Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: chibiusa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 38 capitoli

Pubblicato: 14-07-06

Ultimo aggiornamento: 02-01-08

 

Commenti: 185 reviews

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GeneralDrame

 

Riassunto: Un souvenir intarissable...

 

Disclaimer: Les personnages de "Remember me" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo - les personnages extérieurs m'appartiennent !

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The average is 1500 words per chapter, so you can see that the minimum we're asking for is quite less.

 

 

   Fanfiction :: Remember me

 

Capitolo 31 :: Tristesse d'enfant

Pubblicato: 12-03-07 - Ultimo aggiornamento: 12-03-07

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38


 

Le nettoyeur délesta Nicolas de la jeune femme et une fois qu’il l’eut monté dans la chambre de cette dernière, il prit le jeune homme par le bras pour le tirer en arrière avant qu’il ne dépose un baiser sur les lèvres d’Haruka.  

Nicolas grogna qu’il était un dictateur ce qui attira un sourire trop grand pour être honnête sur le visage de son futur beau-père. Ne voulant dire ce qu’il pensait, il opta pour une tangente et se raccrocha à un détail qu’il avait remarqué :  

 

- Je vais appeler le doc pour qu’il regarde ta blessure.  

- Mais…  

 

Le nettoyeur l’ignora et alla dans la cuisine et mit en route le café.  

 

- Il est hors de question que toi blessé, côtoie Tom et Haruka.  

- Pourquoi ?  

- Pour la bonne raison qu’ils pourraient s’en prendre à eux, et je sais grâce à Bryan que tu es capable de les protéger.  

- Vous me donnez beaucoup trop de capacité Monsieur Saeba.  

- Ryo.  

- Si je suis parti c’est parce qu’ils…  

- Je ne t’ai pas dis de tuer, laisse ça au quartier ou à moi. Montre-moi ta blessure.  

 

Le jeune homme s’exécuta à contrecœur, quelques minutes plus tard Kazue entra dans l’appartement et se dirigea vers la cuisine.  

 

- Ce n’est pas le doc ?  

- Et bien, disons qu’il a voulu jouer au jeune homme et il s’est retrouvé bloqué en deux…  

- Ah.  

- Tu es Nicolas alors… je suis Kazue, je suis l’assistante du médecin. Fais voir ta blessure.  

 

Dans un soupire Nicolas enleva avec le plus grand soin son pansement.  

 

- Depuis quand vous avez ça ?  

- Quelques jours…  

- Cela date de quand ? au moment de ton départ ? ou après… ou avant…  

- C’est arrivé deux jours avant que je me tire.  

- Qui t’a soigné ?  

- Moi – il ajouta avec amertume – j’ai désobéi, ils allaient certainement pas me soigner…  

- Qu’as tu fais pour te prendre un trou comme ça ?  

 

Nicolas fit mine de réfléchir en mettant sa main sur son menton et déclara :  

 

- Je suppose que je manque un peu de résistance… j’ai immobilisé 50 personnes, et ils ont pas été content….  

- Pourquoi ? fit Ryo.  

- Ils auraient préféré une solution radicale… mais ayant la possibilité de faire autrement.  

 

Il haussa les épaules et ne dit plus rien les yeux perdu dans le décors, il sentait à peine l’infirmière lui mettre des points.  

 

- Voilà, tu es tout réparé.  

- Merci, fit simplement le jeune homme avant de se lever et de retourner dans sa chambre.  

 

Une fois sorti, Kazue regarda le nettoyeur et lui dit :  

 

- Et bien ce gosse me rappelle un peu toi. Bien entendu, il est différent mais il semble un peu seul et triste.. non ?  

- Il doit penser à sa famille, à ses parents qui ont été tué. La seule famille qu’il a aujourd’hui se réduit à sa sœur, ma fille et leur fils. Il a peur d’être rejeté par l’un des trois.  

- Comment le prend Haruka ? veux-tu que je lui prescrive des contraceptifs.  

