Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: chibiusa

Beta-reader(s): Lexine, Nanou

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 12-05-05

Ultimo aggiornamento: 30-09-06

 

Commenti: 107 reviews

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General

 

Riassunto: Reflexions, prises de consciences et révélations...

 

Disclaimer: Les personnages de "Au delà des apparences" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Au delà des apparences...

 

Capitolo 17 :: Dis-moi tout

Pubblicato: 30-09-06 - Ultimo aggiornamento: 30-09-06

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17


 

Plusieurs jours s’étaient écoulés dans cette douce harmonie. Ce jour-là, Falcon rentra dans l’appartement de City Hunter en bougonnant, il venait d’avoir des nouvelles de sa jeune protégée Mikiko…  

Il l’avait à la main, elle le suivait. En fait la mère de cette dernière étant malade, les orphelinats bondés et les autres centres démolis, il avait proposé de la prendre en charge le temps que sa mère se rétablisse.  

Dans le salon se trouvait la famille Spielgard qui regardait un DVD avec leur fille ; Falcon s’avança vers eux et leur dit :  

 

- C’est Mikiko, elle va rester avec nous jusqu’à ce que sa mère soit rétablie.  

 

Il décréta ça et il planta là la petite fille face à ses gens. Elle se mordit les lèvres un peu impressionnée ; tout à coup une voix d’outre-tombe la fit sursauter en l’appelant.  

Rassurée par la stature imposante du géant, elle avait pensé qu’il la laissait là avec ces inconnus mais non, il l’appelait pour qu’elle le rejoigne, ce qu’elle fit rapidement.  

 

Falcon lui présenta son épouse qui lui sourit, rassurante.  

 

* * * * * * *  

 

Ryo lui avait les paupières lourdes et des cernes immenses sous les yeux ; Kaori le regardait avec des yeux exorbités et soudain, prise un doute, elle lui demanda :  

 

- Mais enfin Ryo ! ne me dis pas que tu vas dans tes cabarets douteux !  

- Non… c’est la frustration, répondit-il malgré lui.  

- Frustré par rapport à quoi ? fit la jeune femme naïve.  

 

Il se retourna vers elle et la détailla : elle ne semblait pas frustrée elle. Et lui, il n’y pouvait rien, maintenant c’était systématique, la promiscuité de la situation. Juste à ce moment là il eut du sang qui se mit à jaillir de son nez, il tomba en arrière sur le lit.  

Inquiète Kaori trouva rapidement du coton pour son partenaire. Elle se mit contre lui et vint se caler.  

 

- Tu veux me torturer c’est ça ? murmura-t-il en passant son bras autour de sa taille.  

- Tu vas me dire de quoi tu parles à la fin ? fit-elle en se redressant.  

 

Il la fixa intensément et là il soupira et prit la main gauche de sa partenaire pour l’amener au renflement de sa virilité.  

 

- De ça.  

 

La jeune femme retira rapidement sa main comme si elle avait été brûlée et lui dit :  

 

- Ryo !  

 

Pour toute réponse il resserra son étreinte. Cela faisait longtemps que ces frôlements d’adolescent ne le satisfaisaient plus.  

 

- Ryo ? murmura sa partenaire en fixant son visage si sérieux.  

 

Il se redressa et put admirer les joues rosées de sa partenaire. Ses yeux avaient une étrange lueur, qu’il reconnut tout de suite : le désir. Alors il la plaqua contre le lit et l’embrassa délicatement, il lui fit poser ses deux mains contre son torse pour qu’elle apprivoise son corps.  

Tout d’abord des frôlements à travers sa chemise lui octroyaient un délicieux frisson !  

Ryo lui, atteignait le ventre de sa partenaire quand une secousse sismique les dérangea.  

Tout se mit à trembler, Kaori avait fermé les yeux et se tenait contre son partenaire, ce dernier la sentait se crisper, les souvenirs de ce qu’il s’était passé quinze jours auparavant lui avaient fait peur.  

Alors que la secousse venait de s’arrêter, il lui caressa le visage ; Kaori finit par ouvrir les yeux.  

 

- Allons mon ange, ce n’est pas la première secousse que nous supportons.  

 

Elle fit un pâle sourire et lui dit :  

 

- Je sais, mais l’autre est encore trop présente dans mon esprit. J’ai toujours mon plâtre en plus.  

- Tu veux qu’on change d’air ?  

- Hein ?  

- J’ai envie de toi Kaori.  

