Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 01-06-07

Ultimo aggiornamento: 01-01-14

 

Commenti: 53 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: Alors qu'il est bien trop tard, la famille de Kaori va ouvrir les portes sur un passé qu'elle leur à caché !

 

Disclaimer: Les personnages de "Alors qu'il est trop tard" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Alors qu'il est trop tard

 

Capitolo 11 :: Toutes les vérités

Pubblicato: 01-01-14 - Ultimo aggiornamento: 01-01-14

Commenti: Avant tout je vous souhaites à tous et toutes une Très Bonne Année ! Ensuite je vous fais un petit cadeau je crois que certains attendent une maj depuis très longtemps ^-^' Donc je récapitule l'histoire. Kaori est morte aux USA. Elle a eu de enfants (des jumeaux) de Ryô. Celui-ci ne l'a jamais sut, et est également mort. Tetsuya son fils et l'amie de sa mère Eriko (notre grande styliste) arrive à Shinuku afin de connaître la vérité sur la vie de Kaori. Après une première rencontre avec Reika et Saeko, ils se rendent au Cat's Eye ou il est présenté à tout le monde et ou son tempérament (ils tient bien de ses parents) fait des siennes. J'espère que vous apprécierez car dans ce chapitre il y aura un flash-back ou réapparaisse nos héros adorés. Juste je termine en indiquant que la fin de ce chapitre n'est pas une erreur, je n'ai pas volontairement indiqué qui venait de parler. Encore une bonne année à tous et toutes et désolé pour les fautes qui pour subsister.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11


 

 

« Ça suffit !!! Le gamin n'a pas tord. Le jour ou Kaori est partie on pouvait bien voir que chacun de vous deux aviez un secret qui vous bouffait. Vous étiez juste trop fier pour avouer vos erreurs à l'autre. C'est la raison qui fait que vous nous pourrissez la vie à tous depuis !!! »  

 

Tetsuya fut un peu surpris par la réaction d'Umibozu jusqu'à présent il avait été assez calme, mais là il dégageai une aura de colère.  

 

Mick en fut lui même surpris. Umibozu avait toujours été un homme qui savait contrôler ses émotions mieux que quiconque sauf si un chat était dans les parages.  

 

Tous à présent se trouvaient dans un mutisme des plus profond.  

 

Eriko qui était toujours à l'étage fut surpris d'entendre la colère de son ami, suivit d'un tel silence. Elle interrompit un court instant sa communication, puis repris.  

 

« Oui désolé. Donc nous disions que tu as réussi à tout préparer et que tu arriveras en même temps qu'elle. Tu seras à quel hôtel histoire qu'on évite ce quartier. »  

 

La voix lui répondit qu'elle n'avait rien à craindre elle resterait dans un hôtel près de l'aéroport jusqu'à ce qu'elle lui fasse signe de se montrer.  

 

« Ok mais tu pourras régler le tout de ta chambre ?! Si tu as un souci demande à Saeko je t'ai envoyer son numéro de téléphone par sms. Mais soit invisible s'est important ou ont va échouer. »  

 

La communication s'arrêta et Eriko redescendit au bar.  

 

Elle les trouva tous ou presque dans un silence assez effrayant.  

 

Tetsuya en avait assez.  

 

Sa tante venant de ressurgir, il en profita pour fuir.  

 

« Te revoilà. Si tu veux bien on va partir de ce trou, ils ne m'ont évidemment rien appris et ne m'apprendront rien, ils sont trop aveugles et trop hypocrites pour ça. »  

 

Tous levèrent les yeux vers lui, lui jetant des regards noirs.  

 

Il sorti de sa poche de l'argent et le déposa sur le comptoir.  

 

« Pour payer ma consommation et la bouteille que j'embarque... histoire d'oublier que je vous ai rencontrer. »  

 

Alors que sa tante se posait des millions de questions sur ce qui s'était passé, elle vit Tetsuya franchir le pas de sa porte et elle prononça sans trop savoir pour qu'elle raison une phrase.  

 

« Au royaume des borgnes les aveugles sont rois. »  

 

Tetsuya s'arrêta un instant. Il savait l'importance de cette phrase.  

 

Et étrangement tous les amis de Kaori et de Ryô connaissait également cette maxime et sa valeur mais sous une forme différente.  

