Capitolo 32 :: Vive les mariés !

Pubblicato: 03-10-08 - Ultimo aggiornamento: 03-10-08

Commenti: Coucou !! Merci à Paty, Martinouchette, Kaori62, Nanou, Shan in XYZ, Kaori4ever, Lyly, Lauraw, Tennad, Ely, RKever, Hitomi007, Milkaly, Kelele, Zoe, Pocahontas, Indiana, Yuna, Cloclo et Saoria d'avoir laissé une review pour le chapitre précédent. Un petit coucou à mes lecteurs fantômes. Pour tous ceux qui se posent la question, la fin de cette fic est très proche, plus qu'un chapitre après celui ci. Mais vous ne resterez pas lontemps sans fic de ma part, tout d'abord, je vais bientôt poster le deuxième chapitre de « Pourquoi lui ? », ensuite une autre fic va bientôt faire son apparition. Et enfin, comme j'ai vu que vous aviez beaucoup aimé Chevalier Saeba, je vais faire une nouvelle fic « historique », mais il faudra attendre un peu pour que je la poste ( ben oui, il faut quand même que je l'écrive ). Comme vous avez pu le constater le personnage que je voulais tuer c'était le baron Kujo. Comment Ryo va t-il réagir au fait que Kaori soit enceinte, la réponse juste en dessous. Bonne lecture à tous.

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Le roi termina son récit et dit à Kaori.  

- Voilà tu sais tout, et le pire dans tout cela c'est que la haine que j'avais après Saeba, n'était même pas justifié  

- Pourquoi dis tu ça.  

- Saeko m'a tout dit hier à propos de Hide et d'elle.  

- Tu leur en veux ? Tu ne vas quand même pas tuer Saeko ?  

- Non, j'ai compris leur geste. Et puis Saeko est une bonne épouse, un jour peut être nous nous aimerons vraiment. On ne commande pas l'amour. Tu sais si je n'avais pas été roi et que que j'aurais pu choisir ma femme, je n'aurais pas hésité une seule seconde.  

- Pourquoi toi aussi tu aimes une femme ?  

- Oui j'aime une femme, mais je sais que son coeur bat pour un autre. Alors j'ai fait la seule chose que je pouvais faire pour la rendre heureuse, permettre son mariage avec l'homme qu'elle aime.  

Kaori compris soudainement que c'était d'elle qu'il parlait.  

- Toshio, je suis désolée. J'ignorais les sentiments que tu éprouvais pour moi.  

- Ne le soit pas Kaori, car je sais que même si notre mariage aurait été possible, tu ne m'aurais jamais aimé comme tu aimes Ryo. Ne me dis pas le contraire, dieu sait ce que j'aurais vu si j'étais entré dans ta chambre cinq minutes plus tard.  

Kaori se mit à rougir, si Toshio était entré plus tard, ils les auraient surpris en train de... Non c'était trop gênant.  

Le roi eu un petit sourire amusé quand il vit les joues de Kaori se teinter de rouge. Et il continua de parler.  

- Et je sais qu'avec lui tu seras heureuse Kaori, c'est tout ce qui m'importe, ton bonheur. Je n'ai toujours pas compris comment j'avais pu faire une chose aussi horrible que de te fiancer de force avec Takashi. Je pensais à tort que c'était un homme bon et que tu serais heureuse avec lui. J'espère que tu me pardonneras un jour de tout ce que je t'ai fait endurer.  

- Je te pardonne Toshio, après tout tu pensais faire ce qui était le mieux pour moi. Mais je me pose une question, tu savais que c'est Takashi qui avait tué Hide ?  

- Non je l'ignorais, cet homme était vraiment une vermine. Je vais te laisser, ton mari doit s'impatienter seul dans le couloir.  

- Une dernière chose Toshio, pourquoi avoir fait de Ryo le nouveau comte et pourquoi ne m'as tu pas dis que c'était avec lui que j'allais me marier.  

- Avec tout ce qu'il a fait pour toi et pour moi, il mérite son nouveau statut, et puis je n'allais pas te faire quitter le château. Et je pense que Hide aurait approuvé mon choix de choisir pour comte de Shinjuku un homme aussi loyal et droit que Saeba. Et pour ce qui est du mariage, je croyais que tu savais que c'était Ryo ton futur mari, vu que je t'avais dit que Takashi était mort. Mais comme d'habitude j'ai du mal m'exprimer. Je vais te laisser, tu dois encore un peu te reposer.  

Et il quitta la chambre, dans le couloir il vit Ryo appuyé contre un mur. Il s'approcha de lui.  

- Merci de nous avoir laissé seuls.  

- C'est tout à fait normal, votre altesse.  

- Je vous en prie appelez moi Toshio.  

- Bien Toshio.  

- Je vais rejoindre les invités car la fête continue. C'est un mariage que nous avons célébré aujourd'hui. Rejoignez nous dès que Kaori va mieux, et surtout attendez un peu pour la nuit de noces, vous avez toute la vie devant vous maintenant, alors ça ne serait pas très galant d'abandonner vos invités.  

