Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 3 :: Tendre convalescence

Pubblicato: 15-03-06 - Ultimo aggiornamento: 15-03-06

Commenti: Bon voilà le chapitre trois plus tot que prévu... J'espère qu'il vous plaira bien que ce soit un chapitre "kinda sweet" ; j'ose espérer que vous n'en ferez pas une indigestion ! Pour l'action et donc le vif du sujet il vous faudra encore patienter ; du moins quelques chapitres... Je vous laisse en vous souhaitant une bonne lecture et en attendant vos retours (qui me font le plus grand bien il faut l'avouer...lol). Bises à toutes et 1000 merçi aux revieweuses (Kit j'attend tes commentaires avec impatiences ! !).Sheena

 


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Chapitre III : Tendre convalescence  

 

Comme il l’avait promis Ryô garait sa voiture le lendemain matin devant la maison du doc.  

 

 

Quand il était rentré chez lui la nuit dernière l’appartement lui avait parut bien vide et sombre sans la présence de sa partenaire ; cette dernière avait fait de cet immeuble leur chez eux, et il pouvait enfin dire qu’il avait une maison, ce n’était plus tout simplement un toit qui l’abritait pour dormir non, c’était devenu un havre de paix, un lieu où il pouvait se ressourcer et décompresser. Elle avait fait d’un sinistre immeuble aux briques rouges un parfait nid d’amour, le terme était peut être un peu pousser puisqu’ils ne partageaient pas ce genre de relation (du moins pas encore, mais moi je suis là pour ça ! ! !) mais l’idée était là, c’est comme ça que Ryô concevait son appartement depuis qu’elle y avait laissé son empreinte. Et là elle, sans à ses cotés, cet havre de paix redevenait simplement un toit et quatre murs.  

 

Une fois qu’il était rentré dans leur appartement il était monté à l’étage, et s’était dirigé vers la salle de bains pour prendre une douche.  

 

Il ôta ses vêtements qui étaient recouverts du sang de sa partenaire et laissa son corps se prélasser quelques minutes sous l’eau chaude. Avec l’eau qui s’écoulait sur son corps il l’avait l’impression de se laver de toutes les images de ce soir qui avaient envahis son esprit, de faire retomber tout le stress qui s’était infiltré dans ses veines tel un poison depuis qu’il avait vu Eriko arrivée dans le café.  

 

Une fois la pression relâcher il attacha une serviette autour de ses reins, et se dirigea vers la chambre de sa douce pour y sentir son odeur ; c’était un rituel qu’il avait l’habitude de faire le soir quand il rentrait avant de se coucher. Il ouvrait la porte contemplait la masse endormit étendue sur le lit, et s’imprégnait de son odeur.  

 

Ce soir là hélas, le lit était désespérément vide ; il se contenta donc de respirer se parfum de rose et de chèvre feuille qui la caractérisait si bien, et se dirigea vers sa chambre.  

Il s’étendit sur son lit et se roula dans les draps ; cependant le sommeil ne lui venait pas, il lui était impossible de s’endormir. La patience n’étant pas son fort dans certain cas, il se leva et se dirigea vers l’autre chambre où il prit l’oreiller et s’en retourna. Là, immergé dans l’océan du parfum de sa partenaire il ne tarda pas à retrouver les bras de Morphée.  

 

 

Ce fut donc détendu et reposé qu’il arriva chez le doc le lendemain aux aurores.  

Il était en fait tout juste Sept heures quand notre nettoyeur vint frapper à la porte du « vieux débris » comme il aimait l’appeler. Ce dernier, qui fut tiré de son magnifique rêve où Kazue et Kaori lui faisaient ses quatre volontés se réveilla plutôt bougon, et se dirigea d’un pas morne vers la pore.  

 

- «Et bien, c’est pas trot tôt l’ancêtre j’ai crut qu’il fallait que je défonce cette porte pour pouvoir entrer ! » lui lança Ryô d’un ton enjoué.  

 

- « Oh toi, mais ça va pas bien de réveiller les gens à cette heure-ci, surtout quand il font un si beau rêve … Ô ma petite Kaori tu était si douce… »  

 

- « Tu vas voir vieux débris, je vais te les remettre en place moi les idées. Non mais je t’interdis de fantasmer sur ma partenaire, tu m’as bien compris ? ! » lui dit un Ryô des plus menaçant.  

