Hojo Fan City

 

 

 

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Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 21 capitoli

Pubblicato: 25-03-05

Ultimo aggiornamento: 21-12-06

 

Commenti: 124 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: une lettre, un secret, et des choix.

 

Disclaimer: Les personnages de "C'est ton choix ! Assume !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: C'est ton choix, assume !

 

Capitolo 12 :: Maison de vacance ?

Pubblicato: 25-07-05 - Ultimo aggiornamento: 25-07-05

Commenti: Voilà le chapitre 12 ! il est un peu long par rapport à d'habitude mais j'espère qu'il vous plaira ! Merci aux reviewer ^^ ! et à bientôt !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21


 

Après s’être réinstallés, Kaori essaie de participer à la conversation mais très souvent elle ne sait plus ou elle en est.  

La jeune femme arrête donc de parler et essaie de se concentrer sur ce qui se passe autour d’eux. Elle se sent un peu épuisée, tant se concentrer pour ne pas sursauter quand un camion klaxonne ou quand quelqu’un cri dans la rue…  

 

Ryo qui l’observe à la dérobée alors qu’il vient de terminer une discussion forte intéressante avec Falcon, finit par comprendre qu’elle est fatiguée aussi déclare t-il.  

 

- Kaori ? on y va ?  

 

Le nettoyeur pose sa main sur le bras de la jeune femme qui sursaute avant de fixer son regard dans celui de l’homme quelle aime. Elle lui sourit comme pour le rassurer sur sa réaction.  

 

- Bonne idée. Je suis un peu fatiguée.  

- C’est normal dit Miki.  

 

C’est donc seulement deux heures après être rentrés dans le café que le couple de nettoyeur prennent la direction de la sortie. Ryo invite la jeune femme à lui prendre le bras. Bien qu’étonnée par cette attention de sa part surtout devant leurs amis, elle s’accroche à ce dernier comme s’il s’agissait de la seule chose capable de la maintenir hors de l’eau. Il se penche sur elle et l’embrasse sur le front sous les regards étonnés des convives.  

 

Une fois sorties Mick et Miki se regardent :  

 

- Et bien on dirait que les choses évoluent un peu entre eux.  

- Espérons que ce grand dadet ne va pas repartir en arrière au premier problème venu déclare Falcon qui malgré sa cécité a pu ressentir ce qui se passait.  

 

La petite conversation qu’il a eut avec le nettoyeur pendant que Miki papotait et remettait régulièrement Mick qui essayait de la peloter. Après un instant de réflexion la jeune femme demande :  

- Tu crois qu’il oserait ? demande Miki  

- C’est Ryo répond simplement son mari.  

- Je suis jalouuuuuuux ! Déclare le blondinet ! C’est pas juste pourquoi elle a peur quand je m’approche d’elle ! C’est mon premier amouuuuur ! C’est pas juste !  

- Tu as vu comme tu lui as sauté dessus répond Miki sur un ton réprobateur.  

- Oui, je sais. Ryo m’a fait passer le message, t’inquiètes pas. Elle n’est pas encore remise totalement. En l’observant j’ai même eu l’impression qu’il lui fallait être très concentré pour ne pas hurler à chaque instant.  

- J’ai eu la même impression. Elle ressent tout ce qui se passe autour d’elle et ça la déstabilise.  

- Nounours… peut-être pourrais-tu lui parler. Toi aussi tu perçois tout ce qui t’entoure.  

 

A ce petit mot tendre, Falcon vire écrevisse et la fumée sort de ses oreilles sous le regard amusé de sa femme. Mick voudrait bien lui faire une remarque mais le regard noir de Miki l’en dissuade.  

 

- Alors ? Tu vas l’aider ?  

- Oui je vais voir ce que je peux faire…  

 

En fait, il a déjà prévu d’aider son amie à surmonter cette épreuve du mieux qu’il peut. Il a même prévu ça avec Ryo tout à l’heure lors de leur petit aparté.  

 

* * * * *  

 

A peine entrés dans la voiture, cet habitacle clos avec Ryo à côté d’elle, Kaori respire. Elle est bien pâle. Elle est assise ses mains sur ses genoux, la tête en arrière, les yeux fermés. Elle respire un peu plus fort que d’habitude. Peu à peu elle se remet de ses émotions.  

 

Ryo lui prend sa main et l’amène à ses lèvres et l’embrasse. Kaori surprise ouvre grand ses yeux et se tourne vers son partenaire.  

 

- Tu t’es bien débrouillée dit-il dans un sourire.  

- Tu trouves ? je n’ai pas réussi à me concentrer sur les conversations…  

- Quelle importance ? Tu as fait un grand pas en avant.  

- C’est vrai… mais je suis épuisée.  

