Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 10-01-09

Ultimo aggiornamento: 07-05-09

 

Commenti: 143 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Quand City Hunter se voit confier la garde de deux jumelles pas sages du tout, qui vont chambouler leur quotidien

 

Disclaimer: Les personnages de "Les Jumelles terribles" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I correct a misplaced chapter?

 

It can happen that an author has several stories in process and that he adds a chapter of a story to another one. In this case, please don't add the chapter again and contact me (hojofancity@yahoo.fr) for modification. Indicate which chapter is misplaced and which is the correct story.

 

 

   Fanfiction :: Les Jumelles terribles

 

Capitolo 2 :: Retour à l'appartement

Pubblicato: 20-01-09 - Ultimo aggiornamento: 14-05-20

Commenti: Salut tout le monde!! et voici un chapitre tout fraîchement tapé. J'espère qu'il va vous plaire. En tout cas je vous remercie pour vos reviews, toujours aussi plaisantes à lire. Et pour être honnête, la suite se dessine doucement dans mon esprit, mais j'ai déjà une idée pour le chapitre suivant. Je vous dit bonne lecture et à bientôt Bisoux

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11


 

La petite troupe s’approchait enfin du bâtiment rouge. Ryô était resté en retrait tout le long du trajet. Il marchait la tête basse, les mains dans les poches. Devant lui Kaori avançait d’un pas alerte tout en tenant les deux jumelles par la main. Ils arrivèrent devant la porte d’entrée et pour la première fois depuis leur départ du Cat’s l’une des filles prit la parole.  

 

- C’est ici que vous habitez ?  

- Oui pourquoi ?  

- Cet immeuble a l’air vieux, il est solide au moins ?  

- Bien sûr, répondit Ryô, qu’est ce que tu racontes ?  

- Non rien.  

- Bon si nous rentrions ? proposa Kaori qui venait d’ouvrir la porte.  

 

Ils grimpèrent les escaliers, mais arrivés au troisième les filles commencèrent à souffler et à se plaindre que c’était trop haut, qu’elles avaient mal aux pieds, qu’elles voulaient qu’on les porte. (Nda : pas chiantes les filles^^).  

Kaori grimaça et leur dit qu’ils étaient bientôt arrivés. Elle jeta un coup d’œil en arrière à son partenaire qui affichait un air tendu. Apparemment il semblait déjà en avoir marre des jumelles.  

Ils parvinrent finalement au dernier palier et pénétrèrent dans l’appartement de City Hunter.  

 

- Ca y’est, on est arrivé, s’exclama Kaori.  

- C’est ça votre appartement ?  

 

Les filles n’avaient pas l’air enchanté par l’aspect de leur nouvel habitat. Elles posèrent leurs sacs à terre et se mirent à faire le tour du propriétaire en inspectant chaque recoin du salon puis de la cuisine.  

 

- Bon, ça peut aller, de toute façon on restera pas toute notre vie ici.  

- Hum hum, au moins il faut reconnaître que c’est propre.  

- Oui, c’est sûr.  

- Hahaha, Kaori se mit à rire gênée. Je vais vous montrer votre chambre, venez.  

 

Et elle se dirigea vers l’escalier, suivit par les jumelles Nogami qui avaient repris leurs sacs.  

Ryô ôta son pardessus qu’il jeta d’un geste nonchalant sur le canapé. Il s’asseya ensuite à l’autre bout, où plutôt s’affala lourdement dessus. Il glissa la main sous le coussin et se saisit d’un de ses magazines préférés qu’il commença à feuilleter. Mais il tournait les pages sans vraiment regarder les femmes nues. Il rageait intérieurement de s’être encore fait avoir par Saeko. Et puis il se demandait pourquoi le préfet n’avait pas fait appel à un vrai baby-sitter. Cela signifiait-il que ces deux morveuses étaient réellement en danger ? La dernière fois qu’il avait eu affaire à l’une des Nogami elle avait fini par être enlevée par un groupe de terroristes antigouvernementaux. Et puis son père avait débarqué et avait saccagé le salon, lui-même était tombé malade et sans Kaori il n’aurait peut-être pas réussi à arrêter le kidnappeur de Yuka.  

