Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 2 :: Un soir de fète...

Pubblicato: 11-03-06 - Ultimo aggiornamento: 11-03-06

Commenti: Avant toute chose un grand merci à Océane28, Moon, Myriam, Saintoise, Grifter, Titia, Tenshi, billa, Kaoridu95 et à Kit. Il faut dire que si vous avez ce chapitre si tot c'est grace à elle ! (Ton dernier mail ma tellement fait plaisir que voila le résultat....). J'attend avec impatience le moindre de vos commentaires, et j'espère que cette fic continura à vous plaira ! J'espère que ce chapitre ne vous decevra pas ... (surtout toi Kit !) Bises à toutes (et à tous on ne sait jamais...) et bonne lecture.

 


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Chapitre II : Un soir de fête…  

 

Les jours s’étaient écoulés tranquillement depuis l’anniversaire de l’étalon de Shinjuku, le mois d’avril était déjà bien entamé et les journées se faisaient déjà plus chaudes.  

La vie du duo qui constituait City Hunter n’avait guère changé ; la seule modification, et qui n’était pas des moindre, et le fait que Ryô était plus attentionné avec sa partenaire, que les petites phrases assassines avaient diminué de moitié, et que les regards langoureux se faisaient de plus en plus présents.  

Kaori rayonnait de bonheur et se disait qu’enfin elle allait pouvoir aimer et être aimée par le seul être qui comptait plus que tout pour elle. C’était donc le sourire aux lèvres qu’elle se rendait au Cat’s Eyes où toute la petite bande avait rendez vous. En effet le dernier défilé d’Eriko avait été un chef d’œuvre et les commandes affluaient de toutes parts, c’est pourquoi cette dernière avait décidé de faire une petite soirée pour fêter son succès.  

 

Kaori était vêtue d’une jupe noire lui arrivant à mis cuisses et d’un petit pull blanc, ces vêtements pourtant des plus simples faisaient ressortir sa beauté et accentuait sa fine silhouette. A peine eu t’elle le temps de rentrer dans le bar qu’une tête blonde lui fonçait déjà dessus.  

 

- « Kaori ma toute belle, viens me trouver mon amourrrrrrrrrrrrrrrrr … »  

 

Mais cette dernière n’eu pas le temps de lui abattre la massue de 1000T « pervers à éradiquer » que notre américain s’était retrouvé avec le canon d’un Python 357 Magnum entre les deux yeux.  

 

- « Dégage de là l’amerloque » lui lança son jumeau brun.  

 

- « Tu veux te la garder pour toi tout seul HEIN, ESPECE D’EGOÏSTE, MAIS JE NE TE LAISSERAIT PAS FAIRE MOI ….. »  

 

- « Ahahahah… Mais non qu’est ce que tu vas chercher, je me disais simplement que Kazue n’appréciait pas trop. Mais en fait tu peux continuer cela me permettra de la réconforter à ma manière hihihihihi ! »  

 

- « Ne touche pas à ma femme espèce de dégénéré du slip, je vais te montrer moi… »  

 

- « C’EST PAS BIENTOT FINI TOUT LES DEUX » leur hurla dessus Kaori avant de les aplatir sous deux massue ou été écris « Cas Irrécupérables ».  

 

- « Parfdon maf doufe mais f’est lui fi a commenfer »dit Mick tout en s’extirpant de dessous la massue.  

 

- « N’en rajoute pas Mick, où tu en veux peut être une autre … » lui dit Kaori tout sourire alors que Ryô caché derrière sa partenaire se moquait de lui et lui tirait la langue.  

 

A ce moment la sonnerie du téléphone se fit entendre et Miki alla donc décrocher.  

 

- « Kaori c’est pour toi, c’est Eriko, elle veut te parler. » dit elle à cette dernière.  

 

Kaori prit donc le combiné entre ses mains ; une minute plus tard la conversation se terminait et cette dernière ce dirigeait vers la porte.  

 

- « Eriko est un peu en retard, car elle a du aller déposer des papiers à l’imprimerie du coin je vais donc à sa rencontre elle n’est qu’à deux rues d’ici. Dans quinze minutes au plus nous sommes de retour ; à tout à l’heure. » dit elle en refermant la porte.  

 

Au bout de quelques minutes de marche elle retrouva Eriko à deux rues du Cat’s comme cette dernière le lui avait dit.  

 

- « Salut Eri ça va ? »  

 

- « Oui ça va bien et toi dis moi ? »  

 

- « Ca va très bien … Tout ce passe bien, … et j’ai l’impression que ma relation avec Ryô et enfin en train d’avancer. Je suis heureuse Eri. »  

 

- « Je suis très contente pour toi, il était temps que ce grand nigaud se décide enfin ! Cela faisait… Kaori qu’est ce qu’il se passe ? » demanda t-elle devant son ami qui affichait une mine grave.  

