Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I correct a misplaced chapter?

 

It can happen that an author has several stories in process and that he adds a chapter of a story to another one. In this case, please don't add the chapter again and contact me (hojofancity@yahoo.fr) for ...

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 7 :: Le début d’une explication… ?

Pubblicato: 07-04-06 - Ultimo aggiornamento: 07-04-06

Commenti: Hello tout le monde ! ! J'espère que vous allez bien et que vous prenez toujours autant de plaisir à lire ma fic ? ! Je vous remercie énorment pour toutes vos reviews qui me font extrèment plasir et me poussent à continuer! Kit tu vois comme promis j'ai gardé ton idée et j'ai même trouvé une définition plosible pour ma fic LOL ! Bises à toutes Bonne lecture et enjoy it !

 


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Chapitre VII : Le début d’une explication… ?  

 

La mini Austin rouge de Ryô était arrêtée au niveau d’un feu de circulation, bientôt ce dernier passa au vert, mais l’occupant de la voiture ne s’en rendit pas compte. Les conducteurs des véhicules qui ce trouvaient derrière celle-ci commençaient à s’impatienter et à s’éreinter le poignet sur leur klaxon.  

 

Kaori perdue dans ses pensées mis du temps avant de comprendre qu’elle devait démarrer. C’est donc de manière inconsciente qu’elle passa la première et se mis en « pilote automatique » ; son corps ne fonctionnait plus que par conditionnement.  

 

Toujours en pleine réflexion, elle se demandait comment elle en était arrivée là, quand sa vie était devenue un tel paradigme.  

 

A peine trouvait elle un peu de stabilité dans sa vie avec Ryô que ce maudit passé refaisait surface.  

 

La stabilité était une chose qu’elle n’avait jamais vraiment eue. Depuis sa naissance, sa vie n’était que mensonges, chamboulements et perte des êtres chers. Son père, enfin l’homme qu’elle n’avait jamais considéré que comme son père, l’avait recueilli alors qu’elle n’était à peine qu’une enfant et l’avait aimait et chérie comme sa propre fille.  

Et puis du jour au lendemain elle s’était retrouvée seule avec Hide, son frère qui l’avait élevé du mieux qu’il avait pu. La vie sans une mère n’est déjà pas évidente pour un enfant, mais quand ce dernier perd ses deux parents cela en est traumatisant. Elle avait donc reporté tout son amour sur celui qui ne constituait désormais plus que sa seule et unique famille.  

Ensuite comble du malheur, le jour de son vingtième anniversaire son frère lui avait été enlevé ; il ne lui restait plus que ce quasi inconnu. Elle s’était alors jurée sur ce qu’elle avait de plus chère au monde, en l’occurrence la photo de son frère, que la fameux City Hunter serait son point d’encrage et de repère. Peu en importaient les risques, elle resterait avec lui, à ses cotés et se construirait elle-même sa propre famille avec en son cœur le beau nettoyeur. Elle s’était bien gardée de partager ses idées là avec lui, au départ plus par honte et timidité qu’autre chose ; et puis petit à petit elle s’était rendu compte que même si Ryô n’en disait pas un mot il partageait, ou tout du moins comprenait son point de vue.  

Sa famille elle se l’était donc faite, construite, et au bout de huit ans elle pouvait dire sans remords qu’elle n’en voudrait pas d’autre.  

 

Alors il était absolument hors de question, absolument inconcevable que Darcia et Kenji viennent anéantir tout cela ; ils ne mettraient pas à sac sa vie et celle d’Eriko.  

 

C’est sur ces dernières pensées que Kaori arriva devant le magasin de son amie ; elle gara la voiture sur le trottoir et se hâta vers l’entrée.  

 

 

Au même moment au Cat’s Eyes le reste de la troupe se demandait encore ce qu’il c’était passé, et ce qu’il venait de leur tomber dessus. Miki était hystérique et se demandait pourquoi Ryô n’avait pas accompagné Kaori ; ce dernier lui avait alors expliqué que c’était quelque chose que Kaori devait faire seule.  

