Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Auteur: lady Gaby

Beta-reader(s): Lexine

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 19 chapitres

Publiée: 07-09-04

Mise à jour: 13-03-08

 

Commentaires: 61 reviews

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General

 

Résumé: Ryô et Kaori ont une fille et l'Union Toepe est de retour...

 

Disclaimer: Les personnages de "City Hunter au féminin" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: City Hunter au féminin

 

Chapitre 5 :: La discussion père et fille

Publiée: 19-09-04 - Mise à jour: 19-09-04

Commentaires: salut me revoilà! j'espère que vous allez aimer! En fait rassurez-moi vous aviez compris qu'Amy avait dix-huit ans, en tout cas pas dix ans! lol Pardon, j'arrète pas de me tromper ! Heureusement que Lexine m'a prévenu! bisous Reviews, reviews, reviews.....ptdr

 


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Chapitre 4 : La discussion père et fille :  

 

Amy quitta l’étreinte de sa mère, elle n’aimait pas pleurer en public, même devant celle qui lui avait donné la vie. Elle sécha ses larmes et lui sourit.  

 

Voilà que je pleure maintenant !   

 

Kaori lui rendit son sourire. en lui caressant la joue, elle lui dit d’une voix douce :  

 

Il n’y a pas de honte à pleurer, tu sais !  

Pour toi, peut-être ! Pas pour moi !  

Amy ! Fit Kaori surprise.  

 

Amy repoussa sa mère violemment, puis, se rassit dans son fauteuil.  

Kaori, elle, manqua de tomber. Mais ce n’était pas ça le pire. Le pire était les yeux qu’avait sa fille. Ils reflétaient une pointe de détresse, mais ils étaient si sombre et son ton si sec.  

Amy s’en voulait de faire du mal à sa mère et, comme pour s’excuser, elle ajouta sur le même ton :  

 

Je n’ai pas le droit de montrer mes sentiments, ni de me laisser gagner par mes émotions. c’est être faible !!!  

Ce n’est pas vrai ce que tu dis ! Etre humain c’est avoir des sentiments ! De qui tiens-tu de tel propos ? S’emporta Kaori.  

 

Amy ne répondit pas. Elle se contenta de recharger son arme et de tirer, de nouveau, sur la cible en ignorant, en beauté, le regard inquiet que lui portait sa mère.  

Kaori n’en revenait pas, sa fille semblait si froide tout à coup, comme si elle portait un masque, de peur de montrer ses sentiments.  

Pourquoi ? Elle pensa, d’abord, à l’éducation que Amy avait reçue : Ryo et elle lui avait donné une vie tout à fait normale, enfin presque ! Mais ils avaient pris soin de fêter anniversaires, Noël et toutes les fêtes traditionnelles de ce genre. Elle pensait qu’ils avaient apporté à leur fille ce que eux deux avaient toujours cherché : l’amour de leurs parents. Jamais, ils n’avaient interdit à leur fille d’éprouver des sentiments.  

Alors, pourquoi cet enfermement ? Elle avait des amis, des parents qui l’aimait,  

Alors, pourquoi ? Tant de questions se bousculèrent dans la tête de Kaori, qu’elle finit par penser que le problème venait d’elle.  

 

Kaori, au bord des larmes, quitta la salle de tir, non sans un regard vers sa fille.  

 

« Serait-il possible que j’ai manqué quelque chose dans ta vie ? Oh, Amy ! Ai-je été une si mauvaise mère pour toi ? » Se surprit-elle à penser.  

 

Ryo avait tout entendu derrière la porte. Il avait été attendri et, à la fois, déchiré par les propos de sa fille.  

 

« Je n’ai pas le droit de montrer mes sentiments, ni de me laisser gagner par mes émotions, c’est être faible ! »  

Il avait le sentiment d’avoir senti une détresse de petite fille dans sa voix.  

 

Il attendit que sa bien-aimée sorte, mais ce qu’il vit lui brisa le coeur : Kaori pleurait !  

Cette dernière semblait si vulnérable et impuissante.  

Les mots et le comportement de sa fille lui avaient poignardé le cœur. Elle, aussi, sentait que sa fille appelait au secours.  

Mais pourquoi ? Comment est-ce possible que Kaori ait cette impression ? Pourquoi sa fille lui semblait étrangère ?  

la moitié de CH se blottit dans les bras de celui-ci et le regarda avec des yeux suppliants et tristes :  

 

Qu’ai-je fait Ryo ?   

 

Ryo ne répondit pas. Il embrassa sa femme et essaya de la calmer. Ensuite, il lui demanda de le laisser seul avec Amy. Kaori acquiesça et s’en alla.  

Ryo pénétra dans la salle de tir et la même chose que sa fille.  