- Nous ne rentrons pas à la maison, on part en week-end prolongé.  

- Quoi ? Mais ou ?  

- Un endroit au calme.  

 

La lueur étrange dans le regard de son partenaire, la fait fondre mais en même temps, elle s’inquiète. Se mordillant la lèvre inférieure, une question lui brûle les lèvres, elle respire un grand coup et lui demande de but en blanc.  

 

- Pas un endroit bizarre j’espère ? Demande-t-elle en fronçant les sourcils.  

 

Un corbeau se balade derrière la tête de Ryo, mais il lui sourit :  

 

- Tu me connais…  

- Justement.  

 

Il balaie à nouveau un corbeau d’un geste de sa main et lui dit en la regardant dans les yeux :  

 

- Non pas un endroit bizarre. Si je veux faire des trucs bizarres avec toi, ce sera dans un endroit normal.  

 

« Reste juste à définir le normal du bizarre, car là-bas… »  

 

Un sourire légèrement lubrique fait son apparition, sentant le regard inquisiteur de la jeune femme. Ryo s’attend à recevoir un coup de massue, mais il voit Kaori rougir jusqu’à la racine des cheveux et les oreilles sont tellement rouges puis la fumée s’en échappe. D’un air songeur, la main sous le menton Ryo déclare avec un tendre sourire :  

 

- Qu’est ce que je vais faire de toi ?  

- Qu…  

- Bah, oui ce matin tu m’as embrassé avec tant de passion, et là, tu rougies…  

 

Loin de la détendre, cela semble la faire devenir encore plus rouge.  

 

- Si tu continues, tu vas imploser mon ange.  

 

Le nettoyeur lui caresse la joue, avec un regard tendre. Puis il attache sa ceinture et invite la jeune femme à en faire de même. Ignorant volontairement la gène encore très présente de sa Kaori, il met le contact.  

 

Au bout d’une vingtaine de minutes, Ryo sent la tête de la jeune femme venir se poser sur son épaule, il lui jette un regard et constate qu’elle s’est endormie.  

Un discret sourire vient égayer le visage de son ange, il ne peut qu’esquisser lui-même un sourire, car cette douce proximité le rassure sur la santé de la jeune femme.  

 

Tout à l’heure quand son double américain avait sauté sur sa belle et le petit cri d’effroi qu’elle avait poussé, n’a fait que conforter son envie de la protéger.  

Ryo roule encore pendant environ une heure et demi, mais son ventre commence à lui faire savoir que c’est largement l’heure de manger. Il s’arrête donc près d’une station service. A contrecœur, il réveille Kaori. Cette dernière pose sur lui un regard tout endormis. Ne tenant pas à la laisser seule dans l’habitacle, d’un geste précis il détache la ceinture de sa belle. Ryo sort de la voiture et passe de l’autre côté de la voiture, ouvre la portière. Il lui prend la main et l’invite à sortir. Comme dans un rêve ou alors peut-être parce qu’elle est encore un peu endormie, Kaori se laisse faire. Il referme la porte et lui dit doucement :  

 

- On va aller s’acheter des sandwichs, nous sommes presque arrivés.  

- D’accord.  

 

Le nettoyeur la tire, comme si elle était encore une enfant. Trop contente de cette proximité, Kaori se laisse faire, ses pensées sont encore un peu brumeuses mais elle se concentre sur ce contact entre sa main et celle de son amour pour cet homme.  

Aussi, la jeune femme n’est pas perturbée par les gens présents dans la petite supérette ce qui étonne le nettoyeur. Il l’observe du coin de l’œil, mais lorsque son regard intercepte celui de la jeune femme, il y décèle une grande sérénité.  

 

« C’est bien mon ange, tu reviens peu à peu à la vie.»  

 

Lors de sa discussion avec Falcon il lui a demandé s’il pouvait lui prêter les clés de sa maison de campagne qui se trouve dans les bois près d’un étang. Même si l’ex mercenaire n’a pas oublié d’installer quelques petits trucs de son cru.  

Ryo savait ça avant de lui demander, c’est d’ailleurs un peu pour cette recrudescence de sécurité que Ryo a décidé de partir un week-end là-bas. Discrètement il avait même préparé des changes pour eux deux. (NDA : je suis sure que c’était pour fouiller dans les sous-vêtements de Kaori ça ! Ryo : mauvaise langue, NDA : est c’est quoi ce qui dépasse de ta poche. Ryo sortant un soutient-gorge : ah ça… AH AH AH. NDA : c’est bon j’ai compris, pervers va !)  

 

Machinalement, il fait les courses en poussant un petit cadi. Kaori est à présent bien réveillé mais elle se sent très bien. Alors qu’ils arrivent presque à la fin de leur course, la jeune femme constate que de l’achat de simple sandwich ils en sont venu à faire de vraies courses.  