Son regard se fit plus doux en repensant à cette mission. C’est vrai que Kaori s’était comportée comme une épouse inquiète envers son mari. Même Yuka lui en avait fait la remarque. Il avait vraiment adoré qu’elle soit aux petits soins pour lui. Elle pouvait être très douce quand elle le voulait.  

Il poussa un léger soupir.  

 

- Et bien, qu’est-ce que tu as à soupirer comme ça ?  

 

Ryô tourna la tête pour voir sa partenaire qui venait de redescendre. Elle le regardait avec un petit sourire en coin.  

 

- Allez quoi, souris, pour une fois qu’on a une mission facile !  

- Tu parles d’une mission, on doit jouer les nounous pour deux sales gamines.  

- Ohh, mais arrêtes un peu de te plaindre, tu ne les connais pas, et puis elles ont l’air adorable.  

- Mouais tu parles, elles critiquent notre appart, elles prennent déjà de grands airs. Et puis elles sont même pas capable de monter des escaliers sans se plaindre. Moi je te dis qu’on va vivre un enfer.  

- Tu te fais des films mon pauvre Ryô.  

- Ah oui ?  

 

Il se releva d’un bond et s’approcha en quelques pas de Kaori. Il approcha son visage à deux millimètres du sien et faisant bouger son doigt sous son nez il lui déclara :  

 

- Dois-je te rappeler qui sont leurs sœurs ? Et ce qui nous arrive à chaque fois que l’une d’entre elle fait irruption dans notre vie ? Tu as la mémoire bien courte ma chère Kaori. Elles ne sont qu’une source d’ennuis. Je dois être maudit par cette famille.  

 

Il se détourna et frappa son poing dans son autre main.  

 

- En plus cette Saeko ne m’a pas toujours pas remboursé son ardoise. Dès qu’elle revient je vais la faire payer, et tout d’un coup. Elle me doit bien ça pour me faire jouer les nannys. Je ne la laisserais pas s’échapper cette fois-ci.  

- Encore cette rengaine, quand arrêteras-tu avec tes stupides dettes ? Tu m’énerves avec ça.  

 

Et Kaori lui assena un bon coup de massue. Elle se frotta les mains et se dirigea vers la cuisine.  

 

- Au lieu de dire des conneries range plutôt cette pièce. Moi je vais préparer le repas.  

- Bah, que veux tu que je fasse ? Cette pièce est déjà rangée.  

- Je te parle de tes magazines cochons. Je veux que tu les enlève et que tu les caches ailleurs.  

- Mais il en est hors de question ! Mes revues sont très bien où elles sont, elles bougeront pas.  

 

Kaori tourna seulement la tête et lança un regard glacial à son partenaire.  

 

- On a des petites filles chez nous et je ne veux pas qu’elles tombent sur ces saletés. Alors tu as intérêt à m’obéir où c’est moi qui m’occupe de faire le grand ménage, et je peux t’assurer que tu ne retrouveras plus jamais tes précieuses lectures.  

 

Le ton utilisé était sans équivoque. Ryô déglutit, il connaissait assez la jeune femme pour savoir qu’elle mettrait son plan à exécution. Il se précipita donc vers ses précieux bébés qu’il rassembla sous son bras et il grimpa à l’étage comme une flèche. Kaori se frappa le crâne de sa main. Il était vraiment irrécupérable. Elle le laissa à son rangement et alla cuisiner.  

