Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 10-01-09

Ultimo aggiornamento: 07-05-09

 

Commenti: 143 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Quand City Hunter se voit confier la garde de deux jumelles pas sages du tout, qui vont chambouler leur quotidien

 

Disclaimer: Les personnages de "Les Jumelles terribles" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Les Jumelles terribles

 

Capitolo 8 :: Ryô fait les courses, partie 2

Pubblicato: 11-03-09 - Ultimo aggiornamento: 14-05-20

Commenti: Coucou tout le monde^^ voici la suite des courses!! j'ai lu que plusieurs d'entre vos pensiez savoir où se trouvait les jumelles.... j'espère vous surprendre^^ Merci à Nad, et merci à vous aussi celles qui m'écrivent des reviews et qui me lisent. je dédie ce chapitre à toutes celles du fofo, vous saurez pourquoi. Gros bisous à toutes Usakisa

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11


 

Ryô n’en croyait pas ses yeux. Les jumelles se tenaient devant le rayon pour femme et débattaient pour savoir quelle marque de tampons elles devaient prendre.  

Les libellules s’étaient faites plus nombreuses, mais elles s’envolèrent toutes d’un coup. Les gens présents pincèrent du nez en sentant soudainement une odeur nauséabonde. Ils virent alors sur le côté un homme en pardessus avec des tâches dessus et une crevette qui dépassait d’une des poches. Ils reculèrent d’un pas en comprenant que c’était lui qui dégageait cette odeur de poisson pourri. Les filles se retournèrent elles aussi, se demandant ce qui pouvait sentir comme ça. En apercevant Ryô elles faillirent éclater de rire. Il était trop drôle. Mais elles se retinrent en voyant son visage. Il n’était pas content, mais alors pas content du tout. Tant pis, elles n’avaient pas fini de le faire tourner en bourrique. Elles s’exclamèrent alors :  

 

- Papa, c’est quoi la marque que prend maman Kaori ?  

- Hein ?  

 

Tous les regards convergèrent vers Ryô.  

 

- C’est lui le père ?  

- Beurk, sortir dans cette tenue avec ses enfants.  

- Les gens n’ont plus de tenue, franchement.  

- Et puis laisser d’aussi jeunes enfants s’occuper de ce genre de produits.  

 

Ils hochaient la tête, dépités. Ils décidèrent de laisser cette petite famille à leurs vacations et retournèrent à leurs propres courses. Ryô s’approcha d’un pas menaçant.  

 

- Vous allez m’expliquez ce que vous foutez ?  

- Mais riens voyons !  

- C’est quoi cette histoire de papa et de maman Kaori ?  

- Ne cries pas s’il te plaît !!  

 

Les petites s’étaient collées l’une contre l’autre, se tenant par la main.  

 

- C’est juste que c’est la première fois qu’on se retrouve aussi loin de nos parents,  

- Et comme vous semblez si proches et si gentils  

- On s’est dit qu’on pourrez vous appelez ainsi le temps  

- Qu’on resterait avec vous.  

- Nos parents nous manquent énormément,  

- On ne voulait pas te porter préjudices.  

- Excuses-nous.  

 

Elles avaient des sanglots dans la voix et les larmes aux yeux. Elles semblaient réellement désolées.  

 

- Ouais, bin pour votre information Kaori et moi ne sommes pas ensemble. Beurk, vous avez de ces idées !  

 

Un frisson de dégoût parcouru le corps de Ryô.  

 

- Et puis c’est quoi cette histoire de tampons ?  

- Heu, comment expliquer…  

- En fait Ryô, à la puberté,  

- Les femmes ont des pertes de sang au niveau du bas-ventre,  

- Et ça tout les mois.  

- C’est ce qu’on appelle les règles.  

- C’est naturel,  

- Et ça arrive chez toutes les femmes.  

- Et pour empêcher le sang de tout salir,  

- On l’absorbe grâce à des serviettes  

- Ou à des tampons.  