 

 

***** Flashback : *****  

 

 

Environ vingt huit ans plus tôt.  

 

 

Kaori Makimura venait de se lever, elle regarda à coté d'elle et se rendit compte qu'encore une fois Ryô n'avait pas dormit la.  

 

Depuis plusieurs semaines, l'Union Teope était réapparu à Tokyo. Ce n'était qu'une petite cellule mais il était vitale d'y mettre un terme rapidement.  

 

Ainsi donc la nuit Ryô faisait son possible en fonction des informations que ses taupes lui procuraient.  

 

Et au final le couple ne se retrouvait qu'en début de soirée lorsque Ryô se réveillait pour manger et repartir faire le tour de la ville, ce rituel ne changeait presque jamais sauf si ses informateurs l'appelait là il partait sans rien dire à sa moitié.  

 

Il s'était promis après la mort de Hideyuki et la mort de son 'père' que l'Union Teope ne devait jamais réapparaître. Il avait trop perdu.  

 

Mais ce matin comme depuis 3 jours Kaori ne se sentait pas bien.  

 

Sans même prendre une douche ou préparer un repas, elle s'habilla et tenta de filer mais Ryô se trouvait dans le salon allongé sur le canapé, il avait du avoir pitié d'elle et ne pas vouloir la réveiller en se couchant.  

 

« Sugarboy... Ou vas tu si tôt ?! »  

 

« Rendors- toi Ryô. Je vais au marché avec Kazue pour pouvoir te préparer un repas royal pour ce soir. »  

 

Il se leva, il était torse nu.  

 

Il s'approcha de sa femme et la prit tendrement dans ses bras avant de l'embrasser passionnément.  

 

« Hum chéri, je dois y vraiment y aller. Kazue m'attend. »  

 

« Kazue ?! »  

 

« Quoi tu voulais que je ne me balade pas seule et s'est la seule qui se lève aux aurores c'est temps-ci. »  

 

« J'aurais préféré que Umibozu ou Mick t'accompagne. »  

 

« Il est tôt on va dans un marché, j'ai mon arme, mon portable et 2 de tes informateurs sont la bas aujourd'hui. Mick n'est pas du genre lève tôt et je sais bien qu'il doit être fatigué à avoir surveiller l'appartement toute la nuit et Umibozu lui me surveillera demain. Je ne vais pas lui demander de me surveiller également aujourd'hui. Il a une femme et une vie privée lui aussi.»  

 

 

Ryô céda mais quémanda un dernier baiser avant de filer se coucher dans leur lit.  

 

Elle poussa un profond soupir avant de partir au volant de sa voiture et retrouva Kazue à l'hôpital ou elle travaillait depuis quelques temps.  

 

Celle-ci était une chimiste après tout. Et depuis quelques temps les recherches scientifique lui manquait alors elle faisait quelques heures dans un hôpital à tout simplement revérifier des résultats.  

 

Elle réussit à se faufiler jusqu'au bureau de Kazue, qui quand à elle avait réussi à être seule ce jour là.  

 

« Bonjour Kaori. Ça va ? T'es prête ? »  

 

« Oui allons y. » La nettoyeuse n'en menait pas large, elle savait parfaitement que les répercussions de sa grossesse pouvaient être énorme et à l'inverse les répercussions de son style de vie pouvait être autant importantes sur sa grossesse et l'avenir cet enfant.  

 

 

« Allez souris ! Si tu es enceinte Ryô sera le plus heureux des hommes ! Et toi tu seras la plus géniale des mères. »  

 

Mais rien n'y faisait, aucun sourire ne s'affichait sur son visage d'ange.  

 

Kazue se résolue à la seconde de ne pas tenter de sonder l'esprit de son amie.  

 

« Bon Kaori, tu dois juste enlever ta veste et à t'asseoir. »  

 

Elle obéis à son amie se lava les mains sorti un garrot de sa poche ainsi qu'une aiguille stérile, posa le tout devant Kaori puis attrapa un tube a essai et une pissette remplie d'alcool du coton et su sparadrap.  

 

« Bon cette fois j'ai tout. Désolé de te faire attendre mais je ne voulais pas risquer que l'on me voit avec un plateau tout prêt. Bon je me relave les mains et s'est tout bon.  

