Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Fauve

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 01-06-07

Ultimo aggiornamento: 01-01-14

 

Commenti: 53 reviews

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DrameRomance

 

Riassunto: Alors qu'il est bien trop tard, la famille de Kaori va ouvrir les portes sur un passé qu'elle leur à caché !

 

Disclaimer: Les personnages de "Alors qu'il est trop tard" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Alors qu'il est trop tard

 

Capitolo 7 :: CHAPITRE 7 : Leçon 2 : Comprendre le passé. (1/2)

Pubblicato: 29-03-10 - Ultimo aggiornamento: 29-03-10

Commenti: Un petit coucou à tous et toutes et surtout un nouveau chapitre divisez en deux. Alors on débute par un petit résumé. Kaori est morte elle n'a jamais expliqué à son fils et à sa fille qui elle était ni qui était leur père qu'elle à préféré dire mort. Mais voilà que Tetsuya découvre que Kaori sa mère leur a menti leur père est mort 10 ans plus tôt. Eriko choisi d'aider son neveu et part avec lui pour Le Japon la première destination étant l'appartement de Reïka NOGAMI. Voilàààààà ... Bon sinon je remercie ma toute nouvelle bêta pour ses corrections et ses efforts... Donc encore mille fois merci SAORIA... Bonne lecture !!!!

 


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Le fils de Kaori Makimura et de Ryô Saeba avait les yeux ronds.  

Il se leva brusquement et fit les cent pas comme pour chercher ses mots, comme pour chercher à canaliser sa violence sous-jacente.  

 

Eriko comprit alors que la colère montait chez son ‘neveu’ et qu’il fallait le calmer.  

 

« Calme-toi, calme-toi Tetsuya, ce qui est fait est fait et ça n’y changera rien que tu t’énerves contre cette pauvre femme. »  

 

Ce fut le mot de trop, le mot que Reïka ne voulait pas entendre :  

« Le mot pauvre est de trop Eriko. lança Reïka se sentant subitement encore plus pathétique et misérable.  

 

Celle-ci se releva, sécha ses larmes et partit attraper sa bouteille de vodka, pour filer devant la plus grande fenêtre de la pièce. Eriko ne sut que dire et préféra se taire.  

 

La tension dans la pièce était de toute manière bien trop pesante pour qu’elle puisse y faire quoique ce soit, elle regarda Tetsuya s’activer et lui envoya une supplique muette. Il comprit de suite la demande de sa tante, mais ne voulut pas y répondre ou du moins pas comme il l’aurait dû. Il choisit de tourner le dos à l’assistance et plaqua ses mains contre sa poitrine.  

 

Un œil non expérimenté n’aurait pas pu voir que le jeune homme était le portrait le son père. Il avait rangé son arme dans son holster et continuait malgré tout à en chercher le contact. Un contact si rassurant si présent, puis d’un coup d’un seul, il réalisa… Il était là par ce qu’il était trop tard pour sa mère mais pas pour lui.  

 

Il fonça comme un guépard sur sa proie. Il fut si brusque que Reïka en lâcha sa bouteille de vodka sur le sol. Celle-ci lui fit face de tout son être. Les SAEBA elle connaissait, elle n’en avait plus peur. Ils se jaugèrent faisant définitivement fi de la présence de la styliste.  

 

Le premier à ouvrir la bouche fut l’écorchée vive.  

 

« Tu es un SAEBA, tu ne regrettes rien et tu ne cherches rien d’autre que ton petit plaisir. Alors que fais-tu ici ?!!!!!! » Sa phrase finie, elle se dégagea avec impatience et regarda sa pauvre bouteille brisée en mille morceaux sur le sol.  

 

La colère de Tetsuya était toujours aussi grande. Il s’approcha d’elle comme s’il allait la dévorer vivante, elle recula d’un pas de manière à mieux évaluer la situation.  

 

D’un regard noir, il décréta de vive voix qu’il était venu ici pour la vérité, une vérité qu’il venait à peine d’entrevoir.  

 

Elle éclata de rire et jeta son regard sur une Eriko anxieuse qui commençait à se demander si elle avait bien fait de le conduire ici et surtout ce qu’il allait advenir d’eux tous si ces deux là continuaient sur cette lancée.  

 

« La vérité ??????!!!!!!!!!!!!!! La vérité mais enfin qu’elle vérité ? Il ne reste que des souvenirs noirs, amers et cruels. Et de toute manière tu connais déjà la vérité au fond de toi, alors vas-t’en avec Eriko et ne revient pas surtout si c’est pour me demander ce qui n’est plus. La vérité…! Non mais je crois rêver ! Tu es bien niais pour un inspecteur de police, mais cela ne devrait pas m’étonner, tu es le fils de ta mère. »  

 

Le jeune homme regarda sa tante et lut sur son visage de l’incompréhension.  

 

« Ce qui signifie ?!!!!!!!!! Lâcha-t-il de but en blanc sans la quitter du regard. »  

 

« Mais vous êtes venus faire quoi ici tous les deux ? s'agaça Reïka . Vous moquez de moi ! Ce n’est pas un humour que j’apprécie Eriko… Tu te pointes ici avec ce chien fou en pensant sincèrement que je ne verrai pas qu’il s’agit du fils de Ryô et de Kaori. Ne me crois pas plus saoule que je ne le suis ! »  

 

« Comment avez-vous su ?! »lui demanda alors Tetsuya de son regard déterminé.  

