Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 21 capitoli

Pubblicato: 25-03-05

Ultimo aggiornamento: 21-12-06

 

Commenti: 124 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: une lettre, un secret, et des choix.

 

Disclaimer: Les personnages de "C'est ton choix ! Assume !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: C'est ton choix, assume !

 

Capitolo 13 :: Le contrôle de soi

Pubblicato: 11-10-05 - Ultimo aggiornamento: 11-10-05

Commenti: Voilà enfin la suite de cette fic, l'histoire suit son cours. Comme on dit si bien : "tout vient à point a qui sait attendre". Toute ces étapes sont nécessaires ^^ ! Merci pour vos reviews et bonne lecture, à bientôt.

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21


 

Plusieurs heures plus tard, Ryo regarde l’étendu d’eau éclairé par la lune. Il sait qu’il a bien fait de la conduire jusqu'à sa chambre et l’inviter à se reposer.  

Elle n’est pas prête, voilà ce qui lui a sauté aux yeux. Encore quelques jours et peut-être ?  

Pour le moment, le nettoyeur réfléchit au chemin que la jeune femme devra faire pour retrouver une vie plus normale. Il aimerait la retrouver comme avant, innocente et inconsciente de ce qui l’entoure, sa naïveté face à la vie lui manque un peu. Etrangement malgré le travail qu’ils font, jamais elle n’avait jamais perdu confiance en l’être humain. Elle a toujours octroyé aux autres le bénéfice du doute allant jusqu’à chercher la moindre parcelle d’humanité en chacun d’eux.  

Ryo se décide à aller se coucher dans sa chambre, mais avant il vérifie que toutes les portes sont fermées. Sur ce point sa partenaire est toujours là même, un peu tête en l’air en ce qui concerne les règles de sécurités de bases. A cette pensée il sourit, son Sugar boy n’est finalement pas très loin, du moins l’espère-t-il.  

Par habitude, il entre dans sa chambre se déshabille et reste en caleçon avant de pénétrer dans la chambre de sa partenaire. Et là, il l’observe dormir, il ne peut pas résister à l’envie de venir déposer un baiser sur son front et sourit en voyant que les couvertures sont déjà un peu de travers, spontanément, il les réajuste avant de s’éclipser puis de s’effondrer sur son lit et enfin s’endormir.  

 

Au moment ou Ryo émerge de sa nuit. Il sent une odeur de produits ménager, aussi décide-t-il de se lever et d’aller voir ce que sa partenaire a déjà fait de si bon matin.  

En fait, il est déjà dix heures trente et la jeune femme qui est réveillée depuis plusieurs heures dans un lieu qu’elle ne connaît pas et les pièges de Falcon la dissuadant de sortir. Voyant un tout petit amas de poussière elle avait juste décidé de faire un peu de ménage. Quand Ryo la voit en train de passer le plumeau en chantonnant, il ne peut que sourire. Il la sent sereine et reposée.  

 

Au bout de quelques secondes la jeune femme sent un regard poser sur elle, mais elle n’est pas inquiète, elle sait qu’il s’agit du nettoyeur. L’intensité de son regard en revanche la trouble plus que raison.  

 

- Bien dormie ? demande le nettoyeur.  

 

Elle se tourne vers lui et lui octroie un petit sourire, tandis que ses joues sont toujours colorées, en effet Ryo n’a que son caleçon. La jeune femme est habillée par contre d’un bas de jogging et d’un sweater.  

 

- Tu vas prendre froid comme ça déclare-t-elle sur un faux ton de reproche.  

 

Taquin, il déclare :  

 

- Ose dire que ça me va pas ! déclare-t-il avec une fausse moue boudeuse.  

- Je n’ai pas dis ça, répond-elle, sur un air de défis, mais ce qui est sûr c’est que tu vas attraper la crève.  

- Réchauffe-moi de ton corps alors ! déclare-t-il en prenant un air lubrique pour lui courir après dans la maison.  

 

Décontractée et consciente que c’est juste un petit jeu elle ne lui donne pas de coup de massue. C’est dans cette douce ambiance que les deux nettoyeurs entrent dans la cuisine ou Kaori a déjà fait des merveilles. Il l’attrape et lui dit :  

 

- Ça sent bon…  

- Vraiment ?  

- Oui… dit-il dans un murmure en plongeant sa tête dans le cou de la jeune femme.  

- Merci…  

 

Ryo ne peut pas identifier la raison de ce merci, la logique voudrait que ce soit pour le compliment, mais il est sûr qu’il y a plus de raison à ça. Aussi lui dit-il :  

 

- De rien, Sugar Boy.  

