Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 13-03-08

Ultimo aggiornamento: 04-01-09

 

Commenti: 82 reviews

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General

 

Riassunto: City Hunter doit protéger un jeune homme qui n’est autre que le nouvel ami de Kaori. Mais cette dernière n’est pas au meilleur de sa forme a cause d’étranges rêves qui l’empêchent de bien dormir la nuit.

 

Disclaimer: Les personnages de "Drôles de Rêves" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Drôles de Rêves

 

Capitolo 15 :: Le retour du banquier

Pubblicato: 29-10-08 - Ultimo aggiornamento: 29-10-08

Commenti: Bonjour tout le monde ! Et oui, une revenante ! Bon tout d’abord je m’excuse pour cette très looongue absence, mais je n’ai plus eu internet, étant de retour chez moi. Et surtout j’avais laissé ma fic toute seule, je n’avais plus d’idées (syndrome de la page blanche). Mais me voici de retour avec un avant dernier chapitre, qui j’espère sera à la hauteur de vos attentes. Personnellement, je trouve que ce n’est pas le meilleur, mais je n’arrive pas à la peaufiner plus que ça. Tant pis. Je remercie toutes celles et ceux qui lisent mon histoire, et celles qui m’ont laissé des commentaire, toujours très gentils. Ca vous fait toujours plaisir de lire ça, surtout après une sale journée. Donc Arrigato^^ Bonne lecture, et j’espère à très vite. ( je fais pas de promesse J) kissssssssss

 


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…. Quand la porte s’ouvrit….  

Surprise, Kaori repoussa violemment Ryô qui percuta la table de chevet et s’écroula par terre, emportant sur son passage le déjeuner.  

Le nouvel arrivant stoppa sur le seuil, surpris par le bruit.  

 

-Oh Mamoru !  

 

La gêne sur le visage de Kaori disparut quand elle reconnu le jeune homme, et fit place à un large sourire.  

 

-Bon…Bonjour Kaori. Je ne te dérange pas ?  

-Mais non voyons, entre donc.  

 

Le banquier entra d’une démarche peu assurée qui trahissait un certain malaise. Il s’approcha de la jeune femme qui continuait à lui sourire.  

 

-Je vois que tu vas beaucoup mieux. Tu sais, tu m’as vraiment fait peur Kaori. Si tu savais…  

Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!  

 

Sa phrase se termina dans un hurlement. En effet, alors qu’il atteignait le lit de Kaori, Ryô surgit de derrière, du riz, de la sauce et d’autres plats renversés sur la tête.  

Ne s’attendant pas du tout à cette vision plus qu’horrifique, ce fut un choc pour le pauvre Mamoru. (Ca l’aurait été pour n’importe qui.)  

 

-Booonjouuuur ! Alors comment allez-vous mon vieux ?  

-Ah…Ah…Ah… mais...  

-Bin quoi? Vous avez perdu votre langue ?  

-Ryô, tu vois pas que tu l’effraies ? Essuie toi le visage !  

-La faute à qui si je suis dans cet état ? Si tu ne m’avais pas poussé je….  

-RYO ! Va te laver !  

-Ok, ok, pas besoin de s’énerver !  

 

Il se remit debout et se dirigea vers la salle de bain afin de se débarbouiller.  

Le silence s’installa alors entre les deux jeunes gens. Kaori le rompit en premier.  

 

-Saeko m’a dit que tu étais venu me voir pendant que j’étais dans le coma.  

-Heu, oui, c’est vrai.  

-Merci de t’être inquiété.  

-C’est tout naturel voyons.  

 

Ils furent interrompus par Ryô qui revenait de la salle de bain.  

 

-Alors, alors, on vient nous dire coucou ?? C’est très gentil de votre part mon cher .  

Bin, pourquoi vous faites cette drôle de tête ? Ah j’ai compris, je vous dérange tous les deux !  

- Mais non Ryô voyons, qu’est-ce que tu racontes ?  

- A vrai dire, j’aimerai parler à Kaori seuls à seuls si ça ne vous dérange pas Mr Saeba.  

 

Kaori se tourna vers Mamoru, l’air un peu étonné. Quant à Ryô, il ne laissa rien transparaître, même si ça ne lui plaisait pas trop. Au contraire, il prit son air débile et s’approcha du banquier :  

 

- Ahah, petit coquin, je vous y surprend donc ! Vous voulez rester seul avec elle pour faire des cochonneries !  

