Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prose

 

Author: cityxyz

Beta-reader(s): RKever, Macema

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 18 chapters

Published: 27-10-10

Last update: 01-06-12

 

Comments: 45 reviews

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RomanceHumour

 

Summary: Une fiction dans un autre contexte que notre City Hunter, Ryô Saeba est un professeur dans une université où sa chère Kaori est son élève... Très vite un lien secret et étrange se lie entre eux... Êst-ce que leur statut professeur-élève, les empêcheront de faire évoluer et épanouir leurs sentiments ???

 

Disclaimer: Les personnages de "LES MEILLEURES ANNÉES" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Les meilleures années...

 

Chapter 9 :: En avant...

Published: 08-07-11 - Last update: 17-12-11

 


Chapter: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18


 

Malgré sa petite grippe, qui par ailleurs grâce aux médicaments était passée comme un coup de vent, le week-end passa assez vite, contrairement au lundi et au mardi qui depuis que Reika ne lui parlait plus et Miki qu’elle voyait en coup de vent, les journées devenaient longues.  

 

- Tu dois être contente aujourd’hui ton amie reviens !  

- Oui et d’ailleurs, j’y ai réfléchi et je pense pouvoir l’aider dans son problème d’argent…  

- Je crains le pire ! Dit Hélène avec ironie.  

- L’argent que je récolterai grâce à mes missions du vendredi après-midi, ne sera que pour elle et au diable ce voyage, il n’a pas d’importance…  

- Je n’y pensais plus à ton histoire de vendredi après-midi…  

- Tu es toujours d’accord ?  

- Oui bien sûr mais est-ce que ton amie sera d’accord pour que tu l’aides ?  

- En ce qui concerne Kasumi, elle sera obligée d’accepter…  

 

Kaori arriva à l’université et alla directement en classe où elle trouva sagement Kasumi, souriante comme jamais, plongée dans son livre de philosophie…  

 

- Bonjour Kasumi !  

- Coucou Kaori, alors tu vas mieux ?  

- Oui, oui ça va ne t’en fais pas…  

- Bon, tant mieux…  

- Ecoute Kasumi, j’ai bien réfléchi et j’ai trouvé une solution pour ton souci d’argent !  

- ?  

- Je vais te faire une confidence, les vendredis après-midi, je vais prétexter des rendez-vous au kiné, mais en réalité, je compte réaliser des actions pour les aides à la personne !  

- Je ne vois pas où tu veux en venir…  

- Au début, cet argent devait être pour le voyage mais, on s’en fiche, ce qui compte c’est que tu ne dépends plus de cette garce…  

- Non, Kaori, je ne peux pas accepter, c’est mon problème…  

- Pas de blabla, je suis ton amie maintenant et jeudi on s’est promis que l’on serait là l’une pour l’autre et c’est ce que je fais pour toi…  

- Mais…  

- Il n’y a pas de mais…  

- Bon, je n’ai pas le choix on dirait…  

- Non. Sourit Kaori.  

- C’est d’accord alors !  

- Génial ! Je suis très contente.  

 

Kasumi fut surprise de l’enthousiasme de Kaori, elle était contente de l’aider dans son problème, Kaori était la première véritable amie de Kasumi.  

 

- Tu ne vas pleurer quand même…  

- Non… Rougit-elle… C’est gentil tu sais mais, j’ai peur que cela ne suffit pas, je dois à ses parents encore cinq cent mille yens (ce qui équivaut à quatre mille trois cent euros environ).  

- C’est vrai que cela fait une importante somme mais, s’il en manque on se débrouillera.  

- Tu es toujours optimiste comme ça Kaori ?  

- Oui. C’est de famille.  

- Oui, j’ai vu, elle est rigolote ta grande sœur.  

- Oui, j’ai de la chance…  

 

Le cours commença. Monsieur Saeba entra.  

 

- Je vais vous faire une petite interro orale, concernant le cours de la semaine dernière, puis après je vous rendrez vos copies.  

- Ca commence bien la reprise… Soupira Sayuri…  

- Tu as eu deux jours de repos pour réviser, cela ne sera pas difficile pour toi normalement…  

- (Sayuri souffla) C’est quoi ton problème avec moi ?  

- Arrête Sayuri, je ne suis pas ton ennemi, je disais ça comme ça. Cela équivaut également pour Reika, Hinata ou même tiens Kasumi. Première question pour vous !  

