Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 6 :: Chapitre VI : De douloureuses retrouvailles

Pubblicato: 01-04-06 - Ultimo aggiornamento: 01-04-06

Commenti: Bon voilà le chapitre 6 ! ! Je tiens à m'excuser auprès de Kit mais bon il n'a qu'un jour de retard ... LOL En tout cas pour toutes celles qui me suive depuis le début voilà ce que vous attendez (enfin entre autre...) ! ! ! Enjoy it Bises Sheena Au fait 1000 MERCI pour toutes vos reviews ! ! !

 


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Chapitre VI : De douloureuses retrouvailles  

 

Après avoir passé une après midi des plus relaxante, les filles rentrèrent au Cat’s ou les attendaient leurs compagnons.  

 

Une fois de retour chez elle Kaori s’empressa de jeter le bouquet de tulipes à la poubelle, avant que Ryô n’ait pu lui faire la moindre remarque.  

Elle avait fait bonne figure devant Miki et les autres, et avait par conséquent gardé le bouquet avec elle ; mais dés que la première occasion de s’en débarrasser se présenta, elle le fit. Cette occasion n’arriva que lorsqu’elle se retrouva devant son appartement, où il y avait les containeurs à poubelles.  

 

Il était absolument hors de questions que de telles horreurs se retrouvent chez elle, jamais ces fleurs n’auraient franchis le pas de la porte de leur immeuble. Cela aurait eu la même signification à ses yeux, que de laisser entrer le diable dans sa maison. Car s’était bien ce qu’elles représentaient, le diable. Elles ressemblaient à leur acheteur, une beauté indiscutable, mais un cœur plus sombre que le noir le plus profond.  

 

Il était le mal, elles étaient ses représentantes.  

 

Si un cheminée, ou même mieux, un incinérateur aurait été à portée de main elles les auraient fais brûlés et réduit en cendres. Cette situation était beaucoup plus définitive et lui convenait mieux.  

 

Hélas ce n’était pas le cas, et elle fut donc obligée de faire avec les moyens du bord !  

 

 

Ryô, quand a lui était pensif, cette journée ne s’était pas déroulée comme prévue. Aucuns des informateurs, ni les siens, ni ceux de Mick, ni même ceux de Falcon n’avaient réussis à lui apprendre quelque chose d’intéressant.  

 

Tout ce qu’il était arrivé à dégoter, était que depuis quelques jours des filles disparaissaient sans laisser le moindre indice, et qu’on retrouvait leur corps mutilé ainsi que roué de coups. Il semblerait qu’elles soient battues à mort.  

 

Cependant Ryô ne savait pas si toute cette sordide histoire avait un lien ou pas avec ce qui planait au dessus de la tête de sa partenaire.  

 

En y réfléchissant bien, cela ne serait pas vraiment des pus étonnant ; en effet Kaori se voulait être un véritable aimant à problèmes. Bien entendu il aurait préféré que cette dernière mène une vie tranquille sans être perpétuellement sujette à des enlèvements ou des tentatives de meurtres, mais d’un autre coté pour rien au monde il ne pourrait la laissée s’échapper, la laisser le quitter. Il avait essayé déjà plus d’une fois de la retirer de son monde de mort et de déchéance mais tout ce qu’il avait tenté n’avait fait qu’au contraire la rapprocher. Pour dire la vérité Ryô était un homme, un homme avec ses forces et ses faiblesses ; et par conséquent il était un être qui pouvait se montrer égoïste. Kaori était ce qui le raccrochait à la vie et pour rien au monde il ne s’en serait séparé.  

 

 

Les journées défilèrent donc ainsi, Kaori récupérait doucement et Ryô enquêtait sur cette histoire. Aucun message n’avait été inscrit sur le tableau se qui réjouissait ce dernier qui pouvait investiguer des plus tranquillement et profiter de sa chère et tendre.  

 

 

Néanmoins cette tranquillité apparente ne dura pas.  

 

En effet quelques jours plus tard tout ce bouscula.  

 

 

En cette belle matinée de début du mois de mai Kaori, accompagnée de Ryô et de Mick, qui c’était incrusté pour le petit déjeuner, se rendait au Cat’s Eyes retrouver Miki afin de faire passer la matinée grâce à une de leur séance de « papotage intensif ». C’est donc la mine réjouit et heureuse qu’elle se présenta à la porte du café.  

 

Le Carillon avait à peine eu le temps de retentir que déjà deux projectiles volants se dirigeaient vers la gérante. Celle-ci habituée aux frasques de ses deux zigotos les encastra dans un plateau en inox ou une imitation parfaite de leur tête se dessinait, et son géant de mari les envoya valser dans un mur et par la même lui dire un petit bonjour.  