 

 

Il finit par la lâcher pour qu’ils puissent manger tranquillement. A la fin du repas Ryo lui dit :  

 

- Falcon va passer aujourd’hui.  

- Ah bon ? pourquoi faire ?  

- Pour toi.  

- Moi ?  

- Pour t’aider à apprécier d’avantage l’environnement qui t’entours.  

- …  

 

il lui prend la main et l’embrasse et lui dit :  

 

- Il va t’aider à te retrouver.  

- D’accord – Elle se lève – je vais m’habiller.  

 

Elle se lève et quitte la cuisine. Pourquoi se retrouver avec Falcon ne la rassure pas ? Pourtant c’est son ami. Non, c’est autre chose, elle craint de ne pas pouvoir se contrôler.  

 

* * * * *  

 

Finalement, quelques jours après que Falcon soit arrivé, Kaori se détend au fur et à mesure des exercices…  

Le géant et Ryo se sont évertués à initier la jeune femme à différents arts martiaux permettant de prendre sur elle, ils ont fini cette étape par la capoeira, qui consiste à faire des enchaînements de mouvements sur de la musique ayant pour but d’habituer Kaori aux bruits. Le nettoyeur et Falcon en ont même profité pour diffuser à diverses heures, à des moments plus inattendus les uns que les autres des bruits environnant de la grande ville.  

Ils lui ont aussi enseigné à ressentir les présences, bien sur la jeune femme connaissait déjà ça, mais ces capacités étaient tels qu’elle prenait chaque son pour une agression contre elle et la peur lui infligeait à cet instant là, une terrible sensation. C’était une peur intense et viscérale…  

 

Vers la fin de la semaine suivant le géant s’est attaqué au Yoga pour cela ils se sont installés sur l’herbe près de la maison  

Cependant un individu qui à la vue d’un géant en train de faire du Yoga (NDA : je pense effectivement que cela doit être caustique) n’a pas pu s’empêcher de se moquer et de faire venir la fumée aux oreilles d’Umibozu. Ce dernier ne perdant pas sa délicatesse habituelle a saisi le nettoyeur et s’en servit comme d’un missile et l’a envoyé dans les airs ce dernier a atterri au plein milieu du Lac en hurlant que ce n’était pas gentil et qu’il était incompris. Kaori a eu l’espace d’un instant les yeux pétillants d’amusement de voir son partenaire ainsi traité.  

 

Conscient que la jeune femme est décontractée, Falcon veut la tester pendant que Ryo est un peu loin. Mais ce dernier fixe le géant et quand ce dernier actionne une télécommande le nettoyeur.  

« Elle n’est pas encore prête » songe Ryo « j’en suis sûr ».  

 

Mais quand l’explosion un peu plus loin dans la pinède s’effectue la jeune femme sursaute et se tourne vivement dans la direction de l’explosion, le regard inquiet. Mais ne sentant aucune tension néfaste elle s’en détourne rassurée. Aucuns cris aucun tremblement l’empêchant de réfléchir, elle a juste été surprise.  

 

- Bravo Kaori fait la voix bourrue derrière elle.  

- C’était toi ?  

- Oui.  

- …  

- Tu as bien réagis.  

- …  

 

Au même instant Ryo débarque et demande à la jeune femme.  

 

- Ça va ?  

 

Elle fait une petite grimace mais dit :  

 

- J’ai toujours le cœur qui bat très vite mais ça peut aller.  

- Tu n’as pas crié, déclare Ryo.  

- J’ai fait tout ce que j’ai pu pour toi Kaori, maintenant le reste dépend de toi.  

- Merci Falcon.  

 

Le géant tourne les talons et retourne prendre sa voiture et disparaît dans un nuage de poussières.  

Soudain le ventre du nettoyeur fait un bruit effroyable, la jeune femme la dévisage surprise puis sourit.  

 

Ensemble, ils se dirigent vers l’intérieur de la maison de campagne, rapidement Kaori prépare des sandwichs elle n’a pas envie de faire à manger. Ils s’installent dans le living-room s’installant en tailleur devant la télévision et une petite comédie pour changer. En effet, pour pousser l’entraînement de la jeune femme, les deux hommes l’avaient « forcée » à regarder des films de guerres.  

 

- Ça te plait ce film ?  

- Oui, j’en ai un peu marre des films de guerres.  

- J’en doute pas ! dit-il en se rapprochant d’elle pour l’enserrer de ses bras.  

 

Fin du chapitre  

 

 

 


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