Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 12 :: Le dégoût, la honte, la haine…Le bonheur, l’amour, la joie.

Pubblicato: 19-05-06 - Ultimo aggiornamento: 19-05-06

Commenti: Oufff il est plutot long celui la, mais comme pour le chapitre X j'en suis assez fière, c'est les deux seuls que j'ai vraiment écris tres facilement ! Enfin c'est à vous de lire et de juger ! J'attends vos commentaires avec bcp d'impatience ! Merci pour les reviews ! Bisous & Enjoy it !

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Chapitre XII : Le dégoût, la honte, la haine… Le bonheur, l’amour, la joie.  

 

Cela faisait maintenant six jours que Kaori se remettait petit à petit des événements qui s’étaient passés dernièrement.  

Depuis six jours donc, elle se trouvait dans une chambre blanche des plus déprimante ; en effet, elle était encore à la clinique du doc. Ce dernier n’avait absolument pas voulut la laisser rentrer chez elle ; il avait était catégorique sur ce point, et ni ses jérémiades, ni celles de Ryô n’avaient changés quelque chose.  

 

En ce mercredi matin du mois de juin elle se trouvait donc seule entre quatre murs, décidée à enfin ce lever de ce lit sur lequel elle avait était clouée de force, Kaori bascula ses jambes d’un coté du lit et se leva délicatement. À la seconde même où ses jambes touchèrent le sol elle perdit l’équilibre ; elle ne s’était pas levée d’une semaine et par conséquent tous ses muscles étaient endoloris. Elle prit donc appuis sur le rebord du lit avec ses mains et patienta jusqu'à ce que les forces lui reviennent.  

 

Alors une fois qu’elle eu repris du poil de la bête, elle se dirigea, d’un pas tout de même encore hésitant, vers la porte de sa chambre. Elle sortit dans le couloir afin de se diriger vers la pièce qui faisait office de douche. Ryô lui avait apporté tout son nécessaire à toilette le deuxième jour.  

Tout se dont elle avait besoin avait été méticuleusement rangé par Miki dans cette pièce. Elle y entra et pris bien soin de bien refermer la porte à clef derrière elle ; elle ne souhaitait pas avoir une visite inopportune du doc ou même encore de Mick qui traînait par là depuis quelques heures. Celui-ci était venu voir Kaori, et était resté avec elle un bon moment jusqu'à ce que fatiguée elle s’assoupisse, il était alors partit chercher son infirmière.  

 

Une fois cela fait elle commença à ôter la grande chemise blanche qui lui servait de haut de pyjama, cette dernière n’avait aucun bouton et se fermait simplement par trois lacets dans le dos ; la tache ne fut donc pas difficile. Elle enleva ensuite le pantalon de son pyjama.  

 

Pour la première fois depuis une semaine elle revoyait son corps.  

 

En effet le doc lui avait formellement interdit de sortir du lit pendant ses six jours, ce que son corps avait subit était particulièrement violent, il devait donc récupérer, et pour cela c’était le repos absolu qui lui avait été prescrit. Kazue l’avait aidé à faire sa toilette, et pour les besoins naturels elle avait une bassine ; ce qui avait profondément dégoûté Kaori, jamais elle ne s’était sentit aussi inférieure et diminuée. Elle savait que cela était pour son bien et Kazue était des plus compréhensive, mais tout de même elle avait du mal à s’y résoudre.  

 

C’est donc la première fois qu’elle allait voir son corps depuis que celui-ci avait été torturé, méticuleusement elle s’inspecta sous toutes les coutures et plus d’une fois elle du s’empêcher de rendre son petit déjeuné.  

 

Ce corps là n’était pas le sien.  

 

Ce corps là lui était étranger.  

 

Ce corps là la dégoûtait.  

 

Ce corps là lui faisait honte.  

 

Ce corps là par-dessus tout elle le haïssait.  

 

De grandes cicatrices parcouraient ses mollets ainsi que ses bras, et bien que le doc et Kazue avaient joués aux meilleures couturières en faisant des points les plus petits et les plus sérés possibles les cicatrices se voyaient quand bien.  