Il avait vu dans le regard de sa partenaire une détermination et une rage qu’il ne lui connaissait pas, il lui avait alors permis de faire ce pas là sans lui, sachant pertinemment que les suivants elle les ferait avec lui à ses cotés qu’elle le veuille ou non ; elle lui était trop précieuse pour qu’il lui arrive quelque chose.  

 

Quelques minutes plus tard, l’inspectrice de choc et de charme fit son entrée dans le café ; cependant pour défaire la chronique elle ne se vit pas gratifiée d’un bonjour « à la Mick et à la Ryô », ces derniers se contentèrent d’un hochement de tête.  

 

Pour le moins surprise et quelque peu dépitée de ne pas être le centre de l’attention elle se dirigea d’un pas morne vers le comptoir.  

 

- « Et bien, et bien, et bien, quelle ambiance ici ! » voyant que personne ne se donnait la peine de lui répondre Saeko enchaîna « En tout cas c’est bien que vous soyez tous là, car je venais justement voir Ryô pour une affaire. J’ai, en ce moment, une enquête sur les bras qui me préoccupe pas mal ! »  

 

- « Ca ne m’intéresse pas Saeko ! Tu vas encore me refourguer une histoire abracadabrantesque, qui ne va rien me rapporter hors mis des ennuis ! Ma réponse est donc NON ! » lui répondit Ryô.  

 

- « Avant de faire ta tête de mule tu pourrais au moins écouter ce que j’ai à dire non ? »  

 

- « Après tout… si tu décides de perdre ton temps soit, racontes… mais cela ne changera rien du tout à ma décision. »  

 

- « Que de bonté de ta part Ryô, vraiment j’en suis flattée ! »  

 

Ce dernier ne tint pas compte de la remarque dés plus sarcastique et Saeko et se concentra sur les dossiers qu’elle déposait sur la table.  

 

- « Bon alors voilà, cela fait maintenant trois semaines que je travaille sur une affaire d’enlèvements et de meurtres. Jusqu'à ce jour nous avons retrouvés quatre corps de jeunes femmes ; toutes atrocement mutilées et battues à mort. Le lien que nous avons établi entre ces quatre meurtres n’a pas été des plus simple à faire ; en effet rien à priori ne semblait démontrer une quelconque relation entre ces cas, jusqu'à ce qu’un des officiers ne fasse une remarque dés plus pertinente sur le statu social de ces jeunes femmes. Il remarqua qu’elles étaient toutes quatre célibataires, sans emploie et pratiquement sans argent. »  

 

- « Si c’est pas une honte ça, de s’attaquer à de belles jeunes filles comme elles ! » s’exclama le blondinet de service.  

 

- « Oui, je vois bien que ton histoire est des plus sérieuse Saeko, mais d’un autre coté cela n’est rien de lus qu’une affaire de crimes, tu peux très bien te débrouiller toute seule, je ne vois pas pourquoi je devrais intervenir. » enchérit Ryô  

 

- « Le problème est que mis à part le lien du statu social nous n’avons rien d’autre, rien de tangible. Même leur mort diffère, l’une a été battue aux points, une autre avec une sorte de barre de fer, la troisième avec un objet contendant, et la dernière avec ce que nous croyons être une batte de baseball. Je suis en pleine bérézina Ryô j’ai besoin de ton aide. »  

 

- « Tient... mais qu’est ce que c’est que ça ? » demanda Miki qui était en train de regarder une des photos des dossiers.  

 

On pouvait en effet nettement voir sur cette dernière qu’une sorte de pin’s, était accroché au blouson d’une des jeunes femmes. Il était plutôt petit mais des plus élégant. Une flamme jaune et orange se trouvait en arrière plan, sur laquelle était déposée en son centre une tulipe noire. On aurait dit que la flamme léchait les contour de la fleur mais que celle-ci ne craignait rien, c’était comme si les flammes étaient l’environnement naturel de cette fleure. En dessous se trouvaient les lettres HFC calligraphiées en ancien anglais. (Kit tu vois j’ai pris ton idée… et j’ai même trouvé une explication ! Que je suis forte… LOL !)  