 

- « Nous sommes suivies … En fait nous sommes même encerclées. Vien suis moi ! »  

 

- « Mais comment ça je ne vois personne moi, … tu en es sure Kaori ? »  

 

- « Oui j’en suis sure maintenant dépêche toi nous ne somme plus très loin du Cat’s Eyes » lui dit Kaori tout en lui prenant la main pour la forcer à presser le pas.  

 

Car en effet toutes ses nuits à courir après Ryô dans les quartiers chauds de la ville lui avait permis de développer son ouie, et toutes ses années passées à ses cotés lui avait appris à développer son instinct ; et la ce dernier lui disait que le danger était proche, trop proche même.  

Elle sentait c’est son estomac se nouer et des frison lui parcourait le corps. Elle décida donc d’accélérer encore le pas afin d’arriver le plus vite possible ; quand tout à coup surgit devant elles deux hommes. Kaori voulut faire marche arrière mais deux autres hommes sortirent de l’ombre et les entraînèrent dans une ruelle adjacente.  

 

- « Lâchez nous espèce de gros débiles » leur hurla Eriko avant de se recevoir une baffe magistrale.  

 

- « Vous allez le payer, ça je vous le jure, vous ne vous en sortirez pas comme ça » lança Kaori alors qu’elle se débattait pour allez rejoindre Eriko qui était un peu sonnées dans les bras d’un des hommes ; alors qu’elle était parvenue à se défaire de l’emprise des deux hommes un cinquième sortit d’un des recoins de la ruelle et lui donna une droite magistrale. Le sang coulait de sa bouche et sa joue commençait déjà à virer au rouge.  

 

- « Kaori »hurla Eriko  

 

- « Ta gueule » lui dit un des hommes.  

 

- « Alors Kaori, ma jolie, comme on se retrouve, ça faisait longtemps » lui susurra le cinquième homme alors qu’il la plaquait contre le mur de son corps.  

 

Puis il sortit une énorme dague de derrière son dos et parcourut le corps de Kaori avec cette dernière. A quelques mètres de là Eriko sanglotait et tremblait de peur.  

La pointe acérée de la dague remontait le long de la cuise droite de Kaori tout en laissant un mince filet de sang s’écouler, la plaie n’était pas profonde et bien qu’elle n’en montre rien la douleur elle était belle est bien présente. Il déplaça ensuite son couteau pour aller s’occuper de l’autre jambe, elle avait beau essayer de s’extirper de cet enfer l’homme avait une poigne de fer et le moindre de ses mouvements se retournait contre elle.  

 

Un fois qu’il eu achevé son travail sur les cuisses de cette dernière il remonta son couteau au niveau de sa poitrine et dû donc pour ce faire se décaler un peu, cette légère seconde de liberté permis à Kaori de déplacer une de ses mains vers l’intérieur de son sac et d’en sortir le pistolet de son frère. L’homme sous le coup de la surprise recula de quelques pas ; elle le mis en joue et demanda aux quatre autres hommes qu’elle pensait être des sous-fifres de relâcher son amie ; celui qui tenait fermement Eriko la libera et se plaça à coté des trois autres. Au même moment une voiture passa non loin de là et ses phares inondèrent de lumière la sombre ruelle où un triste spectacle se jouait. Kaori fut éblouie pendant un très court instant, mais cela donna suffisamment de temps à l’homme au couteau pour se rapprocher de cette dernière et de lui transpercer l’épaule gauche avec la dague. Kaori hurla sous le coup de la douleur, elle se sentit transpercée de part en part par et se retrouva empalée au mur par cette lame froide qui au moindre geste lui déchirait la chaire.  

 

- « Au se reverra très vite Baby Dole » lui susurra t-il au creux de l’oreille avant de lui lécher le lobe.  

 

A ses mots les yeux de Kaori s’ouvrirent en grand et son regard se voila de tristesse et de rage alors que les cinq hommes avaient déjà pris la fuite.  

 

- « Eri... va chercher Ryô et les autres… fait vite… Allez dépêche toi ça va aller » dit elle à son amie qui était prise d’une crise de panique. En effet cette dernière ne parvenait plus à parler et son corps était immobile tel une statue ; aux derniers mots de Kaori un sursaut de conscience lui revint et elle se hâta de courir jusqu’au Cat’s prévenir de l’aide.  

 

 

Au même moment au café notre petit groupe commençait à s’inquiéter, Kaori était partit depuis plus de vingt cinq minutes ; surtout qu’elle avait dit qu’Eriko se trouvait à deux rues d’ici.  

