Capitolo 16 :: Les couples se forment ?

Pubblicato: 09-08-08 - Ultimo aggiornamento: 09-08-08

Commenti: Coucou !! Merci à Paty, Lyly, Milkaly, Nanou, Eden, Rkever, Kaori62 et Yunalescaminnie d'avoir laissé une petite review pour le chapitre précédent. Je suis contente que le couple Doc/Mme Satshikora vous plaise et je vais essayer d'écrire encore quelques passages avec ce « couple ». Lyly et Milkaly, je n'ai pas abandonné l'idée de tuer un personnage, je sais exactement qui et quand il va mourir, mais il va falloir attendre un peu pour le savoir. Bonne lecture à tous.

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La cuisinière tenait toujours son arme en direction du Doc, mais il semblait qu'elle se soit un peu calmée. Elle s'agenouilla et pointa son couteau juste devant les yeux du pauvre homme.  

- C'est bien vrai ce que vous dites Doc.  

- Oui, comment pourrais je vous mentir.  

- En êtes vous sûr ?  

- Je vous promet que c'est la vérité.  

- Donc pour vous, je suis le rayon de soleil de cette maison. Et je ne suis ni un monstre, ni vieille, ni acariâtre, c'est bien ce que vous avez dit, mon cher Doc.  

Doc qui sentait sa dernière heure arriver, ne put que confirmer les dires de Mme Satshikora.  

- C'est exact, chère madame, c'est bien ce que je vous ai dit.  

Elle se leva, recula et se mit face à Doc, le menaçant toujours avec son arme.  

- Bon, je veux bien vous croire pour cette fois. mais si j'apprends que vous m'avez menti !!!  

Doc n'eut pas le temps de réagir, que la lame du couteau se retrouva plantée dans le plancher à seulement quelques centimètres de ses attributs. Et la cuisinière comme si de rien était retourna à ses fourneaux.  

Cette femme était folle à liée, elle avait faillit le toucher et le blesser. Et voilà qu'elle ne faisait plus attention à lui. Alors avant qu'elle ne décide de l'amputer d'une partie de lui à laquelle il tenait particulièrement, il préféra prendre la fuite.  

- Doc.  

Zut, elle ne l'avait pas oublié.  

- Oui, Mme Satshikora.  

- Vous me donnerez des nouvelles de M. Angel  

- Oui, bien sûr.  

- Merci Doc.  

Non décidément il ne comprenait plus cette femme. Et il rejoint, Ryo , Miki et Kaori toujours au chevet de Mick.  

- Alors comment va notre blessé ?  

- Tiens tu as réussit à te séparer de ton amoureuse. On a cru qu'il aurait fallut t'attendre un peu plus longtemps. dit Mick  

- Mais qu'est ce que tu leur a raconté Ryo ?  

- Mais uniquement la vérité mon cher Doc. Que toi et Mme Satshikora ne pouviez plus vous quitter. D'ailleurs, si je ne vous avais pas dérangés qui sait ce qui se serait passé. Mais tu as raison Doc, Mme Satshikora est une très belle femme.  

- Ryo je vais te tuer !  

- Me tuer, mais j'espère que tu n'as pas oublié que tu es un docteur, tu dois soigner les gens et non pas les tuer.  

- Pour toi je vais faire une exception. Non, je sais pourquoi tu dis ça. Tu es jaloux !  

- Moi jaloux mais de qui.  

- Tu es jaloux car Mme Satshikora n'a pas voulu de toi.  

Kaori voulu savoir de quoi Doc parlait, car la cuisinière n'était pas vraiment le style de femme que Ryo affectionnait.  

- De quoi parle tu Doc, tu dis que Ryo a voulu draguer Mme Satshikora ?  

- Oui et il lui a même rendu visite dans son lit.  

Ryo aurait préféré oublier cet événement. Kaori savait que Ryo avait rendu une petite visite à Miki une nuit car elle était dans la chambre de cette dernière quand cela c'était produit, tout ça grâce à la cuisinière qui l'avait prévenue des intentions de Ryo. Mais elle ne lui avait pas dit comment elle savait qu'il rendait visite aux femmes la nuit. Mais avec les explications de Doc, elle comprit comment elle avait su. Énervée par ce qui se passait, Kaori envoya à Ryo une massue, dont il se dégagea bien vite et il se dirigea d'un air menaçant vers Doc.  

- Tu vas me le payer !!!  