Ryo rejoint Kaori dans la chambre, s'assit sur le lit et aperçu un objet incongru qui dépassait de l'un des oreillers.  

- Kaori tu peux m'expliquer ce qu'est cela, dit Ryo en lui montrant le poignard.  

- Je voulais tuer le comte après le mariage.  

- Et tu veux toujours me tuer ?  

- Idiot.  

Ryo se pencha sur sa jeune épouse, et lui captura ses lèvres pour un langoureux baiser. Ils furent interrompu par une personne qui frappa à la porte. C'était le prêtre qui venait de les marier. Ryo tenait Kaori dans ses bras, et les rougeurs sur les joues de la jeune mariée, firent dessiner un sourire sur les lèvres de l'homme d'église. Il leur dit d'un ton amusé.  

- Dites moi les enfants, ça va mieux !  

Ryo fut heureux, le prêtre arrivait à point nommé, il avait justement quelque chose à lui dire.  

- Mon père j'ai une faveur à vous demander.  

- Dites, mon fils.  

- Pourriez vous nous marier à nouveau ? Ma femme n'était pas très en forme lors de la cérémonie, et je veux qu'elle se souvienne de ce jour toute sa vie.  

- Bien mon fils. Cela ne me pose aucun problème.  

Et quelques heures plus tard, un homme et une femme se tenaient face à face et échangeaient leurs voeux d'amour et de fidélité.  

- Kaori Makimura, voulez vous prendre pour époux, Ryo Saeba comte de Shinjuku.  

Et c'est les yeux pleins de larmes, qu'elle lui répondit.  

- Oui je le veux.  

- Et vous, Ryo Saeba, comte de Shinjuku, voulez vous prendre pour épouse Kaori Makimura.  

Et d'une voix rauque par l'émotion qu'il répondit.  

- Oui, je le veux.  

- Bien maintenant monsieur le comte, il faut passer l'anneau au doigt de votre épouse.  

Et Ryo, les mains un peu tremblantes passa l'alliance au doigt de Kaori.  

- Je vous déclare mari et femme. Vous pouvez embrasser la mariée  

Ryo leva le voile et regarda Kaori. Et il fondit sur la bouche de Kaori, emprisonnant ses lèvres pour un baiser long et langoureux. Dans l'assemblée toutes les femmes versèrent une larme.  

Une fois la cérémonie terminée, ils se retrouvèrent tous dans la salle de bal, afin de célébrer l'évènement. Mais ce que n'avait pas remarqué Kaori lors des cérémonies c'est que la majorité des invités n'étaient pas des nobles, mais des soldats et quelques membres du personnel du château. Juste quelques nobles étaient présents, mais si peu nombreux qu'il aurait été facile de les compter.  

Un des premier à venir féliciter le jeune couple fut Mick. Il s'approcha d'eux se moquant ouvertement de Ryo.  

- Alors l'étalon de Shinjuku, tu t'es fait passé la corde au cou ! Maintenant que tu n'es plus sur le marché, j'ai le champ libre pour séduire toutes les jeunes filles du royaume. Je suis un homme libre, moi monsieur !  

- Mick je crois que tu as oublié quelque chose !  

- Et quoi donc ?  

Mais Ryo n'eut pas le temps de répondre à son ami. Mick se retrouva sous une massue. Ryo se pencha sur son ami et lui murmura.  

- Kazue.  

En effet la jeune femme se trouvait derrière Mick, visiblement énervé par les paroles de ce dernier.  

- Tu veux t'amuser Mick Angel, et bien amuse toi. Mais ne cherche plus à me revoir. Adieu !  

A cet instant, Mick comprit qu'il venait de faire une grosse bêtise, alors il se mit à courir après Kazue, en criant.  

- Ma chérie attend, c'est un malentendu, tu as mal compris. Kazue laisse moi t'expliquer...  

Ryo et Kaori regardèrent leur ami s'éloigner, ils ne purent s'empêcher de rire du comportement de leur ami. Il était vraiment amoureux de la jeune femme pour se comporter de cette manière. Et comme cet amour était réciproque, nul doute qu'ils finiraient par se réconcilier.  

Alors que Ryo et Kaori se calmaient, Reika s'approcha du couple.  

- Félicitations dit t-elle sans oser regarder Ryo et Kaori dans les yeux.  

Et elle s'éloigna aussitôt après avoir dit ces mots.  

- Princesse attendez.  

Reika fit demi tour, étonnée que Kaori l'appelle.  

- Oui, comtesse que voulez vous.  

- Je voulais vous demander de bien vouloir accepter mes excuses pour le comportement que j'ai eu à votre encontre quand vous m'avez rendu visite dans ma chambre. Jamais je n'aurais du m'adresser à vous en ces termes.  

- C'est à moi de vous demander pardon, pour le comportement que j'ai eu depuis mon arrivée au château. J'étais une véritable peste.  

Et les deux femmes se serrèrent dans les bras l'une de l'autre.  

- Princesse...  

- Appelez moi Reika, comtesse.  

- Dans ce cas, appelez moi Kaori. Amies ?  

- Amies.  

- Dans ce cas, Reika je crois que le Duc de Nakano à un petit faible pour vous, il ne vous quitte pas des yeux.  