 

- « De quoi parles tu Miki ? » lui demanda l’inspectrice.  

 

- « Je te parles de ça… sais tu ce que c’est ? On dirait un pin’s. »  

 

- « Ah oui… c’était accroché au blouson de la dernière victime ; c’est l’emblème d’une société de production… »  

 

- « Une société de production ? Mais quelle société de production ? » S’empressa de demander Mick.  

 

- « Si tu me laissais finir mes phrases de temps à autre tu le saurait peut être, tu ne crois pas ? » renchérit Saeko.  

 

- « Oui, oui, bon vas y on t’écoute pas la peine de te faire prier. » lui répondit il.  

 

- « Pff ! ! Bon comme je le disais avant d’être coupée, ce pin’s est l’emblème d’une société de production de films. La HFC prod. est basée aux Etats-Unis, et produit de nombreux films par an. Il y a de cela maintenant deux ans, une branche de cette maison s’est construite à Tokyo ; et il y a quelques semaines le grand patron est venu voir si son investissement marchait bien je suppose.  

Rukia Ichiygo, la dernière victime, portait se pin’s car elle s’était rendue à une audition dans les studios de la HFC. Les dirigeants en donne à chaque acteur, figurant, ou employé. »  

 

- « T’es tu renseignée sur cette boite ? » demanda Ryô  

 

- « Ecoute pour le peu qu’on a cherché il n’y a rien de louche. J’ai moi… »  

 

- « Le « peu que tu as cherché » ? Qu’est ce que ça veut dire Saeko ? » la coupa t’il.  

 

- « Ecoute je n’avait vraiment pas besoin de remuer ciel et terre, je me suis rendue à cette société de production, je leur ais montré la photo de la fille et ils m’on tout de suite dit qu’ils la reconnaissaient et qu’elle avait passé une audition pour un rôle. J’ai aussi une douzaine de témoins confirmant qu’elle est belle et bien sortit en Vie du bâtiment. »  

 

- « Tu sais tout comme moi que cela ne veux absolument rien dire et ne prouve rien ! »  

 

- « Ecoute Ryô, j’ai rencontré le directeur, qui s’est gentiment proposé de rester au Japon tant que cette histoire avec la jeune fille ne serait pas résolue, et je peux te dire qu’il n’y a Rien de louche dans cette société, je t’assure ! »  

 

- « En parlant de ça Saeko, quel est le nom de ce fameux « grand parton » ? » lui demanda Falcon.  

 

Saeko sortit un petit carnet de son sac et commença à tourner frénétiquement les pages. Ce carnet représentait un véritable trésor à ses yeux ; il contenait en effet toutes ses prises de notes concernant l’affaire, et il faut dire que cela commençait à faire pas mal !  

 

- « A voilà, ça y est ! Le directeur de la HFC Prod. qui signifie en réalité « HellFire’s Charms Production » s’appelle Monsieur Toboe. Il est d’ailleurs plutôt charmant si vous voulez mon avis ! »  

 

- « Toboe… Toboe… Ca me dis quelque chose pas vous ? » dit pensivement Mick.  

 

- « Oui tu as raison à moi aussi cela me dis quelque chose. » Surenchérit Falcon.  

 

Ryô se contenta d’acquiescer d’un hochement de tête, il était en effet perdu dans ses pensées et se demandait ou il avait bien pu déjà entendre ce nom.  

 

 

Pendant tout ce temps, Kaori était arrivé à la boutique d’Eriko, et s’était ruée à l’intérieur telle une furie qui aurait eu le diable à ses trousses ; ce qui en soit était des plus juste.  

Une fois qu’elle trouva son amie, elle se précipita vers elle, et tout en la tenant fermement par le bras elle la dirigea d’un pas rapide vers la sortie.  