- Ryo, tu n'as aucun sens de l'humour. Comtesse au secours !!!  

- Mais c'est quoi tout ce vacarme ici, il y a un homme mourant dans cette pièce et vous n'arrêtez pas de vous chamailler. Il faut du silence alors taisez vous.  

Tous les regards se tournèrent vers la personne qui venait de s'exprimer. Elle était subitement devenue toute rouge à l'idée d'être devenue le centre d'attention de toutes les personnes présentes dans la pièce, car son intervention avait fait cesser la conversation et tout le monde, regardait dans sa direction. Ce fut Mick qui la sortit de son embarras.  

- Mais mademoiselle il n'y a aucune personne mourante ici.  

La jeune femme vit que l'homme dans le lit avait repris connaissance et qu'il ne semblait plus à l'article de la mort. Elle se précipita auprès de Mick et s'agenouillant auprès de lui, lui prit la main, tout en pleurant doucement.  

- Oh, si vous saviez comme je suis heureuse que vous aillez survécu à vos blessures. C'est un miracle que vous soyez vivant.  

- Moi aussi je suis content d'être en vie. Mais dites moi comment vous appelez vous charmante demoiselle.  

- Kazue, M. Angel.  

- Chère Kazue, laissez moi vous récompenser pour avoir si gentiment veillé sur mon ami.  

C'était Ryo, qui c'était approché de la jeune demoiselle.  

- Ryo !  

- Non Kaori, pas la...  

BANG, une petite massue de 1 000 tonnes, et Ryo se retrouva au sol.  

Ce qui eut pour conséquence de faire rire Mick. Chose qu'il n'aurait pas du faire, car il grimaça de douleur, tout en serrant fortement la main de Kazue qui ne pu retenir un cri de douleur. Mick qui comprit très vite la raison de ce cri, desserra sa poigne et tint délicatement la main de la jeune demoiselle dans la sienne. Il la porta à ses lèvres et y déposa délicatement un baiser, comme pour effacer la douleur. La sensation de ces lèvres sur le dos de sa main, fit rougir Kazue. Il faut dire qu'elle n'avait pas l'habitude de telles attentions de la part d'un homme. Il n'y avait plus aucun bruit dans la pièce, ce fut Doc qui rompit le silence  

- Bon maintenant si vous me laissiez examiner mon patient.  

Et ils quittèrent la pièce laissant Mick seul avec Doc.  

Une semaine que Mick avait été touché, et il récupérait peu à peu. Il faut dire que son infirmière était aux petits soins avec lui. Kazue ne le quittait plus et ça ne semblait pas déplaire au beau blond.  

Ce matin comme chaque matin, la belle infirmière particulière de Mick vint lui rendre visite.  

- Comment va notre grand blessé aujourd'hui.  

- Bien.  

- Il faut que je change votre pansement.  

Mick resta étonnamment sage durant l'opération.  

- La blessure à l'air de bien cicatriser. Encore quelques jours et vous allez pouvoir vous lever.  

- Enfin, je vais pouvoir aller voir toutes les belles filles du château.  

- Il va falloir patienter un peu, les coups de massues ce n'est pas trop bon dans votre état.  

- Et qui pourrait bien me donner des coups de massues.  

- Et bien Kaori, Miki ou moi dit Kazue finissant sa phrase dans un murmure.  

Mais Mick l'avait bien entendue. Et il ne put s'empêcher de lui demander.  

- Vous, douce Kazue, vous voulez m'assommer ? Seriez vous jalouse de toutes ces femmes.  

La figure de Kazue prit une jolie teinte pivoine.  

- Non, pas du tout.  

Ils furent interrompus par Ryo qui venait d'entrer. l'état de Mick s'étant amélioré, la veille, Ryo aidé de Mme Satshikora l'avait porté jusqu'à sa chambre et Kaori avait retrouvé la sienne. Le spectacle qu'il vit, l'amusa fortement. on dirait que décidément il y avait de l'amour dans l'air au château. Et il se précipita sur Kazue.  

- Belle infirmière de mon coeur, il faut que vous soignez le pauvre Ryo-chou.  

Il pensait recevoir, une massue, mais à la place de ça, il sentit un poignard le frôler.  

- Mais tu n'es pas un peu fou, tu aurais pu me tuer avec tes conneries.  

- Ne touche pas à Kazue.  