Tandis que Miki n’en tenant plus était sur le point de prendre sa veste pour aller voir où elles se trouvaient la clochette se mit à sonner ; ils virent alors rentrer Eriko en pleure, la joue rouge, et les vêtements froissés.  

 

- « Eriko, mon dieu que c’est il passé, où est Kaori ? » lui demanda Mick  

 

Cette dernière avait beau essayer de parler aucun mot ne sortait de sa bouche, mis à part des halètements ; elle prit alors la main de Ryô dans la sienne et l’entraîna derrière elle, tout les autres suivirent au pas de course.  

 

Ils arrivèrent enfin devant la ruelle et Eriko se stoppa, elle ne pouvait pas y retourner, c’était au dessus de ses forces. Le spectacle qui s’offrit alors à leurs yeux était des plus pénibles ; ils virent Kaori adossée contre un mur, une main posée contre son épaule gauche sur ce qui semblait être le manche d’un couteau.  

 

- « Kaori non, ne fais pas ça attend, si tu retires le couteau une importante hémorragie peut s’en suivre. » S’exclama Kazue qui avait compris les intentions de la jeune femme.  

 

- « Je... je ne peux plus… mes jambes ne me portent plus » dit elle à bout de souffle.  

 

Mais à peine avait elle finit sa phrase que deux bras puissants la prirent à la taille pour l’enserrer dans une étreinte des plus délicate.  

 

- « Ces bras sont faits pour te retenir Kaori, et mes jambes sont assez fortes pour nous porter tout les deux, laisse toi aller, … je suis là, je te tiens ma chérie et je ne te lâcherait pas. » lui dit Ryô qui avait bien vite su analyser la situation, et comprit l’ampleur des dégâts.  

 

- « Oh Ryô … » souffla cette dernière qui avait la tête qui reposait contre sa poitrine.  

 

Entre temps la petite troupe c’était rapprochée, Kazue examina attentivement la plaie et se rendit compte que Kaori n’était pas que transpercerait par un couteau comme elle le pensait, mais que cette dernière était réellement empalée au mur ; encore heureux qu’ils soient arrivés à temps, dieu seul sait dans quel état ils l’auraient trouvés s’y elle avait retiré le couteau.  

 

Mick revint alors avec la trousse de secours de son infirmière, qu’il était aller chercher dans sa voiture quand il avait vu Kaori dans cet état. Kazue pris donc quelques gazes ainsi que du désinfectant et une bande, et s’approcha du couple City Hunter.  

 

Ces derniers renvoyaient une image des plus magnifique malgré la situation ; en effet les deux protagonistes étaient éclairés par la lumière de la lune et le jeu des ombres produit par la nuit leurs donnait une apparence surnaturelle. Ils ressemblaient à deux anges, un ange venu des hauteurs du paradis, et un ange venu des tréfonds de l’enfer ; mais là uni dans les bras l’un de l’autre, ne formant qu’une seule et même entité, ils irradiaient de force et poussaient au respect.  

 

C’est donc très discrètement et très délicatement que Kazue posa sa main sur l’épaule du nettoyeur pour lui faire part de sa présence, ce dernier ce décala donc légèrement vers la droite, sans toute fois lâcher sa moitié, pour permettre à l’infirmière de s’exécuter.  

 

- « Kaori, ma chérie, je vais te retirer ce couteau... es tu prête ? »  

 

- « Ne pose pas de question et fait le Kazue » lui rétorqua Ryô.  

 

- « Bon très bien… j’y vais Kaori »  

 

- « Oui c’est bon… tu pe… AHHHHHH » avait elle hurlait alors que Ryô lui avait retirer la lame d’un coup sec voyant que Kazue avait du mal à se décider.  

 

- « Désolé ma chérie mais j’étais obligé » lui dit se dernier tout en lui embrassant son front couver de sueur.  

 

- « Non c’est bon… ça va, ne t’inquiète pas » lui murmura Kaori.  

 

Kazue s’afférait autour de la plaie avec ses gaz et son désinfectant, mais le sang ne cessait de couler il fallait l’emmener chez le doc rapidement sinon des complications risquaient d’avoir lieu.  

Falcon partit donc au pas de course chercher sa jeep, suivit de Mick qui allait lui-même chercher sa voiture. Cinq minutes plus tard deux bruits de moteurs se firent entendre ; Kazue, Eriko et Miki montèrent avec Mick, alors que Ryô déposait son précieux paquet sur la banquette arrière de la jeep et montait devant avec Falcon.  