- Oui, Monsieur…  

- Elle, elle a du passé son week-end à réfléchir de la manière dont elle allait annoncer à sa grand-mère qu’elle était renvoyée deux jours…  

- Non, vois-tu, je lui ai dit dès mon arrivé, moi j’ai mûri, ce qui n’est pas ton cas…  

- Pauvre fille !  

- Hey, hey, on se calme, ne commençait pas ! Kasumi, ma question : Qu’est-ce que le dualisme ?  

- Le dualisme est une vision de la relation matière-esprit fondée sur l'affirmation que les phénomènes mentaux possèdent des caractéristiques qui sortent du champ de la physique.  

- Bien ! Et quel philosophe l’a étudié ?  

- Le plus connu est Platon !  

- Très bien !  

- Hinata : Qui site « « Jeune homme, prends et lis. Si tu peux aller jusqu'à la fin de cet ouvrage, tu ne seras pas incapable d'en entendre un meilleur… » ? Et en quelle année ?  

- Hum, la citation est de Diderot et il l’a écrite en mille sept cent… Hum…  

- C’est mille sept cent cinquante-trois… Lui coupa Sayuri…  

- Hum… Oui… Hinata fut gênée  

- Ce n’est pas grave Hinata, les trous de mémoire arrivent, c’était bien Diderot et la date est exacte.  

- Il est gentil quand même monsieur Saeba… Chuchota Kasumi à Kaori…  

- Moi à mon avis ce n’est qu’une image…  

 

Kasumi fut surprise  

 

-D’ailleurs Sayuri question : Quelle idée défendait Rousseau ?  

- Le contractualisme.  

- En quoi cela consiste ?  

- C’est un courant moderne de philosophie politique qui pense que l'origine de la société et de l'État par lesquels ceux-ci acceptent une limitation de leur liberté en échange de lois garantissant la perpétuation du corps social.  

- Très bien !  

- Kaori : Qu’est-ce que le contrat social ?  

- Il présuppose un état de nature avec lequel il rompt l’état préexistant à toute société organisée. Cet état ne correspond pas à l'instauration des lois, mais à l'état théorique et hypothétique de l'humanité soustraite à toute loi.  

-Très bien, bon allez, je vous rends vos copies !  

 

Ryô distribua les copies :  

 

- Hinata, c’est bien tu t’améliores, tu as un peu plus que la moyenne. Dit-il en pour encourager Hinata.  

- Merci, monsieur. Dit-elle rougissante  

- C’est minable oui, avoir à peine la moyenne en troisième année de Littérature.  

- Sayuri, occupe-toi de tes notes. Lui répondit Ryô.  

- Moi, j’ai eu A, à mon contrôle…  

- Génial papa, va pouvoir t’acheter une âme avec ça ! Lui répondit Kasumi.  

- Je constate que ton niveau d’intelligence a encore plus baissé grâce à ta nouvelle fréquentation !  

- Sayuri ça suffit ! Cesse de toujours répondre !  

- Mais, oui c’est ça défend les !  

Sayuri se leva et quitta le cours. Ryô la rattrapa.  

 

- C’est quoi tout ce cirque encore !  

 

Sayuri coinça Ryô contre le mur et l’embrassa fougueusement. Ryô la rejeta après s’être remis de cette surprise.  

 

- Mais tu n’es pas bien !  

- Bah quoi, je te ferais remarquer, que mes baisers sont toujours aussi bons, tu ne trouves pas…  

- Arrête ! Ça ne m’amuse pas !  

- Pourquoi, c’est une autre que tu aimerais embrasser peut-être ? Par exemple, je ne sais pas moi, la vierge Kaori ?  

- La ferme ! Tu n’as vraiment aucun respect pour les autres !  

- Le respect c’est pour les faibles… Et puis tu n’as pas répondu à ma question mon chéri ?  

- Retourne en cours ! Grouille !  

- Bien, je prendrais ça pour un oui…  

 

Saeko, qui se trouvait dans le couloir, prenait cela pour un gros oui aussi, étant donnée tous les événements, concernant son ami. Cela l’inquiétait beaucoup, pourvu que Ryô ne fasse pas une nouvelle bêtise.  

 

Ryô et Sayuri retournèrent en classe.  

 

- Merci pour cette délicieuse gourmandise Monsieur…  

 

Les filles de la classe huèrent Sayuri. Ryô énervé, ne répondit même pas, sinon il ne répondrait plus de lui et puis, il ne voulait plus rentrer dans son jeu.  

 

- Hum Kaori…  

 

Kaori sursauta.  

