Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prosa

 

Autore: Sheena

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 13 capitoli

Pubblicato: 10-03-06

Ultimo aggiornamento: 19-06-06

 

Commenti: 127 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Le passé ne peut s'effacer, ou disparaitre ; nous pouvons tout au plus l'oublier pendant un temps. Mais un beau jour tout refait surface et il faut à cet instant précis faire preuve de courage pour lui faire face ! C'est ce que Kaori va s'efforcer de faire.

 

Disclaimer: Les personnages de "Que maintenant la vie me sourit !" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Que maintenant la vie me sourit !

 

Capitolo 4 :: Ah jalousie quand tu nous tient !

Pubblicato: 17-03-06 - Ultimo aggiornamento: 17-03-06

Commenti: Bon bien je sais que vous attendez quelques éclaircissements sur cette histoire de Baby Doll mais cela ne sera pas encore pour l'instant il faudra se montrer patiente ! Au fait Kit ce chapitre est pour toi ! c'est le moins que je puise faire ! ! Bises à toutes et merçi pour les reviews qui me font plus que plaisir si besoin est de le dire. Bonne lecture @+ Sheena

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13


 

Chapitre IV : Ah jalousie quand tu nous tient !  

 

Quand Kaori fut habillée, nos deux nettoyeurs descendirent dans la cuisine où le petit déjeuner les attendait. Mais vu l’heure tardive qu’affichait dorénavant l’horloge, ce repas s’avérait être plutôt le déjeuner de midi.  

 

C’est donc dans une ambiance détendue et rigolant aux bonnes blagues de Ryô que celui-ci se déroula.  

 

A peine avaient ils finis de boire leur café, sur le canapé dans le salon, que la sonnette de la porte se fit entendre.  

 

Ryô se leva donc l’air grognon et s’en alla vers la porte pour permettre au gêneur d’entrer. Il aurait préféré rester seul avec Kaori afin de mettre son plan « Séduction de la belle demoiselle » en marche, mais le destin en avait décidé autrement.  

 

Au moment même où il ouvrit la porte, il su que c’était une mauvaise idée ; en effet une tête blonde déboula à toute allure dans l’appartement faisant mine de chercher quelque chose. Mick regardait dans toutes les directions ; puis son regard se posa sur sa proie et en quelques enjambées il se retrouva aux cotés de celle-ci.  

 

- « Ah ma beauté, je vois que tu vas mieux ! J’espère que cette andouille géante qui te sert de partenaire ne t’a pas trop ennuyé, sinon je me ferais un plaisir de m’occuper de toi ! »  

 

- « Non, non Mick, Ryô a été des plus gentil, tout c’est bien passé ! »  

 

- « Que crois tu, je ne suis pas comme toi MOI monsieur, je sais me contrôler quand la situation l’exige ! Et puis OCCUPES TOI DE TES OGNONS SAL CAFARD ! »  

 

- « PFFF tu n’es qu’une petite brindille dans l’univers, je ne fais pas cas de toi » dit Mick en prenant un accent chinois des plus risible. « Mais dis-moi Kaori tu es bien jolie aujourd’hui… et, mais tu n’as pas écouté les conseils du doc, il t’a bien dit de ne pas bouger ton bras. Avec le pull que tu porte tu as du en baver… la prochaine fois appelle moi ma douce je viendrais moi-même t’aider à t’habiller. »  

 

- « Merci mais ce n’est pas nécessaire ! Je t’assure »  

 

- « Mais si, j’insiste très chère… Il ne faudrait pas que tu te blesses bêtement ! »  

 

- « Ce n’est absolument pas la peine puisque c’est moi qui l’aide à s’habiller. » dit Ryô des plus contrarié.  

 

- « QUOI ? COMMENT CA ? CE PERVERS A VU A MOITIE NUE MA DOUCE KAORI ! ! … BOUHHHHHHHHH C’EST PAS JUSTE, MOI JE N’AIS PAS EU DROIT A CE DIVIN SPECTACLE ! BOUHHHHHH JE SUIS L’HOMME LE PLUS TRISTE DE LA TERRE. »  

 

- « Ca va arrête ton char Mick ! » « … Mais c’est vrai que moi j’ai ce privilège. » lui souffla Ryô dans le creux de l’oreille.  