Elle regarda ensuite son ventre qui lui aussi en était couvert mais au moins celles-ci étaient plus petites.  

 

En baissant son regard sur ses cuisses elle constata quelles aussi étaient marquées, ce qui l’étonna grandement car elle ne se souvenait absolument pas que Darcia ou que Kenji l’aient touché à cet endroit là. Néanmoins sur le haut et à l’intérieure de celles-ci se trouvaient trois ronds de couleur indéfinissable qui tirait entre le rouge carmin et le marron.  

Deux ronds sur la cuisse gauche et un sur la droite.  

 

D’où pouvaient ils bien provenir ?  

 

Et puis tout à coup elle se rappela d’une sensation dés plus bizarre qu’elle avait ressentit alors que sa conscience dérivait entre deus rives lorsque Darcia l’électrocutait. Alors que son esprit sombrait peu à peu dans l’inconscience du à la douleur extrême qu’elle ressentait, elle se souvint qu’une fois, elle avait vu Darcia ôter la cigarette qu’il avait dans la bouche pour l’approcher de son ventre ; visiblement il avait choisit une autre destination et c’était servit de l’intérieur de ses cuisses, là ou la chaire est bien tendre, comme cendrier pour écraser son mégot.  

 

Cette fois ci les larmes ne se privèrent nullement de couler sur son magnifique visage. Des flots d’eau salée se déversaient sur ses joues.  

 

- « Et bien voilà le résultat, vous pouvez être content et satisfait ! Je n’était déjà pas jolie avant mais alors maintenant n’en parlons même pas ! Mon corps ne ressemble plus à rien ! Ryô avait raison de dire que je ne ressemblais pas à une femme avant mais maintenant que dira t’il, je suis un monstre ! Une horreur ! »  

 

Tout en faisant son monologue Kaori s’était placée devant le grand miroir de la pièce, puis elle se mit de dos et contempla son dos.  

 

« Au mon… Au mon dieu ! Au mon dieu ! Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? …. Juste quand il se décide enfin à m’avouer ses sentiments et à montrer de l’intérêt ! Pourquoi ?! Juste quand la vie commençait à me sourire… Il ne voudra plus de moi, et cela sera bien normal ; je ne le mérite pas ! Il aura honte de se promener avec quelqu'un comme moi ! Lui est City Hunter, le grand et beau Ryô Saeba ; et moi…je suis quoi moi ? Je suis plus rien, plus rien ! Ce n’est pas d’une gourde défigurée, ou d’un monstre dont il a besoin, mais d’une jolie femme digne de lui ! C’est une Saeko, une Reika ou une Miki qu’il lui faut ! Pas moi ! Pas un MONSTRE ! »  

 

Son corps était à présent convulsé par une violente crise de larme mais également par une crise de nerf qui n’en finissait pas. Pour la première fois depuis bien longtemps Kaori craquait. Ce n’était pas quelques larmes qu’elle versait comme cela seule dans sa chambre après une remarque désobligeante de Ryô. Non ! C’était bien plus que cela son esprit, sa conscience, sa tête n’avait plus le dessus son corps avait pris le control. Il avait pris le control car il devait, elle avait besoin d’extérioriser tout son mal et même si cette solution n’était que temporaire elle se verrait tout de même apaiser le temps de sa douche. C’était cela ou alors tomber en dépression ou voir même en catatonie. Notre corps est un organisme extraordinaire qui peut faire des merveilles ; et celui de Kaori voyant que sa propriétaire était au bord du gouffre avait pris les commandes afin de se régler en self-preservation.  

 

 

Cela faisait maintenant plus d’une heure que Ryô attendait dans la chambre de Kaori que celle-ci se décide à revenir de sa douche. Le nettoyeur commençait à être inquiet, mais Kazue ne cessait de lui répéter que tout allait bien et que Kaori en profitait vu que cela faisait une semaine qu’elle n’avait pu en prendre une. Cependant plus les minutes passaient plus Ryô s’inquiétait, il était arrivé que quelques minutes après que Kaori ne soit parti prendre sa douche et en passant devant la porte il avait cru entendre des bruits bizarres, comme des murmures ; puis le bruit s’était arrêté.  

