Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 13-03-08

Ultimo aggiornamento: 04-01-09

 

Commenti: 82 reviews

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General

 

Riassunto: City Hunter doit protéger un jeune homme qui n’est autre que le nouvel ami de Kaori. Mais cette dernière n’est pas au meilleur de sa forme a cause d’étranges rêves qui l’empêchent de bien dormir la nuit.

 

Disclaimer: Les personnages de "Drôles de Rêves" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Drôles de Rêves

 

Capitolo 13 :: Enfin seuls !

Pubblicato: 03-05-08 - Ultimo aggiornamento: 03-05-08

Commenti: Coucou tout le monde ! Désolés pour le retard, voilà enfin la suite ! on approche de la fin. Je pense majer le prochain chapitre demain ou lundi au plus tard ! Bon j’espère que cette suite va vous plaire !! Bonne lecture, et merci encore pour toutes les reviews et pour votre patience !! ^_^ Plein de kissous à très vite usakisa

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17


 

L’après-midi se déroula à peu près calmement, si l’on excepte bien entendu les quelques pitreries de Ryô. Mais pour une fois, Kaori n’eut pas besoin de sortir sa massue. Saeko, qui se sentait coupable pour ce qui était arrivé à ses amis, en particulier pour Kaori, se chargeait de cette douce besogne, aidée par ses éternels couteaux qui ne quittaient pas ses mains. Ryô se retrouva ainsi plusieurs fois accroché à son lit, ce qui ne l’empêchait pas de vouloir sauter sur les jeunes femmes dès qu’une occasion s’en présentait. Kaori était exaspérée par ce comportement, mais en même temps, elle n’arrêtait pas de se poser des questions sur ce que son partenaire avait voulu dire un peu plus tôt. ( Nda : je crois que c’est pourtant explicite, hihi).  

Les derniers rayons du soleil filtraient encore dans la chambre quand le petit groupe d’amis prit congé. Il ne restait dans la pièce plus que nos deux nettoyeurs ainsi que Kazue et le Doc. Ces derniers avaient décidé de rester manger avec notre couple, ils pensaient que c’était une bonne idée.  

Bien sûr, Ryô n’était pas très content, lui qui n’attendait qu’une chose, pouvoir se retrouver seul avec Kaori, mais il n’allait pas le montrer. Il continua donc à faire l’imbécile afin de cacher son impatience. Quant à Kaori, elle ne mangeait pas beaucoup : elle appréhendait ce qui allait suivre.  

La fin du repas arriva et Doc et Kazue leur souhaitèrent une bonne nuit et s’éclipsèrent, laissant ENFIN seuls les deux jeunes gens.  

 

La porte se referma.  

 

Ryô sourit et soupira de soulagement intérieurement. Il tourna la tête vers Kaori qui continuait à fixer la porte close. Elle sentit sur elle le regard de son partenaire et se sentit rougir.  

 

- Et bien Kaori, vas-tu te montrer gentille avec moi ?  

 

Silence.  

 

Kaori rougit de plus belle. Mais que voulait-il ? Pourquoi agir ainsi ? (Nda : tu es trop naïve Kaori).  

Ryô se leva et s’assit à côté d’elle. Leurs épaules se frôlèrent, ce qui fit tressaillir Kaori qui s’éloigna un peu.  

 

-Bin quoi ?  

-Heu… Rien… heu.  

-Alors ? J’attend moi.  

 

Kaori daigna enfin le regarder. Ce qu’elle vit la laissa perplexe. Ryô la regardait avec des yeux dans lesquels brûlaient une flamme de désir. D’habitude, c’était les clientes qui avaient droit à ce regard.  

 

-Tu vas continuer à me fixer longtemps comme ça ?  

-Heu… non non.  

 

Elle était gênée, ce qui fit sourire le nettoyeur.  

 

-Pourquoi tu souris ?  

-Je me disais que tu étais vraiment très jolie quand tu es toute gênée.  

 

De la fumée s’échappa des oreilles de la jeune femme.  

 

-Qu’est-ce qui t’arrives Ryô ?  