 

- On fait des courses ?  

- Oui, on aura rien à manger si non ce soir.  

- On va ou ?  

- Tu veux vraiment le savoir ?  

- Oui.  

- Un love hôtel.  

 

La jeune femme déglutit avec difficulté, hésitant entre être flattée et en colère.  

 

- Pardon ?  

- Je rigole ! On va pour quelques jours dans la maison de campagne de Falcon.  

- Falcon a une maison de campagne ?  

- En fait c’était une ancienne planque, mais depuis qu’ils sont mariés. Ils s’en servent en maison de campagne.  

- Je savais pas.  

- En fait ça fait pas longtemps qu’ils ont finit de la retaper.  

- Pendant mon absence ? Demande-t-elle un peu sombre tout à coup.  

- Oui… Allez viens ! On va faire plein de choses intéressantes là-bas !  

 

Il n’en suffit pas plus pour que devant la caissière, Kaori rougisse intensément devant les allusions de son partenaire. Tout à fait conscient de son trouble, Ryo veut lui prouver qu’il tient à elle, glisse son bras autour de sa taille dans un geste protecteur et possessif. De sa main gauche, le nettoyeur saisit les trois sacs en plastiques.  

 

Une fois à la voiture, à contrecœur il lâche la taille de sa partenaire pour pouvoir ouvrir le coffre. Kaori qui est toute prête de lui écarquille les yeux et lui demande :  

 

- Mais, quand est-ce que tu as fait nos sacs ?  

- Ça c’est secret.  

- Tu avais prévu ça quand on est sorti de l’appart’.  

- Oui. Je me suis dis que finalement ça ne te ferait pas de mal un peu de repos.  

 

Le nettoyeur la prend dans ses bras et la regarde dans les yeux.  

 

- Mais je suis vraiment fier de toi mon ange.  

- Pourquoi ?  

- Parce que tout à l’heure dans le magasin, tu n’as pas sursauté un seul instant. Et ça, ça me rassure à un point que tu ne peux pas imaginer.  

 

Il lui embrasse la tempe et l’invite à prendre place dans la mini.  

 

- En route pour un week-end prolongé de quatre jours. Peut-être plus si tu veux.  

- Il reste encore combien de temps ?  

- Dans une petite heure on sera arrivé. Mais avant, on va aller un peu plus loin et manger nos sandwichs ! Je meurs de faim.  

 

Dans un chemin à l’écart de la route principale, Ryo installe une couverture sur l’herbe à l’ombre d’un saule pleureur à côté d’une petite rivière.  

 

« On croirait presque à un pique-nique en amoureux » à cette pensée Kaori a les joues qui rosissent un peu.  

 

Kaori va s’asseoir près de son partenaire et ils mangent dans une ambiance bonne enfant. Il n’y a que des rires et des discussions légères en ce début d’après-midi. Ryo retrouve SA Kaori d’avant, et il en est ravi (les coups de massues en moins). A un certain moment, leurs regards se croisent, ils sont intense et profond, une étincelle de désir présente. Attiré l’un par l’autre, Ryo embrasse délicatement sa douce, comme si elle risquait de fondre, comme neige au soleil. Ce baiser plein de tendresses s’approfondit quand la jeune femme ouvre légèrement la bouche. Un geste en entraînant un autre, très vite Ryo se retrouve sur sa partenaire en train de la caresser doucement.  

 

A contrecœur, Ryo se sépare de Kaori, qui grogne de mécontentement. Mais très vite, elle comprend pourquoi, en effet, ce n’est pas le moment de laisser libre cours à leur pulsion.  

 

Conscient de ce qui va se passer inéluctablement pendant ce petit séjour, Kaori le rouge aux joues range les restes du pique-nique et plient la couverture.  

Au moment ou elle ferme le coffre Ryo glisse ses bras autour de sa taille et lui glisse à l’oreille :  

 

- J’ai hâte d’arriver pour passer au dessert !  

 

La réaction est immédiate. Décidément la voir rougir est un délice pour Ryo, il a hâte de la sentir frémir sous ses caresses. Mais il sait qu’il doit encore attendre un peu.  

 

Une fois installés, il met le contact.  

Trop préoccupée par cette douce proximité Kaori ne semble pas être consciente de ce qui se passe à l’extérieur, ses yeux sont toujours aussi pétillant même si Ryo la devine loin partie dans ses pensées.  

 

Loin de la civilisation et de tous gêneurs, ils vont pouvoir se découvrir et s’apprivoiser.  

Ils longent une sorte de terrain militaire Ryo observe le grillage avec les barbelés au-dessus.  

