Capitolo 2 :: Voici quel est le nom de la mort.

Pubblicato: 16-06-07 - Ultimo aggiornamento: 16-06-07

Commenti: Bonjour à tous ! Tout d'abord merci pour vos reviews alors dans l'ordre merci à My Melody (ca va tes plumes toi ^^ ?), RKever, Stella, Grifter, Nakite, Léïlou, Nanou, Kao des Îles et ma Reine Sand ^^. Voici donc le second chapitre avec la fin du 'testament', c'est volontairement flou j'ai repenser à la première fois ou j'ai écris un testament et je me suis dis, que ça devait être comme ça, surtout quand la fin est si proche T_T. Enfin je vous rassure en vous disant que dans cette fic la 'fin' est loin ^^ et bien que pour le moment ce soit triste, on aura de la joie et l'apparition d'un giga flashback devrait vous ravir mais on y est pas encore. Pour finir je dédie ce chapitre à ma Koregane (michi pour les corrections toit que z'y nem ^^), et aussi à mon cousin qui était pour moi un père et qui est mort brutalement il aura 3 ans demain. Bon week end et gros bisous !

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11

Mon histoire ou plutôt ma vie commence réellement à l’âge de 20 ans, enfin le soir de mes 20 ans.  

Ce jour-là j’ai perdu votre oncle, mon très cher frère Hideyuki Makimura.  

Il travaillait en tant que Nettoyeur avec son partenaire Ryô SAEBA.  

Voyez-vous Hide est mort pour avoir refusé un travail qu’il savait dangereux, stupide, malsain et criminel.  

Un cartel tentait de me l’enlever en l’achetant, mais ils n’avaient pas saisi qu’on n'achète pas l’âme de quelqu’un qui ne veut en aucun cas la vendre.  

Ils l’ont fait tuer.  

Ce soir-là j’avais prévu une fête avec Ryô et mon frère.  

J’avais appris à l’adolescence quelle direction avait pris mon frère qui avait été autrefois dans la police.  

Il disait parfois 'Agir dans l’ombre c’est agir à la seconde. Pas besoin de paperasseries ni de blabla.’  

Et ça avec le temps je l’ai très vite compris.  

Le soir de sa mort quand Ryô est venu me voir m’expliquant qu’il prendrait soin de moi en me faisant fuir avec de l’argent qu’il avait pris aux meurtriers de mon frère qui eux-mêmes bien vite trouvèrent la direction de l’enfer guidés par la main de Ryô, j’ai dit non à Ryô ! Et ce n’était pas le genre d’homme à qui on disait non.  

C’était un homme aux multiples facettes que je fus en tant voulu la seule à voir.  

Il était grand, fort, des yeux noirs qui vous transperçaient et des cheveux d’un noir de geais rebelles qui reflétaient parfaitement sa manière de vivre…  

La première fois que j’ai vu cet homme, il m’a prise pour un garçon, j’étais jeune et bien loin de celle que vous avez eu pour mère.  

Conscient ou non de son erreur, il m’a pendant une journée prise sous son aile et permis de voir ce qu’était le vrai visage d’un nettoyeur. Quand je l’ai vu à l’œuvre j’ai été rassurée pour mon frère, et je suis tombée amoureuse comme il ne l’est possible qu’une fois.  

C’était un chien errant qui m’a montré que l’obscurité est nécessaire pour trouver la lumière.  

J’ai vécu et travaillé avec lui pendant des années. J’étais devenu la moitié de City Hunter.  

Lui l’arme et moi l‘âme.  

Il m’a longtemps considérée comme sa petite sœur, pas féminine pour un sous disait-il bien souvent.  

Mais j’ignorais qu’il m’aimait déjà à ce moment-là.  

Voyez-vous j’étais très timide et aussi très colérique. Il avait peur de moi, parfois peur de ma rage, peur de mon amour, peur de me perdre en m’intégrant à sa vie totalement.  

Même aujourd’hui, je vous dirais que son passé comporte encore pas mal de trous pour moi. Il y a certains actes, certaines choses qu’il n’a jamais pu accepter de son histoire alors moi j’ai accepté son silence.  

Il lui a fallu près de sept ans alors qu’il pensait me perdre pour qu’il avoue ses sentiments pour moi.  

Ce jour-là comme bien d’autres à vrai dire j’avais été faite prisonnière pour l’attirer.  

Mais les ennemis étaient nombreux, il n’était absolument pas sûr que nous nous en sortirions vivants, je me souviens encore de ses mots comme si c’était hier.  

D’ailleurs mon cœur bat d’angoisse rien qu’au souvenir de cette journée-là ou j’étais si proche de trépasser. Cependant je ne regrette pas.  

Si je n’avais pas ’survécu’ je n’aurais pas eu le moindre regret, je l’ai aimé sans concessions.  

Cet homme pourtant avait la réputation d’être un coureur voire un sadique, d’être grossier et intenable, cependant ce que beaucoup de gens ignorent c’est qu’il était comme ça car il ne savait pas ce que demain lui réserverait.  

Je l’ai compris au fil du temps.  

Il préférait vivre totalement et sans se soucier du lendemain, c’est pour ça qu’il avait tant tardé à m’avouer ses sentiments.  

M’avouer son amour c’était devoir lutter encore plus et chaque jour en ayant la peur de ne plus se revoir…  

Sa réputation faisait que souvent il était amené à se battre en duel.  

Le numéro un des nettoyeurs du Japon, voire la mort personnifiée au Japon… Voilà qui était votre père.  

Oui cet obsédé notoire qui me faisait perdre pied et que j’assommais à grands coups de massues était votre père.  

Hélas je sens la fatigue, je sens que je pars, petit à petit je pars.  

Bientôt je ne pourrais plus tenir ce stylo.  

Je finirais en vous disant ne m’en veuillez pas de vous avoir dit que votre père était mort.  

Il n’a jamais rien su de votre existence.  

J’ai choisi de partir quand j’ai appris que j’étais enceinte.  

Je lui ai juste laissé une note dont les mots ont dû lui faire énormément de mal, mais j’ignorais comment lui expliquer sans lui faire encore plus de mal ni sans lui parler de vous.  

JE NE SERAIS PAS CELLE QUI T’APPORTERA LA MORT  

JE T’AIME AU-DELA DE TOUT  

PARDONNE-MOI  

Rien de plus voilà ce qui m’a tourmentée toute ma vie.  

Et pourtant c’était des paroles vraies, de par ma grossesse beaucoup trop de monde se trouvait en danger.  

La chose la plus douloureuse que j’ai dû faire de toute ma vie… Le quitter…  

Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11