Allez tu vas tendre le bras et serrer le point. Le garrot te fera peut être un peu mal. Voila j'ai trouvée une veine. »  

 

Une fois l'emplacement désinfecté et l'aiguille enfoncé dans le bras, Kazue réalisa que son amie semblait être ailleurs.  

 

« Kaori... Kaori... La il faut que tu m'aides... Donc on se réveille Kaori. »  

 

« Euh oui excuse moi. »  

 

« Tu vas juste appuyer la ou j'ai piqué et tu plies le bras. »  

 

« Voilà parfait. Je pose le prélèvement et je te mets du sparadrap. Bon sinon une yen pour tes pensées. »  

 

« Mes pensées ? »  

 

« Bah oui à quoi pensais tu pendant que je faisais le prélèvement. »  

 

« A l'avenir... »  

 

« Cesse donc te t'inquiéter. Ryô sera un bon père et il fera tout pour que jamais son enfant et sa femme ne soient en danger. Alors pour le moment ne te stresse pas et surtout attend le résultat. Tu n'es peut être pas enceinte comme tu le penses. «   

 

« Je te l'ai dit le test que j'ai fais à la maison était positif... Donc... »  

 

« Donc rien... Tu auras la réponse demain matin. On fait comment pour que Ryô ne se doute de rien ? »  

 

« Vient prendre un verre à la maison demain avec Mick vers 18 h 00 si je suis enceinte la première chose que tu me diras c'est Bonjour Kao. Si je ne suis pas enceinte tu n'auras qu'a grogner quelque chose en rapport avec Mick. »  

 

« Ça marche ! En prime cela nous ferra du bien de sortir de chez nous et de nous amuser un peu. Sinon la de suite je crois bien qu'on est sensé allez au marché faire des courses ?! »  

 

« Exact ! Allons y... »  

 

Elle marcha identique à un zombie, fit ses courses et écouta Kazue, mais pourtant rien n'y faisait elle n'était pas présente et Kazue n'était guère dupe, cependant tout autre personne étrangère ne voyait rien d'étonnant à cette scène.  

 

Au fil des années et surtout depuis que Ryô et Kaori formaient un couple, Kaori avait fait le choix de devenir un caméléon pour les autres. Personne ne devait rien savoir de ce qu'ils se passaient chez eux. Alors elle souriait et riait et parlait avec son amie de tout et de rien, mais seule une personne faisant partie de sa famille pouvait se demander si quelque chose ne clochait pas.  

 

Lorsqu'elle rentra chez elle accompagner de Kazue, elle se rendit compte que Ryô était en train de dormir mais avait d'ors et déjà préparer la table et avait fait un brin de ménage.  

 

Lorsqu'elle entra chez elle, Kaori compris ce que Ryô avait en tête. Et à vrai dire elle en avait bien besoin. Elle prépara quelque chose de rapide pour Kazue et elle réussit non sans mal à la mettre dehors.  

 

Elle abandonna la vaisselle sur la table et jeta un coup d'œil sur vers sa chambre et décida qu'elle ne serait pas la bonne pour les quelques heures qui allait suivre.  

 

Elle s'assura que les rideaux étaient fermés et s'avança vers la chambre et commença à se déshabiller. Lorsqu'elle se glissa contre Ryô elle était nue et lui même ne portait pas grand-chose sur le dos.  

 

« Hum... Tu en as mit du temps... »  

 

« Je te signale que je déjeunai avec Kazue, tu aurais du me prévenir et j'aurai fais le nécessaire... »  

 

Elle se blottit contre son torse puissant et sentit cette chaleur si intense qui semblait l'envelopper et la protéger par le biais de Ryô. »  

 

« Tu es brulant Ryô... »  

 

« Et toi tu es nue... »  

 

Elle n'eut guère le temps de dire ou de penser à quoique ce soit que Ryô venait de fondre sur ses lèvres.  

 

Lorsqu'elle se réveilla, elle vit qu'il n'était plus là, en regardant son réveil elle comprit pourquoi.  

 

Mais étonnement cet interlude, lui fit du bien.  

 

Elle porta ses mains sur son ventre et se fit la réflexion à voix haute que oui elle en était sure Ryô serait un bon père.  

 

Elle se rhabilla et vit que Ryô lui avait laissé un mot doux sur la table avec et surtout un diner déjà prêt.  