 

Ryô était dans sa chambre qu’il avait fermée à clé. Il jetait des coups d’œil de partout afin de trouver une nouvelle cachette. Il s’approcha de son lit mais stoppa aussitôt. Il ne pouvait pas les mettre sous son lit, vu que très souvent ce dernier se retrouvait démolit par sa folle de partenaire. Il se gratta la joue, l’air extrêmement concentré, puis un sourire débile apparut. Il se précipita tout guilleret vers sa chaîne Hi-Fi. Il sortit son canif de sa poche et commença à démonter l’objet. Une fois fait, il planqua quelques un de ces magazines à l’intérieur, faisant gaffe à ce que les fils ne soient pas touchés puis remonta le tout (Nda : à la McGyver lol).  

Il jeta un coup d’œil à sa chaîne et se félicita tout seul pour ce remarquable travail. Puis il chercha une autre planque pour le restant des revues. Pas dans son placard, Kaori risquait d’y tombait dessus en rangeant ses habits. Ne restait plus que derrière sa table de chevet. Il y avait fait un trou une fois pour y cacher les sous-vêtements qu’il avait pris, mais en général il n’arrivait jamais à en ramener, Kaori le dépistant à chaque fois.  

 

- A croire qu’elle a un sixième sens pour ça, marmonna-t-il.  

 

Il poussa donc sa table de chevet et un trou béant apparut sous ses yeux. Son air pervers apparut quand il s’aperçut qu’il restait quelques culottes et soutien-gorges. Il se saisit d’un ensemble dont il s’affubla, et il commença à danser à travers toute la pièce tout en chantonnant. Il fut interrompu par un tambourinement à sa porte.  

 

- Qu’est-ce que tu fabriques encore ?  

 

C’était Kaori. Elle tenta de tourner la poignée, mais celle-ci refusa de bouger.  

 

- Ryô !! Pourquoi t’as fermer à clé ? Ouvre la porte !  

- Oui oui, j’arrive.  

 

Il se dépêcha de tout balancer dans le trou puis de repousser le meuble, puis il courut ouvrir à la jeune femme. Elle le regarda d’un air suspicieux, les bras croisés sur sa poitrine.  

 

- Je peux savoir ce que tu fabriquais enfermé ?  

- Mais rien voyons, qu’est-ce que tu vas imaginer, hahaha.  

 

Il rigola de son rire gras, se grattant la tête. Kaori se pencha vers lui et jeta un coup d’œil par dessus son épaule, pour tenter de voir ce qu’il tramait. Il fit un pas de côté pour lui laisser la place, comme pour signifier qu’elle se faisait des idées.  

 

- Mouais, mais je sais pas pourquoi, j’arrive pas à te croire.  

- Ce que tu peux être suspicieuse Kaori chérie. Bon et pourquoi tu tambourinait à ma porte ?  

- Hein ? oh, c’est juste que le repas est prêt, tu peux descendre.  

- Quoi, t’as failli défoncer ma porte pour me dire de venir manger ? T’avais pas besoin de te déplacer, il te suffisait de gueuler, comme tu fais d’habitude. Avec ta grosse voix, on peux pas ne pas t’entendre.  

- Qui a une grosse voix ? s’énerva-t-elle.  

- Mais toi, entre nous t’as pas besoin de prendre cette voix de fillette, on sait bien tous les deux que t’es un homme, alors tu peux garder ta voix bourrue à la maison.  

- Je n’ai pas une voix bourrue, et je suis une FEMME !!!!!!!!  

 

Un bélier apparut comme par enchantement et balança le nettoyeur de l’autre côté du couloir où il alla s’encastrer dans un boum effroyable. Le bruit fit sortir les deux petites.  

 

- Qu’est-ce qui se passe ? demandèrent-elles.  

-Rien, ne vous inquiétez pas. Je venais vous cherchez, le repas est prêt.  

 

Et sans un regard pour la loque qui tressautait dans le couloir Kaori se dirigea vers l’escalier qu’elle descendit, très droite. Les jumelles s’approchèrent du nettoyeur et se penchèrent vers lui.  

 

- Tu crois qu’il est toujours vivant ? demanda Mitsuko.  

- Oui, regarde, sa jambe bouge encore, lui répondit sa sœur.  

