Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 11 capitoli

Pubblicato: 10-01-09

Ultimo aggiornamento: 07-05-09

 

Commenti: 143 reviews

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GeneralHumour

 

Riassunto: Quand City Hunter se voit confier la garde de deux jumelles pas sages du tout, qui vont chambouler leur quotidien

 

Disclaimer: Les personnages de "Les Jumelles terribles" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

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   Fanfiction :: Les Jumelles terribles

 

Capitolo 3 :: Un début de soirée peu enchanteresse….

Pubblicato: 25-01-09 - Ultimo aggiornamento: 25-01-09

Commenti: salut tout le monde!!! Waouhhhh, j'ai halluciné en voyant toutes les reviews que vous m'avez laissées! ça m'a fait super plaisir, donc merci beaucoup à toutes!!! ^^ Voici le troisième chapitre, j'espère qu'il vous plaira. comme je ne sais pas encore vraiment ce qu'est le plan des jumelles, j'ai détourné le problème, mais pas de panique, le chap 4 est en pleine écriture!! je vous laisse à votre lecture: d'ailleurs j'ai encore essayé de faire de l'humour, j'espère que vous rigolerez un peu! Gros bisous à toutes usakisa

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11


 

Les jumelles étaient montées se coucher depuis 10 bonnes minutes maintenant. Kaori venait de terminer la vaisselle et revenait au salon. Elle s’arrêta un instant sur le seuil de la porte afin de contempler son partenaire qui était toujours assis sur le sofa. Il lui apparaissait de profil, seulement éclairé par la lumière provenant du petit écran. Elle le trouvait craquant. Il avait retroussé les manches de son T-shirt et elle pouvait ainsi voir les muscles de ses bras, ces bras si forts qui l’avaient enlacée lors du mariage de Miki et Falcon. Ses joues rosirent en repensant à cette étreinte, mais hélas Ryô ne l’avait plus serrée contre lui depuis.  

 

Une pub apparut à la télé : une jeune femme en maillot de bain vantait les mérites d’une crème solaire. Le bel homme que Kaori avait sous les yeux se transforma en pervers. Il approcha son visage de l’écran tout en bavant. Elle poussa un profond soupir en voyant la transformation. A croire qu’il ne changerait jamais. Elle se décida enfin à le rejoindre. Elle se posta derrière lui et le tira fort par les cheveux afin de le décoller de l’écran.  

 

- Aie !!! Mais ça va pas ? Bourreau va, t’as failli m’arracher des cheveux !  

- Et alors, qu’est-ce que ça peut me faire ? T’as qu’à pas baver sur l’écran ! C’est qui qui nettoie après hein ?  

- Je m’en fous ! Mes cheveux sont tout aussi précieux que le reste de mon corps, ma belle crinière fait toujours craquer les belles miss mokkori !fiu fiu.  

 

Kaori se frappa la tête. C’est certain, il ne changerait jamais.  

 

- Crinière, crinière, je trouve que tu t’emballes un peu vite là. Moi je vois qu’une touffe de cheveux mal coiffés, c’est tout.  

- C’est parce que tu n’y comprends rien Kaori. Mais je ne t’en veux pas, comment un travelo comme toi pourrait comprendre ce qui touche à la séduction ? Il va falloir que je te donne des cours un jour sur comment emballer les filles.  

 

Les narines de Kaori commencèrent à fumer.  

 

- PARDON ???? Je suis une FEMME, espèce de bigleux, et je me fiche d’emballer les FILLES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!  

 

La fin de sa phrase fut saluée par une massue gigantesque qui envoya valser Ryô dans le mur en face. La massue retomba à terre, découvrant le pauvre nettoyeur enfoncé dans un trou au milieu du mur, les dents de devant cassées, l’une pendouillant même, un bleu au visage.  

 

- Hahaha, t’a pas le sens de l’humour Kaori chérie.  

 

Il retomba sur le sol dans un bruit mou. La jeune femme était énervée, il fallait toujours qu’il lui lance des vacheries à tord et à travers. Elle croisa les bras sur sa poitrine et lui tourna le dos.  

 

- C’est pas croyable, tu peux jamais rester sérieux très longtemps toi.  

 

Ryô se releva avec difficultés, fit craquer ses os et s’avança vers sa partenaire. De son bras droit il enlaça la jeune femme par l’épaule et baissa son visage vers elle et tout en la regardant tendrement il lui dit :  

 

- Que veux-tu, je ne peux pas rester de marbre face à une beauté, il faut que je détende l’atmosphère.  

 

Kaori devint cramoisi devant ses propos. Elle ne fit aucun geste et resta là, les bras ballants. Elle vit le regard de Ryô descendre pour s’arrêter sur ses lèvres entr’ouvertes. Elle laissa échapper son prénom dans un murmure.  

