Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 21 capitoli

Pubblicato: 25-03-05

Ultimo aggiornamento: 21-12-06

 

Commenti: 124 reviews

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RomanceDrame

 

Riassunto: une lettre, un secret, et des choix.

 

Disclaimer: Les personnages de "C'est ton choix ! Assume !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

What do the ratings mean?

 

- G: General Audience. All ages admitted. This signifies that the fanfiction rated contains nothing most parents will consider offensive for even their youngest children to see or hear. Nudity, sex scenes, and scenes of drug use are absent; violence is minimal; snippets of dialogue may go beyond polite conversation but do not go beyond common everyday expressions. - PG: Parental Guidance Suggested. Some m ...

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   Fanfiction :: C'est ton choix, assume !

 

Capitolo 15 :: La séparation

Pubblicato: 15-03-06 - Ultimo aggiornamento: 15-03-06

Commenti: Salut tout le monde ^^ ! Je suis désolée pour le délais entre les chapitres x_x, désolée. j'essaierais de faire moins pire. Mais il y a incontestablement des fics plus facile à écrire que d'autres. et celle ci ne l'est pas. En tout cas j'espère faire un peu plus court comme délais pour le prochain chapitre (lol) allez n'oubliez pas de poser des reviews pour m'encourager :) kiss ^^

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21


 

Quelques jours plus tard, le couple City Hunter rentra dans leur appartement, le voyage de retour se passa bien. Ryo monta leurs affaires tandis que Kaori le suivait un peu pensive, elle se demandait comment ils allaient faire dans la vie de tous les jours.  

 

Une fois à l’intérieur, Ryo posa les sacs et se retourna vers elle. Il la prit tendrement dans ses bras et l’embrassa sur la tempe droite, ce qui eut pour effet de sortir la jeune femme de ses pensées, elle le regarda dans les yeux et lui octroya un magnifique sourire.  

 

- On est rentré.  

- Oui, répondit-il en posant son front contre celui de sa partenaire.  

 

Mais très vite son envie prit le dessus et il ne put s’empêcher de lui mordiller le lobe de l’oreille tandis que la jeune femme glissa ses mains dans le cou de son étalon. Ryo l’emporta jusqu’à sa chambre.  

 

Plusieurs heures plus tard, alors qu’ils s’étaient endormis lovés l’un contre l’autre, le téléphone les réveilla. Ryo tendit le bras et amena le combiné à son oreille.  

 

- Allo ? Miki. Si on vient au Cat’s Eyes ?  

 

Kaori qui s’était relevée luit offrit un super sourire à son amant.  

 

- Aucun problème on viendra, vers… - il regarde le réveil et dit – vers 17h30. Ok, à tout à l’heure.  

 

Il reposa le téléphone et posa son regard sur son ange, elle lui dit un peu inquiète :  

 

- C’est l’épreuve de force ?  

- Oui, mais je serais là.  

 

Elle se cala encore un peu contre lui, pour sentir sa chaleur, sa présence. Bien sûre, elle avait fait d’énorme progrès mais c’était dans ses bras qu’elle se sentait le plus en sécurité.  

 

Un peu plus tard, elle se releva alors que son homme dormait à poing fermé. Elle voulait vite se doucher cependant à peine avait-elle eut le temps de récupérer un peignoir dans sa chambre alors que l’eau coulait dans le bain. Quand elle revint vers la baignoire elle découvrit Ryo qui l’attendait avec un grand sourire. Il lui dit taquin :  

 

- Je vais te gratter le dos mon ange, tu veux bien ?  

 

Malgré ses joues qui se colorèrent immédiatement, elle fit de son mieux pour laisser tomber la chemise qu’elle avait piquée à Ryo, le plus lentement possible pour lui dévoiler son corps pour l’attiser. Doucement, elle se glissa dans l’eau mais c’était sans compter sur Ryo, qui l’attira tout de suite à lui. Ils restèrent un moment dans les bras l’un de l’autre. Puis ils durent se dépêcher pour ne pas arriver en retard au Cat’s Eyes.  

 

La jeune femme alla dans sa penderie pour s’habiller d’un simple jean avec un chemisier grenat, elle descendit rejoindre Ryo. Il était déjà prêt et c’est ensemble qu’ils quittèrent l’appartement à pied.  

 

D’un commun accord, Ryo simula de sauter sur quelques passantes tandis que la jeune femme tentait de l’écraser. Cela avait pour objectif de dérouter leurs éventuels ennemis mais également cela permettait à Kaori de ne pas penser à ce qui l’entourait.  