- C’est peut-être qu’un spasme post-mortem.  

- Meuh non, tu sais bien ce que nous a dit Saeko : il est hyper fort. Et comme elle l’a dit à Reika la dernière fois au téléphone, c’est pas un petit coup de massue qu’il va le tuer, il en a l’habitude, répliqua Hitomi en imitant sa grande sœur.  

- Ouais mais quand même le pauvre, je le plains, ça doit faire mal.  

- C’est clair. Bon on va manger ? Moi je commence à avoir très faim.  

- Oui, moi aussi.  

 

Et elles descendirent à leur tour. Ryô repoussa le bélier. Il rigolait jaune.  

 

- Alors comme ça c’est pas une massue qui va me tuer ? Ah ah ah, Saeko, je te retiens.  

 

Il se redressa, remis sa colonne vertébrale en place et rejoignit les trois filles qui avaient déjà entamer leurs assiettes. Hitomi se pencha vers sa jumelle en voyant le nettoyeur débarquer.  

 

- Tu vois, Saeko avait raison, ça lui a rien fait, il n’a même pas une bosse.  

- J’y crois pas, Hitomi, c’est hallucinant, tu crois que c’est un vrai être humain ?  

- J’en sais rien.  

- Quelque chose ne va pas ? Vous aimez pas ? les coupa Kaori.  

- C’est normal, ta bouffe est infecte, renchérit Ryô qui s’assit à ses côtés.  

- Oh toi la ferme, on t’a pas causé, lui dit-elle en plantant sa fourchette dans la main de l’homme qui hurla de douleur.  

- Mais t’es complètement folle, ça fait super mal !!  

- T’as qu’à arrêter de sortir des bêtises toutes les 30 secondes.  

- Gnagnagnagnagnagna, grogna-t-il en se tenant la main.  

- Heu….. commença Mitsuko.  

 

Les deux sœurs avaient les yeux grands comme des soucoupes. Elles n’arrivaient pas à croire ce qui se déroulait là en face d’elles. Cet homme venait de se faire planter une fourchette dans la main, mais il l’avait retiré facilement et il ne saignait même pas. Il semblait être habitué à ce genre de traitement.  

 

- Nos sœurs ne mentaient pas en affirmant qu’il était exceptionnel, chuchota Mitsuko.  

- Oui, mais ça n’en reste pas moins bluffant.  

- Hum hum, mais va falloir se la jouer finement.  

-Vous avez fini de marmonner dans votre coin ? On vous a jamais appris que c’était pas bien de chuchoter en présence d’autres personnes ? grogna Ryô.  

- Ryô, laisse les tranquilles.  

- Mais…..  

- Y’a pas de mais qui tienne, tu te tais et tu manges avant que ça refroidisse, déclara Kaori sèchement.  

 

Puis se tournant vers les jumelles, elle leur adressa son plus beau sourire.  

 

- Ne l’écoutez pas et continuez.  

- Merci. Mais on disait juste que c’était délicieux.  

- C’est vrai, renchérit Hitomi, vous cuisinez vraiment très bien mademoiselle Kaori.  

 

Les joues de la jeune femme se tintèrent de rose devant ce compliment. Même s’il venait de deux gamines de huit ans, cela lui faisait extrêmement plaisir. Gênée, elle plongea la tête dans son assiette. Les jumelles se regardèrent et échangèrent un sourire : ce qu’on leur avait dit était vrai, la nettoyeuse était vraiment timide. Un seul regard leur suffit pour se comprendre : elles allaient se servir de cette timidité. Ryô ne fit cette fois-ci aucune remarque. Ils finirent donc de manger.  

 

Après le dîner, le nettoyeur se leva et se dirigea d’un pas mou vers son canapé préféré sur lequel il se laissa tomber. Il se saisit de la télécommande et alluma la télé.  

Les jumelles le rejoignirent et se mirent à le fixer. Il pouvait sentir leur regard sur lui, et cela commençait à le peser. Il se tourna soudain vers elles et leur jeta :  

 

- Vous avez bientôt fini de me fixer comme ça ? Vous avez rien d’autre à faire ?  

