Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: somomo

Beta-reader(s): Grifter

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 20 capitoli

Pubblicato: 26-12-06

Ultimo aggiornamento: 02-11-09

 

Commenti: 134 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Un jour Ryo tomba malade. Le seul moyen de sauver sa vie et celle de Kaori est d'accepté de partir. à son retour, il découvre quelques surprises... c'est nul mais il ne faut pas préjuger ...

 

Disclaimer: Les personnages de "ma vie loin de toi" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Ma vie loin de toi

 

Capitolo 9 :: Le retour

Pubblicato: 01-03-07 - Ultimo aggiornamento: 01-03-07

Commenti: Salutation, beh voilà mon nouveau chapitre ... j'ai mis beaucoup de temps pour l'envoyer désolé ne me frapper pas ... pardon je ne le refairais plus promis Aiie ... Un grand merci pour ceux qui m'ont écris un reviews et aussi un grand bravo pour ma beta de charme ...bonne lecture et à bientot ...

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20


 

L'aéroport de Tokyo, il est presque midi et il règne déjà une chaleur suffocante. Un avion vient d'atterrir en bout de piste et les passagers commencent à en descendre. L'un d’eux arrive en bas des escaliers, quelques bandages recouvrant son corps charpenté. Posant le pied sur le tarmac il murmure en souriant :  

 

-Enfin ! Me voilà de retour chez moi !  

 

C’était bien Ryo qui revenait chez lui après 5 longues années d’errance.  

Il monta dans un taxi et prit la direction du Cat’s Eyes. Parvenu devant la porte du café, il hésita un bref instant puis de décida à entrer espérant voir sa Kaori assise sur une chaise, souriante comme d'habitude. Mais il fut était déçu. Le café était désert, pas un chat en vue.  

 

-Bonsoir, il y a quelqu'un ? Demanda Ryo d'une voix assez forte pour être entendu.  

-Une seconde Monsieur, j'arrive toute de suite.  

 

Le nettoyeur venait de reconnaître la voix de la douce Miki. En l'attendant, il balaya la pièce du regard et vit que rien n'avait changé. Tout était resté pareil à ses souvenirs  

Miki apparut sur ces entre faits portant un vase. Elle déclara d’une voix mélodieuse  

 

-Soyez le bienvenu ... que désirez-vous boire ?  

 

Ryo se retourna enfin. Miki ne l'avait pas reconnu tout de suite, ce dernier lui souriait, visiblement amusé de son trouble :  

 

-Salut Miki, ça fait longtemps, tu n’as pas changée, toujours aussi jolie !  

 

Non ! Cette silhouette si familière, ça ne pouvait pas être lui ! Se dit-elle intérieurement. Et pourtant…Cette manière de la draguer si ouvertement, d’être si certain de son charme auprès de la gente féminine, ça ne pouvait être que lui ! Mais alors…elle lâcha les mots la bouche grande ouverte :   

 

-Ryo, c'est bien toi ?  

-Oui c'est bien moi, en chair et en os.  

 

Elle s’approcha doucement tout en fixant Ryo d’un regard étonné et triste et avisa soudain les bandages :  

 

-Mais ... Ryo tu es blessé ?  

-Ne t'inquiète pas, ce ne sont que de légères blessures  

 

Miki ravala sa salive, son regard changea et une sourde colère s’empara d’elle :  

 

-Espèce d'idiot, où étais-tu passé pendant tout ce temps ?  

-C'était la guerre ... où croyais-tu que j’étais ?  

-Tu aurais moins pu nous donner de tes nouvelles de temps à autre !  

-J’ai essayé, qu’est-ce que tu crois ? Mais à chaque fois que je téléphonais à la maison, personne ne décrochais figures-toi !  

 

Miki finit par baisser les yeux, après tout ce n’était pas à elle de lui demander des comptes mais plutôt à Kaori. Aussi dit-elle simplement :  

 

-Oublie, l'important c’est que tu sois enfin revenu.  

-Où se trouve Umibozu ?  

-Je vais l’appeler. Attends une seconde.  

 

Elle tourna son regard vers la porte et appela son mari de sa voix si tendre et si douce :  

-Chéri ... chéri ...  

 

(Une faible voix se fit entendre de la cuisine mais Ryo la reconnut sur le champ :  

 

-Tu as besoin d'aide ?  