- On en est pas là, grogna le nettoyeur.  

 

L’infirmière compatissante sourit et lui dit :  

 

- Ce n’est pas toi qui, il n’y a pas si longtemps a incité l’un des camarades de ta fille à avancer dans leur relation.  

 

Le nettoyeur fourra ses mains dans ses poches, refusant de répondre. Il devait bien avouer qu’il ne comprenait pas son comportement. Effectivement il devait bien l’avouer, mais il ne craignait pas grand chose avec l’autre, il savait intérieurement que sa fille le repousserait. Il devait réfléchir à ce qui l’avait poussé à l’inviter à un tel geste.  

 

- Mieux vaut prévenir que guérir, constata l’infirmière.  

- Pardon ?  

- Je disais, qu’il vaudrait mieux prendre les devants avec Haruka, pour le jour ou ils rattraperaient le temps perdu.  

- Je ne m’occupe pas d’Haruka depuis qu’elle est bébé, constata Ryo. Mais je ne supporte pas qu’on lui fasse du mal, et je voudrais tellement la protéger…  

- Je sais, mais c’est presque une adulte à présent, il faut lui laisser faire ses erreurs. Ce jeune homme m’a l’air très charmant.  

- Je dois reconnaître qu’il s’est très bien comporté avec Haruka. Mais… il est quand même resté dans la chambre de ma fille quand elle se changeait.  

 

Kazue éclata de rire et lui déclara :  

 

- Allons est-ce que toi tu aurais laissé l’occasion passer si cela avait été une autre femme ?  

- Oui mais…  

- C’est ta fille, mais ton rôle est de lui donner l’opportunité de voler de ses propres ailes.  

 

Ryo se contenta d’hocher la tête, et soupira :  

 

- Tu as raison. Je suppose qu’il faut que je me prépare à ce que ma fille confie son cœur, son corps et son âme à Nicolas.  

 

Sentant qu’elle avait obtenue plus qu’elle ne l’imaginait la jeune femme ramassa ses affaires et sortit de l’appartement.  

 

* * *  

 

Tomas était à l’anniversaire d’un de ses copains, tout se passait bien jusqu’à ce qu’il dise qu’il avait un papa !  

 

- T’es un menteur Tom ! fit Daï.  

- Mais non je t’assure que j’ai un papa !  

- Moi ma maman elle dit que ta maman est pas quelqu’un de fréquentable, qu’elle est vilaine ! fit Aina.  

- C’est faux !!! fit Tom. Ma maman elle est gentille et jolie !  

- Oui mais elle t’a, enchérit Toshio.  

- Et alors ? répondit Tom.  

 

Le petit garçon ne voulait plus entendre de méchanceté sur sa maman, aussi il se détourna des enfants et alla voir la maman de son meilleur ami qui était resté mystérieusement silencieux.  

 

- Je veux rentrer à la maison, fit l’enfant.  

- Mais mon chéri qu’est ce qui se passe ?  

- Je veux rentrer à la maison ! répéta Tomas. Je veux téléphoner à ma maman et mon papy pour qu’ils viennent me chercher !  

- On a pas encore soufflé le gâteau, essaya la jeune maman.  

- M’en fiche ! je veux ma maman !!!!!!!  

 

Tomas n’était pas du genre à faire de caprices, il était généralement d’humeur accommodante mais là il voulait rentrer. Il voulait un câlin de sa maman. Aussi, sachant éperdument que cela fonctionnerait pour ayant déjà vu son ami le faire, il se mit à pleurer et à réclamer sa maman.  

 

Surprise Maki le regarda stupéfaite, c’était la première fois que le petit garçon faisait un caprice, et elle téléphona immédiatement chez l’enfant. Une colère de ce type chez ce petit garçon si mignon, ne pouvait signifier qu’une chose, qu’il était en grande souffrance. Et quand elle entendit les enfants dire :  

 

- Il pleure parce que c’est un menteur !  

