Chapter 2 :: Premier jour...

Published: 15-11-10 - Last update: 17-12-11

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Kaori rentra chez elle, elle décida de consulter le petit livret de son école et ensuite de préparer un déjeuner pour Hélène et elle. Hélène rentra  

Hélène était une jeune fille brune, les yeux marron foncé, elle avait vingt-quatre ans et était organisatrice de mariage, Kaori et elles étaient amie depuis petites et s’entendaient à merveille, elles étaient comme des sœurs ! Elle est fiancée, mais qui vie en Californie. Il s’appelle Jimmy.  

- Bonjour Hélène !  

- Bonjour Kaori ! Oh ! Ca sent bon dit moi, tu prépares quoi ?  

- Rien de bien compliqué, je prépare un pot au feu !  

- Mmh j’adore ça  

Hélène et Kaori se mirent à table et commencèrent à papoter !  

- Alors comment s’est passé ta rentrée ? Tu t’es fait des amis ?  

- Oui j’ai rencontré deux filles très gentilles, Miki et Reika  

- Je savais que tu te ferais vite des amis ! Et alors les garçons sont comment ?  

- Hélène (Kaori rougit), tu sais bien que je suis trop timide, mais c’est vrai qu’il y a un garçon mignon  

- Ah c’est qui ?  

- Je ne connais pas son nom, je viens d’arriver, il est dans ma classe  

- Ah oui !  

- Oui, ce n’est pas difficile ils ne sont que deux !  

- Oh alors tu vas te battre (elle rit)  

- Oh sa je ne crois pas !  

- Pourquoi ? Vous êtes combien dans votre classe ?  

- Nous sommes quinze mais ce n’est pas ça, c’est que toutes les filles de la classe et apparemment de l’université sont à fond sur un prof !  

- C’est Monsieur Saeba !  

- Oui comment tu le sais ?  

- Je te rappelle que j’ai été dans cette université et qu’il y deux ans, toutes les filles étaient à fond sur lui, c’est petites garces adorent jouer avec le feu !  

- Une fille prétend que sa meilleure amie a couché avec lui.  

- Et au faite ! Ton frère comment il a réagi ?  

Hélène changea brutalement de conversation.  

- Lui, il ma fait honte !! Il sait mis à crier mon nom et rajouter « petite sœur youhou »  

Hélène ria aux éclats !  

- Ne rigole pas ce n’est pas drôle, Hide devrait se mettre en tête que je n’ai plus dix ans !  

- Comprends-le ! Il t’a élevé tout seul, depuis que tu as six ans, tu es sa fille pour lui, alors, soit indulgente !  

- Mais tu aimerais toi ! Que l’on cri ton nom d’un ton gâteux et que tout le monde se moque de toi !  

Hélène ria de nouveau  

- Ah ah, j’avoue, ça ne le fais pas vraiment, mais il suffit que tu lui expliques que l’université c’est un peu ton monde à toi. Il comprendra tu sais !  

- Oui j’espère ! Je dois l’appeler ce soir, je lui expliquerai !  

- Bon et si on rangeait cet appartement !  

- Oui !  

Hélène et Kaori rangèrent les affaires de Kaori et aménagea sa chambre à son goût  

- Tu es sure que cela ne te dérange pas que je vienne vivre ici ?! Sa me gène quand même toi qui t’installes dans un an avec Jimmy.  

- Tu plaisantes ou quoi ! Jimmy ne viendra pas avant Septembre de l’année prochaine et tu finis des études en Mai, on a tout notre temps, ne t’en fais pas et puis Jimmy et Hide m’auraient tuée si je te laissais seule.  

- C’est sûr !  

- Et je n’allais pas te laisser encore une année en internat, seule à Tokyo quand même !  

Le soir arriva, les filles dînèrent, ensuite Kaori appela son frère. Elle revenue dans le salon.  

- Alors tu lui as dit !  

- Non je n’ai pas osé ! Il m’a dit tellement de chose gentil, je n’allais pas lui dire, pour le remercier, de me fiche la paix  

- Oui c’est sûr ! Au faite j’ai une cliente qui a appelé, elle veut que je vienne dans sa maison de campagne pour sa dernière semaine de préparation, je serai donc absente jusqu’à samedi et je reviendrais sûrement dimanche dans la soirée.  