 

« Su quoi ? Que tu es effectivement le fils de Ryô ? Que ta mère était Kaori ? Où encore que tu es un flic qui prend des raccourcis et des mesures expéditives ?! »  

 

Cette dernière phrase estomaqua Eriko qui ne sut pas comment l'interpréter. Elle voulait être certaine d'avoir bien entendu.  

 

« Tu peux répéter Reïka? »  

 

« Pas la peine qu’elle se fatigue. Cette vieille pochtronne a tout de suite compris et voila tout ». Il était amorphe. Comment avait-elle deviné ?  

 

Reïka ne répondit rien au mot pochtronne, cependant elle expliqua le reste.  

 

« Vous êtes fatiguants… Je suis une ivrogne pas une idiote !!!!!!!!!! Tu t’es vu dans une glace récemment… Le portrait de ton père et ton caractère naïf ne peux venir que de Kaori. De plus quand on fait le lien entre ton âge approximatif et l’époque où Kaori a disparu franchement c’est pas dur. »  

 

Eriko cependant ne fit pas attention à ce que Reïka venait de dire, son cerveau s’était comme bloqué sur les termes « flic qui prend des raccourcis et des mesures expéditives »  

 

Elle jeta un regard noir à son neveu et crispa ses mains sur sa canne tout en se retenant de lui fracasser le crâne.  

 

« Comment as-tu osé ? S'indigna celle-ci. Comment as-tu pu prendre ce chemin là ? Tu es fou c’est dangereux et …! »  

 

« Et quoi Eriko…! Hein et quoi ?! Tu penses peut être que je ne savais pas ce que je faisais… Et bien non j’ai choisi en toute connaissance de cause… J’en avais marre de voir des pourritures s’en sortir si facilement, alors oui j’ai pris ce chemin… »  

 

« Tu es bien comme ton père. » Décrétèrent Eriko et Reïka en même temps.  

 

_« J’avais raison,..... tu es un SAEBA, tu ne regrettes rien et tu ne cherches rien d’autre que ton petit plaisir même si ça doit être au dépend des autres, principalement des gens qui t’aiment. »  

 

Le ton de cette phrase enclencha une guerre ouverte entre les deux protagonistes.  

 

« Comment oses-tu ? Tu as un sacré culot Reïka ! Je te rappelle que son père est mort pas ta faute !!! »  

 

« J’en paye le prix tous les jours, Saeko me le reproche suffisamment comme ça ! Mais ça ne change rien au fait que ton cher neveu est venu chercher la vérité mais il n’est en rien capable d’être honnête avec toi, ni j’en suis sûre avec sa mère. »  

 

« Elle savait et ça me suffit !!! Je veux la vérité ! Comment est mort mon père ? »trancha alors la voix dure de Tetsuya qui la fixa de ses prunelles noires.  

 

Reïka se glissa lentement vers le bar et sortit alors une autre bouteille de Whisky et y étouffa sa colère. Elle se servit un verre et scruta longuement la couleur ambrée de ce breuvage libérateur aux effets anesthésiants avant que celui-ci ne s'écoule le long de sa trachée lui apportant un peu de chaleur qui lui faisait tant défaut.  

 

« Par ma faute ça devrait te suffire ! » finit-elle par dire dans un murmure avant de reposer son verre pour se servir de nouveau.  

 

« Ça ne me suffit pas ! Je veux savoir comment il est mort et en quoi c’est votre faute ! »  

 

« Tu n’y trouveras rien et sûrement pas la vérité que tu n’es pas prêt à entendre de toute manière ! » De nouveau elle apaisa sa colère dans sa bouteille qui violemment vint rencontrer le mur grâce à une intervention efficace de Tetsuya.  

 

« Tu comptes éclater tous mes alcools, et bien fait le si ça te soulage, moi ça m’est égal je peux toujours m’en procurer au coin de la rue » lâcha-t-elle avec une telle désinvolture que Tetsuya en fut excédé.  

 

« Tu ne penses pas que tu as suffisamment bu comme ça depuis le temps ? » Souffla une voix haineuse.  

 

Une voix sortie d’outre tombe.  

 

Tous trois se tournèrent vers la source de ces paroles, et ils virent une femme d’une cinquantaine d’année une coupe au carrée et au regard sauvage se tenir sur l'embrasement de la porte restée ouverte.  

 

« Saeko… » Souffla Eriko  

 

Je vois que le concierge t’a prévenue que j’avais des invités chère sœur ! Lança Reïka d'une voix pleine de sarcasmes,..... des invités qui vont partir à l’instant d’ailleurs. » ajouta celle-ci en leur tournant le dos pour se diriger en titubant en direction du bar.  

 

« Certainement pas ! s'exclama Tetsuya. Je suis là, et j’y reste ! »  

Toutes les femmes se trouvant dans cette pièce virent Tetsuya s’allonger sur le divan du salon et dormir comme une masse.  

 

« C’est vraiment le fils de son père celui là… » S’écria Eriko.  

 

 

 

 

 

 

 


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