- J’ai pas menti !!!! j’ai un papa !!!!!!  

- Allons les enfants ! Tom a raison il a un papa ! fit la maman de son camarade.  

- C’est faux on l’a jamais vu !  

- Vous savez bien qu’il est monté au ciel, insista Maki.  

- Non ! réfuta Tom. Papa il est venu me chercher à l’école avec papy, papy il a dit que l’on croyait à tort que mon papa était avec mamy !  

- Tu racontes que des mensonges !  

- Oh le menteur.  

- Je veux rentrer à la maison, geignit l’enfant qui cette fois-ci ne faisait plus semblant de pleurer.  

 

Makiko le regarda avec tristesse et décréta à son mari :  

 

- Ken, occupe toi des enfants.  

- D’accord ma chérie.  

 

Tom alla ramasser son sac à dos ou se trouvait le cadeau de son camarade, il le sortit et prit son sac sur ses genoux et s’assit contre le mur.  

 

- Tu ne veux pas parler petit bout ? demanda Makiko.  

- Non. Vous pensez que je mens alors que je mens pas. je veux rentrer à la maison.  

- Ne t’inquiète pas, j’ai eu ton papy au téléphone, il a dit qu’il venait te chercher.  

 

L’enfant hocha la tête, les joues toujours inondées de larmes. Il se leva et alla s’installer sur les marches de la maison, comme ça il pourrait partir tout de suite.  

Il entendit tout de suite la voiture de son papy avant même qu’elle tourne au bout de la rue, il s’avança vers le portillon et attendit.  

 

Quand son papy arriva à sa hauteur et le regarda par dessus la clôture, Tom ne put s’empêcher de pleurer encore plus fort.  

 

Nicolas qui était avec Ryo échangea un regard surpris mais ce dernier était aussi déstabilisé que le papa. Ce dernier prit sa respiration et passa d’un tour de main, de l’autre côté. Il tourna l’enfant vers lui et le prit dans ses bras. Le petit corps tout tiède s’accrocha à son cou et Tom laissa échapper ses pleurs. Nicolas fut surpris de l’abandon et il lui murmura des mots tendres en anglais. Alors dans un concert de sanglots Tom lui dit :  

 

- y… ont dis…. Que… c’était faux… que j’avais un papa et que maman était une vilaine.. je veux pas, qu’on dise du mal de maman…  

 

Le jeune homme comprit la colère et la douleur de son fils, il ignorait depuis quand ces accusations pleuvaient sur lui, mais il était certains que cela ne datait pas d’aujourd’hui. Nicolas sentit son cœur se serrer, il lui dit :  

 

- Et bien allons voir tes camarades ok ? je vais leur dire, moi, que je suis ton papa.  

 

Le garçonnet s’écarta un peu et sa lèvre tremblait quand il demanda :  

 

- Tu ferais ça ?  

- Oui, bien entendu, puisque c’est vrai que tu es mon petit garçon. Et ta maman n’est pas une vilaine, tu es la plus belle chose qui nous soit arrivé à tous les deux.  

 

Il avança vers la porte de la maison et frappa. Une femme ouvrit.  

 

- Vous désirez ? oh Tom c’est là que tu étais ? ou l’avez vous trouvé ?  

- Il m’attendait, je peux entrer madame ?  

- Vous êtes ?  

- Nicolas Tomas, le papa de Tom.  

 

La femme cligna des yeux.  

 

- J’aimerais entrer et aller voir les garnements qui ont fait pleurer mon fils.  

 

La voix était douce mais ferme, elle ne laissait aucune autre marge de manœuvre. La jeune femme hocha la tête et les invita à entrer, elle déclara :  

 

- Ils sont dans la salle.  

 

Tom était toujours dans le cou de son père et se tenait fermement à ce dernier. Il sentait que son papa ne le lâcherait pas, que maintenant qu’il était là, il ne voulait être nul part ailleurs.  