 

- « oui, oui t’en fais donc pas gamin je sais bien que c’est chasse gardée… Bien qu’entre toi et moi je suis sur d’avoir beaucoup plus de chances que toi ! ! hihihihihi…. Oh la du calme, range cette arme… vas y rentre donc et vas vite la retrouver ta belle… Ah la jeunesse ! ! »  

 

D’une allure de félin le nettoyeur se dirigea vers la chambre de Kaori, il entrouvrit la porte le plus doucement possible et s’y faufila. Celle qui partageait sa vie avec lui était encore en train de dormir, sa respiration était calme et régulière, elle paraissait reposée ; néanmoins il vit des traces de larmes sur ses joues. IL se résigna donc à la quitter quelques minutes afin d’aller trouver le doc pour lui demander ce qu’il c’était passé. Il retrouva ce dernier dans la cuisine en train de se servir une tasse de café.  

 

- « comment c’est passé sa nuit ? » demanda t-il.  

 

- « Pas trop mal elle a un peu souffert au début mais les calmants ont vite fait effet et elle n’a pas eu de mal à s’endormir. »  

 

- « J’ai pourtant pu constater des trace de larmes sur ses joues. »  

 

- « Oui, elle s’est réveillée en hurlant au milieu de la nuit, mais rien de grave s’était simplement un cauchemar. »  

 

- « Simplement un cauchemar… , je connais Kaori et pour qu’elle hurle alors qu’elle est sujette à un cauchemar, il faut qu’il soit particulièrement fort… Merci doc. » puis il s’en retourna auprès de sa coéquipière.  

 

Il rentra dans la chambre avec mille questions en tête, mais ses dernières se dissipèrent rapidement quand il la vit de nouveau allongée sur ce lit. A ce moment précis plus rien ne comptait mis à part le fait de se trouver à coté d’elle ; il prit donc le siège qui était resté vacant depuis quelques heures et l’approcha du lit de Kaori. Il prit une de ses mains dans les siennes et de l’autre lui caressa les cheveux. Après un moment de ce doux traitement Kaori se réveilla.  

 

- « Bonjour la Belle au bois dormant, bien dormis ? »  

 

- « Oui, ça peut aller… » elle se tu durant quelques instants et reprit d’une voie un peu moins enrouée « Je voudrait rentrer chez nous Ryô, je me sens mieux je t’assure. »  

 

- « Kaori il est préférable que tu reste ici encore quelques jours, on ne sais jamais. »  

 

- « S’il te plait Ryô ramène moi, ramène moi chez nous… c’est là où je veux être et nulle part ailleurs » dit elle d’une petite voie. Le nettoyeur lui caressa doucement sa joue encore meurtrie et acquiesça dans un hochement de tête.  

 

- « Tu passes encore une partie de la journée ici et enfin d’après midi si tout va bien et que le doc est d’accord je te ramène. »  

 

- « Merci Ryô » dit elle en entrelaçant ses doigts aux siens ; ce dernier ne tenta pas de se soustraire à geste, au contraire il en fit de même.  

 

Kaori eu la visite de toute la bande, même Saeko et Reika étaient venues aux nouvelles. Et en fin d’après midi, après maintes complaintes et regards tristes le doc l’autorisa finalement à rentrer. N’ayant pas d’affaires de rechange elle partit donc avec sa jupe que Kazue lui avait aidé à enfiler et la chemise d’hôpital. Ne devant surtout pas bouger son bras, et ne le pouvant pas sans souffrance Kazue du l’aider à s’habiller.  

 

Avant de Partir le doc fit tout de même quelques recommandations, le pansement devait être changé matin et soir durant la première semaine, et une pommade devait être appliquée sur l’ensemble de son épaule le soir avant de se coucher ; elle ne devait également pas hésiter à prendre ses cachets si la moindre douleur se faisait ressentir.  

 

 

Ryô et Kaori arrivèrent en bas de leur immeuble vers les dix-huit heures, Ryô s’était arrêté en chemin pour prendre des plats chez le traiteur, il ne voulait absolument pas que Kaori cuisine avec son épaule.  

Ils montèrent donc à leur appartement, et une fois à l’intérieur Kaori prit le chemin des escaliers.  

 

- « Je vais prendre une douche » lui dit elle une fois en haut des marches.  

 

- « Très bien …. Appelle moi si il y a un problème » rajouta t-il dans un souffle.  

 

Kaori alla donc dans sa chambre prendre ses affaires pour la nuit, mais le premier problème arriva ; qu’allait elle bien pouvoir prendre pour pouvoir le passer toute seule. Elle se décida pour un bas de pyjamas et comme haut elle prit un vieux débardeur assez extensible. Une fois fait elle se dirigea vers la salle d’eau, et entreprit de se déshabiller, puis elle se glissa sous l’eau chaude qui détendit ses muscles et la relaxa.  

 

Quand elle eue fini elle passa son bas de pyjamas plus ou moins facilement, mais eue plus de mal avec son haut, il fallut quelle se contorsionne dans tous les sens pour parvenir à le mettre ; elle mit ensuite une robe de chambre pour ne pas avoir froid et descendit à la cuisine où l’attendait son partenaire.  

