Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 13-03-08

Ultimo aggiornamento: 04-01-09

 

Commenti: 82 reviews

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General

 

Riassunto: City Hunter doit protéger un jeune homme qui n’est autre que le nouvel ami de Kaori. Mais cette dernière n’est pas au meilleur de sa forme a cause d’étranges rêves qui l’empêchent de bien dormir la nuit.

 

Disclaimer: Les personnages de "Drôles de Rêves" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Drôles de Rêves

 

Capitolo 7 :: Une nuit et une journée éprouvantes

Pubblicato: 16-03-08 - Ultimo aggiornamento: 16-03-08

Commenti: Salut les amies. Je suis ravie que ma fic vous plaise, et pour ne pas trop vous faire languir, voici un nouveau chapitre que je viens juste de finir de taper. Ce doit être le plus long. Je vous préviens, le personnage de Ryô m’a quelque peu échappé, vers la fin du passage. Vous comprendrez ce que je veux dire. Ce passage est celui que j’ai le plus réécrit, alors s’il vous plait, dites moi sincèrement ce que vous en pensez (les critiques sont bien sur bien accueillies). En espérant ne pas vous décevoir, je vous dit a très vite Et puis GROS BISOUS a mes lectrices et a mes revieweuses en particulier, vos encouragements m’aident. usakisa

 


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-Kaori !  

 

C’était une exclamation de surprise. Ryô n’en revenait pas. Mais il constata que cette dernière avait les yeux fermés.  

 

« Elle est en train de rêver ! »  

 

Il ne savait pas quoi faire.  

 

« Je ne peux tout de même pas la réveiller ! Si elle voit la position dans laquelle elle est, je ne donne pas cher de ma peau. »  

 

Quoique à y réfléchir, elle serait plus que gênée, elle risquerait même de l’éviter après ça.  

 

« Non non, je ne veux pas que tu t’éloignes !! »  

 

Comme si elle l’avait entendu, elle s’approcha lentement de lui, lèvres entr’ouvertes.  

 

« Oh mon Dieu, non, je ne peux tout de même pas l’embrasser quand elle dort. »  

 

Le cerveau de Ryô était en train de chauffer et n’aller pas tarder à faire un court-circuit. Heureusement pour lui, il n’eut pas à prendre de décisions. La mini crise de somnambulisme de Kaori sembla arriver à son terme, et au lieu de rejoindre les lèvres de Ryô, elle s’affala sur son épaule. Il poussa un soupir de soulagement.  

Il voulut l’éloigner de lui mais elle passa une jambe sur la sienne et se cala confortablement contre son torse. Apparemment elle n’avait aucune intention de le laisser tranquille. Il soupira une nouvelle fois. Mais un sourire se peignit sur son visage : à bien y réfléchir, et en contemplant son visage d’ange, combien de fois avait-il rêver de ce moment ? Il n’allait pas gâcher une chance pareille. Il passa alors sa main autour de sa taille. Il s’aperçut que le souffle de Kaori s’était accéléré, mais il redevint normal au bout d’un moment.  

C’est tendrement enlacé avec sa moitié que Ryô se rendormit.  

Il fut pourtant réveillé à de très nombreuses reprises durant la nuit. (trop pour être comptées) : Kaori se mettait à gesticuler et à pousser des soupirs. En résumé il ne dormit que très peu, et cette nuit fut plutôt un cauchemar puisque même son compagnon de l’amour refusa de dormir.  

C’est avec un soulagement non dissimulé qu’il aperçut les premières lueurs de l’aube. Son calvaire allait se terminer.  

Il se dégagea lentement de l’étreinte de Kaori (Nda : et oui, il l’a quand même gardée serrée contre lui, si c’est pas mignon !) et se leva pour prendre une bonne douche. Puis il monta sur le toit fumer une cigarette.  

Kaori finit par se réveiller et fut étonné de voir le lit vide. Elle s’extirpa des draps et voulut se mettre debout mais la tête lui tourna. Elle était extenuée, comme si elle avait passé la nuit à faire de l’exercice au lieu de dormir.  

(Nda : hum hum, mais c’est le cas Kaori, tu as fait beaucoup d’exercice ; Kao : explique toi !! ; Nda : haha, c’était pour rire, range cette massue. Ouf.)  