 

Ils entrèrent dans le café, Ryo sauta sur Miki mais ce dernier fut intercepté par le géant et atterrit dans le mur, puis une massue vint lui écraser la tête, intitulée « crétin irrécupérable »  

Kaori s’assit sur le tabour,et très vite le nettoyeur vint se glisser sur le tabouret à côté d’elle. Tout de suite les deux anciens mercenaires s’aperçurent qu’il y avait eut du changement entre les deux nettoyeurs.  

 

- Comment te sens-tu Kaori ? demanda Miki tout en posant un café et une part de gâteau.  

- Ça va. Cette petite semaine m’a fait un bien fou.  

- Ça se voit !  

 

L’après-midi se passa bien, Kaori n’eut aucun sursaut, elle tourna juste la tête vers l’extérieure mais ce n’était pas grave. En fait c’était qu’elle sentait une tension malveillante, Ryo était impressionné par ses réflexes, elle devenait excellente…  

 

---------- retour présent----------------  

 

- Un peu trop même… , murmura le nettoyeur.  

 

Toujours assis sur le canapé, il posa la tête sur le dossier et dit :  

 

- Dire qu’elle m’a sauvé la vie, et que c’est à cause de ça que je lui ai dit de me quitter… et regarde Aï, voilà ou on en est.  

 

En effet était posée à côté de lui un joli bébé avec de grands yeux qui babillaient tant qu’elle pouvait. Il s’attarda sur la « chose », elle lui tendait les bras avec une véhémence, qu’il ne put pas l’ignorer.  

Il détacha le joli bébé et le prit dans ses bras. Aussitôt cette dernière se lova contre le nettoyeur. Instinctivement ce dernier respira son odeur.  

 

- Ta maman (utiliser ce terme là lui faisait un drôle d’effet) m’a fait un drôle de coup là, je ne m’attendais vraiment pas à me retrouver avec quelque chose comme toi dans les bras.  

- Gailaaaaaaaa ygailaaaaaaaa aaaaaaerrrrrreuuuuuuuuh  

- Et bien, tu en racontes des choses. Dommage que je ne parle pas le bébé, sans quoi je suis sûre que tu m’aurais dis ou est ta maman.  

 

Ryo soupira, il se doutait bien du nom du responsable de cette petite fille. Lui. Soudain, une mauvaise odeur, attira son attention. Il baissa les yeux et Aï battait des mains.  

 

- C’est toi je suppose…  

 

Le nettoyeur se dirigea vers les différentes portes et finit par trouver celle de la salle de bain, il déposa la marchandise sur la table à langer et tourna le dos une minute pour voir ce dont il aurait besoin pour sa tâche.  

Une alerte dans son esprit se fit car il se retourna rapidement pour réchapper le bébé qui avait voulu dire bonjour au sol.  

 

- Fais attention Aï ! S’il t’arrive quelque chose c’est pas une massue que j’aurais mais une cargaison. Hum, ta mère n’a pas de masque contre les odeurs ? Car soyons franc, tu pues.  

 

Et la fillette battit des mains.  

 

- Tu sais c’était pas un compliment.  

- Guyaaaaaa gailla adaadaada !  

 

Il lui défit sa camisole (enfin à ses yeux), et défit la chose puante, et poussa une grimace à sa vue. Il l’empaqueta rapidement et dit :  

 

- Bon je crois que je vais te nettoyer ça mais qu’après faut le bain c’est ça ?  

 

Il se rappelait vaguement avoir lu les instructions que Kaori lui avait donné en ce qui concerne « le paquet ».  

 

- Et je suppose que si je te prends dans mes bras sans couche, tu vas te faire une joie de me baptiser c’est ça ?  

 

Le bébé acquiesça en lui offrant un magnifique sourire. Ryo la prit néanmoins dans ses bras en espérant que tout ait été fait dans la couche et il fit couler dans la baignoire une quantité d’eau raisonnable pour éviter de noyer la petite fille.  

 

Il la fit asseoir dans des espèces de cerceau qui étaient là pour la maintenir sans la faire tomber dans l’eau. Négligemment, Ryo descendit quelques jeux et se replongea dans ses pensées tout en observant la petite miniature, cette dernière lui arracha un sourire quand il la vit taper l’eau avec ses mains.  

 

- Tu sais pas dans quel guêpier ta mère s’est mise par hasard ? Ce soir je dors là, et demain je t’emmène dans ce lieu sûre que ta mère t’a choisi jusqu’à ce que tout soit arrangé.  

 

Le bébé le regarda d’un air plus ou moins interrogateur.  