 

Une vingtaine de minutes plus tard le doc vit débarquer chez lui deux voitures qu’il connaissait bien ; voyant Ryô sortir de la jeep le visage blême il se douta de suite que cela concernait Kaori. En effet quelques secondes plus tard City Hunter, se retrouvait avec sa moitié dans les bras ils se précipitèrent dans la salle de consultation ; mais voyant l’ampleur de la plaie le doc la transporta jusqu’à la salle d’opération où Kazue le suivit.  

 

 

Ryô et Mick tournait en rond dans le couloir, alors que Falcon était assis immobile sur sa chaise et que Miki était en train de soigner la joue d’Eriko. Un fois que le visage de cette dernière fut nettoyé et pansé, Ryô lui demanda de leur raconter toute l’histoire ; il voyait qu’elle était encore en état de choc mais il voulait des réponses et les voulaient maintenant.  

Eriko tenta donc de prendre sur elle pour se calmer, et grâce à l’aide de Miki elle parvint à leur raconter tout ce qui c’était passé. A la fin de ce récit la seule conclusion que nos trois nettoyeurs parvinrent à tirer était que cette attaque n’était pas dirigé contre City Hunter lui-même ; en effet à aucun moment le nom de Ryô n’avait été citer n’y même son pseudonyme. Cela voudrait donc dire que n’importe quelle autre jeune femme aurait pu être attaqué ; or Ryô avait un doute, il y avait dans cette affaire un « je ne sais quoi » qui le travaillait.  

 

Et cette chose sur laquelle il n’arrivait pas à mettre le doigt était que City Hunter n’était peut être pas réellement visé, mais Kaori Makimura elle l’était certainement.  

 

Quelques minutes plus tard les portes du bloc opératoire s’ouvrirent pour laisser passer Kazue et le doc qui poussaient un lit où Kaori était allongée.  

 

- « Ne t’en fais pas baby face ta partenaire est aussi coriace que toi ! Elle va très bien, elle a juste besoin de repos pour le moment. » dit le doc en passant devant nos cinq compères.  

 

Une fois que Kaori fut installée dans sa chambre Ryô et le reste de la bande allèrent la voir.  

 

- « Kaori, ma puce comment te sens tu ?» lui demanda Miki.  

 

- « Je vais bien, ne t’en fais donc pas, ce n’est rien de bien grave, dans quelques jours je suis sur pied ! »  

 

- « Tu nous à fait une sacré peur quand même » lui dit Falcon à la surprise générale.  

 

- « Je suis désolé... pardon »  

 

- « Et de quoi dis moi ?... C’est bien toi ça Sugar, … te sentir désolé pour un fait sur lequel tu n’as aucune emprise, et duquel tu n’es nullement responsable. » lui dit gentiment son partenaire qui était venu s’asseoir sur une chaise à coté de son lit.  

 

- « Bon il se fait tard, maintenant que nous savons que tu vas bien Kaori nous allons te laisser te reposer… Bonne nuit ma belle je passerait te voir demain » dit Mick tout en se penchant pour l’embrasser sous le regard méfiant de Ryô.  

 

- « Oui bonne nuit Kaori et à demain » lui dirent les propriétaires du Cat’s Eyes, ainsi qu’Eriko qui ne souhaitait qu’une chose à l’heure actuelle, prendre un bon bain et retrouver son lit pour se reposer et évacuer la peur qu’elle avait eu non pas pour elle mais pour son amie.  

 

- « Tu devrais y aller toi aussi Ryô. »  

 

- « Non je reste avec toi cette nuit Kaori, …tu m’as fait une peur bleue. » lui répondit il.  

 

- « Ryô c’est gentil mais je vais bien, et je ne risque rien le doc est là ; alors va te reposer toi aussi tu en as besoin. »  

 

- « Très bien je reviens te voir demain ... » et tout en se penchant il lui susurra à l’oreille d’une voie suave « Bonne nuit ma chérie, fait de beaux rêves » avant de lui embrasser tendrement le front.  

 

- « Bo … bonne nuit à toi aussi Ryô » lui répondit une Kaori dont le visage avait pris la teinte du rond qui se trouvait sur leur drapeau national.  

 

Ce dernier partit donc accompagné de Mick et Kazue et d’un ravissant sourire sur les lèvres. Il est vrai que voir sa partenaire devenir plus rouge qu’une tomate à chacun de ses compliments ou de ses mots doux lui procurait une grande joie ; elle avait beau rougir à tous les compliments qu’on lui faisait, personne n’avait encore réussit à égaler la couleur qu’elle prenait quand c’était lui. Et tout au fond de son être il voulait être et rester le seul à lui faire cet effet là.  

 

 

 


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