 

Kaori dépitée au plus haut point, se dirigea au comptoir et s’installa sur un tabouret. Elle demanda alors un café à son amie, et ses dernières commencèrent leurs papotages.  

 

Pendant ce temps là, nos deux anciens coéquipiers pratiquaient leur deuxième sport favori, c’est à dire : « L’agacement du Mammouth ». Il faut bien dire, que c’est un sport dans lequel ils exilaient, à l’inverse du « Chassé de Minette » qui s’avérait être des plus laborieux.  

 

 

C’est donc dans un café à l’ambiance des plus conviviale, qu’un jeune homme entra. Il était vêtu d’un somptueux costumes trois pièces gris qui se dissimulait sous un grand manteau noir.  

L’homme en lui-même ne devait pas avoir plus de trente ans, il était grand, la peau mate, le corps bien développé sans pour autant ressembler à Mr Muscle. Ses yeux possédaient la couleur profonde de l’océan, un bleu dans lequel qui qu’on que, qui oserait plonger son regard, si retrouverait noyé. Il avait les traits du visage délicats et fins, son visage ressemblait à s’y méprendre à celui d’un ange, de son corps suintait la grâce, la force, le charisme.  

 

Néanmoins ce n’est pas tout cela que Miki remarqua en premier, mais son incroyable chevelure qui lui tombait en cascade sur les épaules.  

Il possédait des cheveux d’une couleur étrange, mystérieuse et par dessus tout envoûtante. Sa chevelure était tellement sombre que dans le noir de sa couleur, on pouvait distinguer des reflets bleutés.  

 

Les trois hommes qui se trouvaient dans un coin du café se rapprochèrent discrètement des deux jeunes femmes. Malgré les apparences cet homme n’était pas un ange, son aura ne dégageait ni colère, ni haine, ni danger et encore moins le bonheur ou la joie. Le problème pour les trois hommes était que son aura ne dégageait STRICTEMENT rien, nada, niente. C’était un véritable néant, un froid glacial que pouvaient ressentir nos trois professionnels.  

 

Assise au comptoir Kaori avait donc le dos tourné à la porte et n’avait pas jeté un regard à l’individu qui était entré. Elle se contentait de siroter son café inconsciente du trouble qui avait investi le corps, le cœur et l’esprit de ses amis.  

 

L’homme s’avança doucement jusqu’au comptoir du café, pris un siège et commanda un Scotch. Il inclina légèrement la tête vers la gauche, ou se trouvait Kaori, et la surprise se peint sur son visage (Ah bon de la surprise… ? ? Tu joues bien la comédie toi…). Il se releva donc avec grâce et se dirigea vers cette dernière ; arrivé à sa hauteur il fit tourner son tabouret et l’enlaça dans ses bras.  

 

Surprise par ce brusque mouvement Kaori resta stoïque et n’esquissa aucun geste sous le regard étonné des autres occupants du café.  

 

- « Et bien Kaori, on ne dit plus bonjour à ses vieux amis ? Ne me dis pas que tu m’as oublié ? » lui dit il le sourire aux lèvres.  

 

Kaori encore stupéfaite n’avait pas bougé, mais à la fin de la phrase son cerveau avait assimilé l’information et le son, l’intonation de cette voix lui revint brusquement en mémoire ; elle se dégagea alors d’un mouvement brusque et se leva afin d’être droite et de se conférer une certaine assurance. Assurance qu’elle avait perdu rien qu’à l’écoute de cette voix, cependant son interlocuteur ne semblait pas s’en soucier.  

 

- « Je t’ai connu plus loquace Kaori, voyons c’est moi, c’est Darcia Toboe, ne me dis pas que tu ne te souviens pas de moi ; j’en serais plus qu’offusqué ! »  

 

- « Que fais tu ici ? Au Japon ?... Il t’avait pourtant bien dis de ne pas revenir, de ne jamais remettre les pieds ici ! Il t’avais prévenu… »  

 

- « Voyons, voyons ma très chère Kaori, ma douce, ma tendre… mon cœur IL n’existe plus ! IL n’est plus là, plus de ce monde en tout cas. »  

 

- « Kaori qui est ce… » Ryô s’était avancé aux cotés de Kaori et avait placé une main réconfortante sur son épaule. Cependant Kaori se dégagea et, d’un regard, lui fit comprendre de ne plus intervenir. Cette réaction paralysa Ryô, Miki, Mick et Falcon qui n’étaient vraiment pas habitués à un tel comportement de la part de leur Kaori.  