 

N’y tenant plus il se leva rapidement et fit tomber la chaise, sur laquelle il était assis à la renverse. Il se dirigea ensuite vers la salle de bain.  

 

- « Kaori ? » Demanda t’il a travers la porte.  

 

- « … »  

 

- « Kaori ? Ca va ? C’est Ryô, tu as besoin d’aide ? »  

 

Elle était restée recroquevillée sous le jet de la douche depuis plusieurs minutes maintenant, et à l’entente de ces quelques mots Kaori sortit de la léthargie dans laquelle elle se trouvait. Elle se releva et tenta de reprendre ses esprits afin de répondre à son partenaire.  

 

- « Je vais bien Ryô, ne t’en fais pas ! Je me suis juste oubliée, et j’ai un peu trop traîné je crois. »  

 

- « Non, non c’est bon Kaori ne t’en fait pas ! Prend tout le temps dont tu as besoin, je vais t’attendre dans ta chambre. »  

 

- « Oui, d’accord … Merci Ryô ! »  

 

Elle se dépêcha donc de sortir de la douche et de se sécher ; cependant il était hors de question elle retourne dans sa chambre, où Ryô l’attendait, habillé comme elle était avant. Tant qu’elle était dans son lit cela n’avait pas d’importance puisque son doc se trouvait contre le matelas et que son corps était non seulement recouvert de son pyjama mais aussi du drap.  

 

Or là si elle revêtait les vêtements qu’elle avait, son dos serait en parti découvert et Ryô pourrait voir à quel point elle était véritablement laide. Non ! Elle ne pouvait vraiment pas sortir ainsi et se présenter comme cela devant lui.  

 

Elle fouilla donc dans l’armoire où se trouvait les serviettes et trouva un peignoir blanc pour le bain. Cela ferra bien l’affaire, il lui couvrira au moins le dos ; et malgré le fait que la température intérieur avoisinait les 28°C elle n’en fit pas cure.  

 

C’est donc affublé d’un gros peignoir de bain qu’elle se présenta devant Ryô.  

 

- « Bonjour Ryô. » Dit elle avec un sourire qui sonnait faux calqué sur le visage.  

 

- « Bonjour ma chérie, comment vas-tu aujourd’hui ? »  

 

- « Ca va ! Et toi ? » Lui répondit elle alors qu’elle s’empressa de se remettre sous son drap, seul rempart quel possédait contre la réalité extérieure et contre les yeux de Ryô.  

 

- « Voyons Kaori, il fait presque 30°C dans cette baraque ne me dit pas que tu as froid ! Aller enlève moi ce gros peignoir et viens un peu me trouver veux tu ? »  

 

- « Si…si j’ai…j’ai froid alors je vais garder le peignoir et rester sous les couvertures… C’est préférable. » Elle ajouta la fin de sa phrase dans un murmure qui n’était pas fait pour être entendu, mais l’ouie de Ryô les lui fit comprendre.  

 

Le nettoyeur se leva donc et d’un pas nonchalant se dirigea vers sa partenaire. En passant devant la porte il fit un signe de tête à peine perceptible. En effet derrière celle-ci, qui était à moitié entrebâillé, se trouvait le doc qui était assez inquiet de l’état de santé psychique de sa patiente.  

 

- « Aller, aller, pas de manière avec moi Kaori. Et puis je suis plus que sure que tu dois avoir chaud. »  

 

D’un mouvement rapide il lui retira son peignoir et lui fit une bise sur le haut de son front.  

 

- « Ryô non ! Rends moi mon peignoir, rends le moi ! » Criât elle hors d’elle puis éclatant en sanglot elle rajouta « Il ne faut pas que tu vois, il ne faut pas, je dois le remettre. »  

 

- « Qu’est ce qu’il ne faut pas que je vois dis moi ma chérie. »  

 

- « … »  

 

- « S’il te plait dis moi Kaori, dis mi je t’en pris. » La suppliât il, ce qui n’était absolument pas dans ses habitudes.  