- D’accord ! Tu es invité à son mariage ?  

- Oui ! C’est vrai que ça fais plus d’un an et demi que nous y travaillons  

- Bon ! En tout cas ne t’en fais pas, je me débrouillerai !  

- Oh ça, je te fais confiance ! Bon je dois me lever tôt demain, je vais me coucher  

Hélène fit un bisou sur la joue de Kaori et parti dans sa chambre  

- Te couche pas trop tard c’est ton premier jour demain !  

- Oui t’en fais pas bonne nuit  

AU MATIN  

Kaori se leva, elle prit sa douche, et prit un tout petit déjeuner, Hélène était déjà parti ! Elle voulu se préparer à déjeuner, elle ouvrit le frigo et vu un panier entouré d’un petit nœud rose, elle le prit et lut le mot.  

« Ma puce, voici ton déjeuner, je t’ai préparé quelque chose de consistante pour ta première journée de cours.  

Surtout ne te laisse pas faire ma Kaori et ne change pour rien au monde ta personnalité d’ange. Et profite un peu aussi et fais des bêtises mais pas trop non plus, sinon grand frère Hide va se fâcher !  

Je t’appelle ce soir, tu me diras comment ta première journée s’est passé  

Bisous ma petite sœur… Je t’aime…  

P S - Ton frère aussi ! »  

Kaori rigola et pleura un peu à ses mots, depuis petite Hélène et Hide étaient deux vrais parents pour elles, elle les aimait plus que tout. Après ceux-ci Kaori prit son sac, le déjeuner et parti à pied à son université.  

Quinze minutes plus tard elle arriva.  

- Bonjour les filles  

- Salut Kaori, tu vas bien ?  

- Oui très bien merci  

- C’est quoi notre premier cours ?  

- Quatre heures de littérature avec monsieur Angel  

- C’est un bon prof ?  

- Oui monsieur Angel est très gentil ! Il rend sa matière vraiment intéressante !  

- Tiens, voila ton frère !  

Hide était accompagné de Monsieur Saeba  

- Ah ! Bonjour Hide !  

- Ah hum bon…. Hum bonjour mademoiselle Makimura  

- Hein !  

- Mademoiselle Makimura ? Bah qu’est-ce qu’il lui arrive ?  

Ryô et Hide rentrèrent dans la salle des profs, tout le monde était là !  

- Bonjour vous deux ! (Dit joyeusement Saeko)  

- Qu’est-ce qui t’as pris d’appeler ta sœur par son nom de famille ?  

- Hein !  

Hide s’assit sur une chaise comme déprimé  

- Hier j’ai reçu un coup de téléphone d’Hélène  

- Hélène ! Hélène Turner ! (Fut surprise Saeko)  

- Oui et elle m’a passé un de ces savon !  

RETOUR AU SAVON  

Hélène rentra dans sa chambre, elle prit son téléphone et appela Hide.  

- Allo ?  

- HIDE !!!!! (Hélène cria) Il est temps que tu saches une fois pour toutes que Kaori n’a plus dix ans, il est hors de question que tu lui fasses encore honte comme ce matin  

- (Tout penaud) oh elle t’a raconté !  

- (Elle se calma) Oui elle m’a raconté !  

- Tu sais bien que je ne voulais pas qu’elle vienne dans cette université, elle n’est pas faite pour elle !  

- Kaori ne changera pas, crois moi, elle est forte non ? Elle sera se débrouiller comme moi à l’époque.  

- Peut-être mais tu n’es pas avec elle là-bas et moi je ne peux pas m’incruster tout le temps.  