 

- Oui ?  

- Très bon devoir, Miki aussi et Kasumi également. Reika, quelques points à revoir mais c’est bien. Quentin, concentre-toi sur les cours au lieu de courir à droite et à gauche…  

- Vous avez peur de la concurrence Monsieur. Dit-il, en tournant légèrement les yeux vers Kaori.  

- Non… Apprend que, « En compétition, on séduit par l'efficacité, pas par le charme ». De…  

- Luis Fernandez… Continua Kasumi.  

- Oui, bien…  

 

La classe hua encore, et comme toujours, les élèves adoraient ce genre de situation, cela les amusaient beaucoup.  

 

- Bon, trêve de bavardage… On commence le cours !  

 

Le cours était enfin fini. Les élèves avaient bien travaillé pour une fois, et Sayuri resta silencieuse grâce au baiser de Ryô et n’avait pas dit un mot des quatre heures, un exploit.  

 

Les élèves allèrent déjeuner. Kasumi et Kaori discutaient de leur plan.  

 

- Kaori, je pensais, toi tu as une excuse pour les vendredis mais, moi que vais-je bien pouvoir prétexter ?  

- Je n’avais pas pensé à ça !  

- Je cherche depuis tout à l’heure mais, je ne trouve pas…  

- …  

- …  

- Il faut te casser une jambe ou un bras pour que tu ailles au kiné aussi… Dit Kaori par ironie  

- NON MAIS CA NE VA PAS !  

- Ah, ah… T’en fais pas, je plaisantais…  

- Kasumi sourit. La meilleure solution, serait que je demande une autorisation au Directeur, pour pouvoir m’absenter le vendredi après-midi…  

- Tu crois qu’il accepterait ?  

- Je ne sais pas… Mais, je ne vois rien d’autre…  

- Oui, tu as raison mais, imagine qu’il refuse, on va faire quoi ? Si tu n’es pas là les vendredis après-midi, il va se douter que c’est pour une fausse raison.  

- Décidemment, tu penses à tout…  

- …  

- Rho, la, la… Je ne vois rien d’autre, je ne vois pas quelle excuse je pourrais donner ?  

- Tu es sûr de ton coup ?  

- Je ne vois pas ce qu’on peut faire d’autre Kaori ?  

- Oui, tu n’as pas tord…  

- Alors, on fait quoi ?  

 

Kaori tomba par terre.  

 

- Ah, ah, on en est toujours à la même question…  

- Ecoute le Directeur n’est pas si méchant que ça, il est strict car, il se doit de tenir un établissement, au-delà de ça, je suis sûr qu’il sera compréhensif…  

- Bien, dans ce cas, allons-y ! Dit Kaori pleine d’entrain.  

- Euh, maintenant… Dit Kasumi un peu moins sur d’elle.  

- Mais oui, il ne faut pas perdre de temps ! Allez viens…  

 

Kaori traina Kasumi par le bras et se dirigèrent avec motivation dans le bureau du Directeur. Arrivée devant sa porte, les deux amies firent un peu moins les fières.  

 

- Bon, et bien, après toi… Dit Kaori moins sûr tout d’un coup.  

- Non, je t’en pris, tu étais très impatiente de venir, alors, après toi…  

- Attend, c’est ton idée, c’est toi qui demande…  

- Tu ne manques pas de toupet… C’est toi qui m’a trainé jusqu’ici, alors assumes !!  

- Mais, quel est donc tout ce bouquant ?  

 

Le directeur ; homme très imposant par sa voix et sa carrure ; sorti de son bureau et fit peur aux filles qui reculèrent d’au moins trois mètres de la porte.  

 

- Mesdemoiselles, que faite vous ici ?  

- Hum… On souhaiterait… Vous… Parler… Mon… Monsieur… Bégaya Kasumi  

- Je suis déjà occupé…  

- Laissez rentrer Monsieur, cela ne me gêne pas…  

 

Les filles reconnaissaient la voix familière de ce prof qu’elles appréciaient beaucoup.  

 

- Monsieur Angel… Dit timidement Kaori.  

- Si cela ne vous dérange pas Mick, alors, rentrez Mesdemoiselles…  

- Merci…  

- Bien, asseyez-vous, je ne vais pas vous manger…  

- Oui… Kasumi et Kaori s’assirent.  

- Que puis-je pour vous ?  

- Voilà, hum, je voudrais avoir votre autorisation pour que, je m’absente les vendredis après-midi…  

- Et pourquoi cela ?  