 

City Hunter ne s’agenouillait devant personne et ne suppliait encore moins.  

Devant personne Oui !  

Mis à part devant la femme de sa vie, celle qui avait ravit son corps, son cœur et son âme.  

Mis à part devant Kaori Makimura.  

 

- « Mon corps,… les marques sur mon corps. » Susurrât elle.  

 

- « Mon cœur tu n’as pas à avoir honte voyons tu es bel… »  

 

- « Non Ryô, ne dis pas cela tu as tord, je suis laide ! J’ai honte d’être moi, d’être ce que je suis ! Je me dégoûte ! Je me hais ! Tu ferrais mieux de te trouver quelqu’un d’autre, je ne te mérite plus, je ne t’ais jamais mérité. JE SUIS UN MONSTRE ! »  

 

Bien que ce que Kaori venait de lui dire lui faisait mal, lui nouait les entrailles et lui déchirait son cœur en mille morceaux ; il prit sur lui pour se contenir et ne pas exploser. Ce n’était absolument pas ce qu’il fallait faire ; il se devait de rester calme. Mais cela était dur, très dur, trop dur.  

 

- « Maintenant tu vas m’écouter Kaori et tu vas m’écouter très, mais alors très attentivement. » Tonnât il d’une voix forte avant de se reprendre.  

« Tu n’as pas à avoir honte de ton corps et de ce que tu es. Bien que je conçois que cela soit en parti de ma faute, moi qui tu rabachait à tort que tu n’étais pas féminine. Tu es belle Kaori, magnifique même. Tu as la beauté d’un ange et pas que cela d’ailleurs, tu en as la douceur, la gentillesse, la générosité, le courage et la bravoure et tant d’autre encore. Et si je t’aime ma chérie ce n’est pas pour ton corps, bon d’accord en parti, mais pas seulement, si je t’aime c’est pour ce que tu es réellement, pour ce que tu es au plus profond de toi, si je t’aime c’est pour ton cœur, ton âme. Et il est absolument inconcevable et inacceptable… Tu m’as bien comprise absolument inconcevable et inacceptable que je veuille quelqu’un autre. Une seule femme à ravis mon cœur et c’est toi Kaori et cela dés la première fois où je t’ais vu. Je t’appartiens, à toi et à aucune autre ; tout comme tu es à moi et à nul autre. Tu es mienne tout comme je suis tiens. Est-ce bien clair Kaori ? »  

 

Il venait de se montrer dés plus possessif mais cela lui avait fait du bien ainsi qu’à Kaori, à priori c’est exactement ce dont elle avait besoin d’entendre. Car des larmes s’échappaient de ses yeux, mais c’était visiblement des larmes de bonheur et de joie. Il avait suffit que Ryô ouvre son cœur et les insécurités de Kaori avaient fondues comme neige au soleil.  

 

- « Oui, je comprends Ryô, je comprends, mais saches que je comprends aussi si tu ne veux plus de moi, je le compr… »  

 

- « Kaori ! » Tonnât il à nouveau « Je ne veux nul autre que toi… et puis ce ne sont que des cicatrices, elles s’estomperont elles s’en iront même. Mais toi saches que c’est toi que j’aime et que je t’aime comme tu es… avec tes deux cerises qui te serves de poitrine, avec tes bourlets disgracieux, avec tes… NON KAORI PAS LA MASSUE … NOPFFFFF. »  

 

Une énorme massue de 10 000 T où était inscrit « Espèce de goujat ! De la part des deux cerises ! » venait de s’abattre sur la tête de Ryô.  

 

Entendant tout ce bruit la porte s’ouvrit en grand pour laisser toute la bande se précipiter dans la chambre. Voyant le spectacle qui s’offrait à leurs yeux bon nombre ont constatés que Kaori allait mieux et physiquement et mentalement.  

 

Un sourire énigmatique se dessina sur les lèvres du doc ; ça y est Kaori allait enfin pouvoir aller mieux, le déclic avait eu lieu et les premières briques avaient été posés par Ryô. Et d’après ce qu’il avait pu entendre sa guérison allait être beaucoup plus rapide que prévue.  