- (Elle s’énerve) Ah ça c’est sûre et si jamais j’apprends que tu te hisses dans sa vie (A L’AUTRE BOUT DU FIL HIDE ETAIT AU MOINS A TRENTE CENTIMETRES DE SON TELEPHONE), et que tu te mêle de ses histoires de filles, je te retrouve, et t’accroches au pic de la Tour Eiffel de Tokyo  

- Crois-moi-elle en est bien capable (Dit Ryô qui lit son journal avec inquiétude)  

- Oui, oui, oui... D’accord, je, je ferai, ferai des efforts (Dit-il avec peur)  

- Bon, je m’absente une semaine et j’espère qu’à mon retour, tu n’auras pas fait de bêtise  

- Oui non mais dit donc qui est le plus vieux d’entre nous hein !! (En prenant le dessus)  

- La ferme ! Tu es le plus vieux mais c’est moi la plus mûre ! Toi tu es juste vieux jeu !!  

Hide se décomposa, des petits morceaux de lui étaient éparpillés dans l’appartement. Ryô pris le téléphone.  

- Je crois que tu l’as tué !  

Hélène raccrocha….  

- « Décidément elle m’en veut toujours !! »  

FIN DU SAVON  

Hide pleura : Je ne m’en suis jamais sorti avec ces deux-là !!!!!!! Quels caractères elles ont !  

La cloche sonna, tous les profs partis donner leur cours. Nous nous retrouvons dans la classe de Mick Angel.  

- Bonjour à tous !  

- Bonjour Monsieur !  

Mick fit l’appel, il ne manqua personne  

- Bien cette année est très importante pour vous, et très chargée surtout, mais ne vous en fait pas, je ferai tout pour qu’elle vous soit agréable.  

Nous allons voir cette année la littérature du dix huitième siècle, nous allons faire le tour de cette magnifique littérature.  

- Bien ouvraient vos livres page dix, Kaori voulez-vous bien nous lire le premier paragraphe s’il vous plaît ?  

- Oui.  

Kaori lut le premier paragraphe, il concernait l’époque des philosophes des lumières.  

- Bien merci. En effet le mot Lumières définit métaphoriquement le mouvement culturel et philosophique qui a dominé, particulièrement en France. Les penseurs de cette époque ont marqué le domaine du savoir et de l'art par leurs questions et leurs critiques fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté…  

Sayuri bailla et commença à bavarder.  

- Je vous ennuie peut-être mademoiselle !?  

- Les philosophes des lumières sont de simple charlatans, qui fond de la psychologie humaine  

- On peut dire que c’est ça dans un sens et cela vous ennuie ?  

- J’ai horreur qu’on me fasse la morale et puis je ne pense pas qu’il y a un moyen de vivre particulier, de telle ou telle façon, faut savoir profiter de la vie et de ses cadeaux ! (Dit-elle fièrement)  

- En tout cas votre résonnement est intelligent, c’est un peu ce qu’on va aborder durant ces cours, qu’elles sont véritablement les attentes et les sentiments que voulaient apporter les philosophes des lumières ?  

- Peut-être de la sagesse, (Répondu Kaori, tout le monde et surtout Sayuri la dévisagèrent, elle continua).  

- De la passion et de l’ordre aussi, pour ne pas que les personnes qui prennent le mauvais chemin, influence les autres dans leur choix. Et moi je crois au contraire, qu’il y a un certain chemin positif à suivre pour ne pas se perdre en chemin…  

- (Sayuri ronfla) Fatigant ! La vie est pleine de saveur autant la savourer ! Mais il y avait surement des philosophes ennuyeux pour écrire de telles choses ! (les copines de Sayuri ria bêtement à sa remarque)  

- Mademoiselle Sayuri ! Merci pour vos commentaires pertinents (Dit-il un peu d’espérer), je dois dire que vos deux opinions sont totalement différentes, la sagesse se définit et se ressent différemment pour chacun d’entre nous…  

Sayuri eut un air de satisfaction !  

A LA CANTINE  

- Cette Sayuri alors faut toujours quelle face son intéressante  

- Laisse tomber Miki, ce n’est pas grave, le prof avait l’air d’accord avec leurs deux opinions en plus !  

- Kasumi ne commence pas à la défendre !  

- Allez les filles relaxes ! Vous savez bien que les profs essayent de ne pas rentrer dans son jeu ! (Expliqua Reika)  

- Je sais bien mais moi elle m’insupporte !  