Elle prit sur elle, se leva et rejoignit la salle de bain ou elle eut tout le loisir de s’examiner dans la glace. Mon Dieu, elle faisait peur à voir. Elle avait le teint livide, les traits tirés et d’immenses cernes sous les yeux.  

 

« Mais qu’est-ce qui m’arrive ? »  

 

Elle prit une bonne douche froide histoire de se réveiller. Elle se maquilla légèrement pour tenter de masquer ses cernes, mais ne fut pas très satisfaite du résultat. Elle descendit ensuite à la cuisine ou elle fut bientôt rejointe par Mamoru.  

 

-Bonjour Kaori, comment vas-tu aujourd’hui ?  

 

Tout en parlant il s’était approché près d’elle et lorsqu’elle se retourna pour lui répondre, elle se trouva nez a nez avec lui. Kaori fut troublée par cette proximité.  

 

-Bon sang, Kaori, mais qu’est-ce qui t’arrive ?  

-Heu… Bin…. Heu… c’est rien, j’ai juste mal dormi, ne t’inquiètes pas.  

-Mais bien sur que je m’inquiète. Tu sais Kaori, je tiens beaucoup à toi.  

 

Cet aveu fut suivi d’un profond silence. La jeune femme ne savait pas quoi répondre. Mamoru voyait bien qu’elle était troublée. Il se pencha un peu plus. Son regard était posé maintenant sur les lèvres de la nettoyeuse. Il se pencha encore et encore. Quelques centimètres seulement les séparaient.  

Une aura furieuse emplit tout à coup la cuisine.  

Kaori recula et regarda en direction de la porte. Personne. Pourtant elle était sûre que Ryô se tenait là quelques secondes auparavant.  

 

-Il faut que je finisse de préparer le petit-déjeuner. Excuse-moi.  

 

Elle retourna vivement à ses fourneaux.  

Mamoru, déçu, s’en alla faire un tour dans l’immeuble. Il entendit un bruit qui l’intrigua. Le suivant il arriva à l’armurerie.  

 

Ryô avait assisté à la scène dans la cuisine. Il avait vu son client, de dos, se pencher sur sa partenaire. Ryô ne vit pas que leurs lèvres ne se touchèrent pas. Pour lui ils s’étaient embrassés et il avait du refreiner son envie de tuer le banquier. Il était descendu pour se calmer.  

 

En le voyant tirer ainsi, il ressemblait à un vrai professionnel. Son attitude contrastait avec celle de la veille, ce qui étonna fortement Mamoru.  

 

-Qu’est-ce que vous voulez ?  

 

Le ton était dur et cassant. Mamoru comprit que Ryô ne l’aimait pas.  

 

-Heu, rien, j’ai entendu du bruit et j’ai juste voulu savoir ce c’était.  

 

Il était mal à l’aise. Il préféra battre en retraite.  

 

« Ce type est vraiment bizarre. »  

 

La matinée se déroula dans une atmosphère pesante. Ryô avait petit-déjeuner dans un silence glacial et était redescendu tirer.  

Mamoru avait fui dans sa chambre. Kaori, elle, ne se sentait pas la force de faire son ménage. Elle préféra s’asseoir sur le canapé avec l’intention de lire un peu. Mais sa lecture était entrecoupée par d’étranges visions. Elle se voyait avec Ryô : ils étaient tous les deux sur le canapé et…  

Elle secoua la tête pour chasser ces images plus que troublantes, mais rien n’y fit. Midi finit par arriver. Le repas se passa dans les mêmes conditions que le petit-déjeuner. Puis comme la veille ils allèrent au Cat’s Eye. Ryô ne sauta pas sur Miki, à la surprise générale. Il se contenta de s’asseoir au comptoir. Kaori le rejoignit, suivie de Mamoru. De toute évidence ce dernier était déçu que Kaori n’aille pas s’asseoir à une table. Il ne voulait pas rester près du nettoyeur.  

 

-Coucou Miki, ça va ? Je pourrais avoir un café s’il te plait ?  

-Bien sûr, tout de suite Kaori.  

 

Le silence s’installa tandis que Miki préparait les cafés et qu’Umibôzu s’occupait de nettoyer la vaisselle.  

 

-Et voila.  

-Merci Miki.  