 

Ryô tomba à la renverse. Voilà qu’il avait maintenant droit à un cours de sciences et vie naturelles.  

 

- Je sais tout ça !! Cria-t-il en se relevant. Ce que je vous demandais c’était pourquoi vous voulez en acheter !  

- Bin, on vient de te l’expliquer. C’est pour Kaori, au cas où.  

- Mais pourquoi elle en aurait besoin ? Demanda-t-il naïvement.  

 

Les filles secouèrent la tête.  

 

- C’est une femme Ryô, on ne va pas te faire un dessin quand même ?  

- Tu ne sais pas comment on utilise des tampons ?  

- Si…si.. cafouilla le nettoyeur, gêné rien qu’à l’idée d’imaginer sa partenaire avec un tampon.  

 

Il se rabroua pour chasser l’image qui tentait de lui venir à l’esprit.  

 

- Bon, heu… on va oublier ça et prendre que ce qu’il y a sur la liste. Allez on se dépêche, j’ai pas envie de passer l’après-midi ici.  

 

Elles avaient réussi à le calmer en le mettant mal à l’aise. Il ressortit la liste qu’il avait mise dans sa poche, lut ce qu’il y avait d’écrit et se remit à la chasse aux produits que sa partenaire avait notés. A peine avait-il le dos tourné que les jumelles essuyèrent les fausses larmes qu’elles avaient aux yeux, un large sourire sur les lèvres. Il ne leur restait plus que deux endroits où aller dans le magasin. Elles se disaient que ça allait promettre.  

 

Elles suivirent sagement Ryô et l’aidèrent à faire toutes les courses. Cela soulagea notre nettoyeur qui n’avait aucune envie de leur recourir après. Les courses se firent assez vite. Les gens se poussaient pour leur laisser le passage, se pinçant le nez à chaque fois car l’odeur de poisson que dégageait Ryô était infecte. Alors qu’ils arrivaient enfin au bout de leur peine les filles lui demandèrent s’ils ne pouvaient pas s’arrêter à un dernier rayon, mais pour elles cette fois-ci. Elles assurèrent à Ryô que cela ne prendrait pas beaucoup de temps et qu’elles avaient de l’argent pour payer. Il soupira mais accepta néanmoins. Malgré un début désastreux elles s’étaient ensuite montrées très gentilles avec lui après. Il les suivit donc et elles l’amenèrent à ce que Ryô qualifia en son for intérieur de "Paradis Mokkori des Rayons".  

Et oui, ils se trouvaient à présent devant la lingerie. Les filles lui expliquèrent qu’elles avaient besoin de nouvelles culottes pour elles-mêmes. Ryô n’entendit rien du tout de leurs propos, trop subjugué par la vision qui s’offrait à ses yeux. Des centaines de petites culottes et de soutien-gorges se trouvaient sous son nez, n’attendant que lui. Le pervers en lui se réveilla immédiatement. Des étoiles apparurent dans ses yeux tandis que de la bave commençait à couler. Sa main fut prise d’un spasme quand il la tendit vers les dessous affriolants. C’était magnifique, tout simplement. Il finit par ne plus tenir et il se jeta en avant d’un coup, faisant tomber tout l’étalage de vêtement. Il commença à nager dedans, portant les culottes à son visage et un des soutiens-gorges sur son crâne, en ricanant bêtement. Il était aux anges.  

Les filles sourirent en voyant sa réaction. Leurs sœurs, en particulier Yuka, leur avait décrites les tics de Ryô quand il prenait sa tête de pervers. Leur petite technique marchait bien. Elles se mirent elles aussi à examiner les dessous. Elles aperçurent un ensemble en dentelle rouge et noir. Hitomi l’attrapa et après s’être concertée avec sa sœur, elle s’avança vers Ryô qui était toujours dans sa piscine improvisée. Elle fit danser l’ensemble devant ses yeux. La bouche du nettoyeur s’élargit encore plus. Il tendit les deux bras pour l’attraper et l’arracha presque des mains d’Hitomi.  