 

- « Kaori, Kaori, qu’est ce qu’il te prends ?… Que ce passe t’il bon sang ? »  

 

- « Eriko on a pas le temps, je t’en pris suis moi ! »  

 

- « Mais… voyons, enfin expliques toi ! Qu’est ce qu’il y a ? »  

 

- « Nous n’avons vraiment PAS le TEMPS ! Suis moi je t’en pris Eri, je t’expliquerait tout ça dans la voiture. » Expliqua t’elle d’une voix grave, d’un regard insondable, ou aucunes émotions ne pouvaient se lire. Eriko n’avait rencontré ce regard de la part de Kaori qu’une minorité de fois, et en soit il le valait mieux, car elle ne portait ce masque que quand la situation était des plus grave.  

 

C’est ce regard qui décida Eriko, c’est cette détermination qui émanait de la jeune femme qui la poussa à la suivre sans demander de plus amples explications.  

 

Elles montèrent donc toutes deux dans la mini et se dirigèrent vers le café ou le reste de la troupe les attendaient.  

Au bout de quelques minutes de silence Kaori ce décida à parler ; elle aurait voulut éviter tout cela à Eriko, mais elle savait qu’elle était en danger et que son amie avait de par la même, besoin de Ryô.  

 

- « Ecoute très attentivement ce que je vais te dire Eri !… Tu sais le soir ou l’on s’est faites agressées, l’homme qui ma empalé au mur avec le couteau m’a susurré quelque mots à l’oreille avant de partir…Il m’a dit : « On se reverra très vite Baby Doll » ! »  

 

- « Tu veux dire que c’étaient eux ? Ils, ils sont revenus au Japon ? »  

 

- « J’ai tout d’abord cru que j’avais mal compris, que je m’était trompé… mais aujourd’hui alors que j’était au Cat’s avec les autres j’ai eu… j’ai eu la visite de Darcia… »  

 

- « OH MON DIEU ! »  

 

- « Il m’a clairement fait comprendre que c’était à Kenji et à ses hommes de mains que nous avions eu à faire... Il m’a aussi dit que si il était revenu ici, c’était pour régler une ancienne affaire… Tu comprends maintenant pourquoi tout ce cinéma à ta boutique ? Tu vas rester avec Ryô et moi à partir de maintenant, Ryô s’occupera de ta sécurité ! »  

 

- « Mais qui s’occupera de la tienne Kaori ? » Dit Eriko entre deux sanglots, la crise d’hystérie qu’elle avait eu un peu plutôt était passée, mais les larmes ne cessaient de couler. « Qui te protègera TOI ? Car tu sais que ce n’est pas seulement pour moi qu’il est revenu… C’est après toi qu’il en a Kaori, moi je ne suis plus qu’un pion. »  

 

- « Après moi ? Oui c’est vrai qu’il doit m’en vouloir… Humf à vrai dire il a du écumer de rage c’est sure, mais il à parler d’un travail à terminer ! Tu sais tout comme moi à quoi il faisait référence. »  

 

- « Je ne sais pas… Il est vrai que je suis en danger, mais je te le répète sa véritable cible ce n’est pas moi Kaori ! »  

 

- « Nous verrons bien, Ryô et les autres seront là… Mon dieu moi qui avait presque oublié toute cette histoire, voilà qu’elle refait surface » dit elle plus pour elle-même que pour Eriko.  

 

Quelques instants pus tard la voiture se garait devant la café et les deux jeunes femmes en sortirent ; Eriko avait encore son visage inondé de larmes, elle avait beau essayer de s’arrêter rien n’y faisait des rivières d’eau salée coulaient le long de ses joues.  

 

- « Allez calmes toi ça va aller je t’assure » lui dit Kaori tout en la serrant fort dans ses bras. Après cela elles entrèrent toutes deux dans le café sous les regards inquiets de Mick, Miki, Falcon et Ryô ; et sous le regard inquisiteur de Saeko.  

 

 

 


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