 

- « Ca sent rudement bon dis moi, qu’est ce que tu as pris ? » lui demanda t’elle.  

 

- « Du poulet au curry et du riz, cela vous convient il chère demoiselle ? »  

 

- « Ahah oui c’est parfait chère monsieur. » répondit elle avec le même ton joueur.  

 

- « Alors à table. »  

 

Ils s’essayèrent et mangèrent leur repas tout en parlant de tout et de rien comme ils le faisaient la plus part du temps. Une fois le repas terminer Ryô jeta les boites dans lesquelles ils avaient mangés (malin il n’a pas eu besoin de faire la vaisselle comme ça…) et prépara deux tasses de café qu’ils burent devant le journal télévisé.  

 

Au bout d’un certain temps Kaori décida d’aller se coucher Ryô la suivit dons afin de lui passer de la pommade et de lui changer son pansement. Elle s’installa donc confortablement sur son lit et attendit que son partenaire revienne avec le nécessaire. Dés qu’il fut de retour il s’assit à coté d’elle et commença à lui passer délicatement de la pommade sur l’ensemble de son épaule, il la massa jusqu'à ce que la crème ait disparu. Kaori n’en revenait pas, elle ne parvenait pas à contrôler son corps à chaque geste que faisait Ryô son cœur se mettait à battre plus vite, sa peau frissonnait et plus le massage continuait plus elle avait du mal à garder sa respiration sous control.  

 

Evidement aucuns de ses détails n’échappa à l’œil affûté du nettoyeur, qui se délectait de l’emprise qu’il avait sur sa tendre moitié ; il prolongea même le massage plus que de nécessaire, autant pour Kaori que pour son propre plaisir. Car il faut bien le dire cela n’avait pas seulement eu de l’effet sur Kaori, sentir sa peau douce et nue répondre sous ses doigts l’avait quelque peu excité. A regret il y mit donc fin pour lui refaire son pansement, une fois terminer il l’embrassa sur le front et la laissa dormir.  

 

Il monta sur le toit fumer une cigarette et étant lui-même fatigué décida d’aller se coucher tout de suite après ; il faut dire que bien que reposante sa dernière nuit avait été dés plus courtes, à peine quatre heures de sommeil.  

 

Cependant il ne pu pas dormir bien longtemps, quelques heures après s’être couché il entendit un cri venant de la chambre de Kaori ; il s’arma donc de son 357 et se dirigea vers l’autre chambre.  

A peine eu t’il fait deux pas dans la chambre qu’il se rendit compte qu’aucune aura hostile était présente, et que sa partenaire était en proie à un cauchemar.  

 

- « Kaori… Kaori réveille toi, c’est moi, c’est Ryô tout va bien… allez réveille toi ma chérie »  

 

- « Ryô… excuse moi… je t’ai réveillé ? » parvint elle à dire entre deux sanglots.  

 

- « Ce n’est rien… allez rendort toi, je sui là, je reste avec toi » lui dit il tout en se glissant sous les draps et en la prenant dans ses bras tout en faisant bien attention à son épaule. Kaori posa sa tête sur ce torse musclé et mis sa main sur l’un de ses pectoraux.  

 

 

C’est dans cette même position qu’ils étaient le lendemain matin quand la jeune femme se réveilla. Elle avait dormit d’une traite le reste de la nuit et aucun cauchemar n’était venu la troubler. Elle était bien là, serrer dans les bras de l’homme qu’elle aimait, elle se sentait en sécurité ; et n’aurait pour rien au monde voulut être ailleurs.  

 

Justement, l’homme s’était, lui aussi, entre temps réveillé, réveillé d’une nuit ou pour la première fois il avait véritablement dormi, il avait connu pour la première fois le repos de l’âme et du corps. Et il comprit que simplement tenir l’être aimé dans ses bras pouvait vous apporté le plus grand des bonheurs, ainsi que la plus grande quiétude ; il se fit donc la promesse que s’y sa partenaire était d’accord, ce dont il ne doutait pas trop, ce serait dorénavant de cette manière qu’il se réveilleraient tous les matins.  

 

Ryô Saeba avait enfin décidé de faire le premier pas dans la relation qui l’unissait à Kaori Makimura. (et moi je dis alléluia… c’est pas trop tôt !).  

 

Très doucement il se retourna pour que leurs deux visages soient à la même hauteur et lui posa sa main sur la joue.  

 

- « Bien dormit ? » lui demanda t’elle  

 

- « Mieux que bien tu veux dire, je n’ai jamais passé une aussi bonne nuit… Serait-ce le fait de tenir dans ses bras la personne qu’on aime qui fait cela ? » lui rétorqua t’il.  