C'est bien ce qu'il pensait son ami avait des sentiments pour Kazue et réciproquement. Dommage c'était un beau brin de fille, il aurait bien voulu avoir les faveurs d'une si belle demoiselle. Mais en même temps il fut heureux de voir que son ami avait posé son dévolu sur une autre femme que Kaori. Il ne savait pas pourquoi, mais voir son ami attiré par Kazue lui avait comme ôté un poids du coeur.  

Kazue, elle ne voulait pas causer de disputes entre les deux amis, alors leur signalant qu'elle avait encore beaucoup de travail, elle quitta la pièce laissant les deux amis ensemble.  

- Tu aurais pu, plus mal choisir, cette demoiselle est tout à fait charmante.  

- Mais qu'est ce que tu raconte Ryo, tu sais bien que on coeur ne bat que pour Kaori. Comment pourrait il en être autrement. N'oublie pas que j'ai passé plusieurs nuits dans son lit.  

- Oui, mais tu oublies un détail, elle n'y était pas dans son lit !  

- Serais tu jaloux de moi Ryo.  

- Moi, jaloux de toi. Et pourquoi, pour avoir dormi dans le même lit qu'un autre homme, je ne vois pas pourquoi je serais jaloux. Comment as tu pu t'amouracher d'une telle terreur, rien que d'y penser, j'en ai des frissons dans le dos.  

- Tu n'aurais pas du dire ça Ryo !  

- Et pourquoi donc vu que c'est la vérité. Il n'y a pas une seule once de féminité chez Kaori, tu le sais bien. Elle n'est qu'un monstre sans aucune douceur.  

- Je t'avais prévenu Ryo !  

C'est à ce moment que Ryo sentit une aura meurtrière derrière son dos. Il se retourna et vit Kaori, une énorme massue dans les mains, son regard remplit de flammes ne disait rien qui vaille.  

- Aucune féminité ! Tu veux de la douceur, et bien tiens Ryo, tâte un peu de la douceur de ma massue.  

Et Ryo se retrouva encastré dans le sol. Et Kaori comme si de rien était, s'approcha du lit de Mick.  

- Alors tu as bien dormi  

- Comme un bébé. Dis moi Kaori, c'est moi tu es de plus en plus belle chaque jour.  

- Mick arrête, tu vas me faire rougir.  

- Trop tard, tu est déjà toute rouge, mais ça ne te rends que plus belle encore.  

Mais un homme n'était pas heureux de la tournure que prenait cette conversation. alors il ne put s'empêcher d'intervenir.  

- Mon pauvre Mick, tu est sûr que cette blessure n'a pas altéré ta vision. Kaori belle, je crois que tu ne vois pas bien clair, il va falloir prévenir Doc.  

Kaori n'en revenait pas, cet homme était vraiment insupportable.  

- Toi on ne t'a pas causé.  

Et sans même le regarder, elle lui lança une massue qui atteint sa cible. Ryo jugea qu'il était inutile d'insister et prit son mal en patience. Il ne pouvait quand même pas sauter sur son ami, il était encore en pleine convalescence.  

Après quelques minutes qui semblèrent une éternité à Ryo, Kaori prit congé de Mick, et Ryo la suivit. Elle se dirigea vers le jardin et vit que Ryo était toujours derrière elle.  

- Qu'est ce que tu fais Ryo.  

- Tu le vois bien, je te surveille.  

- Je n'ai pas besoin de toi.  

- Kaori après ce qui c'est passé, je ne peux pas te laisser seule.  

- Bien dans ce cas, tu peux rester. Mais reste sage.  

Ryo, bien sûr, ne put pas s'empêcher de faire le clown. Et après avoir dit que pour une fois qu'elle avait eu un homme dans son lit, elle aurait du en profiter. Il se prit une massue. Après avoir sortit du sol, Il la rattrapa et ils restèrent dans le jardin, où il resta sage, jugeant qu'il en avait assez fait pour aujourd'hui. Il discuta calmement avec Kaori. D'un commun accord, ils décidèrent de retourner au château, mais l'arrivée de Miki changea la donne.  

- Un messager du roi est là. Le roi ne va pas tarder à arriver.  

- Le roi ici !! s'exclama Ryo .  

- Ah, j'avais totalement oublié qu'il arrivait aujourd'hui. Vite, il faut que je me prépare, je ne peux pas rester comme cela pour l'accueillir. s'écria Kaori.  

- Et moi je ne peux pas rester ici. Si le roi me voit il va me tuer. dit Ryo  

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