- Et toi, tu en penses quoi Kaori !  

- Pas grand-chose, je pense effectivement que nos opinions étaient justifiés tous les deux, seulement, elle me cherche, ça se voit et je ne vois vraiment pas pourquoi !  

- Je pense sav…  

- Non Miki…  

- Quoi ?  

- Rien c’est une histoire sans importance ! (Interrompu Reika)  

Kaori et ses amies sorties de la cantine, Kaori étant dans les nuages ne vit pas Monsieur Saeba et lui rentra dedans, elle fit tomber ses portes vues.  

- Oh pardon !  

- Ce n’est rien !  

Kaori l’aida à ramasser ses feuilles, Ryô ne dit rien, il était silencieux. Il ne remercia même pas Kaori de l’avoir aidé, il partit sans un mot, il l’ignorait totalement. Kaori trouva ce geste très grossier et elle le lui ferait remarquer plus tard.  

La journée était passée assez vite dans l’ensemble. Kaori rentra chez elle, fit ses devoirs, se doucha, mangea et à vingt heure trente, Hélène appela.  

- Allô  

- Bonsoir ma puce ! Alors cette première journée !  

- Bah plutôt bien ! Le cours de philosophie était très bien, malgré une interruption de Sayuri à ma remarque !  

- Ne fais pas attention ma puce ! Laisse la parler toute seule, tu verras ça va l’énerve  

- Et sinon, le reste bien ! J’ai eu cour d’anglais et de chimie avec Hide !  

- Ah et comment s’est il comporté ?  

- Bizarre ! Le matin quand il m’a vu, il m’a dit « Bonjour mademoiselle Makimura » !  

Hélène riait aux éclats  

- Mais en enfin ne rigole pas, je m’inquiète !  

- Excuse moi, et ensuite, pendant le cours ?  

- Bah là, il a fourché carrément mon prénom et mon nom, « alors qu’on a le même » et à chaque fois qu’il me regardait, il avait l’air effrayé  

Hélène recommença à rigoler.  

- Rho mais qu’est-ce que tu as à rigoler !  

- Rien… (Elle ria « je ne savais pas que, je pouvais faire aussi peur »)  

- Enfin bon, j’ai hâte que tu reviennes l’appartement est vide !  

- Tu me manques aussi ma puce !  

- Oh et merci pour ton déjeuner et ton mot  

- De rien, je tenais à te dire certaines choses, j’espère vraiment que ton année à l’université te sera inoubliable !  

- Tu es adorable, tu es une vraie sœur pour moi !  

- Arrête !  

- Ah oui et à midi, j’ai sans faire exprès bousculer Monsieur Saeba, tu aurais vu le regard de toutes les filles aux alentours, j’ai cru qu’elles allaient me sauter dessus et en plus ce crétin ne m’a même pas remercié de l’avoir aidé, il est grossier !  

- Tu sais Ryô est plutôt du genre renfermé et il est surtout très, très, mystérieux…  

- Oui peut-être, au faite tu appelles mon prof par son prénom… ?  

- Oui oh bah tu sais, je suis une veille élève ! (Hélène était gênée) et demain tu as quoi comme cour ?  

- Math, anglais et je finis par du sport, dalleur ça va être une galère, tu sais que je suis nul en sport…  

- Rho pas tous les sports…  

- Oui mais ce programme est en milieu d’année ! Rho ma sœur chérie, tu ne voudrais pas me faire un mot… S’il te plaît…  

- Mais non enfin, ça ne serait pas sérieux !  

- Tu le faisais bien toi, pour louper tes contrôles de math… (Dit-elle par ironie de son aire maligne)  

- Quoi… Comment… Qu’est-ce que tu dis ? Oh… Ca grisouille…  

- Mais enfin, non je t’entends, ne fais pas exprès de changer de conversation !  

- Ah bon a demain alors, bonne nuit…  

- Mais non Hélène, Hélène !  

Hélène raccrocha !  

- Rho la garce !  

Kaori sourit, elle reconnaissait bien là, la taquinerie d’Hélène, Kaori regarda un film jusqu’à vingt-deux heures et demi et partie se coucher.  

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