 

- Oh, le bel ensemble, viens voir papa !  

 

Il se mit à se dandiner avec. Ses cris de joies, les vêtements éparpillés attirèrent l’attention des autres clients. Des hurlements d’épouvante se firent entendre dans tous le magasin. Le gérant venait de débarquer après avoir vu cet étrange client faire des siennes sur son écran de contrôle.  

 

- Mais c’est pas possible ! Qu’est-ce qui se passe ici ? Monsieur !! Mais qu’avez vous fait ?  

 

Il saisit Ryô par le col de son pardessus qui lâcha ses prisonniers de tissu et se mit à le secouer comme un prunier.  

 

-Non, mais ça va pas chez vous ? Que…  

 

Il relâcha le nettoyeur en sentant une odeur de poisson. Il grimaça et détailla l’homme qui était en train de mettre le foutoir dans son magasin.  

 

- Ahhhhhhhhh ! Non, mais je rêve, vous vous prenez pour qui ?  

- Mais quoi ? Demanda Ryô qui venait de sortir de son Paradis Mokkori. J’ai rien fait de mal.  

- Quoi, rien fait ?? Vous vous foutez de moi ? Vous avez démonter mon étalage de sous-vêtements, vous vous prélassez dedans avec vos habits tout pourri. Vous avez foutu le bazar dans mon magasin et vous osez dire que vous n’avez rien fait ?  

- Oh ça va, faut pas vous énerver comme ça.  

- Quoi ?  

 

L’homme s’étrangla presque tellement il était remonté. Il se mis à bafouiller des menaces.  

Ryô se releva et s’épousseta.  

 

- Ouais, bon, on va pas en faire tout un plat non plus. Tenez, je vous remet ça en place. Et hop, voilà, dit-il en ramassant les sous-vêtements et en les posant sur l’étalage. On en parle plus maintenant.  

- Mais que…  

 

Ryô commença à s’éloigner. L’homme ne l’entendit pas ainsi et s’interposa.  

 

- Je ne vais pas vous laisser partir. Vous allez rembourser pour tous les dégâts que vous avez causé !  

 

Ryô se dit qu’il allait devoir sortir une petite somme pour tout rembourser et Kaori allait s’en apercevoir puisqu’elle s’occupait du compte en banque. Elle voudrait savoir ce que c’était et mènerait sa petite enquête. Elle découvrirait alors l’épisode des sous-vêtements et alors ça, ça serait la punition divine assurée pour lui. Voulant éviter ce désagrément, Ryô eut une idée: il lança son regard noir de tueur vers le bonhomme qui tentait de lui barrer le passage. Il se pencha à son oreille et lui parla. L’homme déglutit et se mit à pâlir. Quand Ryô se redressa, le gérant se mit sur le côté et laissa le nettoyeur passer. Ce dernier reprit son caddie et se dirigea vers les caisses. Tandis qu’il disposait ses produits sur le tapis roulant, les filles le rejoignirent. Elles tenaient dans leur main l’ensemble qu’elles avaient pris.  

 

- Tu avais fait tomber ça Ryô.  

- Hein ? Oh c’est gentil les filles !  

 

Il prit l’ensemble et dansa sur place, tout content. Les filles enchaînèrent :  

 

- C’est Kaori qui va être contente.  

- Moi je dirais qu’elle va être superbe dans cet ensemble , rajouta Mitsuko.  

 

Ryô chuta face à ces paroles.  

 

- Non mais ça va pas ? Arrêtez de dire des horreurs !  

- Bin quoi Ryô ? Demanda Hitomi. Tu ne vas tout de même pas le mettre toi même !  

- Bien sur que non imbécile.  

- Alors, pourquoi tu le veux si tu l’offres pas à Kaori ?  

- C’est pour ma collection personnelle.  

- Tu collectionnes ça ?  

 

Les filles grimacèrent.  

 

- Ouais, bon, je vous en pose moi des questions ? Allez, on paie et on rentre.  

