Chapitre 7 :: La menace pèse...

Publiée: 23-09-04 - Mise à jour: 23-09-04

Commentaires: brrr ce chap me fout les jetons! lol Sérieusement, je sais pas mais moi quand je lis, je flippe d'horreur! Enfin... Boonne lecture et des reviews hein?! lol

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Chapitre 6 : La menace pèse…  

Au même moment, quelque part au Japon :  

Un homme accourait dans le bureau de son chef :  

« Qu’y a-t-il ? Pourquoi cours-tu ?  

- Chef… articula l’homme essoufflé Chef, c’est affreux !  

- Quoi donc ? Mais enfin que se passe t-il ?  

- Nous avons été démasqué !  

- Quoi ! encore ?  

- Hier soir, la police a découvert notre planque. Tous mes hommes ont été arrêté, mais j’ai réussi à leur échapper ! Il faut dire qu’ils font vraiment mal leur boulot ces poulets et le lieutenant Nogami avec, même si c’est un beau morceau ! Finit l’homme avec un sourire pervers.  

- En effet… Comment cela est-ce possible ? On a pourtant été discret durant ces quinze dernières années ! Heureusement, la phase finale est toujours secrète !  

- Mais monsieur, pour combien de temps ? Si tous les jours, la police est informée de nos opérations, il y a de forte chance que la phase finale soit dévoilée et donc détruite !  

- Mmh… Dis-moi où est mon fils ?  

- Je n’en sais rien monsieur !  

- COMMENT CA TU N’EN SAIS RIEN ??? TU ES SENSE CONNAITRE LE MOINDRE DE CES FAITS ET GESTES !!!  

- Je suis désolée monsieur, mais… il nous a semé une nouvelle fois !  

- Ha ! Au moins un qui ne se fait pas repérer, il est digne d’être mon successeur !  

- Monsieur… plusieurs dossiers semblent avoir été copiés, j’en suis sur, sinon comment expliquez-vous la police qui débarque ? Et si votre fils était le responsable de nos fiascos ? Je suis sur que c’est un traître !!!  

Le fils en question ne tarda pas à revenir, les deux cessèrent leur discussion, l’un des deux quitta la pièce, non sans un regard de haine pour l’arrivant. L’homme légèrement enrobé s’approcha de ce dernier :  

« Ha, mon fils, ma chair et mon sang te voilà, enfin ? Alors la chasse a été bonne ?  

- Très bonne, père ! répondit le jeune homme s’installant dans le fauteuil tout en s’allumant une cigarette et posant ses pieds sur le bureau. Ce qui déplut à son père.  

- Bien ! Et qu’as-tu découvert, fils ? Lui demanda son père en s’asseyant en face de lui, les bras croisés.  

Le jeune homme descendit les pieds du bureau et s’approcha du visage de son père :  

« Rien qui ne te concerne, père !  

L’homme serra les poings et bouillonna intérieurement : « Je découvrirai ton secret ! Et ce jour-là, c’est moi qui rirai !!! »  

« Très bien comment tu voudras ! »  

L’homme se leva, se servit un verre de scotch et s’alluma un cigar. Le dos tourné, il s’adressa à son fils :  

« En fait, Jordan ? Tu n’aurais pas l’intention de trahir notre organisation ?  

- Je ne fais pas partie de tes manigances !!! J’EN AI RIEN A FOUTRE DE L’UNION TOPE, MOI !!! et ça TU LE SAIS !!!  

- N’oublie jamais, rien ne m’échappe ! Tu es mon prisonnier et je fais de toi tout ce que je veux ! Tu dois prendre le destin que je t’ai tracé ! Mais si tu le ne veux pas, je peux toujours te montrer les corps inertes que tu m’as offert que je cache dans ma collection !  

Jordan sentit la colère le gagner, ainsi que les larmes qu’il avait ravalées pendant toutes ces années. « J’ai les mains tachées de sang à cause de ce monstre et sa drogue ! Il a fait de moi un meurtrier et il croit que je suis fier !!! » Il se leva d’un bond :  

- TU N’ES QU’UNE ORDUR !!!  

- Je sais ! Mais mon sang et celui de l’Union Tope coule dans tes veines. Ne faisons qu’un mon enfant, n’est-ce pas merveilleux ?  

Les deux hommes étaient face à face. Le père voulait embrasser son fils, mais Jordan le repoussa violement. L’homme se mit à lui sourire, mais son sourire se transforma en fureur noire lorsque Jordan lui cracha sans scrupule à la figure. L’homme épongea son visage et frappa son fils. Jordan se releva en essuyant avec sa manche sa lèvre inférieure. Curieusement, il sourit et rajouta :  

« Pauvre fou, méfie-toi de l’eau qui dort! »  

Jordan quitta le bureau et rejoignit sa chambre. Il soupira, même son lieu où il était tranquille, il le détestait. Et pour cause, micro, caméra étaient activées. Il ne pouvait rien contre ça, sinon on dirait qu’il a des choses à cacher. Il s’allongea sur son lit et contempla le plafond :  

« ALLEZ –VOUS FAIRE VOIR !!! » cria t-il.  

Puis ses pensés se tournèrent vers City Hunter ou plutôt Amy. Il vit son visage, ses yeux d’un bleu sombre, son sourire et ses lèvres qu’il venait une de plus de goûter. Il les réclamait encore, il voulait la toucher, la posséder, mais bien sur son objectif premier était de la protéger :  

« Oh Amy ! Je fais de mon mieux pour te protéger crois-moi ! C’est bien ma veine ça cette fille va me rendre fou ! » Il sourit en pensant. « Moi, fils esclave et faisant partie des meilleures tueurs de l’Union Tope, je suis amoureux de la fille de l’ennemi n°1 de la pègre, le dénommé City Hunter ! » Il pouffa de rire.  

Pendant dans le bureau :  

« Très bien, Jordan ! Tu ne sais ce que je te réserve ! Tu vas regretter de m’avoir désobéi et manqué de respect à moi ainsi qu'à l'Union Tope! »  

L’homme versa du vin rouge sur la photo de son fils et la découpa en morceaux ;  

Puis l’homme se mit rire. Son rire donnait la chair de poule.  

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