- Excusez-nous, lui répondirent-elles d’une même voix.  

- Ouais.  

- Dites monsieur, c’est vrai que…  

 

Elles furent coupées par Ryô qui leur lança un regard à faire frémir. Il approcha son visage des leurs et tout en se désignant du doigt, il leur déclara d’une voix faussement outrée :  

 

- Monsieur ?? Non mais vous m’avez bien regardé ? J’ai que 20 ans, je suis l’éternel excité de Shinjuku ! Je suis jeune et très viril, alors je vous interdis de m’appeler Monsieur. Par contre vous pouvez appeler Kaori comme ça, ça lui fera grandement plaisir.  

- Qu’est-ce qui me fera plaisir ? demanda justement Kaori qui déposait sur la table des tasses de thé fumantes.  

- Oh, heu, de partager ce thé tous ensemble. Hahahaha.  

- Je vais t’en coller moi des hahahaha, tiens, monsieur le jeune, ça te calmera lui cracha-t-elle en lui balançant une massue.  

- Waouh, mademoiselle, vous êtes vraiment forte s’exclama Mitsuko.  

- Merci, c’est juste une question d’habitude. Mais appelez-moi Kaori, et puis on peut se tutoyer, vu qu’on va vivre un moment ensemble.  

- D’accord, répondirent en chœur les filles.  

 

Elles s’asseirent toutes et dégustèrent leur thé. Ryô, qui avait finit par sortir de dessous l’instrument de torture habituel s’était joint à elles.  

 

- Au fait, demanda tout à coup Kaori, vous avez cours demain ?  

- Non, nous sommes en vacances pour l’instant. Donc on va rester avec vous toute la journée lui répondit Hitomi.  

- Et d’ailleurs, vous comptez rester combien de temps ici ? Saeko ne nous a rien dit.  

- Heu, et bien on ne sait pas vraiment, ça dépendra du temps que durera la conférence à laquelle elle et Reika assistent.  

- Mais, et vos parents ? questionna la nettoyeuse.  

- C’est à dire que c’est une nouvelle lune de miel pour eux, et  

- Comme papa veut absolument avoir un fils,  

- Il va sûrement s’atteler à la tâche avec beaucoup de volonté,  

- Donc on ne sait pas du tout quand ils rentreront.  

 

Elles avaient parlé à tour de rôle, enchaînant naturellement la phrase commencée par l’autre. Mais c’est plutôt la phrase en elle même qui fit tomber notre couple de nettoyeurs et une nuée de corbeaux traversa le salon.  

 

- Bon, nous sommes fatiguées, alors nous montons nous coucher. Bonne nuit Kaori, bonne nuit monsie.. heu Ryô.  

 

Mitsuko s’était reprise de justesse en voyant le regard assassin que lui jetait Ryô.  

Elle attrapa sa sœur par la manche de son t-shirt et elles grimpèrent les escaliers deux à deux avant de s’enfermer dans la chambre de Kaori/chambre d’amis.  

 

- Ouf, il fait peur parfois, tu trouves pas ?  

- Si. Mais tu crois vraiment que c’est le meilleur du milieu comme nous l’a dit Yuka ? En le voyant comme ça, j’en ai pas l’impression. Autant elles nous font une sale blague.  

- Non, je ne pense pas. Mais quand même, nous confier cette mission à nous deux. Va falloir faire attention, j’ai l’impression que même s’il fait l’imbécile, Ryô pourrait découvrir notre plan.  

- Tu as raison, il va falloir faire attention. Mais on n’est pas des Nogami pour rien, et nos sœurs nous ont bien dit qu’il était facile à manipuler.  

- Oui, on connaît ses points faibles.  

- On va bien rigoler s’exclamèrent-elles d’une seule voix, avant d’éclater de rire.  

 

 

 

A suivre……… 

 


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