 

Il leur tourna le dos. Elles en profitèrent pour mettre un autre ensemble de lingerie sur la tapis, ainsi qu’une boîte. Mitsuko attira l’attention de Ryô sur une jeune femme qui passait au dehors pendant qu’Hitomi en profitait pour cacher la mystérieuse boîte et l’ensemble au fond d’un des sacs. Ryô paya, mit l’ensemble rouge que les filles lui avaient rapporté dans sa poche et ils repartirent en direction de l’immeuble de briques rouges.  

Quand ils arrivèrent à l’appartement, ils se rendirent compte que Kaori n’était toujours pas rentrée. Ils déposèrent les sacs sur la table de la cuisine.  

 

- Bon, déclara Ryô, je vous laisse ranger les courses.  

- Tu nous aide pas ?  

- J’ai déjà fait les courses, c’est bon. J’en ai déjà fait beaucoup ! Je vais aller prendre une douche.  

 

Les jumelles opinèrent en se pinçant le nez. C’est vrai qu’il puait vraiment beaucoup. Le nettoyeur alla donc dans la salle de bain se doucher pendant que les filles commençaient à déballer.  

 

- Dis, on va pas tout ranger quand même ?  

- Non, on va faire que les produits frais, on laisse le reste à Kaori. On lui dira qu’on ne savait pas où ça allait.  

 

Une fois leur tâche finie elles rejoignirent le salon et s’assirent sur le sofa. Alors qu’Hitomi se saisissait de la télécommande la porte s’ouvrit sur Kaori.  

 

- Coucou les filles !  

- Coucou Kaori ! Alors, ton rendez-vous c’est bien passé ?  

- Oui, merci. Et vous les courses ça a été ? Ryô n’a pas été trop gonflant ?  

- Non non, on s’est bien amusés.  

- Ah, tant mieux.  

 

Ce fut la seule réponse de Kaori qui n’y croyait pas trop.  

 

- Il reste des courses à ranger, on n’a pas tout fait parce qu’on savait pas où ça allait.  

- C’est pas grave. Mais Ryô n’est pas là ? Il ne vous a pas aider et vous a laissé seules ?  

- Il a eu un petit souci, il prend sa douche.  

 

Kaori fronça les sourcils, haussa les épaules et alla à la cuisine. Ryô qui venait de sortir de la salle de bain la rejoignit.  

 

- Alors ton rendez-vous avec Eriko, ça c’est bien passé ?  

- Oui merci. Et toi, avec les jumelles ?  

- Mouais.  

- C’est quoi cette petite odeur ? Demanda Kaori en reniflant l’air.  

 

Ryô fit une grimace et se sentit. Malgré le fait qu’il s’était bien savonné il sentait encore le poisson pourri.  

 

- C’est rien, t’occupes pas. Bon je vais me reposer maintenant.  

 

Et il gagna le salon. Kaori retourna à ses courses. Elle avait presque fini, il ne lui restait plus qu’un sac à déballer. Elle en sortit tous les produits et se mit à les ranger. Il restait encore deux produits dans le sac. Elle les prit et son souffle s’arrêta quand elle comprit ce qu’elle tenait dans ses mains.  

 

 

Dans le salon Ryô se chamaillait avec les filles pour avoir la télécommande. Un grand cri les fit tomber du canapé.  

 

- Kyahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.  

 

C’était Kaori. En moins de deux Ryô se trouvait dans la cuisine, se demandant ce qui avait pu faire pousser un cri aussi terrible à sa partenaire. Il la vit debout à côté de la table tenant une boîte dans une main et un ensemble de lingerie fine de couleur bleu-nacré dans l'autre .  

En entendant son partenaire approcher Kaori redressa la tête et lui jeta un regard noir, des flammes s’élevant derrière elle. Ryô ne comprenait pas ce qui se passait. Mais tout devint clair quand il identifia ce que tenait sa partenaire et en particulier cette boîte .  

 

- Ryô… tu es un homme mort !  

 

A suivre…… 

 


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