Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 9 :: Le proverbe dit : « Après la pluie vient le beau temps » ….

Pubblicato: 28-04-06 - Ultimo aggiornamento: 28-04-06

Commenti: Alors après deux semaines de patience voilà le nouveau chapitre ! Désolé pour le délai mais il faut rattraper les cours à la fac alors je n'ai pas pu rentrer chez moi plus tot... Sur ce je vous remercie encore pour vosreviews et les attend avec impatience ! ! Bonne lecture & Enjoy it ! ! Bises à toutes !

 


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Chapitre IX : Le proverbe dit : « Après la pluie vient le beau temps » ….  

 

C’est donc accompagnées des deux meilleurs professionnels du milieu, que nos deux jeunes se dirigeaient vers un immeuble aux briques rouges.  

Bien des passants se retournaient lors de leurs passages ; en effet, de ce cortège émanait une force et une détermination sans borne. Deux hommes entouraient Eriko et Kaori, et, ainsi, les protégeaient de toutes attaques possibles.  

 

Ils arrivèrent enfin à l’appartement de Ryô et Kaori. Mick et Ryô allèrent s’asseoir sur le canapé pendant que les deux jeunes femmes s’en allèrent vers la cuisine afin de préparer le café.  

 

- « Quelle histoire… Je n’aurais jamais pensé qu’une chose pareille soit arrivée à Kaori ! Elle a déjà traversé tant d’épreuves…elle bien plus forte qu’il n’y parait ; ça je le savais déjà mais là, cela nous montre à quel point elle est une personne déterminée et qui se bat non seulement pour sa propre vie mais également pour celle des autres. Elle est sans aucun doute la personne la plus généreuse qu’il m’est été donné de rencontrer. »  

 

- « Tu as raison Mick,...moi aussi je ne me doutais pas le moins du monde qu’elle avait subit de tels choses. Makimura ne m’en avait jamais parlé… »  

 

- « Il est plus qu’évident que ce malade va encore tenter de s’en prendre à elles deux ; je me dem… »  

 

- « Tu te trompes Mick, je suis plus que sure qu’Eriko ne craint rien… Comme je l’ai dis à Kaori tout à l’heure, durant un temps Eriko a été leur jouet, un beau trophée à posséder et à exposer ; mais Kaori est celle qui les a affronté, et les a humilié, ridiculisé…c’est après elle qu’ils en ont maintenant, elle est devenue leur vengeance ; c’est en s’en prenant à elle et en la brisant qu’ils se vengeront. Mais cette fois, elle ne saura pas toute seule, je serais là et je jure sur tout ce j’ai de plus chère qu’il ne la touchera pas sans y laisser sa vie. » tonna un Ryô plus que hors de lui.  

 

Au moment où Mick allait répondre, Kaori et Eriko sortaient de la cuisine les mains chargées de plateaux. Se dirigèrent vers nos deux nettoyeurs et prirent place à leur cotés.  

La fin de la journée se passa ainsi dans une ambiance décontractée, et sereine ; Mick et Ryô faisaient de leur mieux pour que les deux femmes ne pensent plus trop à toute cette histoire, cela se traduit donc par quelques coups de massues et de francs éclats de rires.  

 

Lorsque le moment d’aller se coucher se présenta Ryô pensa qu’il allait enfin pouvoir tenir un petit moment sa partenaire dans ses bras, ainsi qu’échanger quelques baisers. Et à juste titre ses vœux se réalisèrent.  

 

Une fois qu’Eriko fût couchée il s’empressa de se diriger vers la chambre de Kaori pour partager quelques petits moments câlins.  

 

Hors mis de tendres baisers et quelques caresses, ils n’étaient jamais allés plus loin, il savait que Kaori n’était pas prête, et pour rien au monde il ne voulais la brusquer ; il faut cependant reconnaître que la libido de Ryô, déjà très active en temps normale, était mis à rude épreuve, et depuis quelques temps notre nettoyeur était cantonné aux douches froides, très froides même.  

 

Trois petits coups se firent entendre à la porte de Kaori avant que celle-ci ne s’ouvre révélant City Hunter.  