 

- Ryô…………….  

 

Ce dernier la lâcha soudainement et se mit à rire de façon débile tout en se grattant le crâne.  

 

- Hahahahahahaha, t’as quand même pas cru que je parlais de toi ? Toi, une beauté ? Et puis n’oublions pas que tu es la seule pour qui je ne bande pas. Ce qui prouve que tu n’es pas réellement une femme. C’est vrai ça Kaori, si tu n’es pas une femme ni un travelo, qu’est-ce que tu peux bien être ?  

 

Il avait pris la pose du penseur et semblait réfléchir intensément. Il fut coupé dans ses pensées par une respiration très bruyante, et par l’atmosphère de la pièce qui était devenue tout à coup très très lourde. Il déglutit difficilement, hésitant à tourner la tête, car il avait compris qu’il venait d’énerver énormément Kaori. Il prit son courage à deux mains et se décida à faire face « au monstre ».  

Mal lui avait pris, Kaori ressemblait plus que jamais à un démon, ou plutôt à un dragon crachant des flammes. En fait Ryô hésitait entre les deux descriptions. De la fumée sortait des narines de sa partenaire, ses cheveux étaient dressés sur sa tête, des flammes jaillissaient de ses yeux ainsi que de sa bouche quand elle l’ouvrit pour hurler : « CREVE SALAUD !!!!!!!! », Elle était entourée par un nuage opaque, et elle brandissait une gigantesque massue de 1000000000 de tonnes qu’elle lui abattit sur la tête, pulvérisant ainsi le parquet.  

Il n’eut même pas le temps de hurler qu’il avait déjà été engloutit. Une douleur immense traversa le corps du nettoyeur et les larmes coulèrent sur son visage. Ryô s’extirpa cette fois-ci avec beaucoup plus de difficultés. Il préféra se taire en voyant que sa partenaire soufflait toujours comme un beauf. Elle serrait les poings et lui lançait un regard noir. Ryô cherchait une échappatoire car il sentait qu’elle était prête à lui balancer une autre de ses massues. Il leva la tête vers l’étage et prit un air surpris en disant « Tiens ? »  

Le regard de Kaori suivit naturellement celui de son partenaire, mais elle ne vit rien. Elle reporta son attention sur lui, mais il s’était déjà saisit de son pardessus et avait atteint la porte qu’il ouvrait.  

 

- Tu comptes aller où comme ça ? cracha –t-elle.  

- Ahaha, je vais aller m’amuser avec de vrais femmes, avec de belles formes ! Tchao.  

- Reviens ici tout de suite, hurla-t-elle.  

- Chut, fit Ryô en mettant un doigt sur ses lèvres, tu risques de réveiller les filles.  

- Zut, c’est vrai.  

- Héhé, bye bye.  

 

Et Ryô en profita pour s’enfuir.  

 

- Grrr, le salaud, il ose s’enfuir et me laisser seule. Il perd rien pour attendre.  

 

Enervée, elle retourna dans la cuisine où elle se fit un bon café, histoire de se détendre.  

 

Derrière la porte Ryô esquissait un sourire tendre. Il adorait la faire tourner en bourrique, même si cela était dangereux pour lui. Il repensa aux lèvres entr’ouvertes de Kaori et son sourire s’élargit. Qu’elle était belle. Il avait faillit craquer et l’embrasser, surtout quand elle avait murmuré son prénom. C’était la première fois qu’elle le disait sur un ton aussi sensuel, et le pire c’est qu’elle ne s’en était pas rendu compte. Trop sexy ! Il avait fallu qu’il fasse diversion et y était bien parvenu. Soudain son regard se posa sur son entrejambe. Son mokkori était au garde à vous, bien droit.  

 

- Ahh, quoi tu te lèves pour ça toi ? Elle a juste murmuré mon prénom, rahhh, c’est pas vrai. Allez couché, tu pourras te relever quand on sera au cabaret, allez quoi, c’est que Kaori.  

 

Et il descendit les escaliers et sortit dans la nuit noire en parlant à son membre et en faisant des gestes pour le calmer, suivit par une libellule.  

 

 

A l’étage les filles ne dormaient pas. Elles avaient assisté à toute la scène, cachée derrière les rambardes, près du mur. Elles s’étaient vite cachées derrière lui en voyant que Ryô regardait dans leur direction.  

 

- Tu crois qu’il nous a vu ? chuchota Mitsuko.  

-Va savoir. Tiens, il part ?  

 

Elles jetèrent un coup d’œil à la scène qui se déroulait en bas. Ryô s’enfuyait et Kaori grommelait contre lui, les poings toujours serrés. Elle disparut de leur champ de vision.  