 

Elle devint cramoisie. Elle se mordit la lèvre inférieure et lui murmura à l’oreille d’une manière presque inaudible :  

 

- Moi aussi.  

 

Puis elle le tira à elle pour ne pas qu’il puisse contempler sa gêne. Loin de le gêner, il s’octroya un délicieux passage vers son cou et où il titilla un nerf.  

Des pleurs dans la chambre du dessous les firent sursauter. Ryo soupira et déclara :  

 

- Habille toi mon ange, je vais voir ce qu’il se passe et après je t’enlève.  

- Tu m’enlèves ?  

- Oui, je te veux ! et pour ça il faut qu’on soit au calme et sûr de ne pas être dérangé.  

 

Tout en se redressant et en s’asseyant sur le bord du lit, il douta un instant et se retourna pour la regarder :  

 

- Mais… si tu ne te sens pas prête, je peux encore attendre, fit-il inquiet.  

 

La jeune femme qui avait dormi dans un t-shirt de Ryo comme depuis le début de leur cohabitation forcée dans la même chambre, se redressa et vint voler tant bien que mal un baiser à son homme.  

 

- J’ai… envie, je suis terrifiée et en plus j’ai un pied dans le plâtre. Tu parles d’un pratique !  

- Je ferai de mon mieux pour t’être agréable mon ange. Lentement, doucement, délicatement, je ferai de mon mieux.  

 

Elle lui sourit, et passa ses bras autour de son cou, et lui dit :  

 

 

- Je te fais confiance, et puis ton expérience faut bien qu’elle te soit utile, fit-elle en l’embrassant.  

 

Elle fut surprise, Ryo était presque en transe. Mais elle ne comprenait pas sa réaction.  

 

- Ryo ?  

- C’est rien Kaori.  

 

Il se dégagea, lui tourna le dos, enleva son caleçon et en mit un propre puis il se retourna ; il vit sa partenaire le détailler avec envie.  

 

- Dis donc toi ! qu’est ce que tu regardais comme ça ?  

 

Elle sursauta et le dévisagea, un sourire énigmatique :  

 

- Rien du tout !  

- Tu regardais mes fesses !  

- N’importe quoi !  

- Oh que si !  

- Non !  

 

Il se dirigea vers elle la faisant une fois de plus tomber en arrière et la bloquant, il se mit à califourchon sur elle, ses mains refermées sur ses poignets si fins.  

 

- Avoue !  

- Jamais !  

- Alors je vais te torturer !  

 

La gêne qu’il avait éprouvé un peu plus tôt était envolée ! Il fondit sur elle et traça un sillon de sa langue sur sa peau tendre, lui arrachant des petits rires ; elle lui dit :  

 

- Arrête s’il te plait.  

- Avoue que tu es une dépravée ! déclara-t-il avant de prendre le chemin du t-shirt. Il lâcha les poignets de sa partenaire et remonta délicatement le t-shirt laissant apparaître deux collines tendues de désirs.  

 

Ses lèvres trouvèrent les mamelons qu’il titilla de sa langue et lui dit :  

 

- Alors que regardais-tu ?  

 

Kaori était prise entre frisson de délice et hilarité, elle finit par avouer :  

 

- Ton fessier… mais c’est de ta faute ! tu t’es déshabillé devant moi !  

 

Elle sentait que l’entrejambe de son partenaire était bien dur.  

 

- Tu veux que j’arrête alors ? fit-il.  

- Non… surtout pas !  

- Je me disais aussi.  

 

Il reprit sa course mais…  

La porte s’ouvrit et Falcon entra :  

 

- Ryo ! tes locataires t’appellent en bas !  

 

Kaori était rouge de honte, le nettoyeur était lui saisi. Falcon se rendant compte de la tension sexuelle présente dans la pièce, devint cramoisi et sortit rapidement en grognant :  

 

- Dépêche-toi !  

 

Ryo toujours la tête sur les deux seins de sa partenaire, se leva et lui dit tout en déposant un baiser sur ses lèvres :  

 

- Tu vois ce que je veux dire par : on a besoin de faire des câlins dans un coin tranquille !  

- …  

- Ne sois pas si gênée mon cœur… Falcon est aveugle, il ne t’a pas vu !  

- C’est la situation en elle-même que me fait rougir Ryo. S’il était pas entré on… on…  

- Serait entrain de faire l’amour oui… fit-il en l’embrassant.  

 

Il se dégagea et lui dit tout en enfilant son pantalon :  

 

- Habille-toi Sugar, et je viens te prendre dans deux heures. Et on va dans un endroit calme ! pour continuer notre parcours charnel si bien entamé.  