 

- « Oh… euh… et bien… peut être… euh dit Ryô tu ne… voudrais pas redire la fin de ta phrase ? »  

 

- « Quelle partie n’as-tu pas bien comprise Kaori ? Celle ou je te disait que j’avais passé une merveilleuse nuit, où celle ou je te disais que je t’aimais. Car oui ma chérie je t’aime. » Et il le lui prouva en s’emparant prestement de ses lèvres. (Vous aurez droit à une belle déclaration de nos deux tourtereaux dans un prochain chapitre…)  

 

Elle avait les lèvres douces et chaudes qui avaient le goût du miel ; et bien que le baiser fût timide et hésitant au départ, il s’intensifie rapidement avec la réaction de sa partenaire. En effet celle-ci avait répondu plus que positivement, et sous les coups de langue de Ryô sur sa lèvre inférieure, elle entrouvrit légèrement sa bouche afin que celle-ci puisse s’y glisser. Le baiser se fit donc plus poussé, plus passionné, chacun voulant dominer l’autre ; leurs mains n’étaient pas restées inactives non plus et elles parcouraient le corps de l’autre de tendres caresses. Bientôt le manque d’air les fit se séparer et Kaori en profita pour narguer son partenaire.  

 

- « Oui c’était bien cette dernière partie que je n’avait pas bien saisie, et en faite je n’ai pas encore tout comprit ; alors si tu voulais bien reprendre l’explication que ta bouche et tes mains étaient en train de me donner je crois que tout de suite cela serait plus claire. »  

 

Kaori s’étonna elle-même de faire ce genre de remarque, mais le fait de savoir que Ryô n’avait non pas des sentiments pour elle, mais l’aimait lui donnait des ailes et une confiance en elle, qu’elle ne se connaissait pas.  

 

- « Sans le moindre problème, mais pour ce faire tais-toi donc » et il la fit taire d’un autre baiser passionné.  

 

 

Une bonne partie de la matinée se passa ainsi, jusqu’à ce que le ventre de l’ogre ambulant se fasse entendre ; se dernier fila donc prendre une douche avant d’aller préparer le petit déjeuner.  

 

Alors que son homme était en train de s’afférer à la cuisine Kaori se rendit dans la salle de bain pour prendre sa douche ; une fois cette dernière prise elle entoura son corps d’une épaisse serviette et alla dans sa chambre afin de s’habiller.  

 

Elle arriva tant bien que mal à passer sa petite culotte, mais il lui était impossible de fermer son soutient gorge ; de frustration elle laissa échapper une sorte de petit cri que notre nettoyeur entendit, il se précipita donc jusqu’à sa chambre.  

 

- « Kaori que ce pas… » il coupa nette sa phrase quand il vit dans qu’elle tenue sa belle se trouvait. Celle-ci tenait du mieux qu’elle pouvait son soutient gorge contre sa poitrine pour tenter de préserver le peu de dignité qu’il lui restait.  

 

- « Laisse moi faire Sugar » lui dit il ayant compris la situation.  

 

Il se plaça alors derrière elle et lui ferma son sous vêtement, puis il se dirigea vers son armoire et lui sorti une petite jupe blanche et un cache cœur vert.  

 

- « Je pense que cela fera l’affaire tu ne crois pas mon cœur. »  

 

- « Euh… oui, oui merci Ryô » répondit elle aussi rouge qu’une tomate.  

 

Il se replaça alors devant elle et se baissa pour qu’elle puise mettre ses deux pieds dans la jupe ; il prenait un malin plaisir à l’habiller, et Kaori devait de plus en plus rouge à chacun de ses gestes.  

 

Une fois fait, il remonta sa jupe tout doucement le long de ses cuisses, de ce fait il pu constater que ses jambes étaient couvertes de cicatrices ; il se jura de faire payer le pris fort à celui qui avait oser lui faire ça ; puis il ferma la fermeture éclaire qui se trouvait au niveau de ses fesses.  

 

Il prit ensuite le cache cœur mais se ravisa bien vite, en effet il devait encore lui changer son pansement. Lorsque sa tâche fut accomplie il repris le petit haut et lui passa délicatement son bras gauche dans la manche, puis tout aussi délicatement il passa l’autre bras dans l’autre manche. Il prit les deux pants, lui les croisa au niveau de la poitrine, et lui attacha le tout dans son dos. Il revint devant elle pour ajuster le haut et fit courir ses doigts contre sa peau nue.  

 

Kaori avait depuis longtemps viré au rouge vermillon et Ryô se délectait de son nouveau travail, car en effet l’étalon de Shinjuku c’était fait un devoir d’habiller tous les matins et de déshabiller tous les soirs sa partenaire. Il savait que pour l’instant rien ne pouvait se passer entre eux, et ce petit jeu lui permettrait de patienter.  

 

 

 


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