 

Kaori était en train de se mettre en pyjama quand la porte s’ouvrit ; elle aurait d’ailleurs connu un autre moment embarrassant si elle n’avait pas eu le temps de finir d’enfiler son haut avant que Ryô ne voit quelque chose.  

 

Il l’avait déjà vu à moitié nu il y a à peine quelques semaines de cela et cette dernière ne souhaitait pas que l’incident se renouvelle, tout du moins pas comme cela, prise au dépourvue.  

C’est un fait qu’il ait aidé à s’habiller, et donc vu en sous vêtements mais là au moins elle pouvait s’y préparer, c’était devenu une sorte de routine, tous les matins il venait dans sa chambre pour l’habiller et tous les soirs il y revenait pour lui ôter ses vêtements. Ensuite il s’étendait dur son lit avec elle et restait là à la soutenir jusqu'à ce qu’elle trouve le sommeil. Elle se demandait souvent si une fois endormie il repartait dans sa chambre ou si il restait avec elle ; elle ne s’était réveillée qu’une seule fois dans ses bras, c’était le premier jour de son retour de la maison du doc.  

 

En réalité Ryô passait ses toutes ses nuits avec elle, la tenant dans ses bras ; cependant, au petit matin, dés qu’il se réveillait il ne pouvait pas rester ainsi, non pas qu’il ne voulait pas qu’elle le trouve là, dans son lit avec elle, mais si il ne sortait pas vite de cette chambre pour filer prendre une douche froide il ne pouvait répondre de rien. C’est donc ainsi que tous les matins Kaori se réveillait seule.  

 

- « Ryô, mais qu’est ce que tu fais là voyons ? »  

 

- « D’après toi Kaori… Ce n’est pas pour faire une partie de scrabble crois moi. Je viens rattraper le temps perdu aujourd’hui voyons ! »  

 

- « Le temps perdu au…aujourd’hui ? Mais de quoi parles tu ? »  

 

- « De ma séance d’entretient physique voyons ! »  

 

- « Ta heu…sé…séance d’entre…d’entret…d’entretient physique. » Dit elle en rougissant plus qu'il n'est humainement possible.  

 

- « Que veux tu Kaori, une journée sans pouvoir te tenir dans mes bras, sans pouvoir t’embrasser et mon corps se rebelle ! ! Il faut que je m'entretienne, je ne suis pas l'étalon pour rien! »  

 

- « Tu sais Ryô tu as l’art de bafouer toute belle déclaration ! Cela commençait pourtant bien… Mais tu as raison, à moi aussi cela m’a manqué ! Je crois bien que je suis devenu encore plus dépendante de toi que je ne l’étais déjà. »  

 

Sur ces derniers mots Ryô s’empara de ses lèvres. Au fil du temps, leurs baisers étaient devenus de plus en plus passionnés, et Kaori ne ressentait plus cette peur qui lui tiraillait les entrailles au tout début ; maintenant elle se donnait pleinement et inexorablement à un Ryô qui en était pour le moins ravi, il avait toujours su qu’elle était un être généreux et passionné et ses baisers reflétaient tout cela et bien plus encore.  

 

Après un long échange de câlins et de baisers Ryô se vit contraint de retourner dans sa chambre, Kaori ne voulait pas qu’Eriko les surprennent et elle ne voulait surtout pas partager son bonheur avec les autres ; tout du moins pas tout de suite, elle souhaitait garder son partenaire un peu pour elle encore.  

 

 

Les premières journées se passèrent donc tranquillement, Ryô accompagnait toujours Eriko et Kaori dans leurs sortis, il ne les lâchait pas d’une semelle.  

 

Néanmoins, un jour alors qu’ils sortaient d’un magasin, ils virent une jeune femme se faire agresser par un homme. Tout en disant au filles de retourner dans le magasin pour plus de sécurité il se dirigea vers l’agresseur. Kaori et Eriko s’en retournèrent donc à l’intérieur du magasin pour attendre Ryô.  