- Pour des raisons personnelles…  

- Je vous rappelle que même si le vendredi après-midi n’est qu’une sorte de pause pour vous et qu’il n’engendre pas de cours important pour votre examen en fin d’année… Cette option est obligatoire…  

- Oui, je sais Monsieur mais, comme vous l’avez dit, cela ne concerne nullement les cours, donc je pourrais me permettre de ne pas y aller…  

- Mais, enfin, pourquoi, en quel honneur voulez-vous louper cette option-là ? Pour aller rejoindre votre amie Kaori, lors de ces heures de kiné… C’est non désolé…  

- Monsieur ! Kasumi se leva et versa quelques larmes de désespoir…  

- C’est vraiment important... L’honneur de ma famille est en jeu et le repos de ma grand-mère aussi… Je veux ce vendredi après-midi…  

- Le Samedi est fait pour ça mademoiselle… Pour vous occuper hors des cours…  

- Je sais mais, le samedi ne suffira pas… Il me faut une demi-journée de plus…  

- Ecoutez…  

- Si je peux me permettre… Mademoiselle Kasumi est une très bonne élève, douée, intelligente et très sérieuse… Je pense que le vendredi après-midi n’est pas un problème pour nous, si elle le manque, cependant, cela engendrera de ne pas aller au voyage scolaire avec vos camarades… Ce qui équivaut pour vous aussi Mademoiselle Kaori…  

- Oui, je sais… Répondit Kaori sûre d’elle.  

- J’en suis consciente également, même si je ne me fiche pas de ce voyage, ce que j’ai à faire est plus important que tout le reste…  

- Bon, vous avez l’aire ambitieuse et convaincue… Je vous autorise donc à quitter les cours le vendredi après-midi… Mais, vous prenez toutes vos responsabilités…  

- Oui, monsieur, merci, merci beaucoup…  

- Vous pouvez disposer…  

- Merci… Merci…  

- Oui, oui, c’est bon, filez… Je ne veux plus vous voir…  

 

Kaori et Kasumi sortirent du bureau du proviseur, vraiment ravies.  

 

- C’est super, on va pouvoir rembourser cette peste de Sayuri et après tu seras complètement débarrassée…  

- Oui…  

- Tu n’as pas l’air joyeuse ?  

- Si, si, cela me fait très plaisir…  

- Bon, c’est vrai ce n’est qu’une partie, maintenant, il faut qu’on se trouve du travail…  

- Oui… J’y pense ton idée sur les personnes âgées n’était pas si mauvaise…  

- Tu crois ?  

- Oui, c’est une bonne idée… Beaucoup, de personnes âgées n’ont pas les moyens de se payer une femme de ménage pour tous les jours, surtout quant elles n’ont besoin que d’un service… Ce n’est pas trop mal comme idée…  

- Tu trouves, ca me fais plaisir que tu penses ça… Car, je me disais que c’était le moyen le plus facile…  

- Oui…  

- Bon, alors, il ne manque plus que de mettre ça en route…  

- On pourrait se rejoindre au Café Cat’s Eyes… Tu connais ?  

- Un peu, c’est le café du fiancé à Miki…  

- Oui… Il est à vingt minutes à pied de la gare de Shinjuku. On peut s’y retrouver vers six heures ? Ca te va ?  

- D’accord… Oh, la, la, c’est bientôt l’heure, il faut que l’on aille en cours… Tu viens…  

- Je passe aux toilettes et je te rejoins…  

- Ca marche ! A tout de suite…  

 

Kasumi se dirigea aux toilettes. Son téléphone sonna et elle décrocha…  

 

- Vraiment tu exagères, tu aurais pu trouver autre chose que cette histoire, c’était quoi un message…  

- Mais, non, c’est le premier truc qui m’est venu à l’esprit c’est tout… Tu voulais que je dise quoi d’autre…  

- Bon, bref, ça va, on ne va pas s’étaler… C’est ok, pour tout à l’heure ?  

- Oui…  

- Nickel, j’ai hâte d’y être, à toute…  

- A plus…  

 

Kasumi se regarda dans la glace, elle pleura de honte :  

 

- Pardon…  

 

Ryô l’a vit sortir des toilettes en pleurs.  

 

- Tu mates les filles en sortant des toilettes toi maintenant… Dit Mick à son ami…  

- Elle est bizarre cette fille…  

- Elle prépare un sale coup si tu veux mon avis…  

- Ah bon ?  

