Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 13-03-08

Ultimo aggiornamento: 04-01-09

 

Commenti: 82 reviews

» Ecrire une review

 

General

 

Riassunto: City Hunter doit protéger un jeune homme qui n’est autre que le nouvel ami de Kaori. Mais cette dernière n’est pas au meilleur de sa forme a cause d’étranges rêves qui l’empêchent de bien dormir la nuit.

 

Disclaimer: Les personnages de "Drôles de Rêves" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How can I change my username?

 

I do not allow people to change their username on their own yet. Maybe later. So if you want to change your username, contact me and give me your old and new username with your password for authentification.

 

 

   Fanfiction :: Drôles de Rêves

 

Capitolo 12 :: La décision de Ryô

Pubblicato: 10-04-08 - Ultimo aggiornamento: 10-04-08

Commenti: Bonjour tout le monde ! Après une petite panne d’inspiration, je suis de retour avec la suite qui va vous dire ce qu’a décidé Ryô !!! Alors, reculeras ou pas ??? A vous de lire maintenant pour savoir la réponse, et laissez moi des chtites reviews pour me dire si je m’en suis bien sortie. On approche doucement de la fin, mais il me reste encore des petites choses à expliquer. Bon, je vous souhaite une bonne lecture ! Et merci encore à celles qui m’ont laissé des reviews, ça me fait toujours aussi plaisir !!!! ^_^ Big Kissouuuuu à toutes usakisa

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17


 

La jeune femme reçut la visite de Miki et d’Umibôzu dans l’après-midi.  

 

-Tiens, Ryô n’est pas là ?  

-Non, il est sorti prendre l’air.  

 

Fronçant les sourcils, Kaori ajouta :  

 

-D’ailleurs, ça fait des heures maintenant. J’espère pour lui qu’il n’est pas en train d’embêter Kazue ou une autre jeune femme.  

 

Une mini massue était apparue dans ses mains. Les T-shirts des visiteurs leur tombèrent sur une épaule tandis qu’une libellule dansait, accompagnée par un corbeau jouant des castagnettes.  

Kazue entra justement dans la pièce à ce même moment.  

 

-Kaori ! la gronda-t-elle. On t’a dit de te reposer, alors repose-moi immédiatement cette massue. Et si tu t’inquiètes pour Ryô, il est dans le jardin et y est resté toute la matinée, il n’a fait aucune bêtise.  

 

Honteuse, Kaori rougit et baissa la tête.  

Se sentant mal à l’aise en présence des trois jeunes femmes, Umibôzu décida plutôt de rejoindre Ryô. Il sortit donc dans le jardin et le trouva assis sur un banc, fixant le petit étang devant lui. Sans dire un mot, il vint se poster à côté de son ami.  

 

-Tiens tête de poulpe, on vient prendre le frais ?  

-Hum.  

-Toujours aussi bavard a ce que je vois. Mais dis-moi, si tu es ici, ça veut dire que ma belle Miki et là elle aussi.  

 

Le regard lubrique, Ryô posa un pied sur le banc, l’autre sur le dossier et s’élança dans les airs. Il y resta suspendu, ses jambes s’agitant vainement dans le vide. Umi l’avait saisi par le col de sa robe d’hôpital.  

 

-Je peux savoir où tu vas comme ça ?  

-Lâche-moi, espèce de gros éléphant de mer, Miki m’attend pour que je la comble enfin !  

-Arrête un peu ton délire, tonna Falcon.  

 

Il laissa choir le nettoyeur à ses pieds.  

 

-Qu’est-ce qui te préoccupes ?  

-Et bien, je me demandais de quelle couleur était la culotte de Kazue.  

 

Un corbeau vint se poser sur la tête d’Umi.  

 

-Je n’ai pas eu le temps de vérifier, mais il semblerait qu’elle soit blanche et en dentelle. Si elle avait été noire, je l’aurais tout de suite remarquée à travers sa blouse, ce qui signifie que sa culotte est de couleur claire. Donc…..  

 

Exaspéré par ce monologue, l’ex-mercenaire lui assena une tape sur le crâne.  

 

-Ca va pas la tête ?  