-Viens, quelqu’un désire te voir.  

 

Il apparut derrière la porte, et ressentit aussitôt une aura familière dans la pièce :  

 

-Je ne rêve pas, c'est bien toi Ryo ?  

-Oui Umibozu, c'est bien moi.  

-Espèce de crétin ! S’énerva le géant. Toutes ces années et aucunes nouvelles de ta part ?  

- Vous n’allez pas vous y mettre à tous ! Couina Ryo.  

-Bon, bon, je vais te préparer un bon café, assieds-toi, proposa Miki en se mettant au travail derrière le bar.  

-Super ! Ton café me manquait Miki.  

 

Il s’assit sur un tabouret au bar où Miki lui tendit une tasse de café brûlante. Tout en la remerciant, il en but une gorgée et reposa sa tasse. Ryo voulait poser une question qui lui brûlait les lèvres depuis son retour mais Miki qui avait deviné ce qui lui trottait dans la tête s’éclipsa sous le prétexte de devoir faire quelques menues courses.  

Restés seuls, un silence gêné s’installa entre les deux hommes, Umibozu se décida enfin à le briser :  

 

- Alors ? Tout ce temps tu…  

-Oui, ce n’a pas été facile, mais je m’en suis pas trop mal sorti.  

-Et pour Kelly ?  

-Il est mort, je l'ai tué lâcha-t-il en reprenant une gorgée de son café.  

-Je n'ai jamais pensés que tu arriverais à cette solution pour te libérer.  

-Je sais qu’il était l’un de tes amis, (mais je n’ai pas eu le choix.  

-Ne t’excuse pas, tu as fait ce que tu as du pour survivre et puis il t’avait piégé.  

-Oui, il était devenu complètement fou, ce n’était pas une guerre mais une boucherie.  

-Tu n’as pas de compte à me rendre Ryo.  

 

Une demi-heure après, la porte du café s'ouvrit et une voix féminine résonna derrière le dos du nettoyeur. Il tourna la tête en direction de l'entrée et vit une jolie brune, c'était Saeko :  

 

-Bonsoir tout le monde, je ...  

 

Avant qu'elle ne puisse finir sa phrase une ombre lui sautait dessus :  

 

-Ma belle Saeko, tu m’as manqué ! Viens dans mes bras que je t'embrasse !  

 

Saeko fut bien trop surprise pour réagir, ce fut Umibozu qui remit Ryo à sa place.  

-Aie ! Crétin, pourquoi tu as fait ça ? Demanda Ryo l'ai furieux.  

-Tu es à peine arrivé et tu fais déjà l'imbécile, hurla Umibozu de sa voix la plus grave.  

-Ryo ? Demanda Saeko d'une voix à peine audible, les yeux grand ouverts.  

-Et oui !  

-Je suis heureuse de te revoir répliqua Saeko, un mince sourire étirant ses lèvres vermillons.  

Elle prit place aux cotés du nettoyeur et Umibozu lui tendit à son tour une tasse de café.  

-Comment c'était là bas ?  

-Je ne veux pas en parler.  

-D'accord.  

-Et toi ? Quoi de neuf ?  

-Tu devrais me féliciter ....  

-Ah bon ? Et pour quelle raison ?  

-Je suis fiancée.  

-Quoi ? S’écria Ryo en tombant du tabouret.  

-C'est surprenant, n’est-ce pas ? Moi aussi j'ai cru avoir une crise cardiaque en apprenant la nouvelle, expliqua Umibozu en souriant à son vieil ami qui essayait de se relever.  

-Je ne suis pas faite pour me marier ? Demanda Saeko furieusement.  

-C'est juste qu’étant donné que tu as toujours étais froide avec tous les hommes qui t’abordaient et que personne ne pourra jamais remplacer…tu sais qui…  

-Tu veux dire Hideyuki, n’est-ce pas ? Sache que malgré ma profonde tristesse je reste une femme et j'ai besoin d'aimer et de me sentir aimée en retour.  

-Je comprends. Et qui est l'heureux élu de notre inspectrice de charme ?  

-Tu ne vas le croire Ryo.  

-Pourquoi ? Il est si moche que ça ?  