 

« Que ma femme me fasse le plaisir de manger. Maintenant que tu n'es plus malade tu n'as plus d'excuse. Je t'aime à demain »  

 

Elle sourit et même sentit poindre le rouge sur ses joues.  

 

Elle commençait effectivement à mourir de faim.  

 

Elle resta seule, mangea, regarda la télé, et profita d'un bon bain avant de se recoucher.  

 

A son réveil Ryô était présent et la regardait avec amour.  

 

Elle était si belle qu'il ne s'était même pas déshabillé il avait juste voulu être près d'elle.  

 

« Tu as intérêt à avoir mangé ce que je t'ai préparé hier soir. »  

 

« Promis j'ai tout dévoré. » Elle déposa un tendre baiser sur ses lèvres et fit mine de se lever lorsqu'elle se rendit compte qu'une main la retenait.  

 

« Hors de question femme, tu restes avec moi. »  

 

« Chéri tu es fou Umibozu ne va pas tarder et je suis sure qu'il est déjà en train de surveiller le quartier du toit. Tu le connais pudique qu'il est il a du comprendre tes intentions et de la fumée doit s'échapper de ses oreilles. »  

 

« M'en fiche. Je voudrais roucouler auprès d'une déesse. »  

 

« Roucouler ou me sauter dessus ?! » Lui répondit-elle tout en le chevauchant.  

 

« Hum à vrai dire je crois bien que l'un de va pas sans l'autre. »  

 

Elle l'embrassa avidement et décréta qu'il était insatiable.  

 

« Plains toi. !!! »  

 

« Bien sure que je me plains je ne vais bientôt ne plus pouvoir marcher si ça continue. »  

 

Il s'écroula de rire.  

 

« Tu abuses un peu non ?! »  

 

« N'est tu pas l'étalon de Shinjuku ? »  

 

Il rigola de redressa et enlaça sa femme contre lui tout en en profitant pour caresser le postérieur de celle-ci.  

 

 

« S'était avant ma chérie... Avant que tu ne me domptes... Et vu ta position je crois que tu auras du mal à dire le contraire. »  

 

Elle se mit à réfléchir et décréta que cela n'était pas faux. Et qu'elle lui accordait une petite heure.  

 

Se que bien évidemment Umibozu avait du comprendre car il apparut une heure plus tard devant leur porte.  

 

Kaori se leva bon gré mal gré fila lui ouvrir et lui proposa de s'installer dans le salon le temps qu'elle s'habille.  

 

Il ne dit rien sa rougeur voulait tout dire.  

 

Elle revint rapidement avec son arme et proposa un café à son ami avant de partir s'entrainer dans la salle de tir.  

 

Ce qu'ils firent une bonne partie de la journée, pendant que Ryô se reposait et pensait avec un grand sourire au lendemain.  

 

A 17 heures, elle indiqua à son ami qu'elle devait en rester là pour ce jour. Mick et Kazue devait arriver dans 1 heure pour prendre un verre et il fallait encore qu'elle réveille Ryô et qu'elle se douche.  

 

« Très bien dans ce cas je te laisse le temps que je fasse le tour du quartier et je reviens toute à l'heure. »  

 

« Tu sais que si tu veux tu peux rentrer chez toi je peux me débrouiller pour le restant de la soirée et puis je ne doute pas que je Miki serai plus que ravie de t'avoir une soirée pour elle seule.  

 

« Non non, je reviens dans une heure. »  

 

« Très bien alors à toute à l'heure. »  

 

Elle parvint non sans difficulté à réveiller Ryô. Qui n'était guère heureux de devoir se réveiller 2 heures plus tôt pour prendre un verre avec le blondinet américain.  

 

« Allez Ryô, Kazue sera également présente. »  

 

Aussitôt il se leva. Il se plaisait encore et toujours à jouer avec les nerfs de sa femme.  

 

« Ça pour elle tu te lèves ! Mais pour... »  

 

« Si tu oses dire que pour toi ce n'est pas le cas ! Tu vas voir ce que tu vas prendre car je me permets de te remémorer qu'hier je me suis levé plus tôt pour te préparer un diner de roi ou de reine si tu préfères. »  

 

 

A 18 H tapante on sonna à la porte.  

 

Kaori ouvrit la porte heureuse de passer une bonne soirée en perspective.  

 

Kazue embrassait Mick lorsque la porte s'ouvrit.  