 

Il lui mit la main sur l’épaule et lui susurra à l’oreille :  

 

- Mais je dois vous prévenir, Kaori n’a rien d’une femme, en fait c’est même un travelo. Et puis elle est très violente. Faîtes très attention à vous si vous tenez à la vie…  

 

La fin se fit à peine entendre. Ryô avait sentie l’aura meurtrière de Kaori et il avait à peine tourné la tête de côté qu’il avait aperçue sa partenaire, les yeux avec des flammes, son arme de prédilection à la main.  

 

- RYO !!!!!! Tu peux répéter ce que tu viens de dire ??  

- Ah, Kaori, tu as entendu ?  

- Oui, Ryô, j’ai tout entendu !  

- Ahahahaahah…….  

 

Notre nettoyeur déglutit difficilement, tout en fermant très fort les yeux, sachant pertinemment ce qui l’attendait. Le châtiment ne fut pas long à arriver. Une massue de 1 000 000 de tonnes le percuta et l’expédia de l’autre côté de la porte, explosant au passage tout un pant du mur.  

Il faut dire qu’il l’avait cherché. Kaori fulminait de rage ! Comment avait-il osé dire des choses pareilles ? Surtout après les dernières paroles qu’ils avaient échangés. Il ne changerait vraiment jamais. Elle saisit Mamoru par la manche et se dirigea vers la sortie.  

 

- Viens Mamo-chan, allons discuter ailleurs.  

 

Et ils s’en allèrent, passant à côté de son partenaire dont seule la jambe dépassait de dessous la massue, jambe qui frétillait tel un poisson hors de l’eau. (Nda : je sais, drôle d’image, mais il se fait tard ! ^^)  

Elle l’emmena dans le jardin, à l’abri des oreilles indiscrètes.  

 

- Voilà, là on va pouvoir être tranquille. Il ne faut pas faire attention à Ryô, c’est un grand benêt.  

- J’avais remarqué.  

- Tu voulais me dire quelque chose je crois ?  

- Heu oui….. voilà, alors…..  

 

Maintenant qu’ils étaient seuls tous les deux, Mamoru ne savait pas par où commencer. Il voulait parler à la jeune femme des sentiments qu’il éprouvait pour elle, mais ce n’était pas très facile, au contraire, et il avait perdu le peu de confiance qu’il avait eu auparavant.  

Elle se tenait en face de lui, dos au soleil dont les rayons se reflétaient sur ses cheveux roux, faisant ainsi paraître comme une auréole autour de sa tête. Elle ressemblait tout simplement à un ange, et cette vision était déstabilisante. De plus elle lui souriait, ce qui ne lui facilitait pas les choses. Mais il finit par se jeter à l’eau.  

 

- Heu… et bien, je voulais te parler de mes sentiments Kaori. Et s’il te plait, ne m’interromps pas.  

 

L’étonnement se peignit sur le visage de la nettoyeuse., qui hocha néanmoins la tête en signe d’acquiescement.  

 

- Alors, heu…. Je me lance. Depuis la première fois où je t’ai vu j’ai ressenti quelque chose pour toi. Tu étais vraiment magnifique assise sur ton banc, même avec un air triste. C’est d’ailleurs à cause de cet air que je t’ai abordé. Et je ne l’ai pas du tout regretté. Puis j’ai appris à te connaître un peu, en passant ce temps que je considère comme précieux avec toi. Tu es vraiment une femme extraordinaire Kaori, charmante, pleine de vie, généreuse, toujours prête à porter secours aux autres, et qui sait écouter les gens et les conseiller. Tu es la perle rare que de nombreux hommes aimeraient avoir pour compagne. Et vois-tu, j’avais dans l’intention de te demander de me suivre à la fin de cette mission. Je n’ai pas pu supporter la façon dont ton partenaire t’a traitée durant mon séjour, il était tout simplement abjecte, horrible, et j’ai bien vu que c’était lui qui te rendait triste.  

Et maintenant cette mission est finie…  

 

Il fit une pause. Il put voir que son discours avait eu son effet. Kaori se triturait les doigts, et avait le rose aux joues, caractéristique de la jeune femme embarrassée par tant de compliments.  

 

- Mamoru, ce que tu viens de me dire me fait très plaisir, mais tu sais, c’est si soudain…et…  

 

Elle ne savait plus où ce mettre, ni quoi dire. Elle était mal à l’aise, et baissa les yeux. Cette situation était des plus embarrassantes, surtout qu’elle et Ryô venait de faire un pas de géant dans leur relation. Mais Mamoru lui-même la sortie de son embarras.  