 

Ryô s’était relevé d’un bond, avait agrippé son ami par sa chemise et avait approché son visage tres près du sien.  

 

-Tu veux défigurer l’Etalon de Shinjuku ?  

-Arrête de faire l’andouille. Je vois bien que tu es préoccupé et je sais que ça a un rapport avec ce qui est arrivé.  

 

Redevenant alors sérieux, Ryô se rassit sur le banc et se remit à fixer l’étang. Il n’avait de cesse depuis ce matin de se ressasser les derniers événements, et en particulier sa déclaration et les deux baisers qui avaient suivis. Il était sorti pour être au calme, pour réfléchir.  

Qu’allait-il faire maintenant ? Il n’en avait aucune idée. De plus, il n’allait pas pouvoir échapper à Kaori. Faire semblant d’avoir tout oublié, c’était une idée. Mais Kaori ne serait pas dupe, c’est qu’elle le connaît le bougre. Même lui serait incapable de faire ça. Jamais il n’oublierait ce moment.  

Il restait deux possibilités, ces deux mêmes qui depuis 6 ans le tiraillaient et faisaient souffrir sa partenaire.  

 

-Arrête de te torturer, ça ne sert a rien.  

-Pardon ?  

-Je te connais, tu te poses encore des questions à propos de ta relation avec Kaori.  

-Qu’est ce que tu vas t’imaginer ?  

-Tu ne leurres plus personne Ryô. Nous savons tous que vous vous aimez. Accepte ce fait et arrête ce manège que tu t’évertues à jouer depuis si longtemps.  

-C’est facile à dire.  

-C’est vrai qu’il est toujours plus facile de faire pleurer les gens que de les rendre heureux. Tu ne crois pas que Kaori a assez pleuré ?  

-Tu as raison. Je ne fais que la faire souffrir. Dans son intérêt il vaudrait mieux qu’elle parte, qu’elle retrouve une vie normale.  

-Imbécile. Pour quelqu’un qui se vante de faire craquer les femmes, tu ne les comprends pas.  

C’est vrai que Kaori souffre de ton comportement, même si elle ne le montre pas. Mais tu es le seul qui arrive à la faire sourire. Son visage irradie de bonheur quand tu es à ses côtés. Tu es le seul qui puisse la rendre heureuse.  

 

Ryô ne répondit pas. Umi continua sur sa lancée. Lui qui n’aimait pas se mêler des affaires des autres faisait exception, car comme tout le monde il en avait marre de ce jeu du chat et de la souris entre ses deux amis. Il fallait briser les doutes de Ryô une bonne fois pour toute, et il savait qu’il l’écouterait.  

 

-Et puis, crois-tu qu’elle te laisserait ? Elle en a eu l’occasion mais elle est toujours restée. Si tu veux une preuve de son amour, son comportement dans l’entrepôt en est une. Ton client nous a raconté comment elle t’avait rejoint, prête à mourir avec toi.  

Tu n’as plus besoin de prendre de décision, Kaori l’a fait pour vous deux.  

 

Le silence s’installa entre eux, silence qui fut rompu par Kazue qui les appelait. Ryô se leva et commença à se diriger vers la maison, suivi par l’ex-mercenaire.  

Arrivé devant la chambre qu’il partageait avec sa partenaire il s’arrêta, la main sur la poignée et le sourire aux lèvres.  

 

-Merci tête de poulpe. Pour nous avoir sauvé et pour ton discours.  

 

Et il entra.  

 

Pendant ce temps, les femmes avaient discuté de tout et n’importe quoi. Miki et Kazue avaient bien entendu pressé Kaori de questions auxquelles cette dernière avait répondu. Elle leur raconta en détails ce qui s’était passé, mais omis volontairement les propos et baisers échangés avec son partenaire. Elle ne savait pas comment il allait réagir maintenant, et elle savait que si elle racontait cet épisode à ses amies, ces dernières harcèleraient Ryô, ce qui était une manière de le forcer. Elle avait décidé d’attendre pour voir s’il allait reculer comme à son habitude ou non.  

Son interrogatoire prit fin avec l’arrivée des sœurs Nogami qui étaient venues prendre des nouvelles des nettoyeurs. Elles furent ravies de voir qu’ils s’étaient enfin réveillés et qu’ils allaient bien.  