 

« Bonjour Kao ! »  

 

« Bonsoir vous deux ! Allez y entrer ! Umibozu ne va pas tarder non plus. »  

 

Une fois la porte fermé. Kaori posa sa main sur son ventre et se dit qu'elle avait presque oublié.  

 

Elle était heureuse mais également terrorisée.  

 

'Comment le dire à Ryô.'  

 

Elle avait en effet penser à tout leur hypothétique avenir en fonction de cette grossesse, mais n'avait pas songé à la manière dont elle devrait le lui annoncer.  

 

Elle sentie Ryô derrière elle. Il passa ses mains sur son ventre et embrassa sa nuque avec avidité.  

 

« Il est encore temps de les jeter dehors ».  

 

« Je n'ai rien entendu. »  

 

Umibozu arriva 10 minutes plus tard avec sa femme.  

 

Ils passèrent une soirée agréable mais Ryô les abandonna à 19 h 30.  

 

Tous restèrent pour tenir compagnie a leur amies.  

 

Et pendant que Kazue aidait Kaori a débarrasser la table. Elle réussit à lui dire qu'elle devait lui parler rapidement qu'il n'y avait rien de grave.  

 

Elle ne réussit à s'organiser qu'au bout de 2 semaines.  

 

Kazue lui avait demandé de la retrouver chez doc, celui-ci ne serait pas présent.  

 

« Non mais tu plaisantes !!! Ce n'est pas possible Kazue ça ne peut pas être vrai. »  

 

« Kaori je suis désolé si je puis dire mais regarde l'échographie qu'on vient de faire et l'analyse de sang.... Tu attends des jumeaux. »  

 

« Il ne l'accepteras pas. Un enfant... des complications. Mais deux... Trop de danger.»  

« Arrête de suite Kaori !!! »  

 

Kazue pleurait de colère et en même temps peut être de jalousie.  

 

« Tu n'as pas le droit !!! Vous vous aimez et tu feras une mère incroyable ! Et toi au moins tu as cette chance ! Alors non tu n'as pas le droit de songer un instant à avorter ! »  

 

Kaori fut choqué.   

 

« Mais non jamais je ne ferais ça voyons. Enfin pour quoi cette réaction ? »  

 

A peine les mots sortis de sa bouche elle compris.  

 

« Depuis quand le sais-tu ? »  

 

« Ce matin. Le Doc a fait exprès de ne pas être présent et de me permettre l'accès à son bureau. Il a fait des examens et les résultats devaient m'arriver ce matin. Je ne serais jamais mère, ça m'est impossible. »  

 

« Tu es sure ?! »  

 

« Les résultats sont catégorique, le problème vient de moi pas de Mick. »  

 

Elles pleuraient encore et encore.  

 

L'une par déception, l'autre par peur.  

 

Kaori essuya ses yeux et demanda à son amie de lui pardonner.  

 

« J'aurai du le voir, voir ton angoisse. Pardonnes moi Kazue !!! »  

 

« Tu ne pouvais pas savoir c'est ma douleur, je ne voulais pas que quelqu'un le sache avant que je n'en parle à Mick mais.... »  

 

« Je comprends. »  

 

« Que vas-tu faire Kaori ? Je n'en suis pas sure. »  

 

« Tu comptes partir !? Je le vois dans tes yeux ! »  

 

Kaori était mal et ne voulait pas inquiéter son amie outre mesure mais elle devait lui dire.  

 

« Il m'a mentit. J'ai croisé son nouvel indic Jo, en venant ici. J'ai vu dans ses yeux que les choses sont pires que nous le pensions.... Kazue...Si tu vois dans mes yeux que je pense partir. Lui aussi le verra... »  

 

« Tu n'en sais rien. Depuis quelques temps tu t'es beaucoup améliorée... Je t'aiderai. Quoi que tu décides ! »  

 

Kaori était heureuse que son amie veuille l'aider mais elle s'en voulait encore et toujours de ne pas avoir vu la souffrance de son amie.  

 

« Je suis encore navré. Kazue... Au royaume des aveugles les borgnes sont Roi. J'aurai du le voir. »  

 

***** Fin du Flash-back *****  

 

« Nous aurions tous du voir ce qui allait arriver. Nous étions tous aveugles. »  

 

 

 


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