 

- Ne t’inquiètes pas, je ne te demanderais rien du tout.  

 

Kaori releva la tête, surprise.  

 

- J’ai compris que rien ni personne ne pouvait vous séparer. Il existe un lien entre vous que je n’avais jamais vu, un lien si merveilleux que n’importe qui peut s’en rendre compte, presque le palper. Et puis, je dois me rendre à l’évidence, je n’ai jamais eu aucune chance, et je n’en aurai jamais eu. Et la scène à laquelle j’ai assistée dans cet entrepôt me l’a confirmée. Il fallait que tu lui porte un amour infini pour rester et accepter de mourir avec lui.  

Je te souhaite tout simplement d’être heureuse, car tu le mérites grandement Kaori. Pour ma part, je quitte le Japon, j’ai accepté une demande de travail aux Etats-Unis. C’est la seule chose qu’il me reste à faire.  

Non, ne dis rien, il n’y a rien à dire.  

Adieu Kaori, j’ai été ravi de faire ta connaissance.  

 

Il lui sourit et lui tourna le dos, près à partir, mais la jeune femme l’arrêta.  

 

- Merci beaucoup Mamoru. Ce que tu viens de me dire me touche énormément, et je te remercie de m’avoir comprise et de ne pas m’avoir forcée à prendre une quelconque décision. A moi aussi ça m’a fait plaisir de te connaître.  

Je te souhaite bonne chance pour la suite. Au revoir.  

 

Et c’est sur ces dernières paroles qu’ils se séparèrent. Le jeune homme se dirigea vers l’entrée de la propriété. Une ombre se profila au détour d’un arbre et Ryô apparut devant le banquier.  

 

- Alors vous nous quittez déjà ?  

- Oui, je quitte le Japon.  

-Bonne chance pour la suite.  

- Merci.  

- Au fait, je ne vous ai pas remercié pour nous avoir sauvé Kaori et moi, alors je le fais maintenant. Merci.  

 

Et Ryô se dirigea vers la bâtisse.  

 

- Mr Saeba.  

 

Il stoppa mais ne se retourna pas pour autant.  

 

- Prenez bien soin de Kaori, car elle le mérite.  

- Ne vous inquiétez pas. Je ne compte plus la faire souffrir.  

 

Ryô retourna à la maison. Il avait bien entendu écouté la conversation entre son client et sa partenaire mais il ne l’avouerait pas à Kaori. Il la trouva assise près de l’étang, contemplant le paysage.  

 

- Et bien, on a l’air songeuse dis-moi.  

- Oh, Ryô, tu m’as fait peur !  

- Alors, à quoi penses-tu ?  

- Oh, à rien. Enfin, je me disais juste qu’il faisait un temps splendide aujourd’hui.  

 

Elle lui fit son plus beau sourire.  

 

- Et c’est tout ? Il n’y a rien d’autre, t’es sûre ?  

- Non, non. Pourquoi cette question ?  

- Pour rien, pour rien. Et si nous retournions à l’intérieur ?  

- D’accord.  

- Et on va aller se mettre au lit.  

- Mais Ryô, on vient de se lever, ce n’est que le matin, on va quand même pas se recoucher ?  

- Ah, mais c’est que moi j’ai pas beaucoup dormi. Il faut dire que j’avais une Miss Mokkori très entreprenante sur moi.  

 

Il tourna mode pervers ; de la bave commença à couler de sa bouche. Ses mains se mirent à frétiller.  

 

- Ryô ! Je t’interdis de parler de moi comme ça !  

 

Kaori était toute gênée.  

 

- Bin quoi ? Tu sais, tu étais vraiment très excitante cette nuit Kaori chérie ! Et tu m’as l’air très douée, héhé !  

 

Là s’en était trop pour la nettoyeuse qui ne put en supporter davantage. Elle se saisit d’une branche d’arbre qui traînait à côté et frappa Ryô de toutes ses forces avec.  

 

-Arrête avec tes insinuations douteuses ! Et puis j’ai d’autres choses à penser. Il faut que j’aille parler à Doc.  

-Tu as raison, le plus urgent c’est de comprendre ce qui t’arrive. Excuse-moi Sugarboy.  

 

Et il déposa un délicat baiser sur le front de sa partenaire.  

 

-Allez, viens, allons voir ce vieux débris.  

 

 

 

A suivre….  

 

 


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