 

- « Je vais te tuer, je vais t’étriper, je vais te massacrer, je vais t’annihiler Ryô Saeba ! » lui rétorqua son jumeau américain tout en lui courant après dans tout l’appartement.  

 

En ayant plus qu’assez de la scène des plus pathétique qui se déroulait devant ses yeux Kaori se dirigea vers la porte, enfila ses chaussures et pris son manteau avant de se raviser bien vite ; en effet celui-ci étant un peu prés du corps elle ne pouvait le mettre. Elle jeta un dernier coup d’œil au deux débiles profonds en train de se crier dessus des insanités et leur dit :  

 

- « Quand vous aurez fini de vous écorcher vif, vous vous rendrez peut être compte que je suis sortie ! Je vais faire des courses, à plus tard. »  

 

Tous deux la regardèrent, puis se regardèrent et enfin retournèrent leur regard sur la jeune femme qui venait de passer la porte ; aucun des deux ne voulait la laisser sortir dans cette tenue sans quelqu’un (en l’occurrence eux…) à ses cotés.  

 

Ils se relevèrent donc plus vif que l’éclair, prirent leurs vestes, et s’élancèrent derrière elle.  

Ils la rattrapèrent alors qu’elle était en train de traverser la rue. Sans dire un mot tout deux se placèrent à ses cotés de façon à ce qu’elle soit encadrée entre leurs deux corps.  

 

Même si aucuns de nos deux ex-coéquipiers n’avaient ouvert et la bouche pour prononcer la moindre petite parole, ils avaient réagis en même temps. En effet tout comme Ryô, Mick avait ressentit quelque chose ; il ne serait pas dire quoi exactement, mais tout ce dont il était sûr c’était que ce quelque chose était dirigé sur Kaori.  

 

A l’instar de l’américain, le japonais avait réussit à définir cette aura qu’ils les entouraient.  

Ce n’était pas une aura meurtrière comme il avait l’habitude de rencontrer lors de ces combats, non, c’était bien différent, elle ne dégageait aucune intention de tuer, mais quelque chose de vile, de sournois, et par-dessus tout, quelque chose de malsain.  

 

Cependant aucuns des deux nettoyeurs n’avaient pus la localiser, c’était comme si elle les englobait de toutes parts ; et pourtant ils sentaient bien qu’elle n’émanait que d’un seul individu. Puis cette dernière disparue aussi subitement qu’elle était apparue.  

 

Kaori complètement inconsciente de ce qu’il venait de ce jouer, continuait d’avancer vers le supermarché. Elle ne prêtait pas plus d’attention que ça à ce qu’il entourait ; elle se retrouvait plongée dans ses pensées, et se repassait sans cesse la scène de la nuit de son « accident ». Elle ne pouvait le croire, il y avait forcément une erreur ; elle avait dû se tromper cela n’était pas possible, ils ne pouvaient être revenus en ville.  

 

Elle se dit tout d’abord qu’elle avait rêvé, que cet homme ne l’avait pas appelé Baby Doll ; et puis Eriko n’avait pas bougé d’un pouce quand il l’avait appelé de cette manière.  

 

Mais plus elle se repassait la scène, plus il était clair, qu’il avait bel et bien prononcé ces deux mots, et Eriko n’avait pas réagit car il lui les avaient murmurer à l’oreille : dans un certain sens c’était peut être préférable qu’elle ne sache pas tout de suite qu’ils étaient Peut Être là.  

 

Le peut être représentant là, la vraie question.  

 

 

Elle fut alors tirée de ses pensées par les deux crétins qui l’accompagnaient ; en effet ses derniers tentaient, et c’était le mot important, de draguer deux jolies étudiantes. Néanmoins les deux jeunes filles paraissaient plus au bord de la crise de nerfs qu’autre chose, alors notre pro de la massue se fit un plaisir de faire revenir ces deux loustics dans le droit chemin en les écrasants de sa « punition divine ».  