-Mais, qu’est ce qui t’arrive Kaori ? T’as vu la tête que tu as ?  

 

Kaori sursauta.  

 

-C’est rien, ne t’inquiètes pas, juste un coup de fatigue.  

-Tu m’as déjà dit ça l’autre jour. Tiens je parie que Ryô n’y est pas étranger. A force de lui envoyer des massues pour refreiner ce pervers, voila ce qui t’arrive.  

 

Elle se tourna vers Ryô.  

 

-Tu n’aurais pas du la laissé sortir dans son état. T’as n’as donc pas vu qu’elle n’était pas au meilleur de sa forme ?  

-Allez, vas-y, maintenant c’est de ma faute. J’y peux rien si elle est dans cet état.  

-Si tu ne passais pas à courir après tout ce qui porte jupon, on en serait pas là.  

-Mais je ne fais que rendre hommage aux beautés de la nature. Ca te dirais pas de passer la nuit avec moi ? Je te montrerai ce que c’est un étalon.  

 

Il se prit un torchon en pleine figure.  

 

-Tu peux pas rester sérieux deux minutes ?  

 

Kaori intervint.  

 

-Ce n’est pas à cause de ça Miki. C’est comme si je n’avais pas dormi de la nuit.  

-Dis tout de suite que c’est moi qui t’ai empêché de dormir.  

-J’ai pas di ça Ryô.  

-Non, mais Miki pense que c’est de ma faute si tu vas mal, pas vrai Miki ? Des que quelque chose ne tourne pas rond chez ton ami, c’est de la faute à Ryô, non ?  

-Qu’est-ce qui te prend ?  

-Il me prend que j’en ai marre, c’est tout.  

 

Il était furieux, et lui qui ne montrait jamais ses émotions se laissait emporter. C’était toujours ainsi quand ça concernait Kaori. Il était furieux contre cette dernière et contre ce banquier. Comment avait-elle pu se laisser séduire et embrasser dans leur propre cuisine ? Comment avait-elle pu lui faire ça ? Lui qui croyait qu’il était le seul et l’unique.  

 

-Et peut-on savoir de quoi ? lui demanda Miki.  

-Que tout le monde me considère comme le méchant qui fait souffrir Kaori, de me prendre des coups de massues à longueur de journées et de ne pas pouvoir ramener de jeunes et belles jeunes filles a la maison. J’en ai tout simplement marre que Kaori contrôle mes faits et gestes. On n’est pas marié, et on n’est pas un couple et on le sera jamais.  

 

Se tournant vers Kaori.  

 

-Alors arrête de te comporter comme si tu étais ma femme.  

 

Kaori le regardait les yeux ronds. Avait-elle bien entendu ?  

 

-Et puis soyons honnête, qui voudrait sortir avec toi ? Tu n’es pas féminine, tu n’as aucune forme. Et à voir ton visage maintenant tu ferais fuir n’importe qui.  

 

Qu’était-il en train de dire ? Était-ce vraiment de sa bouche que sortaient ces mots terribles ?  

Kaori n’en revenait pas et lui non plus d’ailleurs. En fait il ne cherchait qu’à la blesser comme lui-même l’avait été dans la matinée. Mais il sut qu’il était allé trop loin. La colère l’avait emporté.  

 

-Je vous interdis de dire ça.  

 

Mamoru avait sauté sur ses pieds et avait entouré les épaules de Kaori dans un geste protecteur.  

 

-Pourquoi êtes-vous ignobles ? Elle ne vous a rien fait ! Vous êtes vraiment la pire des ordures.  

 

Kaori n’avait toujours pas bougé. Elle essayait d’encaisser les mots qu’elle venait d’entendre. Jamais auparavant Ryô n’avait été aussi blessant.  

 

-Ah mais on dirait que je me suis trompé. Il semblerait que t’es quand même trouvé un amoureux. Et bien toutes mes félicitations.  

 

Et sur ces mots il se leva et partit.  

Personne n’avait bronché. Kaori sortit de sa torpeur et se précipita à la poursuite de son partenaire.  

 

-Ryô, hurla-t-elle. Elle lui saisit le bras pour qu’il se retourne.  

-Pourquoi ? Ce fut tout ce qu’elle put murmurer.  