Les filles échangèrent un regard, se relevèrent puis retournèrent dans leur chambre. Une fois la porte fermée elles se laissèrent tomber sur leur lit.  

 

- Et bien, c’est pas gagné. C’est un vrai goujat ce type, s’écria Mitsuko.  

- Tu te rappelles de ce qu’a dit Yuka ? Il agit ainsi pour ne pas montrer ses véritables sentiments.  

- Ouais, bin c’est tordu comme réaction. Même les garçons à l’école sont plus gentils.  

- Oui. Mais j’ai l’impression que notre mission va être plus dure que prévue.  

- On ne laissera pas tomber. Les filles nous ont promis une magnifique récompense, alors on va mener à bien cette mission.  

- Oui, tu as raison, et en tant que Nogami, nous n’avons pas le droit à l’erreur, renchérit Hitomi.  

- Bon, et si nous commencions par mettre notre plan à exécution dès maintenant ?  

- Comment ?  

 

Mitsuko se pencha vers sa sœur et lui parla au creux de l’oreille. Au fur et à mesure le sourire d’Hitomi s’élargissait, et elle hocha la tête en guise d’acquiescement.  

 

- Oui, oui, s’exclama-t-elle, en tapant dans ses mains. Ca c’est une excellente idée. Mais après il va falloir qu’on revoie tout notre plan et qu’on change certaines choses.  

- D’accord, alors vite, au travail avant que Kaori ne remonte.  

 

Et elles se mirent à l’ouvrage en chantonnant tout bas.  

 

 

 

Cat’s Eye  

 

Falcon se tenait derrière le comptoir et essuyait une assiette. Miki, elle, était assise sur un tabouret et se tenait la tête entre ses mains. Elle poussa un profond soupir. Elle finit par relever la tête et regarda son mari.  

 

- Dis Falcon, qu’est-ce qu’on va pouvoir faire ?  

- Hum, répondit celui-ci.  

- C’est pas une réponse, s’énerva-t-elle.  

- Que veux-tu que je te dise ? Tu as accepté, il est trop tard pour revenir en arrière.  

- Pff. Mais pourquoi tu ne m’en as pas empêché ?  

 

Le mercenaire arrêta de frotter son assiette.  

 

- C’est que tu es très têtue, et dès que tu as quelque chose en tête il est impossible de te la faire sortir de là. Je te connais et je sais très bien que ça ne sert à rien que je tente de te faire changer d’avis.  

 

Miki esquissa un sourire.  

 

- Tu as raison. Et quand je veux quelque chose je ne renonce jamais jusqu’à obtenir gain de cause. Tu es bien placé pour le savoir.  

- Hum.  

- Voyons Falcon, tu n’as pas à être gêné. Et si c’était à refaire, je le referais sans hésiter. Je serais capable de n’importe quoi rien que pour te retrouver et rester auprès de toi.  

 

Elle se leva, contourna le comptoir et s’approcha de son mari qu’elle enlaça tendrement, sans faire fi de la rougeur sur son visage et de la fumée qui sortait de son crâne.  

 

- Je suis contente de t’avoir retrouvé et que maintenant tu sois à mes côtés, et on s’en sortira, comme d’habitude.  

- Humpf.  

 

Le silence s’installa dans le café. Il fut rompu par le tintement de la cloche.  

 

- C’est moi !!!  

 

La personne s’arrêta devant la vision qu’elle avait sous les yeux. L’amour se dégageait des deux personnes enlacées et cela la touchait énormément. Falcon se dégagea de l’étreinte de sa femme en rougissant encore plus et retourna à l’essuyage de vaisselle. Le sourire de cette dernière se transforma en grimace quand elle reconnue l’intruse.  

 

- Ah, Yuka…  

- Désolée, je ne voulais pas vous déranger dans un moment pareil.  

- Humpf.  

- Je suis passée prendre mes affaires chez mon amie, mais j’ai été un peu retenue, elle n’a pas arrêté de me poser des questions.  

- Ah.  

- C’est gentil de m’héberger, je sens qu’on va vraiment faire du bon travail tous les trois !  

 

Yuka tenait sa valise à la main et souriait de toutes ses dents. Miki, elle, ne souriait plus du tout. Elle avait passé l’après-midi à tenter de répondre aux questions de l’écrivain en herbe, mais certaines étaient bien trop intimes. Comme elle refusait de répondre, Yuka se faisait son cinéma et imaginait tout plein de choses. Puis elle avait commencé à s’intéresser à Falcon, elle voulait absolument tout savoir : son arme de prédilection, sa spécialité, s’il était sur une affaire….. Mais il avait réussi à se dérober à cet interrogatoire en prétextant des courses à faire. Par chance, un client pénétra dans le café juste après le départ de Falcon, et Miki profita de cette diversion pour échapper aux questions trop pressantes de la lycéenne. Au retour de son mari Yuka, qui était restée sagement assise à sa table et qui tapait le début de son nouveau roman, se leva et alla vers son couple inspirateur.  

