Capitolo 19 :: 19

Pubblicato: 07-09-06 - Ultimo aggiornamento: 07-09-06

Commenti: Salut tout le monde ! J'essaie de suivre le rythme alors voici une autre maj!! Apparemment, il reste encore quelques chapitres avant que toute cette situation ne se démêle un peu. J'ai hâte de voir vos commentaires ( j'en veux tout plein!) Merci tout le monde pour vos messages !! ça fait super plaisir!! Bonne lecture et au prochain chapitre!! bizz bizz!

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_Maintenant tu vas te bouger !  

Le chien d’un Smith & Weston contre sa tempe, le nettoyeur japonais ne semblait pas se soucier du métal encore chaud que son ancien partenaire pointait contre lui.  

L’Américain perdait patience. Cela faisait au moins dix bonnes minutes qu’il le tenait en joue et que celui-ci semblait l’ignorer royalement.  

_Bouge ou je…  

_Tire…  

_......  

_Tire Mick .Murmura une voix complètement éteinte.  

Le détective privé analysa ce que son ami venait de dire. Il fut paralysé un instant avant de relever lentement son arme. Comment en étaient-ils arrivés à là?  

Les mains de l’homme assit craquèrent.  

_Qu’attends-tu ?!! QU’ATTENDS-TU POUR ME DESCENDRE?!!!!!! Rugit-il.  

Il s’était redressé d’un coup devant son acolyte, fou de rage prêt à se jeter sur lui. Un simple mouvement de son ami des USA et ils allaient se battre.  

_ Fuck you Ryô !Will you fucking Calm down !!Calme-toi!!!… Reviens à toi!!!! (Nda : désolée pour les gros mots)  

Driinng !Driingg!! Le grand Japonais eut un moment de paralysie avant de se rassoire et prendre sa tête dans ses mains alors que Mick soulevait le combiné du téléphone.  

_ Mick Angels à l’appareil.  

_Mick?! Tiens, je suis étonnée de te voir chez Ryô.  

_Bonjour inspectrice de mes rêves… Fit l’Américain dont l’esprit se remplissait déjà d’idées salaces.  

Toujours prostré sur son canapé, le nettoyeur ne bougea pas en apprenant qui était à l’autre bout du fil, il se contenta de regarder le cendrier qui débordait de mégots sur la table du salon.  

L’Américain non loin de lui avait reprit une mine sérieuse aux propos de Saeko. Il hocha de la tête et raccrocha.  

_Ryô!  

L’interpellé daigna tourner la tête vers son ami.  

_ J’ai des informations qui peuvent nous aider. Avant-hier un des concierges de l’aéroport de Tokyo a retrouvé le corps du vérificateur technique du vol 707.  

Le Japonais se redressa tout de suite et rejoint son ancien partenaire qui lui souriait satisfait. Enfin, il avaient de quoi œuvrer..  

…………………………………..  

Yiiiiiiiiiiiiiiikkkk…La porte métallique s’ouvrit. (Nda : Chers lecteurs vous remarquerez le soucis que l’auteur prend pour «imiter»les bruits et les faits et gestes de la vie de tous les jours afin de rendre cette fic plus plausible. (Forcez un peu votre imagination Mautadis!))  

Un homme habillé d’une blouse blanche entra dans la pièce. Il déposa un paquet de feuilles sur le bureau avant de chercher dans le tiroir un masque pour recouvrir son nez ainsi que sa bouche.  

L’odeur âcre du souffre et autres composés qui régnait dans le labo commençait vraiment à être pestilentiel. Vinch feuilleta les feuilles de commandes en vue. Il révisa les nouvelles équations chimiques qu’il avait établies, se leva et distribua la nouvelle formule aux autres hommes en sarraus qui travaillaient en face de tubes et de multiples éprouvettes.  

_ Écoutez-moi tous, voici la nouvelle formule de poussière  

d’ange. Je l’ai révisée et elle a été attestée par Erick. Les barils d’agent orange ne devraient pas tarder à être ici non plus. En attendant, examinez bien cette nouvelle version! Je n’accepte pas de ratés et le général encore moins!  

À l’idée d’être confrontés à la colère du leader de l’Union, nombre des hommes présents eurent des sueurs froides alors qu’ils tenaient en mains les quelques feuilles.  

…………………………………..  

Massaru pensait assit sur le dock en face de leur propriété pendant que les vagues ballottaient doucement. En regardant la vedette de son fils il remarqua au passage la veste de sauvetage éventrée que portait la jeune femme qui reposait dans la chambre alors que son fils l’avait secourue quelques jours plus tôt.  

Elle restait une énigme. D’où venait-elle? Ce gilet de secours était ordinaire, il pouvait tout autant provenir d’une agence de kayak du coin que celui des gardes de côtes. Vu son état, elle avait survécu à un accident assez grave. Peut être celui d’un hydravion?  

Il avait beau chercher, trop d’hypothèses c’était comme pas assez.  

Quoi qu’il devait arriver, il hébergeait cette jeune femme dont il ne savait rien. Après ce qui c’était passé dans la matinée, il se posait encore plus de questions. IL fallait qu'il prenne tout ça en main.  

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