-Bin quoi ? On a plus le droit de faire des compliments ?  

 

« Compliments » ? Kaori redevint normale, son visage affichait maintenant de l’inquiétude. Elle posa sa main sur le front de Ryô.  

 

-Heu, qu’est-ce qui te prend Kaori ?  

-Je vérifie si tu n’as pas de fièvre.  

-Hein ?  

-Bin oui, tu viens d’utiliser le mot compliment en me parlant, tu dois être malade.  

 

Ryô tomba du lit.  

Croâ, Croâ. Un corbeau passa au-dessus de sa tête.  

Il se releva et se rassit sous le regard inquiet de sa partenaire.  

 

-Je vais bien Kaori. Alala, t’es grave quand même.  

-Quoi ? Je m’inquiète et tu m’insultes ?  

 

La colère montait en elle.  

 

-Mais non Kaori chérie !  

 

Sans prévenir, il se retrouva à deux centimètres de son nez, ce qui eut pour effet de calmer immédiatement la jeune femme.  

 

-Qu…. Qu’est… qu’est-ce que tu fais ? bégaya-t-elle.  

 

Il lui fit son plus beau sourire.  

 

-Et bien, puisque tu ne sembles pas vouloir être gentille avec moi, je prend les devants.  

-Hein ? Co… comment ça ?  

-Je vais juste t’embrasser ma chérie.  

 

Il approcha ses lèvres de celles de Kaori qui le regardait les yeux écarquillés par la surprise. Leurs lèvres allaient se toucher quand prise de panique, elle envoya une massue sur la tête de Ryô qui se retrouva les quatre fers en l’air, entre les deux lits.  

 

-Aïe !! Ca va pas ?  

 

Ryô ne comprenait plus rien. Sa tête réapparut : son nez était en sang, son œil gauche avait triplé de volume. Il se mit à pleurnicher.  

 

_T’es qu’une menteuse. Tu m’as dit que tu serais gentille avec moi, et alors que moi je suis tout mignon avec toi, tu me frappes. C’est pas juste ! bouuuhhhh ! tu m’aimes pas !  

-Je…je  

 

Kaori ne savait pas quoi dire. D’ailleurs, elle ne savait pas quoi penser non plus.  

 

-Excuse-moi Ryô.  

 

Kaori voulut se rapprocher de son partenaire, mais elle s’emmêla les jambes dans les couvertures et fit un plongeon la tête la première hors du lit. Heureusement que Ryô a de supers réflexes : le jeune femme se retrouva donc sur son torse et il referma ses bras autour d’elle.  

 

-Oh la petite coquine ! en fait tu ne peux pas te passer de mon corps d’Apollon, et tu préfères un gros câlin à un baiser !  

 

Kaori voulut se dégager, lui lancer une massue, mais elle était bloquée contre lui et ne pouvait faire aucun mouvement.  

 

-Ryô…. Murmura-t-elle.  

-Oui ?  

-Heu… qu’est-ce qui t’arrives ?  

-Mais rien !  

-Pourquoi es-tu comme ça ?  

-Idiote. Ne me dis pas que tu as tout oublié.  

 

Il l’éloigna de lui afin de pouvoir la regarder. Kaori releva la tête. Il la regardait avec ce même regard qu’il avait eu quand ils étaient prisonniers.  

 

-Est-ce que ça veut dire que tu ne vas pas reculer cette fois ?  

 

Elle lui avait posé la question timidement, ce qui le fit sourire.  

 

-Non. J’en ai marre de lutter contre mes sentiments, contre toi Kaori. J’en ai marre de te voir souffrir à cause de mon comportement. J’ai envie de me réveiller à tes côtés le matin, que ton sourire soit la première chose que je voie. Je te veux tout à moi, et cela jusqu’à ce que la mort nous sépare.  

 

Et ce doux sourire qu’il affectionnait tant était dessiné sur les lèvres de la nettoyeuse, qui voyait enfin son rêve se réaliser.  

 

-Et puis, ça veut dire que je vais avoir droit à une séance de mokkori toutes les nuits !humph humph !  