Amy avait ressenti toute la tristesse et la détresse de sa mère  

   

«  Tu n’y es pour rien, je te le jure ! » Se dit la jeune fille à elle-même.  

 

Ryo tira sur la cible. Quelques minutes plus tard, Ryo baissa son arme, tandis que sa fille continuait.  

Amy jeta un coup d’œil sur la cible de son père. Puis elle le regarda et lui sourit :  

 

Tu veux peut-être parler ?  

Oui, princesse, j’avoue que c’était au programme ! sourit Ryo  

Je devine parfaitement le pourquoi de ta présence ici, alors je vais te faciliter la tâche !  

 

Tout en parlant, CH junior avait rechargé son arme et s’était remise à tirer.  

Ce fut sur un ton calme qu’elle poursuivit :  

Tu veux peut-être savoir pourquoi je suis si habile dans ce milieu ?  

…  

Pour te répondre franchement, je n’en sais rien. Et non, personne que tu connais ne m’a entraîné au tir. D’ailleurs, je ne sais pas d’où cela me vient ! Et non, je n’ai jamais tué ! Es-tu rassuré maintenant ?  

 

Amy arrêta de tirer et regarda son père dans les yeux. Ryo ne savait quoi penser. sa fille lui paraissait être une étrangère tout à coup. Il savait, pour l’avoir vécu, le pourquoi de ce masque, mais il savait aussi que les circonstances étaient différentes. Lui, avait connu la guerre. Sa fille n’avait jamais rien connu de telle, du moins pas à sa connaissance. Ce fut dans un soupir qu’il lui répondit :  

 

Oui, je suis rassuré.  

Et…je m’excuse pour ce que j’ai dit et fait à maman, je ne sais pas ce qui m’a pris.  

Ce n’est pas grave, ta mère n’est pas rancunière !  

 

Voyant que sa fille s’en voulait et qu’elle doutait de sa réponse, il lui fit son plus beau sourire pour réussir à la convaincre. Il sortit, ensuite, une montre de sa poche.  

Tiens !  

Une montre ? ? ? pourquoi faire ? J’en ai déjà une !  

Je sais, mais elle est un peu spéciale celle-là ! Regarde ! tu as un bouton pour nous appeler en cas d’urgence ! Cette montre est munie d’un radar afin qu’on puisse tous se retrouver ! Otto possède la même, donc en cas d’urgence tu peux nous contacter soit lui, soit moi ou soit ta mère, bien sur.  

Super ! Merci de me faire confiance !  

 

Amy se sentait mieux d’un coup. Ses parents lui faisaient confiance. Elle avait eu tellement peur de les décevoir qu’elle avait appréhendé le face à face, surtout avec son père.  

Ryo, lui, sauta sur l’occasion pour la taquiner un peu :  

 

Mais attention, c’est seulement en cas d’urgence ! C’est pas pour flirter avec le fils de Falcon, d'accord ?  

Tu me prends pour qui ?  

 

Elle vira, aussitôt, au rouge écrevisse, puis assomma son père d’une mini massue de 100t et quitta la pièce :  

 

Non mais, vraiment !  Cria la jeune fille, encore toute rouge, dans le couloir.  

 

Ryo, quant à lui, explosa de rire.  

 

«  Elle est tellement déstabilisée par mes propos qu’elle ne m’envoie qu’une petite massue. Avec elle, une petite c’est du jamais vu, sauf quand je lui parle d’Otto ! elle est bien comme sa mère »  

 

Tout en circulant, Amy, toujours aussi rouge, repensa à ce que son père venait de dire. Elle ne se rendit même pas compte qu’elle pensait à voix haute.  

 

«  Moi amoureuse d’Otto ? N’importe quoi ! Papa déraille ma parole, ça doit être l’âge ! Cet Otto n’est qu’un gars énervant et… et…puis pourquoi je pense à ça, moi ? ? ? »  

 

Dans ses pensées, Amy se surpris à embrasser Otto. Elle imaginait un baiser tendre et passionné. Plus elle y pensait, plus ses rougeurs aux joues redoublèrent et elle se mit à sourire timidement.  

Brusquement, elle tourna la tête de gauche à droite.  

 

« Qu’est-ce qui te prends, ma fille ? Tu es complètement givrée ! » Se dit-elle.  

 

La sonnerie retentit, ce qui la fit sursauter mais elle continua de penser à voix haute, en allant ouvrir la porte d’entrée.  

 

«  Otto n’est qu’un goujat qui s’amuse à m’énerver et ce type est…est… terriblement attirant » Acheva t-elle en un souffle, en découvrant un jeune homme musclé, mince, brun aux yeux bleu-foncés élégamment vêtu devant la porte.  

 

 

 


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