 

Flash-back  

 

- Heu, excusez-moi, mais tout à l’heure j’ai dit à Kaori que je dormais chez une amie, mais en fait c’est pas vrai. Mon amie part avec ses parents ce soir, et du coup je me retrouve à la rue.  

Je voulez savoir si ça vous embêtez que je dorme ici, tout du moins, pour cette nuit, hein, ne vous inquiétez pas, dès demain j’irez chercher un hôtel pas très cher.  

 

La jeune fille faisait un peu pitié. Elle avait une expression gênée, se triturait les doigts et dansait d’une jambe sur l’autre. Miki ayant un bon cœur, et surtout voyant l’état de détresse de la lycéenne ne pouvait se résoudre à la laisser aller dans un hôtel, surtout à son âge. C’est donc tout naturellement, et avec le sourire qu’elle lui dit :  

 

- Voyons, tu ne nous dérangeras pas. Et puis il est hors de question que tu ailles t’installer dans un quelconque hôtel, on ne sait pas sur qui tu pourrais tomber. Tu vas rester avec nous jusqu’au retour de tes parents.  

- Merci, c’est très gentil !  

 

Yuka avait des étoiles dans les yeux. Cela fit plaisir à la barmaid de la voir ainsi, elle avait l’impression de faire une bonne action. Tandis que Yuka retournait s’asseoir, Falcon en profita pour tapoter l’épaule de sa femme et pour lui murmurer à l’oreille :  

 

- Je ne crois pas que se soit une bonne idée.  

- Voyons Falcon, tu ne vas quand même pas laisser une jeune fille dans l’embarras !!, s’outragea Miki.  

- Ce n’est pas ça, mais j’ai un mauvais pressentiment à propos d’elle, je sens qu’elle va nous apporter des ennuis.  

- Mais non, voyons, tu vois le mal partout chéri. Tu vas voir, tout va bien se passer.  

 

Il haussa les épaules et retourna à sa vaisselle.  

Quelques heures plus tard Yuka éteignit son ordinateur puis s’approcha du couple de mercenaire.  

 

- Bon, je vais chercher mes affaires chez mon amie. Merci encore pour votre invitation. En plus ça m’arrange pour mon roman, je préfère toujours avoir mon ou mes modèles sous les yeux, le voir dans son quotidien, comme ça je suis sûre de ne rien louper des ces actions !! On ne vas plus se quitter ! j’y vais , à tout à l’heure !  

 

Et elle quitta le café. Miki était entourée par une nuée de corbeaux en train de taper sur une machine à écrire.  

 

- Elle…elle a bien dit « invitation » ?  

- Oui.  

- Mais on lui a rien proposé ! Et c’était quoi ce « on ne va plus se quitter » ?  

- On dirait qu’elle a réussi à s’incruster, constata calmement Falcon.  

- Rahhhhhhhhhhhhh, ragea Miki.  

 

 

Fin du flash-back  

 

 

- Heu, dites, est-ce que je pourrais prendre une douche s’il vous plait ? demanda Yuka.  

- Bien sur, lui répondit Miki. Suis-moi. Je te laisse fermer nounours.  

- Hum.  

 

Les filles se dirigèrent vers la porte conduisant aux appartements des mercenaires.  

 

- Dites, il rougit toujours comme ça quand vous l’appelez « nounours » ?  

- Et bien oui, ça lui arrive.  

- Ca fait bizarre pour un professionnel.  

- Je ne vois en quoi, déclara Miki d’une voix sèche.  

- Heu, c’est juste que vu sa carrure, on n’irait pas imaginer qu’il soit si sensible, c’est tout.  

- Et qu’est-ce qu’elle a sa carrure ? Moi je le trouve très bien comme il est. De plus c’est l’homme le plus sensible, le plus touchant que je connaisse, s ‘emballa la barmaid.  

- Ah, ahaha.  

- La salle de bain est ici, il y a des serviettes propres dans ce placard, et ta chambre se situe au bout du couloir, sur ta droite.  

- Heu merci.  

- Je te laisse, bonne nuit.  

 

Et Miki repartit. Yuka referma la porte derrière elle et s’y adossa, une libellule perchée sur son épaule.  

 

- J’ai vraiment le chic pour dégotter les drôles de couple. Un nettoyeur qui a peur de ses sentiments et un mercenaire qui rougit dès qu’une femme lui fait un compliment. Mais ces quoi ces gens ?  

 

Et c’est sur ces pensées qu’elle prit une bonne douche et qu’elle alla dormir.  

 

 

 

 

A suivre………………….  

 

 


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