réagir, il ne se souvenait pas d’avoir jamais eu son âge.  

- Allons bonhomme c’est pas grave ! ne t’inquiète pas elle sera peut être en colère mais ne t’inquiète pas, ce sera moi qui ferait tout pour prendre sa colère.  

Au même moment, dans l’appartement, un cri horrible se fit entendre :  

- KYYYYYYYYYYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAA !!!!!!  

Alors qu’une libellule passait derrière le nettoyeur et que le petit garçon sursautait, Ryo lui dit :  

- Je crois qu’elle vient de découvrir ton cadeau ! (déclara-t-il avec une tête d’idiot profond.  

Un bon quart d’heure plus tard, Kaori monta sans un mot dans la voiture. Elle s’assit avec la grâce d’un éléphant mais Ryo ne lui fit aucune remarque. Il sentait qu’elle faisait tout pour se contrôler. Cependant il pouvait l’entendre marmonner :  

- Grr tous des porcs, moi je vais leur apprendre à ces zizis en pommeau d’arrosoir à viser juste !  

Au début, il n’avait pas compris la fin mais quand il comprit le terme « zizi en pommeau d’arrosoir », il éclata de rire et fit une embardée sur la route. Elle répéta cette litanie avec une telle force que la tension dans la voiture était palpable. Une fois garé, il se tourna vers elle et lui demanda :  

- Alors mon ange y’a un problème ? Tu ne cesses de grogner depuis tout à l’heure !  

- JE NE GROGNE PAS ! cria-t-elle contre son partenaire.  

- Non c’est vrai répondit-il doucement, tu hurles… Alors que se passe t-il ?  

- Il se trouve juste qu’il y a une partie de l’anatomie masculine qu’il faudrait couper à la naissance !  

Le petit garçon était comme tétanisé, il mit ses petites mains sur son zizi pour le protéger. (nda : si vous trouvé ça trop délire, prenez vous en a Eden pas pour l’idée mais pour m’avoir dit « dommage » quand je lui ai dit que je n’allais pas mettre finalement la séance du « zizi en pomme d’arrosoir » donc c’est sa faute si ça part un peu en vrille ^^ on va bien rire ! pauvre Kaori ^^ »)  

Le nettoyeur déglutit, son mokkori était sa fierté et rien qu’à l’idée de le voir coupé une larme vint s’accrocher à son œil et il lança :  

- Tu ferais pas ça à mon mokkori hein ??? demanda-t-il penaud.  

Le garçonnet à l’arrière se demandait ce qu’était un « mokkori », il était un peu perdu. Enfin il n’avait que quatre ans quand même !  

- LES ZIZI EN POMMEAU D’ARROSOIR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!! SANS MOIIIIIIIIIIIII !!!!!!!! hurla la jeune femme.  

Heureusement, le cri fut atténué par les vitres, mais les deux spécimens masculins pensèrent qu’ils étaient devenus sourds. Ryo jeta un coup d’œil discret à leur « invité » et vit qu’il était terrifié. Et puis Kaori l’entendit hoqueter derrière elle, et elle s’aperçut qu’elle avait fait pleurer son petit protégé.  

Sa colère disparut instantanément, elle se retourna et dit à Toshio :  

- Allons mon bonhomme c’est pas vraiment grave. Pas agréable. Mais pas grave. Ryo va t’apprendre à faire pipi assis. Jusqu’à ce que tu sois assez grand pour ne plus mettre quoi que ce soit à côté. Hein petit bout.  

- QUOIIIIIIIIIIIIII !!!!!!!!!!!!!!! s’insurgea le nettoyeur.  

Kaori et Toshio sursautèrent et regardèrent le nettoyeur. Il hurla :  

- JE SUIS L’ETALON DE SHINJUKU ! J’AI UNE REPUTATION À TENIR !!!!  

Il se prit une massue de 100 tonnes qui s’écrasa sur sa figure et fit ouvrir la porte. Il tomba à la renverse et se retrouva les quatre fers en l’air. Dessus était marqué « tu feras ce que je te dirais ! ».  

La jeune femme sortit de la voiture et délivra le petit garçon et ignorant le nettoyeur toujours allongé, tous les deux se dirigèrent vers le Cat’s Eye. Mais très vite, ils furent rejoints par le nettoyeur qui leur dit doucement :  

- A trois on court  

Il souleva le petit garçon et le garda contre lui. Le nettoyeur avait glissé son arme dans sa poche droite. Il se mit à courir suivi de près par Kaori. En quelques minutes ils atteignirent le Cat’s Eye. Ryo donna l’enfant qui ne comprenait pas trop à Kaori et lui demanda d’entrer.  

- Ryo ?  

- Je reviens vite. Ne t’inquiète pas !  

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