Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: chibiusa

Beta-reader(s): Lexine, Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 12-05-05

Ultimo aggiornamento: 30-09-06

 

Commenti: 107 reviews

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General

 

Riassunto: Reflexions, prises de consciences et révélations...

 

Disclaimer: Les personnages de "Au delà des apparences" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Au delà des apparences...

 

Capitolo 12 :: Confession sur l'oreiller

Pubblicato: 25-04-06 - Ultimo aggiornamento: 25-04-06

Commenti: salut tout le monde ^^ ! Voici un chapitre de mon "défi" qui prend décidément une drôle de tournure mais je n'oublie pas mon objectif ^^ à l'origine je pensais la finir dans trois chapitres mais je ne pense plus que ce soit possible, cependant elle est "bientôt" finie ^^, n''hésitez pas à poser vos commentaires et bonne lecture

 


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Chapitre 12 – Confession sur l’oreiller  

 

 

La sortie des nettoyeurs fut relativement expéditive, il y eut quelques petites peurs notamment quand Thomas avait découvert que c’était un aveugle qui conduisait le 4x4 !  

En fait, les « kidnappeurs » n’étaient que de la racaille vite mise hors d’état de nuire par notre petit commando.  

L’ancien tueur professionnel put retrouver sa famille mais avant cela il était parti faire un tour avec Ryo du côté du commanditaire. Ces pauvres yakuzas étaient tellement peu doués qu’ils avaient laissé plein de documents attestant de qui les avait engagés.  

City hunter avait été affligé par le niveau des yakuzas et avait proposé de créer une école pour eux, cela eut pour conséquence de faire tomber à la renverse Thomas qui n’en revenait pas… Ce dernier lui avait vaguement demandé s’il était sérieux, là ce fut le nettoyeur qui tomba à la renverse. Il s’insurgea contre cet Américain !  

Le japonais lui demanda par la même occasion si son cerveau avait rouillé.  

Thomas voulut répliquer mais il constata que Ryo lui souriait d’un air confiant.  

 

Une fois de retour au café, les femmes se ruèrent vers leurs hommes (Mick était rentré avec la femme et la fille de Thomas).  

Thomas accueillit dans ses bras une petite fille de cinq ans qui vint lui faire un câlin ; elle lui disait qu’elle avait eut peur, et sa femme et lui la consolèrent.  

Il lui caressa les cheveux et attira sa femme à lui, il déposa tendrement un baiser sur ses lèvres. La jeune femme s’interdisait de se plaindre, elle connaissait le milieu, elle avait été sa partenaire avant d’être sa femme. Il les serra toutes les deux dans ses bras et quand Keïko posa sa tête contre l’épaule de son homme, elle laissa libre cours à ses larmes ; après tout elle n’était qu’une femme, une femme qui avait eut peur pour sa fille et son mari.  

Doucement, sans la brusquer, il l’amena jusqu’à une table où il s’assit avec Keïko.  

Ils restèrent tous les trois dans leur bulle un instant et au moment même où leur fille s’endormait encore un peu secouée par des sanglots, sa femme se ressaisit et séchait ses larmes rebelles. Il finit par lui demander :  

 

- ça va, ma chérie ?  

- oui, ne t’inquiète pas.  

- Fais voir tes poignets…  

 

Après s’être calé un peu mieux, il saisit délicatement le poignet de son épouse et l’amena à sa bouche pour l’embrasser.  

Les autres nettoyeurs s’étaient écartés pour leur laisser de l’intimité, Ryo chercha sa partenaire du regard et la trouva près de Toshio, elle lui caressait tendrement les cheveux. Quand elle sentit son regard elle le dévisagea. Malgré toute sa volonté, le nettoyeur sentit de la tension chez sa partenaire. Il ne comprenait pas trop pourquoi. Il vint s’asseoir en face d’elle et attendit.  

 

- Que s’est-il passé ? finit-elle par demander.  

- Les yakuzas qui avaient enlevé sa femme et sa gosse étaient vraiment d’un niveau pitoyable.  

- Ils avaient agi pour le compte de quelqu’un d’autre je me trompe ?  

- Oui, il s’agissait effectivement du patron de Toshio, avec Thomas on est allé lui rendre une visite surprise, il a été étonné de nous voir. On lui a fait remarquer qu’il avait affaire à des professionnels, et on lui a fait quelques frayeurs.  

- Du genre ?  

- On l’a attaché par la ceinture et lancé dans le vide en le menaçant de le lâcher dans le vide, évidemment on lui avait pas dit qu’il était attaché, ensuite on l’a remonté, il avait pissé dans son froc, franchement dégueulasse ! Ensuite on l’a attaché sur une voie de chemin de fer, il nous a promis que plus jamais il ne ferait de mal à quelqu’un. Il a avoué être le commanditaire et d’avoir fait plein de fautes, tout ça a été enregistré. Et ensuite on a filé après lui avoir mis la cassette sur son torse et on lui a dit « bon train ».  