 

- « Non mais Ryô n’as-tu pas honte, Kaori a à peine retrouvé ses forces que tu l’embêtes déjà, non mais vraiment ! » Lui dit Kazue.  

 

- « Oui laisse la au moins tranquille quelques temps avant de faire ton imbécile ! » Rajouta Miki.  

 

- « Elles ont tout à fait raison, laisse ma Kaori tranquille ! » Surenchérit Mick.  

 

- « Quoi ta Kaori, j’ai du mal entendre là ! Tu ne te souviens pas de ce que j’ai dis ? » Répondit Ryô.  

 

- « Oui, oui mais tu sais entre ce que tu dis et la réalité ce n’est pas un faussé qu’il y a mais le gouffre de l’enfer. »  

 

Avec la grâce du félin Ryô se releva du sol et alla se placer aux cotés de Kaori. Possessivement il passa son bras autour de ses épaules et lui déposa un tendre baiser sur le coin des lèvres.  

 

- « Tu la touches et t’es mort Mick. Occupe toi donc de ta femme au lieu de vouloir piquer celle des autres. »  

 

- « Chasse gardée l’amerloque t’as compris ? » Lui demanda Falcon.  

 

- « Si tu crois que c’est cela qui va m’arrêter tu te trompes lourdement mon umibozu d’amour ! »  

 

- « Peut être que cela fera l’affaire ! » Déclara d’un ton des plus sérieux Ryô tout en pointant le canon de son magnum sur le front du blondinet qui se rapprochait dangereusement d’une Kaori dés plus rouge.  

 

- « Ola ! Du calme vieux, je te la laisse ! »  

 

- « Kaori tu pourra préparer ton sac je te libère ce soir. » Dit le doc.  

 

À peine ces quelques mots avaient été prononcés qu’un OVNI passait et repassait devant eux. Ryô s’afférait de tous cotés afin de rassembler les affaires de Kaori, il était plus qu’impatient de se retrouver chez lui, seul avec la femme qu’il aimait, d’autant plus qu’une surprise attendait la belle.  

 

Une fois que toutes les affaires furent rangées dans le sac, donna une jupe, un débardeur et des sous vêtements. Celle-ci garda ses sous vêtements mais retendit la jupe et le débardeur à Ryô.  

 

- « Ryô non, je ne p… »  

 

- « Au que si ma belle ! » Dit il en la regardant des plus amoureusement ; puis il tourna sa tête vers les autres et vit que Mick bavait plus qu’humainement possible devant l’ensemble de sous vêtements qu’il avait choisit. « Out ! Get out of my way u pervert ! » Vociférât il en anglais une nouvelle fois. Quand il se retrouvait en face de Mick les mots sortaient tout seuls et bien souvent c’étaient dans la langue qu’ils parlaient quand ils étaient aux Etats-Unis.  

 

Toute la petite bande sortit donc et Kazue traîna Mick par l’oreille.  

 

- « Ryô s’il te plait… »  

 

- « ROOH c’est pas juste ! Moi qui aurait pu me rincer l’œil ! » S’exclama ce dernier tout en sortant afin que sa partenaire s’habille tranquillement.  

 

 

Une trentaine de minutes plus tard nos deux nettoyeurs se trouvaient au pied de leur immeuble. Ils montèrent les marches en silence, Ryô contemplant le balancement des hanches de sa partenaire.  

 

Une fois arrivé Kaori s’affala sur le canapé alors que Ryô alla dans la cuisine leur préparer un bon café.  

 

Il revint ensuite, posa les deux cafés sur la petite table du salon et s’agenouilla devant Kaori. Il sortit de la poche de son pantalon un petit écrin de velours rouge et d’une voix hésitante lui demanda.  

 

- « Kaori ma chérie, veux tu m’épouser ? »  

 

Expectative Kaori le regarda sans un mot puis elle se pencha vers lui et tendrement enserra son coup de ses bras.  

 

- « Oui Ryô, oui je veux être ta femme, j’en serai plus qu’honoré. » Répondit elle des larmes de bonheur plein les yeux.  

 

 


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