 

A son entrée les enfants se turent et le regardèrent avec de yeux comme des soucoupes. Ryo entra derrière lui et fit un clin d’œil aux enfants. Le nettoyeur murmura à son gendre que les enfants présents avaient déjà vu sa photo.  

 

- Au cas ou vous me prendriez pour un fantôme je vous rassure, je suis bien vivant. Et je vous confirme que je suis bien le papa de Tom. Tom n’est pas un menteur. J’ai eu un accident qui m’a fait tout oublier, y compris malheureusement la maman de Tom, et le fait que j’allais avoir un enfant, Tomas, avec elle. Presque tout de suite après m’être souvenu d’eux je les ai cherché et grâce à Monsieur Saeba, je les ai retrouvé. Sur ce, je vous souhaite une bonne fête d’anniversaire et je compte sur les adultes ici présent pour expliquer aux petits si ceux-ci n’ont pas compris de quoi il retournait. Autre chose, il serait bien aussi que ces mêmes adultes arrêtent de médire sur le compte de ma femme.  

 

Il tourna les talons et demanda :  

 

- Tu veux rester et finir la fête de ton ami ?  

- Non ! je veux rentrer à la maison !  

- D’accord.  

 

Nicolas adressa un sourire d’excuse à la jeune femme et lui dit :  

 

- J’espère que je ne leur ai pas fait peur !  

- Ne vous inquiétez pas, je vais me charger de leur parler.  

- Merci.  

- Voici une part du gâteau pour Tom.  

- Merci !  

 

Tom rechigna à se séparer des bras de son père, mais finit par se résigner à s’installer dans son siége. Il se perdait dans le mutisme et cela ne plaisait guère aux adultes.  

 

- Tom ?  

 

Le petit garçon tourna la tête ses yeux à présent étaient secs mais rouges de larmes.  

 

- Cela te dirait d’avoir une glace ? proposa Nicolas.  

- Je peux en avoir une ?  

- Oui. Je crois qu’on en a besoin tous les trois.  

- Ou elle est maman ?  

- Elle dormait, on voulait pas la réveiller. Tu es fâché ?  

- Non.  

 

La détresse du petit garçon était si flagrante qu’elle faisait du mal au deux adultes qui gardèrent une œil sur la petite masse qui s’endormit sur le trajet d’avoir trop pleuré.  

Ryo s’arrêta à la supérette pour acheter de la glace et de la chantilly pour pouvoir rentrer à l’appartement.  

Nicolas se chargea de monter son fils. Il confia au nettoyeur :  

 

- Pauvre bonhomme, je me demande depuis quand il doit supporter les remarques de ses camarades.  

- Il ne m’en avait jamais parlé, fit le nettoyeur. Il est tellement accommodant qu’on a tendance à oublier que c’est un petit garçon avec sa fragilité. Je suis furieux contre ses parents insensés qui mettent des bêtises dans leur tête. C’était déjà ça à l’époque ou Tom aurait dû aller à la crèche.  

 

Le nettoyeur lui raconta l’attitude de sa fille et sa propre attitude.  

 

- Pauvre petit bonhomme, murmura Nicolas. Je ne suis pas sûre que ce que j’ai dis va les faire changer d’attitude.  

- Je ne sais pas. Bah ça leur fait du bien.  

 

Arrivés à l’étage, Tom se réveilla doucement, dans son lit et son papa qui était assis au bord du lit.  

 

- J’ai fait la sieste ? constata l’enfant perplexe.  

- Il semblerait.  

- Je fais jamais la sieste, sauf avec maman.  

- Et bien tu sais, pleurer, ça fatigue et tu as évacué beaucoup de tristesse.  

- …  

- Si tu savais comme je m’en veux de ne pouvoir faire taire les méchancetés de tes camarades.  

- C’est pas souvent eux ! j’entends les parents !  