 

Cependant tout cela n’était qu’un coup monté par Darcia pour enlever Kaori, cette dernière s’en rendit compte quand elle se retrouva dans le magasin ; en effet là se trouvait Darcia, Kenji et ses hommes de mains qui tenaient Eriko et les vendeuses en joug.  

 

- « Kaori, ma douce, ma tendre Kaori, je pense que tu ne veux pas qu’il leurs arrivent quelque choses n’est ce pas ? Alors tu vas bien gentiment nous suivre d’accord ? Au moindre faux pas la première balle est pour Eri et ensuite… mes hommes choisirons ! Alors je te conseille d’être très coopérative ma belle ! »  

 

Voyant que Ryô ne revenait toujours pas elle compris qu’elle n’avait alors plus qu’une seule et unique solution, elle devait les suivre.  

 

- « Très bien allons y ! »  

 

- « Kaori ne fais pas ça ! Tu sais tr… » Eriko se tû de suite en voyant le regard de son ami, et se souvint, qu’un jour elle lui avait raconté que Ryô plaçait des émetteurs dans chacun de ses vêtements et que ou quel soit il pouvait ainsi la retrouver.  

 

Or Darcia ne la laissa pas sortir comme cela et la força à passer une des tenues du magasin. Est ce qu'il savait à propos des émmetteurs ou est ce que ce n'était qu'une simple coïncidence... Elle n'en avait aucune idée.  

Darcia savait en effet qu’il avait encore un peu de temps son complice devait retenir l’homme qui les accompagnait le plus possible, et il n’y avait encore eu aucun signal.  

 

La robe était d’un blanc immaculé, dotée d’une coupe des plus simple. Elle se composait d’un décolleté assez prononcé et descendait jusqu’aux chevilles. Rien de bien original, tout dans la simplicité, mais c’était cela qui rendait cette robe particulièrement belle.  

 

- « Je compte bien voir ton sang se répendre sur ce tissu Baby Doll. Cela sera une des expérience les plus jouissives de ma vie je parie. » lui susurra Kenji à l’oreille.  

 

Kaori savait qu’elle n’avait plus d’échappatoire, les émetteurs n’étaient plus sure elle, mais qui plus est elle devait suivre ces malades pour ne pas qu’ils fassent un carnage dans le magasin.  

 

- « Ce fût un plaisir Eriko. » dit Darcia alors qu’ils s’en allaient tous pas la porte de derrière.  

 

Une fois qu’il s’était rendu compte de la supercherie, Ryô avait rapidement rebroussé chemin ; mais à peine avait il tourné le dos qu’il se retrouvaient avec trois hommes qui menaçaient chacun une femme d’un couteau ou d’un revolver, la panique s’était alors rapidement éprise des passants et le nettoyeur avait du y faire face.  

 

 

Kaori se retrouvait maintenant pieds et poings liés sur une sorte de table d’autopsie en métal, son corps reposait sur une sorte de grille qui se trouvait à quelques centimètres au dessus de la table, une sorte de grand baquet se trouvait au dessus de sa tête et une batterie électrique se trouvait posée à coté d’une petite table à roulette ou était disposait une sorte de mallette noire.  

 

Elle compris alors ce qui l’attendait.  

 

Elle compris qu’elle allait devoir se montrer forte.  

 

Ne pas flancher.  

 

Ne pas verser une larme.  

 

Ne pas montrer la souffrance sur son vissage.  

 

Ils allaient sûrement attendre que cela, la voir les supplier, les implorer.  

 

Elle ne leur donnerait pas cela.  

 

Allongée donc sur sa table, menottée elle entendit la porte s’ouvrir doucement, et vit Kenji s’approcher avec un sourire narquois sur le visage.  

 

- « On va bien s’amuser Baby Doll ! Ou tout du moins je vais bien m’amuser ! ! Hahaha !! »  

 

Kaori le vit ouvrir lentement la mallette noire qui se trouvait sur la petite table ; à l’intérieur tout un tas de scalpels et différents outils chirurgicaux s’y trouvaient alignés. Kenji prit un des scalpels et le dirigea lentement vers une de ses jambes qui était encore recouverte pour l’instant de sa longue robe blanche.  

 

 


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