 

Une fois fait, elle se dirigea vers l’entré du super marché afin de remplir les placard que son chère partenaire prenait un malin plaisir à vider. Elle entra donc avec son chariot.  

 

 

Elle avait déjà fait une bonne partie de ses courses quand elle se retrouva devant un léger problème ; elle devait acheter les biscuits de Ryô mais ces derniers, comme si ils l’avaient fait exprès, se trouvaient tout en haut de l’étagère du rayon. Elle essaya de les attraper en se hissant sur la pointe des pieds mais ce fut peine perdue, elle tenta alors de s’agrandir un peu en prenant appuie d’un pied sur la première étagère mais avec son bras elle ne pouvait rien faire. Elle se trouvait donc là en face de ces fameux biscuits qui commençaient sérieusement à l’agacer, quand un jeune homme d’environs son âge vint à son secours.  

 

- « Besoin d’aide, jolie demoiselle ? » lui demanda t’il d’une voix suave.  

 

- « Oh… euh et bien oui cela serait gentil. »  

 

- « Dites moi donc ce que je puisse faire pour vous aider, bel ange ? » lui dit il de manière toute aussi séductrice.  

 

Non loin de là un homme de carrure assez impressionnante, les cheveux noir jais commençait à voir rouge.  

 

- « Et bien, en fait j’aurais besoin de ces deux paquets de biscuits. » lui répondit Kaori qui arborait déjà une jolie teinte rouge.  

 

Le jeune homme posa une main sur l’épaule de cette dernière et allait lui parler quand une voix froide et cassante se fit entendre.  

 

- « Je m’en occupe… c’est bon maintenant tu peux dégager ! » rétorqua un Ryô plus imposant et charismatique que jamais.  

 

- « Pour qui tu te prends mec ? Je l’ai vu avant toi il me semble, alors c’est toi qui dégages ! » (oulala grossière erreur ! ! !)  

 

- « Tu crois ça ? Il me semble que tu n’as pas bien compris ; alors je vais tenter de me faire plus clair pour que ton cerveau de mollusque enregistre l’information. » dit Ryô tout en lui pointant son arme sur la tempe.  

 

- « D’accord, d’accord c’est bon pas la peine de t’exciter comme ça je m’en vais. »  

 

Ryô tendit le bras et attrapa deux boites de ses biscuits, les déposa dans le chariots et se retourna vers sa partenaire.  

 

- « Alors comme ça on essaie de draguer ? Tu sais pourtant bien que ton charme ne marche pas sur les hommes… ou les femmes d’ailleurs… peut être sur les animaux qui sait ? »  

 

Mais contrairement à l’accoutumé, il ne se prit aucune massue, la seule et unique chose qu’il reçu  

fut un merveilleux sourire de sa moitié. Celle-ci était plus que touchée qu’il soit intervenu, sans trop en dire il lui avait quand même montrer se sentiments en public, il avait était jaloux et cela, aux yeux de Kaori valait toutes les déclarations du monde.  

 

Après une bonne heure passée dans le magasin afin d’acheter tous les articles que contenait la liste des courses Ryô et Kaori s’en retournaient tranquillement chez eux. Kaori aurait aimée aller faire un petit coucou à Miki et Falcon mais Ryô qui surveillait l’état de santé de sa partenaire voyant les traits tirés de cette dernière avait préféré rentrer.  

 

Ils étaient à quelques rues de chez eux quand un groupe de jeunes voyous débarqua devant ces derniers. Ils étaient certainement nouveaux en ville, car tout le monde savait qu’il ne fallait pas ce mesurer à City Hunter sans avoir envi d’y laisser sa vie.  

 

Ces donc de manière des plus décontracté que le duo City Hunter aborda cette situation.  

 

- « Allez papy, lâche ton fric, on est pressé ! » dit l’un d’eux.  