 

Il abandonna la jeune femme dans un état proche de la liquéfaction tellement elle avait été touchée, surprise, saisie, et ravie par ses paroles. Enfin elle pourra dire qu’elle et lui ne font plus qu’un. Le désir de l’aimer et d’être aimé flamba au creux de ses reins. Elle se leva et décida de passer sa robe de chambre. Elle fouilla dans les deux tiroirs du bas que son partenaire lui avait laissé pour qu’elle puisse mieux s’installer et éviter un nombre incalculable d’allers et retours entre sa chambre et celle-ci.  

Elle fouilla parmi des sous-vêtements et finit par trouver ceux qu’elle avait achetés récemment sur une impulsion. Tout en dentelle et en lycra. Elle se sentait un peu survoltée ; elle s’habilla cependant simplement, jean et pull-over avec col en V de couleur rose pâle.  

 

Deux heures et demi plus tard, Ryo aida sa partenaire à enjamber des gravats encore présents d’il y a quelques semaines. Il expliqua :  

 

- Tous les habitants de ce coin sont partis se réfugier ailleurs, un peu plus loin il y a un hôtel inoccupé depuis la dernière fois et c’est un ami qui le dirige, il a bien voulu nous laisser une chambre.  

- Un hôtel ? fit-elle perplexe.  

- Oui, mademoiselle, un hôtel et non un love-hôtel si c’est ce dont tu as peur. Nous pouvons y rester deux jours complets ! j’ai déjà payé.  

- Tu l’avais donc prévu depuis un moment…  

 

Il ressentit l’agacement de sa partenaire et lui dit, en la retenant dans ses bras :  

 

- Oui, j’avais très envie de toi et je voulais absolument t’en convaincre. Mais si tu veux je peux décommander !  

 

Elle hésita et dit :  

 

- Avoue c’était pour une autre femme que tu l’as réservé !  

 

Elle se dégagea et avança fièrement. Il mit une main sur son épaule et déclara :  

 

- Non !  

- Et pourquoi je devrais te croire monsieur l’étalon !  

- Parce que…  

 

Il s’approcha d’elle et l’embrassa fougueusement, il dit doucement :  

 

- Je suis peut-être un homme d’expérience mais uniquement en baiser !  

 

Kaori le dévisagea et lui dit :  

 

- Qu’est ce que tu veux dire ?  

 

Il se pencha et lui avoua son secret, son grand secret. Elle écarta de grands yeux :  

 

- Tu n’es pas sérieux Ryo ?  

- Le plus sérieux du monde.  

- Mais et les frasques et tout ça ?  

- Subterfuge pour ne pas craquer sur la seule femme qui m’inspire l’amour.  

- Qui ?  

- Toi, fit-il en lui adressant le plus timide sourire qu’elle n’ait jamais vu. J’espère que tu ne vas pas éclater de rire hein ?  

- Rire ? pourquoi ? je suis la plus heureuse des femmes !  

 

Elle lui tendit ses lèvres tout en lui murmurant :  

 

- J’apprécie ton expérience du baiser, et je suis contente que ce soit la seule que tu aies !  

 

Il prit ses lèvres avec délicatesse amour et passion. Mais ce fut elle qui mit fin au baiser, elle lui prit le bras et lui déclara :  

 

- Allons vers notre première fois monsieur l’étalon ! fit-elle avec un sourire resplendissant !  

 

FIN
 

NOTE DE l’AUTEUR : Et voilà la fin de cette histoire, de cette fiction semi-surnaturelle, évidemment après avoir lu le volume 5, le fait que Ryo soit toujours vierge fait partit d’une fiction vraiment fiction !  

J’espère qu’elle vous aura plu ! Je suis contente, je me suis bien amusée à l’écrire. La prochaine fic qui reprendra certains éléments de celle-là par exemple les personnages de Keiko, son mari, leur fille, Miki, Falcon, Mikiko et Kaori et Ryo en tant que couple à part entière. Mais cette histoire sera centrée sur Miki et Falcon, les autres seront présents mais pour une fois des personnages secondaires, donc il n’y aura pas de scène d’amour entre Ryo et Kaori ! enfin voilà cependant elle est en projet j’ai tant d’autres fics à finir avant de l’écrire ^^ ! Bonne journée à tous et n’oubliez pas la petite review de conclusion pour me dire ce que vous avez apprécié le plus dans cette histoire !  

 

NDA : je suis pas sûre de poster la suite sur HFC cela dépendra de mes dispositions  

 

 


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