- Ne t’inquiète pas, petit homme, ta maman et moi, allons faire en sorte qu’ils ravalent leur paroles.  

- Comment ?  

- Je ne suis pas encore sûr. Si tu es en forme il y a ta glace qui t’attend en bas.  

- C’est vrai ?  

- Oui !  

 

Tom ne se le fit pas répéter une nouvelle fois et descendit les escaliers avec vitesse.  

 

- Tom ! ralenti, ordonna la douce voix de sa mère.  

 

Aussitôt l’enfant s’immobilisa et descendit lentement, puis il alla dans les bras de sa maman et lui dit :  

 

- Je veux un câlin !!!!!!  

 

Haruka fut surprise mais elle se baissa pour que le petit garçon se loge dans ses bras. Elle se redressa et alla s’asseoir dans la cuisine.  

 

- Alors mon chéri, ça s’est mal passé l’anniversaire de copain ?  

- Ils ont été méchants les enfants !  

- Je vois… murmura la maman en le câlinant tendrement. Mon petit garçon a besoin d’un câlin alors, et bien tant mieux parce que maman elle adore les câlins de petit Tom.  

 

Ils restèrent ainsi plusieurs minutes.  

 

- On se la mange cette glace ? fit-elle gaiement.  

- Oh oui !!!!  

 

Le petit garçon installé sur sa chaise, Nicolas fit le service. Tomas mangea avec appétit sa tristesse envolée à coup de cuillère de vanille au coulis chocolat et le tout avec de la chantilly.  

 

Un peu plus tard :  

 

- Tu veux prendre le bain avec maman mon chéri ?  

- Oh oui !!!!!  

 

La mère et le fils s’enfermèrent donc dans la salle de bain et Nicolas attendit penaud de s’être fait mettre à la porte par la mère de son fils.  

Le petit garçon couché, Haruka en robe de chambre descendit ou les deux hommes l’attendirent et Ryo lui demanda :  

 

- Tu savais que Tom souffrait de l’école ?  

- Je suis aveugle pas sourde, oui bien entendu, j’ai entendu chacune des remarques de ses femmes, il était pas difficile pour que je fasse le rapprochement avec mal-être de mon fils.  

- Tu n’as rien fait ? s’exclama Nicolas.  

- Je n’aime pas être mise sur le banc des accusés sans m’être expliqué, fit-elle sèchement. Pour ton information, j’ai fait quelque chose ! j’ai envoyé mon père plusieurs fois chercher Tom à l’école alors que j’aurai pu y aller.  

- Je ne comprends pas intervint Ryo.  

- Les parents ne disent rien devant toi, il semble qu’ils aient un peu peur de tes réactions. J’aime mon fils, Nicolas, et j’essaie d’agir au mieux pour lui…  

 

Le nettoyeur réfléchit, c’était vrai, sa fille aurait pu aller chercher l’enfant à l’école, mais avait délégué la tâche. Elle allait à la bibliothèque pour réviser et prétextait cela pour ne pas aller le chercher. Ryo et Nicolas comprirent que c’était son sacrifice à elle, sa manière de protéger son enfant.  

 

- Les mots de m’atteignent pas autant qu’ils atteignent mon fils. Je suis assez grande pour les ignorer.  

 

N’y tenant plus Nicolas s’avança vers et elle et la prit dans ses bras il la câlina comme elle l’avait fait avec Tomas. Et après quelques secondes ou elle resta figée se laissa aller contre lui.  

 

- Je sors ! décréta le nettoyeur.  

- Qu’est ce que tu vas faire papa ? demanda Haruka inquiète.  

- Mettre les points sur les « i » comme j’aurais dû le faire il y a longtemps avec ces mégères.  

- Papa !  

- Ne t’inquiète pas, je parlerai !  

 

Une fois que son père eut fermé la porte, Haruka grommela :  

 

- C’est bien ce qui me fait peur ! voilà pourquoi je voulais pas qu’il sache.  

 

 


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