- Viens, les murs ont des oreilles…  

 

La journée passa, Kaori rentra chez elle, elle fit ses quelques devoirs et dit à sa sœur, qu’elle s’absentait.  

 

- Je file Hélène !  

- Attend ?  

- Quoi ?  

- Tu vas où ?  

- Au café Cat’s Eyes, Kasumi veut qu’on se rejoigne là-bas, pour discuter de notre travail du vendredi après-midi…  

- Kaori, je ne voudrais pas te faire de peine mais, tu devrais te méfier de cette fille, elle a toujours été étrange…  

- Mais qu’est-ce que tu racontes…  

- Je te dis simplement de te méfier, c’est tout…  

- Kasumi était manipulée par Sayuri et elle l’est toujours, c’est pour ça qu’elle était méchante mais, maintenant, c’est à son tour de lui rendre la monnaie de sa pièce…  

- Kaori… Je sais que tu es quelqu’un de très gentille mais, des gens qui en profitent existent aussi…  

- Tu t’inquiète trop pour moi, t’en fais pas, ça ira… Aller, j’y vais sinon, je vais être en retard…  

- Comme tu veux…  

- A tout à l’heure…  

 

Kaori arriva au Cat’s Eyes.  

 

- Tiens, Kaori, bonjour… L’accueilli Miki  

- Salut… Tu vas bien ?  

- Oui, oui… Tu es venue faire quoi ici ?  

- J’attends Kasumi…  

- A ce propos Kaori… Tu sais…  

- Salut Kaori !  

- Ah coucou !  

- Tu as trouvé facilement ?  

- Oui, oui…  

- Bon, tu nous sers deux cafés s’il te plait !  

- Tout de suite…  

 

Miki apporta les cafés…  

 

- Ton fiancé n’est pas là ? Demanda Kaori, curieuse de le voir…  

- Non, il est parti faire des courses, il…  

- Kaori, tu ne vas jamais me croire… Mais, j’ai trouvé deux veilles dames à qui nous pourrions rendre services…  

 

Miki s’en alla, voyant qu’elle dérangeait Kasumi.  

 

- Ah oui !  

- Oui, elles étaient à mon arrêt de bus, elles discutaient du fait qu’elles ne trouvaient personnes le dimanche matin pour les aider au marché, alors, je leur ai parlé de ce qu’on faisait et je leur ai dit de passer ici !  

- C’est super… Sourit Kaori ravie de cette nouvelle…  

- Le hasard fait bien les choses on dirait… Marmonna Miki  

- Tiens, les voilà…  

- Bonjour Mesdames, par ici…  

- Ah, c’est la jeune demoiselle de tout à l’heure…  

 

 

Les deux veilles femmes s’assirent en face de Kaori et Kasumi.  

 

- Bonjour, Mesdames… Comme ma camarde vous la surement expliquée, nous effectuons des missions pour les personnes âgées… Enfin, je veux dire, pour les personnes en général aussi… Bref, que pouvons nous faire pour vous…  

- Eh bien… Commença l’une… Je voudrais que vous fassiez le ménage, et puis de l’aide pour le marché…  

- Très bien… Et pour vous ?  

- Moi, pff, je veux juste de la compagnie, depuis la mort de mon petit chien, tout me semble si morose…  

- Ah oui ? S’étonna Kaori…  

- Oui… Il me rappelait mon mari… Il l’aimait tant…  

- Ah oui ? S’empêcha de rire Kaori  

- Pourquoi vous riez ! Ce n’est pas drôle… Mon mari était tous ce que j’avais au monde… Il était beau, intelligent, nous nous sommes mariés sous les bombardements… Nos enfants sont nés après guerre… Mon mari est mort de la tristesse voyez vous…  

- Pourquoi… Kaori avait les larmes aux yeux…  

- Mon premier enfant à disparu, il s’est enfui, oui… Enfui, avec la femme qu’il aimait, mais que mon mari détestait…  

 

Kaori se mit à pleurer, cette histoire était triste, pauvre veille dame.  

 

- Madame, je suis désolée… Je sais ce que c’est que de perdre un être cher…  

 

Kasumi ne souriait plus d’un coup.  

 

- Mon amie ici présente aussi à perdu des être chers, nous ferons tout pour vous rendre le plus de service possible et pour vous soutenir…  

- Nous pouvons éclater de rire alors…  

- Oui… Quoi ?  

 

Soudain, des éclats de rire se firent entendre des deux grands-mères. Et le masque tomba…  

 

- Vous !  

 

 


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