Chapitre 9 :: Oops!

Publiée: 07-10-04 - Mise à jour: 07-10-04

Commentaires: bonne lecture! Merci my slurping girl (oui, oui c toi clo!) Merci Lexine et merci à vous de me suivre

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Kaori lui retourna son sourire et s'approcha de lui sensuellement.  

Quand elle fut près de lui, Ryo referma ses bras, autour de sa bien- aimée, avec amour et gentillesse.  

Ils se regardèrent et dans un commun accord leurs lèvres trouvèrent le chemin l'une de l’autre, chemin qu'elles connaissaient par cœur, sans que leurs propriétaires n’est à leur montrer.  

Ils s'embrassèrent doucement, avec délicatesse, savourant avec gourmandise la bouche de l'autre.  

Leur baiser se fit de plus en plus intense à chaque seconde qui s’écoulait. Leurs mains étaient, elles aussi, de la fête. Elles avaient débuté le jeu des caresses et goûtaient au corps de l'être aimé.  

Les mains de Ryo trouvèrent leur chemin sous la blouse de la belle, et dégrafèrent le gênant bout de tissus qui empêchait Ryo de sentir le grain de la peau de sa femme.  

Celle-ci gémit sous l'audace de son homme (Bon elle est habituée mais avec Ryo s'est toujours un plaisir nouveau ! Non ? ^_~).  

Elle accentua la pression de ses doigts dans la crinière de son étalon quant elle sentit les mains de celui-ci lui caresser les seins avec expertise. Elle haletait.  

Kaori souleva les bras vers le haut. Geste simple qui demandait, dans le silence, d'être débarrassé du bout de tissu qui empêchait son homme de lui donner plus de plaisir.  

Ce dernier compris le geste et avec une facilite déconcertante le lui enlever. Le haut et le soutien-gorge de celle-ci tombèrent sur le sol. Kaori laissa ses bras retomber sur les épaules de son mari et les renferma autour de son cou dans une caresse.  

Elle fit descendre ses mains vers les pans de la chemise de Ryo et commença à en déboutonner un à un les boutons.  

Une fois cette besogne finie, elle fit glisser la chemise tout en caressant les bras puissants de son homme.  

Chose faite, elle releva la tête et le regarda. Il put voir un désir immense dans les prunelles de sa partenaire.  

Elle s’humidifia les lèvres dans un geste sensuel qui fit perdre la tête à notre étalon.  

Celui-ci l'attira avec fermeté contre lui et fit que leurs corps se pressent étroitement l'un contre l'autre et, dans un seul mouvement, l'embrassa avec passion.  

Ryo fit descendre ses mains vers les fesses de Kaori, qu'il caressa et continua sa descente vers les cuisses de celle-ci, qu’il caressa avec insistance. Il passa ses mains en dessous des cuisses de sa femme et la souleva avec douceur. Kaori s'accrocha à son homme et passa ses jambes au tour de la taille de son époux, accentuant ainsi la pression exercée par le bassin de celle-ci.  

Et ainsi serrés l'un contre l'autre et sans arrêter leur baiser, ils partirent dans leur chambre.  

Arrivés devant leur porte, Ryo plaqua Kaori contre cette dernière. Kaori chercha la poignée de celle-ci et, une fois trouvée, la jeune femme ouvrit la porte et ils entrèrent en trombe, sans pour autant chercher à respirer dans la pièce. Ryo ferma la porte d'un coup de pied, sans même prendre la peine d’éclairer la pièce.  

Il allongea son précieux fardeau, sa dulcinée, sur le tapis. Ils commencèrent à se débarrasser du reste de leurs vêtements.  

Alors qu'ils s’apprêtaient à faire corps, de la lumière pénétra dans la pièce, et un cri retentit :  

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  

Ryo et Kaori n'eurent pas le temps de s'interroger qu'ils se retrouvèrent assommés par une gigantesque massue.  

La porte claqua, les laissant pantois.  

Par la même occasion, une libellule passa dans la pièce.  

Ryo ainsi que sa femme se regardèrent étonnés :  

- Tiens, tu t'es faite assommer par ta propre invention ?  

- Je crois bien ! Aïe ! Ouïe ! Oulala !  

Ryo pouffa de rire.  

- Ah ! Enfin, tu sais ce que je ressens qu'en tu m'envoies une massue ! Pleurnicha Ryo  

- Détrompe-toi, je ne vais pas te faire de traitement de faveur pour autant !  

- Vivement que je gagne mon pari, moi ! Soupira-t-il.  

- Pourquoi moi ? J'ai rien fait ? Gémit Kaori.  

- Pourquoi nous ? Rectifia Ryo.  

C'est alors qu'il virent l'inscription sur la massue : « Il existe des chambres et des verrous !! »  

Les deux partenaires regardèrent autour d'eux, leurs yeux tentèrent de distinguer les objets :  

« Dis, Kaori où il est notre lit ?  

- J’en sais rien, je vois rien dans le noir !  

- Maintenant que j’y pense, est-ce qu’on a monté les marches de l'escalier pour regagner notre petit nid ?  

- Hé ben… heu… Mais j’en sais rien moi, j’étais en plein dans l’action, je me donnais à fond, j’ai pas fait attention à ce détail !  

Ryo tomba à la renverse.  

- Alors on est où ?  

- Le seul moyen de savoir est d’allumer la lumière !  

- Très bien observé, mon chéri !  

Tous les deux semblaient hésiter à y aller. Comme des enfants, leurs cœurs battaient fort, très fort.  

- Ben, vas-y ! Ajouta Kaori.  

Ryo entreprit d'aller allumer la lumière.  

Leurs yeux s'écarquillèrent au fur à mesure.  

Alors que Ryo semblait plus absorbé par le spectacle que lui offrait sa femme, Kaori, elle, se sentait tout à coup gênée :  

- Ryo, mon amour ?  

- Oui, mon cœur ?  

- On... on... s'est... trompé de pièce !  

- Hein?! Voyons Kaori l'étalon de Shinjuku en plein mokori ne se trompe jamais!  

Ryo se connecta brusquement à la réalité  

- On... on... est dans... dans LA SALLE DE BAIN D'AMY!!! S'écrièrent les deux amants.  

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