 

Deux autres dévoraient avidement Kaori des yeux ; cette dernière rageait de ne pas pouvoir bouger son bras car sinon elle leurs aurait bien filée une bonne raclée à coup de bazooka.  

 

- « On peut, peut être aussi, le débarrasser de la poupée qui l’accompagne… Tu verras chérie, tu seras certainement mieux avec nous qu’avec un vieux débris comme lui. » S’empressa t’il d’ajouter tout en posant ses mains un peu partout sur le corps de Kaori.  

 

Pour la troisième fois de la journée Ryô vit rouge et sortit son Python 357 Magnum afin de le braquer sur ces gamins.  

 

- « Alors vous allez bien m’écouter maintenant petits merdeux ! Je ne suis absolument pas d’humeur aujourd’hui pour cela, je vais donc vous faire une faveur et vous dire à qui vous vous adressez. … Vous avez devant vous City Hunter alors si demain vous voulez voir le jour ce lever vous ferriez mieux de dégager et vite ! … Au une dernière chose au faite » ajouta t’il en se tournant vers celui qui avait caressé Kaori « On. Ne. Touche. Pas. A. Ma. Femme. Est. Ce. Bien. Clair ? » Entre chaque mot il accentuait ses dires d’un coup de poing, et la petite raclure avait maintenant le visage en sang complètement défiguré.  

 

Kaori était à l’écart, stoïque, elle n’en revenait toujours pas ; par deux fois dans la même journée Ryô avait été jaloux, et là il l’avait dénommé comme étant sa femme.  

Elle était donc sur un petit nuage quand Ryô s’avança vers elle et lui passa le bras autour de ses épaules.  

 

 

A peine avaient ils franchis la porte du seuil de leur immeuble que Kaori se retrouva plaquée contre un des mur, pressée entre ce dernier et le corps de Ryô. A la minute où elle sentit les lèvres de Ryô contre les siennes le sac de provisions tomba par terre, et elle enroula ses bras autour de sa nuque ; alors que ce dernier après avoir posé ses mains de chaque cotés de sa tête, parcouru son corps de caresses. Elle était à lui maintenant, et il ne pouvait supporter de voir un autre autour d’elle lui faire du charme, ou la toucher ; en fait si il s’écoutait il tirerait une balle dans la tête de chaque homme qui la regarderait de trop près.  

 

C’est donc un baiser passionné, fougueux et dévorant qu’ils partageaient. Ryô avait pris possession de la bouche de sa partenaire et ne comptait pas la relâcher de si tôt.  

 

Après quelque temps passé ainsi, ils durent se séparer pour pouvoir permettre à leur organisme de faire cette infâme besogne qu’est respirer.  

 

Ryô se baissa ramassa le sac de courses et pris la main de Kaori avant de monter les escaliers. Notre jolie brunette avait les joues rosies, les lèvres encore gonflées par le plaisir et les yeux brillants, ou reflétait tout l’amour et le désir qu’elle éprouvait pour son partenaire. Ce dernier n’étant pas insensible à ce regard hâta le pas afin de pouvoir rependre leur petit câlin tranquillement chez eux.  

 

Ryô n’avait pu retenir plus longtemps l’envie de clamer sienne la femme qui partageait sa vie, et c’est donc de la seule manière qu’il pouvait le faire à l’heure actuelle, qu’il s’y était adonné. Il lui avait ravi ses lèvres avant même qu’elle est le temps de prendre une bouffé d’air, et ne l’avait relâché que quelques minutes après, le souffle cour pour lui faire monter les escaliers qui les menaient chez eux.  

 

Arrivée devant la porte Kaori pris le sac des mains de Ryô, puis ouvrit la porte, elle s’engagea alors vers la cuisine afin de poser les commissions ; mais à peine avait elle eue le temps de les poser sur la table de la cuisine que deux bras puissants s’étaient enroulés autour de sa taille, et qu’une bouche lui parcourait délicatement le coup en lui déposant par ci par là de tendres baisers.  