 

- Bah oui, se battre contre des méchants avec un bébé c’est pas trop possible.  

 

Elle avait des yeux noirs et des cheveux châtains clair.  

 

- Ne t’en fais pas, après je retrouverais ta maman.  

 

Il l’observait tout en repensant à ce qui avait déclenché le départ de sa partenaire.  

 

-------- Retour dans le passé----------  

Plusieurs semaines étaient passées sans encombre, mêlant le plaisir d’être ensemble. Mais quelque chose de grave se passa, Ryo et Kaori utilisaient la passerelle pour passer au dessus de la route rapide. Une pulsion se fit sentir, mais une fois ne fut pas coutume Kaori réagit plus vite que Ryo et le poussa de toutes ses forces, la balle vint frôler la tempe de la jeune femme qui s’évanouie sur le coup dans les bras du nettoyeur.  

Ce dernier se releva avec la jeune femme dans ses bras et tira sur la voiture qui l’avait visé. Il tenta de la réveiller, il réussit à se relever et à filer avant que la police n’arrive.  

Il fila jusqu’au Cat’s Eyes qui n’était pas bien loin de là. Il entra, Kaori dans ses bras et leur dit d’appeler le Doc de toute urgence.  

Miki le guida jusqu’à leur chambre d’ami et revint avec une bassine d’eau pour enlever le sang.  

 

- Que s’est-il passé Ryo ? demanda l’ex mercenaire.  

- …  

 

Ce dernier était tétanisé, il regardait sa partenaire d’un air absent, il était assis sur le bord du lit. Au moment ou le Doc et Kazue furent entré dans la pièce Ryo se leva et alla face à la fenêtre, son regard s’était fait rageur, colérique et impénétrable.  

Il savait qu’elle était vivante, il sortit de la pièce sans même leur dire quoi que ce soit. Il sortit du café et avança dans les rues, malgré l’agitation il avait vu la voiture, elle avait un capot rouge alors que le reste de la voiture était noir, pour faire discret on fait mieux s’était-il dit.  

 

Il fit le tour de ses indics. Il voulait retrouver celui qui avait tiré sur sa partenaire, enfin plutôt sur lui. Ryo n’avait jamais pensé qu’en apprenant à Kaori à devenir une professionnelle et après cette semaine à ressentir les présences, elle le protégerait lui !  

Il n’avait jamais voulu ça ! Bien sûr elle s’était déjà à plusieurs reprises interposée entre lui et les balles, mais là c’était différent. Elle l’avait devancé !  

L’amour qu’elle avait pour lui, lui faisait prendre des risques inutiles ! Et il ne voulait pas que ça puisse se reproduire. Alors, au moment ou il s’avança de ses deux proies il prit la décision de lui dire de partir.  

 

Il s’avança tel un félin, il n’avait pas peur de ces petits jeunots en mal de position, mais il constata que ce n’était que des gosses. Guère plus âgés qu’une vingtaine d’années. Il se demanda ou était le rôle des parents là dedans…  

Il leur fit donc une coupe à la City Hunter et leur ordonna de quitter la ville, ils étaient originaire d’un village plus au nord de Tokyo ou ils faisaient les forts et ils voulaient monter dans la hiérarchie.  

 

Quelques heures plus tard après être passé à leur appartement pour rassembler les affaires de la jeune femme, il la rejoignit au Cat’s Eyes. Elle s’était réveillée depuis un moment, et avait été déçue de ne pas voir son amant près d’elle.  

Et puis il arriva, il déposa les bagages de la jeune femme en bas dans la salle. Umibozu ne lui fit aucune remarque, il s’entait en Ryo une détermination sans pareil. Il demanda juste ce qui s’était passé et Ryo lui avoua.  

C’était le professionnel qui en avait pris un coup, mais également l’amant. Il aurait voulu pouvoir faire perdurer leur relation éternellement, mais ce monde le rattrapera toujours, inlassablement.  

 

Il pénétra dans la chambre d’ami, et s’assit sur le bord du lit. Il regardait Kaori avec tristesse, amour et inquiétude. Elle s’éveilla quelques secondes plus tard quand il lui remit une mèche en place.  

 

- Ryo ?  

- C’est moi.  

- Pourquoi tu étais pas là tout à l’heure ?  

- Je réglais leur compte aux deux petites frappes qui ont tiré. Et j’avais d’autres choses à faire…  

 

Un léger silence s’installa, la jeune femme sentait et ressentait comme si c’était la sienne la tension de son amant.  

 

- Quoi d’autre ? finit-elle par demander.  