- Ensuite ?  

- Eh bien on s’est écarté de la voie, et le type a encore fait preuve d’incontinence, tu aurais vu sa tête il était en état de choc !  

- Que s’est-il passé ?  

- En fait ce crétin avait pas vu qu’y avait deux voies l’une à côté de l’autre résultat. Le train grande vitesse est passé à côté de lui !  

- Pourquoi avoir autant tergiversé ?  

- Il y avait des indics, et on leur a fait comprendre de cette manière qu’il ne fallait jamais au grand jamais toucher à la famille d’un tueur !  

 

Kaori avait ses coudes sur la table et sa tête entre eux, le petit garçon avait sa tête posée sur ses genoux. La jeune femme avait un regard indéchiffrable, il y avait toujours cette tension dans son corps. Ryo voulut prendre l’une de ses mains, mais Kaori l’enleva avec virulence. Elle lui adressa un regard noir. Délicatement elle souleva l’enfant pour se dégager et sortit du café. C’était vital pour elle, il fallait qu’elle sorte.  

Tout à l’heure, il l’avait relégué à la popote et bien il devra apprendre à considérer que même s’ils étaient ensemble, elle était sa partenaire et pas juste sa femme. Elle s’en voulait d’avoir laissé Toshio là-bas, mais elle n’y pouvait rien ; elle voulait quitter cet endroit le plus vite possible, elle étouffait pour une raison inconnue d’elle-même.  

Elle arriva essoufflée à leur appartement, monta quatre à quatre les marches et finit enfin sa course sur le toit.  

 

Kaori s’assit contre la porte qu’elle referma pour être sûre qu’il ne viendrait pas la déranger. Elle réfléchit ; étrangement quand elle avait vu ces trois personnes enlacées, elle s’était imaginée à la place de Keïko et Ryo à la place de Thomas. Pourtant la situation était loin d’être semblable, elle savait que son partenaire n’accepterait jamais de lui faire un enfant, justement à cause de ce danger omniprésent.  

Mais elle lui en voulait surtout pour l’avoir reléguée à la place de l’épouse, de la femme, de l’amante… en gros il ne la considérait pas ou plus comme sa partenaire.  

Bien sûr il lui avait confié la garde de leur protégé, mais il fallait ouvrir les yeux, Miki et Kazue auraient très bien pu s’en charger seules.  

 

Au café, Ryo resta dubitatif un moment, il n’avait pas trop réagi à la sortie soudaine de sa partenaire. Quand il s’en rendit compte, il soupira. Il avait voulu lui prendre la main, car il avait eut envie de faire « comme tout le monde », la réconforter, la rassurer comme l’avait fait Thomas avec son épouse.  

Il se leva et prit le garçon dans ses bras, qui, vint se caler spontanément contre lui. Il se leva et après avoir adressé un petit signe de la main, disparut dans la ville.  

 

Thomas se détacha un peu de sa femme et demanda :  

 

- Qu’est ce qui se passe avec eux deux ?  

 

Miki sourit en déposant devant eux deux cafés elle dit :  

 

- Ryo a ordonné à Kaori de rester ici.  

- Et ?  

- Kaori a sans doute pensé que c’était parce qu’elle n’était pas digne d’être sa partenaire, alors que c’était juste parce qu’il ne voulait pas qu’il lui arrive quelque chose, déclara Falcon qui avait reprit sa tâche de laveur de vaisselle.  

 

Mick prit une chaise s’assit à califourchon, et déclara :  

 

- Enfin c’est Ryo et Kaori ! il faut pas trop chercher à les comprendre !  

- Mais je ne comprends pas, s’il la considère comme sa partenaire pourquoi ne l’a-t-il pas autorisé à venir avec vous ? demanda Keïko.  

 

Un silence envahit le café, aucun des protagonistes n’étaient capable d’expliquer le pourquoi des actions de Ryo, il était si atypique dans ses réflexions. Le géant déclara :  

 

- Pour Ryo c’était une manière de la protéger, sans doute qu’il a dû penser que deux personnes étaient déjà en danger il ne voulait pas en plus mettre sa femme en danger. Réaction égoïste probablement… il n’aurait pas dû la mettre de côté.  

- Mais nounours, l’interrompit sa femme. Moi aussi tu m’as interdit de venir…  

 

Le résultat fut immédiat, Falcon tourna au rouge écarlate et marmonna des paroles incompréhensibles. De la fumée sortit de ses oreilles quand son épouse taquine vint encercler son bras des siens.  

 

Keïko et Thomas écarquillèrent les yeux en constatant la timidité du géant.  