 

Le visage sérieux qu’abhorrait Ryô deux secondes auparavant s’était volatilisé pour laisser place à son éternelle tête de pervers, la bave aux lèvres !  

 

-Hein ? Mais tu rêves pauvre dégénéré du slip, il va rien se passer entre nous ! alors garde tes phantasmes aux placards !  

 

Kaori voulut se relever, mais Ryô, calmé, ne lui en laissa pas le temps, il l’agrippa par la taille et l’embrassa dans un fougueux baiser. Trop surprise, Kaori se laissa faire avant de finalement répondre à ce baiser.  

Une étrange sensation apparut dans le ventre de Kaori, c’était les petits papillons.  

Le baiser se fit plus torride, les mains de Ryô commencèrent à caresser le dos de sa belle. Elles descendirent encore un peu plus, prêtes à atteindre l’un des objets de désir de notre étalon, c’est-à-dire les fesses de Kaori. Mais elles ne purent atteindre leur but.  

N’étant pas habituée à tout cela, Kaori paniqua tout naturellement. Elles stoppa les mains de son partenaire et se retira, le rouge aux joues. Elle était novice dans ce domaine alors que Ryô, lui, bin….. c’est Ryô.  

 

-Désolé….. je…je…  

-Ne t’inquiètes pas. C’est moi qui suis désolé, je n’ai pas à te brusquer. Allez, viens, on ne vas tout de même pas rester assis par terre toute la nuit !  

 

 

Il l’aida à se relever. Elle avait gardée la tête baissée. A l’aide de son pouce, il la lui releva et l’embrassa. Il commençait à ne plus pouvoir s’en empêcher. Le manque d’air leur fit se séparer. Le rouge n’avait pas quitté les joues de la jeune femme.  

 

-Hum. Bonne nuit Ryô.  

 

Kaori se mit sur la pointe des pieds, déposa un baiser furtif sur les lèvres de son partenaire er retourna se coucher.  

Alors qu’elle tournait le dos à Ryô, elle sentie les draps glissaient et un poids sur le lit. Elle se retourna et se retrouva face au visage de Ryô.  

 

-Qu’est-ce que tu fais ?  

-Bin je dors avec toi. Maintenant que tout est clair entre nous, on peut partager le lit.  

-Quoi ? Tu plaisantes ? ou…oui on a fait un pas, mais tu dors dans ton lit.  

-Mais heu…. Pourquoi ? C’est pas juste !!!!  

-C’est comme ça un point c’est tout. Ne discutes pas. Sors de mon lit IMMEDIATEMMENT !  

-S’iiiiil te plaît!! Kaori chérie!  

-NON! Ryô ne m’énerves!  

 

La colère montait en elle. Ryô, ne voulant pas se prendre une nouvelle massue, abdiqua et regagna son lit, la tête basse, la mine boudeuse.  

Mais au fond il était heureux. Il s’allongea, éteignit la lumière, et c’est le cœur léger que nos deux amoureux s’endormirent.  

 

Tic tac. Tic tac.  

 

Ryô dormait paisiblement. Ses rêves étaient peuplés de Kaoris en petites tenues.  

Soudain il sentie un poids sur lui. Il se mit à grogner alors que la Kaori de ses rêves allait enlever son soutien-gorge. Elle disparut dans un nuage de fumée suivit d’un « Flop ».  

 

-Grr… Grr  

 

Il ouvrit les yeux, prêts à étriper la personne qui l’avait sorti de ce si merveilleux rêve  

Mais la vision qu’il eut fut encore plus enchanteresse que son rêve.  

Kaori s’était levée de son lit et s’était allongée sur lui. Il s’aperçut immédiatement qu’elle dormait, ce qui signifiait qu’elle était encore sujette à une crise de somnambulisme.  

 

-Hé hé !!  

 

La bave commença à apparaître à la commissure des lèvres du nettoyeur, qui avait une vue plongeante sur la poitrine de la jeune femme, qui remua légèrement.  

 

A suivre……  

 

 


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