- Je veux que tu quittes le Japon et que tu rejoignes ta sœur à New York.  

- Ah oui ? Et qui a décidé ça ? demanda-t-elle agacée.  

- Moi.  

- Et tu as décidé pour moi c’est ça ? Je ne te laisserais pas faire Ryo Saeba, murmura-t-elle.  

- Et bien moi ! Je ne veux plus de toi, je ne veux plus de toi chez moi ! (il insista bien sur le chez moi).  

- Tu peux me forcer à te quitter Ryo ! déclara-t-elle sur la défensive, elle commençait à parler plus fort, elle se redressa. MAIS TU N’AS PAS LE DROIT DE ME DIRE CE QUE JE VAIS FAIRE !!!!!!  

- Et qu’est ce qui m’a foutu ! une femme pareille !  

- MON FRERE ! hurla-t-elle.  

- Désolé, murmura-t-il.  

 

Kaori se calma immédiatement, il faut dire qu’à cause de sa blessure elle commençait à voir trouble. Prise d’un léger vertige elle se recoucha contre l’oreiller et demanda les larmes coulant sur ses joues :  

 

- Tu veux vraiment que je parte Ryo ?  

- Oui.  

- Pourquoi ?  

- Je ne veux plus que tu prennes une balle par ma faute.  

- Si je me suis mise devant toi c’est pour te protéger.  

- Je sais. Et je sais aussi que si tu t’en prends encore par ma faute.  

 

Elle soupira et répéta comme une litanie :  

 

- J’ai choisi de vivre dans ton monde.  

- Je sais mais je ne l’accepte pas.  

 

Ryo se leva, pour lui la discussion était close, la jeune femme savait qu’il ne changerait pas d’avis. Elle le retint par la main.  

 

- Ryo…  

- …  

- Embrasse-moi…  

 

Il écarquilla les yeux, elle lui demandait de l’embrasser. Il se pencha tel un automate en espérant qu’il saurait résister mais en vain. Un baiser en précéda un autre, une caresse prit le relais. Un geste en entraîna un autre, et dans la douleur de la séparation ils ne firent plus qu’un. Leur orgasme se perdit dans leur souffrance, Ryo reposa sans force dans les bras de la femme qu’il aimerait toujours.  

Au petit matin, Ryo avait quitté l’établissement et n’y remit plus les pieds pendant un moment. Il ne lui avait pas demandé pardon pour cet instant de faiblesse car s’il lui avait dit un mot ou écrit un mot comme « pardon ». Elle aurait cru qu’il regrettait cette nuit là.  

 

Ryo quitta la ville se mettant au vert, à son retour les anciens mercenaires lui apprirent qu’elle était partie et qu’elle avait changé de noms. Il était parti pour réfléchir, mais malheureusement l’image de la jeune femme était venue court-circuiter à de nombreuses reprises. Quand il apprit qu’elle était partie, il en avait ressentit du soulagement et une terrible douleur. Il s’était attendu à ce qu’elle soit encore là à son retour, qu’elle tenterait de le convaincre à nouveau, il avait espéré ça, car il savait qu’il n’aurait pas pu lui dire non.  

Aucun de ses amis ne lui firent aucune remarque, ils savaient tous qu’il regrettait déjà son acte mais que sa raison lui interdirait à jamais de faire un geste pour la trouver.  

 

 

**********  

 

En fait à présent il comprenait la réelle raison de son départ. Elle lui avait dit qu’elle ne quitterait jamais Tokyo et quand il était revenu, il pensait la voir même discrètement. Il avait eut ce qu’il voulait, il était revenu au bout d’un mois et demi pour lui dire qu’il avait eut tort. Il pensait la trouver chez Miki mais non, elle avait finit par partir définitivement.  

 

Il regarda le bébé dans la baignoire et s’agenouilla devant :  

 

- Finalement la raison de son départ, c’était toi petite – il sourit – C’est vrai que tu vaux tous les sacrifices… et puis ta maman n’a jamais dut me pardonner cette nuit-là. Mais au moins, elle lui a donné un cadeau : toi.  

 

La petite fille battit des mains une nouvelle fois en lui faisant un large sourire :  

 

- Tu es bien comme ta maman, tu n’es pas du tout sauvage. Même face à un inconnu.  

 

Le terme « inconnu » lui fit plus mal qu’il l’aurait cru, il savait qu’il ne l’était pas. Mais pour Aï c’était ce qu’il était. Il s’absenta quelques minutes et revint de quoi la changer. Il la sortit du bain et la déposa sur la table à langer ou il s’agita pour réussir à lui faire tenir la couche.  

 

 


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