Kazue partit chercher les deux hommes manquants et revint. La petite compagnie fut interrompue par la porte qui s’ouvrait sur Ryô.  

Lorsqu’il aperçut l’inspectrice et la détective, il leur sauta immédiatement dessus, la bave aux lèvres. Il fut scotché au mur par les couteaux de Saeko. Reika s’approcha de lui tout en souriant, et lui dit :  

 

-Et bien mon chéri, tu m’as fait peur. Maintenant que tu vas mieux, nous allons pouvoir nous occuper de notre mariage.  

 

Derrière elle, Kaori, furieuse, s’agitait dans son lit.  

Comment osait-elle ?  

Reika jubilait intérieurement. Elle sentait bien que Kaori s’énervait. Elle adorait la mettre en colère. C’était son petit plaisir puisqu’elle savait très bien qu’elle ne serait jamais avec le nettoyeur.  

Elle se tourna vers la Kaori et lui fit un clin d’œil. Cette dernière ne comprit pas.  

Ryô avait fini par se détacher du mur et s’approchait désormais de Miki.  

 

-Mikiiiii ! Viens me voir !!  

 

Un bazooka lui atterrit sur la tête et il s’écrasa lamentablement aux pieds de la barmaid. Kaori, elle, n’en pouvait plus, il fallait qu’elle sorte une massue, mais c’était sans compter sur Kazue qui tentait de l’en empêcher.  

Ryô parvint à se relever et remit ses cervicales en place. Il profita de la petite bagarre entre les deux jeunes femmes pour piquer le soutien-gorge de l’infirmière. Cette dernière, surprise, lâcha Kaori. Celle-ci était rouge de colère : elle sauta sur Ryô et lui prit le vêtement des mains, et s’en servit pour l’étrangler. Il fallut que toutes les personnes présentes interviennent pour empêcher la furie de tuer le nettoyeur.  

 

-Espèce de folle furieuse, tu veux ma mort ?  

-Oui, ennemie des femmes. T’as cas pas te comporter comme un satyre.  

-Quoi, un satyre ? Et toi avec tes massues, tu crois que t’es quoi. Une femme c’est sensée être doux, pas violent.  

-Si t’arrêtais pas d’harceler les filles, je n’aurais pas besoin d’user de ma massue et je serais plus gentille avec toi !  

 

Le Doc entra dans la pièce et interrompit leur dispute.  

 

-On se calme tous les deux, ou je vous fais une piqûre pour vous endormir. Je vais presque finir par regretter ces trois derniers jours. Ryô, recouche toi.  

 

Ce dernier obtempéra. Mais il s’approcha de Kaori et lui susurra à l’oreille.  

 

-Tu serais plus gentille avec moi ? J’ai hâte de voir ça, Kaori chéri, tout à l’heure quand ils seront tous partis et qu’on sera seuls, tous les deux.  

 

Il effleura d’un baiser discret les cheveux de la jeune femme qui était devenue très rouge soudainement. Miki s’en aperçut.  

 

-Et bien Kaori, quelque chose ne vas pas ? Tu es bien rouge d’un coup.  

-Heu… Non, non, c’est rien. Heu…  

 

De son côté, Ryô s’amusait de voir son ange aussi mal à l’aise. Leurs regards se croisèrent, mais Kaori détourna le sien, gênée par cette petite lumière qu’elle avait perçue dans les yeux sombres de son partenaire. Elle se demandait ce que ces paroles signifiaient.  

Quant à notre bel étalon, il n’avait qu’une hâte, c’était de se retrouver en tête –à- tête avec elle. Car ça y est, il avait pris sa décision, et il ne reviendrait plus jamais en arrière. Vivre sans Kaori, c’était comme mourir de l’intérieur. Elle était à lui, et lui à elle.  

C’est avec cette nouvelle résolution en tête qu’il se tourna pour parler à ses amis.  

 

 

A suivre…..  

 

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17


 

 

 

 

 

   Angelus City © 2001/2005

 

Angelus City || City Hunter || City Hunter Media City || Cat's Eye || Family Compo || Komorebi no moto de