-Non pas du tout, c'est juste qu'il est avocat.  

-Un avocat ! Ryo en retomba de sa chaise.  

-(Et puis alors ?) C’est un métier comme un autre et c'est le rêve de la plupart des femmes de se marier et de fonder une famille pas vrai ?  

-C'est juste que tu disais ne pas trop aimer les avocats, les trouvant trop pourris car osant défendre la lie de la population au nom de la justice. (Nda : ce n'est pas mon opinion ... j'aime les avocats ... faut pas me frapper).  

-Je n’ai pas changé d’opinion, J’ai toujours le même avis, mais Itsuki est très différent.  

-Alors il s'appelle Itsuki ? J’aimerais bien faire sa connaissance. Dit Ryo en souriant à Saeko.  

-Lui aussi.  

-Tu lui as parlé de moi, reprit t-il décontenancé.  

-Oui... ça te ne dérange pas que j'organise un dîner pour que vous puissiez faire un peu plus connaissance ?  

-Bien sur, je pourrai ainsi jouer le protecteur.  

-Mon père le fait déjà, toi aussi ?  

-Je suis curieux de voir le visage de l'homme qui a réussi à voler ton cœur ma belle Saeko.  

-Il est génial en plus il est parfait.  

-Et comment vous vous êtes rencontrés ?  

-Dans une affaire, je travaillais sur le meurtre d'un homme politique et suspectais un homme dont Itsuki assurait la défense. Nous n’étions pas d’accord sur l’identité du coupable, nous nous disputons chaque fois que nous nous rencontrions.  

Un soir, nous nous sommes retrouvés dans bar et je me suis laissée allée à rigoler et à boire. Le lendemain matin, je me réveillais dans son appartement à moitié nue dans ses bras. Le destin nous joue parfois de drôles de tours. De fil en aiguille, nous avons commencé à nous voir et nous sommes tombés follement amoureux l'un de l'autre. Il a finit par me demander en mariage et j'ai accepté.  

-Toutes mes félicitations, je te souhaite d’être heureuse.  

-Merci Ryo.  

 

Une autre voix masculine retentit dans la pièce, Mick venait d’entrer :  

 

-Ryo !  

-Salut Mick.  

-On n’espérait plus te revoir mon vieux, s’écria l’américain en berçant l’enfant qu’il portait dans es bras. En voyant ça, Ryo en retomber à la renverse.  

-Mick papa ! J’aurai tout vu !  

-Je te présente ma fille ... elle s'appelle Chihiro (Nda : J'étais entrain de regarder le film "le voyage de Chihiro" quand j'ai écrit ce chapitre).  

 

-Chérie tu peux m'aider ? Demanda soudain Kazue en apparaissant derrière son époux.  

-Bien sur, laisse-moi t’aider ma chérie.  

 

Mick alla aider sa femme enceinte de 7 mois et demi et lui retira des mains ses courses.  

En voyant le visage fatigué de Ryo, elle porta la main à sa bouche et balbutia :  

-Tu es revenu ! Je suis heureuse de te revoir vivant parmi nous lui dit-elle en lui offrant un sourire chaleureux.  

-Sacré Mick, tu n’as pas perdu de temps à ce que je vois, le félicita chaudement Ryo en lui donnant une solide tape sur l’épaule.  

 

Pendant le reste de la journée tous racontèrent à Ryo ce qu’il avait manqué pendant ces cinq années. Ainsi Saeko lui appris que sa sœur avait finalement cédée aux pressions de leur père et épousé un homme d’affaire et s’était établie avec lui en Europe. Eriko avait déménagé à Paris où elle exerçait son art depuis trois ans avec un succès grandissant. Quant à Miki, elle avoua à un Ryo abasourdi qu’elle était elle aussi enceinte de trois mois.  

Ryo écoutait attentivement ses amis et se demanda en son fort intérieur si elle aussi avait changé ?  

Pourquoi pas après tout ? Elle avait tous les droits de vivre et Ryo n'était pas certain de revenir vivant.  

A chaque fois qu’il essayait d’orienter la conversation sur elle, ses amis tachaient de changer de sujet au grand dam du nettoyeur, ne réussissant qu’à piquer sa curiosité, que lui cachait-on ?  

Il fallait absolument qu’il sache !  

 

 


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