- C'est vrai que c'est un beau parti mais il est un peu trop vieux pour moi. Le petit jeune à côté, me plaît beaucoup plus. Je pense qu'il ferais un parfait époux.  

Kaori regarda l'individu à qui Reika faisait allusion.  

- Le comte de Bunkyo, mais cet homme est un vrai séducteur, jamais vous ne réussirez à vous marier avec lui.  

- J'ai entendu dire que votre mari, n'était pas mieux avant de vous rencontrer, alors si vous y êtes arrivés pourquoi je ne réussirais pas. Je vous laisse, je vois que mon futur mari, me regarde.  

Reika partit laissant Kaori avec Ryo qui n'avait toujours pas parlé. Il s'approcha de sa femme, l'enlaça, et lui murmura à l'oreille.  

- Alors comme ça, ce comte de Bunkyo est un vrai séducteur, et toi tu n'as pas succombé à son charme.  

- C'était trop tard, j'étais déjà amoureuse d'un homme, un beau chevalier qui avait pris mon coeur quand il m'a donné son couteau.  

Et le moment que toutes les célibataires de la soirée attendaient, arriva. Le moment où Kaori jeta le bouquet de la marié. Kaori, le lança et il retomba dans les mains de ........la cuisinière. Miki et Kazue furent triste, elles auraient tant voulu avoir le bouquet pour convaincre leurs amis de les épouser. Kaori leur dit que ce n'était pas grave, qu'elles trouveraient bien une façon de les convaincre à se marier avec elles. Mme Satshikora était quand à elle, très contente, elle allait pouvoir demander à l'homme de son coeur de l'épouser.  

Le roi s'approcha des jeunes mariés.  

- Saeba, prenez soin de Kaori, si jamais j'apprend que vous l'avez fait souffrir je reviendrais sur ma parole. Compris.  

- Compris Toshio, ne vous en faites pas je prendrais bien soin de Kaori.  

- Bien, il ne reste plus qu'une chose à vous demander, c'est de faire un héritier au titre de Comte de Shinjuku, car je ne souhaite pas que cette sombre histoire ne se reproduise. Donc, je veux que vous ayez un fils, c'est un ordre Saeba !  

- Jamais je n'aurais autant de plaisir à exécuter un ordre Toshio.  

Un à un les invités quittèrent le château ou allèrent dans leurs chambres. Kaori et Ryo se retrouvèrent dans la leur. Ryo porta Kaori pour passer le seuil de la porte, puis il s'allongea sur le lit, se coucha à ses côtés, et l'enlaça. Tout en lui déposant des baisers dans le cou, il lui murmura.  

- Il faut obéir à son roi Kaori, nous allons faire cet héritier.  

Kaori le repoussa brusquement. Ryo fut surpris du comportement de la jeune femme.  

- Qu'est ce que tu as mon ange.  

- Si c'est pour un héritier que tu veux coucher avec moi ce n'est pas la peine.  

- Pourquoi dis tu ça ma chérie ?  

- Il est déjà en route.  

Ryo n'était pas sûr d'avoir compris, ce qu'elle venait de lui dire.  

- Je ne comprend pas Kaori, qu'est ce que tu essaye de me dire.  

- Je suis enceinte Ryo, ton enfant grandit en moi.  

Il toucha son ventre, qu'il se mit à caresser tendrement, tout en murmurant d'un ton rêveur.  

- Un petit Saeba.  

Kaori repoussa brusquement sa main en lui disant.  

- Tu vois, ton devoir envers ton roi est accompli.  

Et elle voulu sortir du lit, Ryo la plaqua contre lui.  

- Où compte tu aller  

- Dormir, vu que tu as ce que tu voulais, c'est inutile que je reste plus longtemps ici.  

Ryo ne pu s'empêcher de rire face au comportement de son épouse. Mais la réaction de son mari ne plu pas à Kaori.  

- Et ça te fait rire. Tu n'es qu'un...  

Mais elle n'eut pas le loisir de terminer sa phrase, car Ryo s'était emparé de sa bouche et lui donna un brûlant baiser. Quand leurs lèvres se séparent, Ryo regarda Kaori, une lueur de désir dans ses yeux, et lui dit d'un ton rauque.  

- Ma ravissante idiote. Franchement je ne pensais pas être aussi rapide à exécuter l'ordre de Toshio. Et maintenant que le sujet de l'héritier est réglé, je vais pouvoir me consacré à une seule chose : t'aimer. Car je t'aime Kaori. Mon ange tu es ma raison de vivre. Comment j'ai pu imaginer une seule seconde ne plus faire partie de ta vie. Ma chérie plus jamais je ne m'éloignerais de toi. Je n'ai jamais dis ces mots à personne avant, car jamais je n'ai jamais éprouvé pour aucune femme ce que je ressent pour toi. Je t'aime Kaori.  

Kaori fut surprise de cette déclaration d'amour et elle lui répondit ces simples mots.  

- Je t'aime Ryo.  

Ryo embrassa tendrement Kaori, mais leur baiser devint vite plus passionné. Et ils goûtèrent enfin à leur nuit de noces.  

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