Capitolo 17 :: 17

Pubblicato: 07-10-05 - Ultimo aggiornamento: 07-10-05

Commenti: Hé voilà une nouvelle maj ! J'essaie de ratrapper le temps perdu car il va y avoir pas mal de chapitres à cette fic ! Merci pour vos petits commentaires, ça fait toujours plaisir de savoir qu'on vous lit (même si on ne maje pas trop souvent, ce qui est mon cas lol!) c'est agréable de savoir ce que vous pensez et je peux ainsi faire des changements dans ma fic qui vous laisseront sur les dents ( j'adore ça !!) Oui!! Oui!! je suis méchante!! Malheureusement pour certains d'entre vous, il risque de se passer pas mal de choses avant que Ryô ne retrouve Jun-Paul et Kaori. Je vous réserve peut-être un scénario assez compliqué dans les chapitres à suivre. !! Bon je vous fais la bise en espérant que vous aimerez votre lecture et que vous me laisserez des messages !! ^_^!!

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Miki venait d’ouvrir le Cat eyes. En préparant le café elle soupira. Son regard se posa à cet endroit, cet emplacement où normalement elle était toujours assise. Mais aujourd’hui, comme depuis déjà des semaines et dans les années à venir, cette présence était et resterait dorénavant absente.  

«Kaori » pensa-t-elle alors qu’elle saisissait le manche de la cafetière. Des larmes se formèrent dans les yeux de l’ex-mercenaire. Elle souleva le contenant de café chaud et chercha une tasse pour se servir. Sur l’étagère où se trouvaient les tasses réservées aux intimes du Cat Eyes , une certaine tasse ressortait des autres. Une inscription «I LUV KAORI»accompagné d’une petite massue de 1000T y étaient gravés.  

Miki se souvint avec nostalgie qu’elle avait offert ce présent à sa meilleure amie pour lui remonter le moral et combien cet objet avait suscité l’attention de Mick, qui avait naturellement clamé que cela avait été son idée. Le partenaire de kaori avait bien sûr trouvé quelques sarcasmes à lancer en l’air pour ruiner ses efforts.  

Ryô.. Cela faisait maintenant 1 semaine qu’elle ne l’avait pas vu. Depuis le pseudo enterrement de kaori , elle l’évitait. Elle essayait tant bien que mal de ne pas lui en vouloir, de ne pas trembler de rage quand elle entendait son nom. Durant toutes ces années il avait tellement fait souffrir sa meilleure amie qu’elle s’était parfois demandée s’il y avait bien un espoir. Maintenant elle n’était plus .. à cause de lui.. lui..  

Ses bras tremblaient, ses mains serrèrent et desserrèrent le manche et dans un accès de colère le lâcha. La cafetière se cassa sur le parquet.  

_Miki..!!  

Falcon surgit de l’arrière boutique et vit sa femme recroquevillée sur elle-même. Il s’approcha d’elle et la prit dans ses bras tandis qu’elle sanglota contre lui.  

_Ryô! Répéta-t-elle avec hargne… Ryô je te déteste!  

Le géant considéra les dernières paroles de son épouse et jugea que le choc était encore trop récent pour qu’elle puisse travailler. Après avoir calmé et couché sa femme, il revint nettoyer la salle avant de tourner le panneau sur la porte à FERMER .  

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Tenshi se leva. Ses paupières étaient lourdes et ses yeux rougis. Cette nuit encore elle avait pleuré.  

_Qu’as-tu Tenshi? Tu as les yeux tous rouges!  

La jeune femme prétendit de nouveau qu’elle devait être allergique à quelque chose. Misaki n’était pas dupe mais ne sachant pas trop comment soulager sa nouvelle amie elle pensa tout de même à passer à la boutique lui trouver de quoi l’aider.  

Tenshi se sentait honteuse de pleurer alors que la famille Ikeo était si bonne pour elle. Misaki la traitait aux petits soins et la considérait comme une amie proche, Kentaro l’aidait à récupérer sa forme physique et était lui aussi devenu un ami. Massaru restait distant mais acceptait toutes fois qu’elle séjourne chez eux.  

Que pouvait-elle demander de plus? Que demander de plus et pourtant, surtout, lorsqu’elle voyait sa réflexion dans le miroir, elle ne pouvait s’empêcher de se demander qui elle était, d’où elle venait et pour quelles raisons elle s’était retrouvée ici. Elle essayait tant que bien de cacher son désarroi mais même Kentaro, qui était resté très réservé au début, avait bien remarqué ses moments de désillusions.  

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Bam! Bam! Bam!!..  

_ Ouvre-moi bon sang!  

Dehors l’Américain frappait contre la porte de son ex-partenaire.  

À l’intérieur de l’appartement, un homme affaissé sur un canapé lorgnait les dernières gouttes qu’il restait dans sa bouteille de whisky. D’un trait il la vida et songea qu’il devrait aller en chercher une autre. Il restait totalement indifférent aux coups donnés sur sa porte.  

_Ryô ! Je sais que tu es là ! Ouvre-moi sinon je rentre par mes propres moyens!  

L’interpellé délaissa un instant sa bouteille pour jeter un regard à la cloison qui le séparait de l’extérieur. Non il n’était pas prêt pour sortir.  

PAN! Aux grands mots les grands remèdes. Mick venait de faire sauter sa serrure et pénétra furibond dans le salon.  

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