 

Il la regarda. Il regrettait tout, il n’avait qu’une envie, c’était de lui demander pardon et de la prendre dans ses bras.  

Il aperçut Mamoru qui était lui aussi sortit. Et il revit la scène de la cuisine. Toute sa colère remonta d’un coup.  

Elle le fixait de ses yeux noisette, cherchant une réponse dans les siens.  

 

-Kaori, tu devrais faire ta vie avec Mamoru. Vous avez l’air amoureux, alors ne gâche pas ta chance.  

 

L’étonnement se peignit sur le visage de la jeune femme.  

 

-Mais de quoi tu parles ?  

-Pas besoin de faire l’innocente, je vous ai vu dans la cuisine.  

-Ryô, il ne s’est rien passé dans la cuisine.  

-Je ne crois que ce que j’ai vu.  

 

Alors Ryô croyait qu’elle était amoureuse de leur client ? Pourquoi réagissait-il ainsi ?  

Se pourrait-il qu’il….  

 

-Serait-tu jaloux Ryô ?  

-Jaloux de quoi ? De vous deux ? Nan mais tu rigoles, moi je peux avoir toutes les belles filles que je veux.  

 

Comme pour appuyer ses dires il afficha sa tête de pervers et tenta de draguer la première fille venue. Il ne reçut qu’une paire de claques.  

 

-Alors tu pensais vraiment ce que tu as dit dans le café ?  

 

Il se tourna vers elle.  

 

-Je ne dis que ce que je pense.  

 

Il apparut soudain à Kaori que le sol venait de s’ouvrir sous ses pieds. Tout devint fade autour d’elle. Alors il n’en avait rien à faire d’elle. Ryô put lire le chagrin dans les yeux de Kaori.  

 

-Non c’est faux. Vous n’êtes qu’un menteur SAEBA Ryô.  

 

Les larmes commençaient à perler aux coins de ses yeux. Sa voix tremblait.  

 

-Tu m’as dis… tu m’as dit des choses il y cinq mois, mais apparemment tu ne les pensais pas. Alors pourquoi les as-tu dit ?  

 

Elle se mit à taper son torse de ses petits poings.  

 

-Pourquoi, pourquoi m’avoir fait espérer ? Pourquoi m’avoir dit ces mots et m’avoir embrassée ? Hein ? Pourquoi ?  

 

C’était un cri de désespoir.  

 

-Je ……  

 

Alors elle se souvenait de tout ? Ryô n’en revenait pas. Pourquoi n’avait-elle rien dit ?  

Les coups sur son torse cessèrent. Il la regarda. Elle avait la tête baissée, les bras ballants le long de son corps.  

Que lui arrivait-il ? Soudain elle releva son visage.  

 

-Je te déteste Ryô. Je te hais pour tout ce que tu m’as fait croire et endurer.  

 

Elle tourna les talons et s’enfuie en courant. Mamoru, qui avait assisté à la scène de loin se lança à sa suite.  

Ryô ne broncha pas. Il n’arrivait pas à croire que ce qui venait de se passer était la réalité. Il aurait voulu tout effacer.  

Des cris le ramenèrent à la réalité. Il se précipita vers la source a temps pour voir une voiture démarrer en trombe, avec à son bord sa partenaire et son client.  

Il retourna au Cat’s Eye.  

 

-Qu’est-ce que tu veux ? lui jeta Miki.  

-Falcon, j’ai besoin de ton aide.  

-Il en est hors de question, fulmina Miki.  

 

Il ne lui laissa pas le temps de continuer.  

 

-Kaori et notre client viennent d’être enlevés.  

 

Umibôzu enleva son tablier, prit son bazooka caché sous le comptoir et souris a son ami.  

 

-Enfin un peu d’action, ça va me dérouiller. Allez je te suis.  

 

Ryô prit sa mini, suivit par l’éléphant dans sa jeep. Grâce à un émetteur caché sur Kaori, Ryô retrouva sans aucune difficulté l’endroit ou elle jetait retenue  

Ils se trouvaient a présent devant une usine désaffectée à la sortie de la ville.  

 

-Bon, toi tu t’occupes de récupérer Kaori et moi je m’occupe des rigolos postés à l’entrée. Ca te va ?  

 

Ryô hocha la tête en signe d’acquiescement.  

 

 

A suivre…..  

 

 


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