 

« Nounours, tu en fais trop là… » songe-t-il avec un sourire amusé.  

 

Une fois devant le portail, d’un geste rassurant et câlin Ryo caresse la cuisse de Kaori pour la faire sortir de ses pensées. Elle tourne la tête vers lui. Il lui sourit. Le cœur de la jeune femme bat à tout rompre. Machinalement elle pose sa main sur celle de son partenaire et entrecroise leurs doigts. D’abord surpris Ryo est ravi, il n’en a pas l’habitude mais ça lui plait bien. Mais Kaori qui observe le nouvel environnement demande hésitante :  

 

- Rassure-moi Ryo. C’est pas ici ?  

- Si si.  

- Mais on dirait un camp militaire !  

- T’inquiète c’est qu’extérieur. Tu connais Falcon.  

- Oui mais là, c’est inquiétant ! Je m’attends presque à voir une dizaine d’hyènes à débarquer.  

- Non, non y’a pas ni hyène, ni chiens. Quelques pièges seulement…  

- Ryo ! C’est sensé me détendre ! Pas me stresser en me disant qu’il va falloir que je fasse gaffe ou je mets mes pieds.  

 

Le nettoyeur la regarde amusé, il remarque qu’elle aussi est amusée mais aussi un peu inquiète. D’un geste rassurant, il lui caresse à nouveau la cuisse.  

 

- T’inquiète, il m’a expliqué comment atteindre en une pièce la maison et demain matin je démantèlerais grâce à ses plans l’ensemble de ses petits joujoux.  

- Ses plans ?  

- Oui regarde sur la banquette à l’arrière.  

 

Kaori se penche et en tire une liasse de feuillets au moins deux cents. En effet, par page est expliqué au moins une vingtaine de pièges alors multipliés par 223 pages exactement (elles sont numérotées), elle a les yeux exorbités.  

 

- Ryo…  

- Oui mon ange ?  

- Tu sais combien de piège tu vas devoir rendre inefficace.  

- Non, mais nounours m’a dit qu’il n’y en avait pas beaucoup !  

 

Kaori fait mentalement le calcule une deuxième fois pour être sure de ne pas s’être trompée. Pendant ce temps, la mini s’est engagée dans le domaine de Falcon.  

 

- Ah…ça va si tu trouves que 4460 pièges c’est pas beaucoup…  

- QUOI !!!!!!! Hurle Ryo tout en appuyant sur le frein.  

 

Il se calme et demande à ce qu’elle lui passe la liasse.  

 

- Purée, je pensais qu’il y en aurait environ 250 mais 4460 ça fait beaucoup. Surtout qu’il m’a ordonné de les remettre en place… Je suis pas doué pour les remettre.  

- Je t’aiderais. Ça je sais faire.  

- Oui, je sais, tu es la pro des pièges déclare-t-il dans un sourire. Bon voilà la télécommande, elle sert à désactiver toutes les mines qu’il y a jusqu’à la maison de campagne depuis le portail, il suffit de tracer tout droit.  

- J’espère qu’elles seront toutes désamorcées déclare Kaori avec une grimace. La perspective de faire du rodéo avec la mini ne m’enchante pas.  

- Non pas de soucis. Ils sont venus le week-end dernier et il m’a assuré que la télécommande marchait.  

 

Il appuie sur le bouton, et un petit cliquetis se fait entendre. C’est avec un peu d’appréhension qu’ils font s’avancer la mini sur le chemin forestier.  

 

Une fois garée, ils soupirent tous les deux. Ni l’un ni l’autre n’étaient bien rassuré par ce chemin. Ryo sort le premier et continue en faisant le code du système d’alarme.  

Une fois toutes les alarmes déconnectées, City Hunter entre dans la maison et en fait le tour.  

Kaori fait le tour de la cuisine et range les courses.  

Un sentiment de paix intense l’imprègne, l’amenant même à chantonner. Ryo l’observe d’un doux regard, il aime la voir ainsi. Libérée. Rassurée. Protégée.  

Elle passe le pas léger à côté de lui, n’y résistant plus, il l’attire à lui.  

 

Une douce sensation imprègne le corps de Kaori, son regard devient plus sombre et se perd dans celui de son partenaire ou la lueur de désir est très présente.  

Cette proximité instaurée depuis son retour « à la maison » à eu raison des dernières défenses qu’ils mettaient encore entre eux.  

Attirés tel des aimants lentement ils s’approchent l’un de l’autre et ils s’embrassent, comme si la terre allait s’écrouler.  

Il se détache d’elle, il voit ses yeux pétillants et ses joues légèrement colorées.  

 

« J’aime te voir avec ce regard là mon ange »  

 

Fin du chapitre  

 

 


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