 

- Mais toi tu acceptes mes demandes. Pas Kaori que Ryo a rabaissé plus d’une fois pour ne pas « craquer ». Alors forcément quand il agit juste pour la protéger, elle s’en offusque, parce qu’elle croit toujours qu’elle n’est pas digne d’être sa partenaire.  

- Pourtant c’est bien elle qui a fait écraser des pans entiers de bâtiments, quand elle m’a défiée…  

 

Le géant oublia sa gêne d’avoir sa femme accrochée à lui, sourit et déclara non sans modestie :  

 

- Elle a eut un bon professeur !  

 

A cet instant, un effet lumineux eut lieu sur ses lunettes noires, donnant une impression étrange aux personnes présentes. Miki continua :  

 

- Il ne lui a jamais appris à tirer juste. n C’est mon mari qui lui a appris à poser des pièges. Cela déroute un peu de voir une faible femme utiliser un bazooka !  

- Je veux bien le croire fit Keïko en levant un sourcil. Nous nous sommes des ex-flics. Je savais déjà utiliser une arme à feu. Ensuite…  

- Qu’est ce qui peut pousser deux flics à se reconvertir en nettoyeurs ? demanda la barmaid.  

- Le jour où ma petite sœur s’est faite tuée après avoir été violée, simplement parce qu’elle ne voulait pas être rackettée par des brutes de son collège, déclara Keïko.  

 

Son regard se fit si malheureux que son mari resserra son bras autour de sa taille.  

 

- Nous n’étions pas ensemble à ce moment là, mais on a vu que ce salaud s’en sortait parce qu’un de nos collègues chargé de l’affaire lui avait lu ses droits, mais le gars a dit qu’il ne les avait pas entendus. A cause d’une déficience d’une de ses oreilles… Et ils ont dû le relâcher pour vice de procédures…  

- Le droit est tel qu’en cas d’erreur de ce type, le gars ne peut plus être condamné pour celui pour lequel il avait été arrêté. Un véritable sentiment d’injustice… alors j’ai démissionné.  

- Et j’ai fait de même. Après le travail de nettoyeur a été comme une suite logique. Officiellement, nous sommes morts.  

- Comment ça ?  

- Et bien nous avons joué au chat et à la souris, personne ne connaissait notre véritable identité, et ce fut seulement cinq ans plus tard qu’on nous a soupçonné, alors nous avons « simulé » notre mort dans un accident de voiture. Nous avons beaucoup perdu financièrement surtout, pour paraître plausible il fallait que nous n’ayons pas touché plus que d’habitude à nos comptes.  

- Après s’en est suivit une période de trois ans où on a continué à faire les nettoyeurs, jusqu’au jour où je suis tombée enceinte. Ça a un peu compliqué la chose. Alors nous avons raccroché.  

- Et comment vous avez fait après ? demanda Miki intéressée.  

- Nous étions flics, nous avions accès à pas mal de facilités, alors nous avons créé une double identité à tous les deux.  

- C’est Thomas qui avait fait ça avant même de démissionner. C’est lui qui a eu l’idée de faire « justice », je l’ai suivie car j’avais foi en cette idéologie. Nous avons utilisé cette identité à ce moment là, car ça signifiait pour nous « liberté » de se reconvertir. Nous tenions il y a encore un mois un restaurant à New York.  

- Et maintenant ?  

- Et bien, on va aller s’installer au Japon je pense. Parce que notre petit restaurant a légèrement explosé.  

- Vous prenez ça avec le sourire déclara tout à coup l’infirmière qui avait pour l’instant tout écouté sans rien dire.  

- On ne va pas non plus pleurer, déclara Keïko. Nous avons fait le choix d’être nettoyeurs à l’époque, nous assumons les conséquences de cet acte même maintenant. C’était notre choix, nous serons cependant un peu plus prudents pour que plus jamais Jenny et moi soyons enlevés. Les ravisseurs savaient exactement que nous étions d’anciens nettoyeurs, ce qui explique pourquoi j’ai été ligoté avec force. Notre fille, elle, n’était attachée qu’au niveau des bras et des pieds. Moi j’ai été retenue d’une manière plus serrée.  

- Comment ?  

- Allongée sur le ventre, les pieds et les mains accrochés ensemble et si je bougeais je risquais de me faire étrangler. C’était tout à fait charmant…  

- Je veux bien le croire…  

- Et si nous y allions ma chérie ? proposa Thomas.  

- Nous vous avons préparé la chambre d’amis, comme ça vous serez tranquille jusqu’à demain matin sans avoir à vous soucier.  

- Nous vous remercions beaucoup.  

 

Miki leur montra la chambre d’amis et les laissa s’installer ; la petite fille fut installée doucement sur le canapé qui était dans la chambre. Une couverture fut déposée sur son petit corps. Chacun à leur tour les parents lui embrassèrent le front.  