 

Cette dernière se dirigeait d’un pas lent vers le derrière du comptoir ou Falcon rangeait son bazooka et Miki sa mitraillette. Elle s’empara de celle-ci et sous les yeux effarés de l’assemblée la braqua sur cet inconnu qui était venu gâcher leur après midi.  

 

- « IL n’est peut être plus là Darcia, mais moi je le suis ! Alors tu vas me dire ce que tu viens faire au Japon, dans cette ville. »  

 

- « Voyons Baby Doll ne fait pas l’étonné, tu savais pertinemment que j’était ici, …depuis quelque temps déjà, …tu as bien rencontré Kenji il y a quelques semaines non ? Il m’avait dis que tu n’avais pas changé que tu était toujours aussi rayonnante et … explosive. »  

 

- « Je ne répèterai pas une nouvelle fois ma question Darcia ! QUE. FAIS. TU. EN. VILLE ? »  

 

- « Si tu posais ton joujou… ainsi que ces trois messieurs d’ailleurs, ça me ferai très plaisir tu sais. »  

 

Ryô et Mick avaient en effet leur arme pointée sur le jeune homme et Falcon avait sortit son bazooka (tout dans la dentelle celui la… Umi je crois que tu oublies que tu es dans TON café… ! ! !).  

 

Sous le regard menaçant de toute la troupe il continua donc.  

 

- « Kaori, voyons réfléchis deux minutes veux tu ? …D’après toi, pour qu’elle raison serai je revenu au Japon, ICI, si ce n’est pour d’anciennes raisons ? D’anciennes raisons qui me tiennent particulièrement à cœur ! ! …J’ai commencé un travail il y a un peu plus de dix ans et je compte bien le terminer.  

Ce sera mon chef d’œuvre, mon apothéose, mon nirvana.  

Rien ne pourra égaler la splendeur que je vais créer ! !  

C’est pour cela que je suis revenu ma très chère Kaori, …pour mettre fin à… une… vielle histoire ? »  

 

- « Et tu crois vraiment que je vais te laisser faire ? As-tu perdu la raison ? Non que suis-je bête, tu n’en n’as jamais eu ! Crois moi Darcia, je ne te laisserai pas faire, il n’est plus là mais moi oui et je la protègerait ! » lui dit elle de manière à ce que seul lui l’entende.  

 

Darcia Toboe fit donc demi tour et se dirigea vers la porte du café. Une fois dans la rue il murmura pour lui-même :  

 

- « Elle, elle ne craint rien, si seulement tu arrêtais de tant te focaliser sur les autres, et te concentrais un peu plus sur toi, tu aurais remarqué que c’est après toi ma chère et tendre Kaori que j’en ais ! »  

 

 

Dés qu’il était sorti du café Kaori avait laisser tomber la mitraillette sur le sol, et s’était précipitée aux toilettes sous les yeux exorbités des autres.  

 

La tension, la peur et par la même l’adrénaline qui quelques secondes encore irradiaient ses veines étaient retombées et ne laissaient plus que la sensation de son sang glacé dans son corps. Elle avait un besoin urgent de rendre tout ce que son estomac avait pu ingurgité dans la matinée ; et c’est donc au dessus de la cuvette des toilettes qu’elle se vida aussi bien le corps que l’esprit.  

 

Miki l’ayant suivit s’accroupit à coté de son amie et lui passa délicatement la main dans le dos afin de la calmer.  

 

Dés qu’elle se senti mieux elle se releva et sorti des toilettes ; Ryô l’attendait là, droit et stoïque. Or dés qu’il la vit il se rapprocha d’elle et l’enlaça dans ses bras. Kaori se permit d’y rester un moment afin de reprendre les forces qui lui manquaient ; c’était en son partenaire qu’elle puisait son énergie tout comme lui le faisait avec elle.  

 

Sans un mot ni un regard elle se déplaça jusqu'à la porte.  

 

- « Que fais tu Kaori ? Ou comptes tu aller comme ça ? Et que c’est il passé il y a à peine cinq minutes ? » lui demanda Mick.  

 

- « Je vais voir Eriko, je ne serai pas longue ! Je prends la voiture Ryô ! »leur dit elle la main sur la poignée de la porte.  

 

- « Attends un peu il est hors de question que tu sortes seule en ville après ce qui vient de se passer ! Je t’accompagne ! »  

 

- « NON ! J’ai besoin de parler à Eriko seule à seule, et puis ne t’en fais pas tout ira bien Darcia ne reviendra pas de si tôt ! » lui rétorqua t’elle alors qu’elle faisait démarrer la voiture.  

 

- « De plus ce n’est pas après moi qu’il en a mais bien après Eri. » se dit elle quelques secondes plus tard.  

 

 

 


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