 

Après un sursaut de conscience Kaori lui demanda ou était passer Mick, ce dernier avait disparu depuis bientôt deux heures.  

 

- « Oh (baiser dans le coup) il est (baiser en haut de son oreille) parti voir (lui suçotant le lobe) Miki » dit il avant de la retourner et de prendre une nouvelle fois possession de sa bouche.  

 

La vérité était que Mick aurait préféré rester auprès de sa chère et tendre Kaori pour enquiquiner son imbécile d’ami, mais qu’avec un revolver collé contre sa nuque il avait préférer se soumettre à la volonté du nettoyeur numéro 1 du Japon, et était donc « aller voir ailleurs si ils y étaient ».  

 

Kaori était donc entre les bras de Ryô qu’elle embrassait passionnément quand celui-ci posa ses mains sur ses hanches et la souleva afin de la faire asseoir sur la table avant de se positionner entre ses cuises. Cette dernière eue un moment de recul, elle n’était pas encore prête pour aller plus loin ; mais Ryô avait trop de respect et d’amour pour elle pour lui faire l’amour sur la table de la cuisine, enfin la seconde fois c’est une autre histoire pensa t’il. De plus il ne ferait rien tant qu’elle ne sera pas prête, et ce sera elle qui le lui demandera.  

 

Il voulait tout simplement l’embrasser et la tenir dans ses bras, il libéra sa bouche et commença à déposer des petits baisers sur son coup, sur la partie de sa gorge qui était dénudée. Kaori gémissait à chacune de ses caresses, elle avait beau essayer de ce retenir il n’y avait rien à faire à chaque fois que la bouche, ou la langue de Ryô parcourait son corps des sons s’échappaient de sa bouche. Cela avait d’ailleurs un effet fou sur notre étalon qui ne tarda pas à se retrouver avec un mokkori des plus réveillé. Etant placé ou il était Kaori ne tarda pas elle non plus à le sentir, et devint encore plus rouge qu’elle ne l’était déjà.  

 

Cependant savoir qu’elle, « le travesti », « le camionneur », « la planche à pain », « le garçon manqué » et encore bien d’autre ; pouvait donnait une érection à l’étalon de Shinjuku l’emplit de joie. Surtout que d’après le peu qu’elle pouvait sentir le mokkori power de Ryô n’était pas loin d’être à son maximum.  

 

C’est à ce moment là que le téléphone sonna, et ce fut un Ryô passablement énervé qui décrocha.  

 

- « Qu’est ce qu’il y a encore, on peut pas être tranquille à la fin non ? »  

 

- « Euh…Ryô c’est Miki, ça va ? …J’aurais voulu parler à Kaori si c’était possible. »  

 

- « Ouais j’te la passe. » lui dit il avant de tendre le combiner à sa partenaire.  

 

Après ce qui sembla à Ryô être des heures Kaori raccrocha et alla s’asseoir sur le canapé à coté de son homme.  

 

- « Miki a téléphoné pour m’inviter à aller au nouveau centre commerciale qui vient d’ouvrir demain, elle ma dit qu’il y aurait Kazue, et Reika et qu’on passerait la journée à se faire cocooner à l’institut de beauté. C’est déjà tout prévus elles ont organisé ça pour… »  

 

- « Zut alors, moi qui comptait passer la journée avec toi à faire des câlins, il faudra qu’une jeune et jolie jeune femme se dévoue à ta place alors. »  

 

- « Essaye donc pour voir tiens ! J’aimerais bien voir ça. Aller allons manger maintenant. »  

 

- « A vos ordres maîtresse. »  

 

Ils dînèrent donc tranquillement avant d’aller prendre leur douche, et que Ryô ne soigne l’épaule meurtrie de Kaori.  

 

Une fois le pansement changé il lui prit la main et l’entraîna vers sa chambre à lui ou ils s’allongèrent et tombèrent rapidement dans un profond sommeil, enlacés dans les bras l’un de l’autre.  

 

 


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