 

Serrés l’un contre l’autre dans le lit, Keïko lui demanda :  

 

- Tu regrettes ?  

- Quoi donc ? demanda Thomas.  

- Eh bien, d’avoir quitté la police entre autres.  

 

Il la força à s’installer sur le dos et il lui caressa doucement son corps nu, il lui dit :  

 

- C’est vrai que notre vie aurait été « plus simple », mais, il y a fort à parier qu’on ne serait pas ensemble…  

- Ah bon ? tu crois ? Demanda-t-elle à brûle-pourpoint.  

 

Il l’embrassa rapidement pour faire taire toute protestation, car lui aussi le savait déjà à l’époque. Ils jouaient à se séduire et à rendre jaloux l’autre en sortant avec l’autre sexe. Il caressa d’un geste lent son sein droit qui se durcit sous l’effet du geste. Il reprit cependant :  

 

- Je ne sais pas, avec des « si » on ne refait pas le monde. Ne t’en fais pas pour ça, j’ai choisi de moi-même de quitter la police, de t’inviter à me suivre dans notre vie illégale.  

- Nous avons juste fait ce que notre cœur nous dictait. Mais tu regrettes ?  

- Quoi ?  

- Le fait d’avoir dû arrêter ce travail galvanisant, parce que j’étais enceinte…  

 

Il se positionna au-dessus d’elle et tout en embrassant son cou meurtri par la corde qu’elle avait eu autour, il lui murmura :  

 

- Pour rien au monde je ne changerais notre famille, pour rien au monde…  

 

Il lui mordilla son oreille droite arrachant un gémissement à son aimée.  

 

- On va faire quoi alors ?  

- S’installer à Tokyo, pourquoi pas ?  

 

La jeune femme écarquilla les yeux et se remit sur son séant obligeant son mari à se relever à la hâte.  

 

- Pourquoi Tokyo ?  

- C’est ta ville non ? demanda-t-il taquin.  

- Co…comment tu sais ça ?  

- Allons ma chérie, je sais tout de toi !  

- Tu as fait des recherches ?  

- Eh bien, en fait les journaux ont dit que ta petite sœur était d’origine Japonaise alors que vous me disiez toutes les deux que vous étiez Vietnamienne.  

- En fait on est les deux, notre père était Vietnamien ; lui et notre mère ont été assassiné sous nos yeux pour avoir émis leur opinion. Nos voisins nous ont envoyé en bateau à Tokyo, là-bas nous avons survécus deux ou trois ans avant d’être trouvées et envoyées à l’orphelinat. Ensuite, bourse d’études et tout ce qui s’en suit. Mais quand ma sœur a été adoptée, ses parents adoptifs m’ont proposé d’aller avec eux. Je venais d’avoir dix-huit ans et je les ai suivie. Ils m’ont aidé à m’adapter ; pendant une année j’ai pris des cours de langues presque intensifs avant d’entrer dans les forces de l’ordre, en souvenir de nos vrais parents.  

- Tu n’as vraiment pas eu une vie facile… et tes parents adoptifs maintenant ?  

- Mon père adoptif est mort d’une crise cardiaque et ma mère s’est suicidée après la mort de ma sœur, tu te souviens ?  

- Ah… Je t’avais sentie malheureuse ce jour là mais je ne savais pas que c’était ta mère adoptive puisque vous n’aviez pas le même nom de famille.  

- C’était notre volonté, garder notre identité intégrale.  

- Pourquoi tu ne m’as jamais raconté ton passé ?  

 

Elle se détourna un peu pour se positionner sur le côté et Thomas vint se coller à son corps.  

 

- Je suppose que la blessure était toujours là, un peu trop forte. Notre arrivée à Tokyo a un peu tout ravivé.  

- Et ton enlèvement aussi…  

- Tu n’y es pour rien, c’était Serviak qui a effectué l’enlèvement.  

- Serviak ?  

- Quand il a senti le roussi il s’est tiré…  

- Tu le connaissais ?  

 

 

Elle se retourna un peu et lui dit :  

 

- Comment oublier l’assassin de mes parents ?  

 

Le cœur de Thomas manqua un battement et il attira sa femme à lui pour la serrer dans ses bras pour lui insuffler courage, force, volonté et surtout tout l’amour qu’il avait pour elle.  

Doucement, il la caressa pour la décontracter et c’est lentement qu’elle s’endormit dans ses bras.  

Il resta longtemps immobile, il réfléchit ; sans aucun doute que pour être « tranquille » il leur faudra se débarrasser de Serviak. Il décida d’en parler à Ryo Saeba dans quelques jours, en espérant qu’entre lui et sa partenaire ça s’arrangerait.  

 

 


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