Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prosa

 

Autore: usakisa

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 17 capitoli

Pubblicato: 13-03-08

Ultimo aggiornamento: 04-01-09

 

Commenti: 82 reviews

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General

 

Riassunto: City Hunter doit protéger un jeune homme qui n’est autre que le nouvel ami de Kaori. Mais cette dernière n’est pas au meilleur de sa forme a cause d’étranges rêves qui l’empêchent de bien dormir la nuit.

 

Disclaimer: Les personnages de "Drôles de Rêves" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Drôles de Rêves

 

Capitolo 14 :: Le retour des rêves

Pubblicato: 08-05-08 - Ultimo aggiornamento: 08-05-08

Commenti: Kikou tout le monde ! J’espère que vous allez bien ! Bon voici un nouveau chapitre que j’ai pris grandement plaisir à écrire. Je suis en retard pour le poster, mais depuis lundi je n’arrivais pas à me connecter au site. Puisque mon essai d’aujourd’hui c’est révélé gagnant, je me dépêche de majer cette suite. Alors bonne lecture, et si ce chap vous plait, dites le moi !!!! Merci encore pour toutes les reviews et encouragements que j’ai reçu !! A très vite (je sais pas encore quand, parce que là je suis overbookée, c’est la galère) et tout plein de KISSSSSSSSSSSOUUUUUUUUUUUUU usakisa

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17


 

Pendant ce temps dans le rêve de Kaori :  

 

La jeune femme était rentrée des courses et avait trouvé son homme endormi dans leur chambre. Il faut dire qu’il faisait une chaleur étouffante et Ryô en avait profité pour piquer un somme. Le voyant torse nu, là, allongé sur leur lit, Kaori ne put résister à la tentation. Elle s’approcha tel un félin du corps endormi. Elle fit tomber son débardeur et sa jupe à terre. Elle était maintenant en sous-vêtements. Elle grimpa sur le lit et s’allongea sur Ryô, toujours plongé dans ses songes. Avec des gestes lents, elle se mit à caresser son torse, déposant des nuées de baisers au passage.  

Elle sentit le corps de l’homme frémir sous elle. Un sourire coquin apparut sur ses lèvres. Elle savait qu’il ne dormait pas.  

En effet, Ryô avait entendu sa belle rentrait mais avait continué de faire semblant de dormir. Il était sûr qu’elle allait le rejoindre. C’est que Kaori avait pris de l’assurance dans leur couple, ce qui n’était pas pour lui déplaire, au contraire. Les baisers qu’elle laissait sur sa peau lui procurait une sensation des plus enivrantes.  

Elle descendait de plus en plus, accompagnant ses gestes de légers coups de reins. Le meilleur ami du nettoyeur ne tarda pas à se réveiller. Kaori, le sentant sous elle, accentua ses caresses. Mais Ryô ne la laissa pas continuer. Il la saisit par la taille et la fit basculer sous lui dans un grognement. La jeune femme se mit à rire.  

 

-Et bien charmante demoiselle, ne savez-vous pas qu’il est dangereux de réveiller l’étalon de Shinjuku ?  

-Un étalon ? Excusez-moi très cher, mais je ne vois aucun étalon dans cet pièce. Oh, vous voulez peut-être parler de cet âne que j’aperçois ?  

-Ane ?  

 

Ryô s’étrangla devant cette insulte.  

 

-Comment oses-tu ? Attend un peu, tu vas voir !  

 

Kaori éclata de rire devant l’air offusqué du nettoyeur, mais son rire s’arrêta net quand elle sentie les lèvres de son compagnon sur sa poitrine désormais nue (bin oui, il est rapide le bougre pour déshabiller les femmes) et l’une de ses mains remonter le long de sa jambe pour se glisser sous le petit bout de soie, dernier obstacle à la nudité de la femme. Un gémissement s’échappa des lèvres de Kaori. Satisfait par cette réaction, le bel étalon continua sa douce torture, jusqu’à ce que, ne pouvant résister davantage, il s’unit à elle.  

Les deux amants passèrent la fin de l’après-midi dans leur chambre, Ryô ne laissant aucun répit à Kaori.  

 

Dans la réalité  

 

Kaori remua un peu plus. Ses jambes s’enroulèrent autour de l’une de Ryô, qui à ce contact, ne put retenir un grognement de plaisir.  

Il tentait tant bien que mal de se retenir, mais entre la vision de la poitrine de Kaori et le contact de son corps contre le sien, il ne put se contenir bien longtemps !  

Et Mokkori !!!  

Sentant quelque chose contre elle, Kaori, bien qu’endormie, ne put s’empêcher de saisir cet objet intrus, mais tout en douceur néanmoins et en laissant échapper un soupir de plaisir d’entre ses lèvres. Ce fut trop pour le nettoyeur qui fit une attaque cérébrale. Le sang jaillit de son nez en grande quantité, et il tenta de se dépêtre des griffes de sa partenaire. Sans succès.  

Il semblait qu’elle ne voulait pas le laisser s’échapper. Le souffle rauque, Ryô tourna son regard vers le plafond et tenta de s’imaginer Kaori en furie, les cheveux en bataille, l’une de ses massues en main. Echec total, il était dans un état d’excitation comme jamais il ne l’avait été auparavant. Il tenta alors de penser à Umibôzu et au Doc déguisés en bunny, sans résultat.  

Toutes ses pensées ne pouvaient se détourner de la jeune femme au dessus de lui.  

 

-Hum….Ryô…..  

 

Non, ce n’était pas possible ! Comment pouvait-elle l’appelait avec cette voix des plus tentatrices ? Comment voulait-elle qu’il résiste ? Au son de sa voix, elle aimait ce qui se passait dans son rêve. La mine lubrique, Ryô se mit à imaginer ce qu’il pouvait bien être en train de faire dans l’imagination de la jeune femme. Ses doigts commencèrent à frétiller tandis qu’ils se dirigeaient vers les fesses de Kaori. Et cette fois il atteint son but sans aucune difficulté.  

Son sourire lubrique s’agrandit tandis qu’il commençait à caresser ces si jolies formes. Sa bouche aussi s’étira, permettant ainsi à un plus grand filet de bave de couler et de tomber sur l’épaule de Kaori. Sentant quelque chose d’humide, elle remua instinctivement et tomba sur le côté, quittant ainsi le corps du nettoyeur.  

Surpris par ce mouvement, Ryô prit peur et crut que sa partenaire c’était réveillée. Il mit ses bras devant son visage dans un geste protecteur, s’attendant déjà à recevoir la punition divine.  

Mais rien ne vint.  

Il osa jeter un coup d’œil par dessus son bras et put constater avec soulagement que Kaori dormait toujours. Mais bien mal lui en prit : désormais la jeune femme se tenait sur le dos, sa chemise d’hôpital complètement défaite, dans une position des plus sexy.  

 

-Mais c’est pas vrai, elle veut ma mort !  

 

Pour ne pas succomber à la tentation une nouvelle fois, il décida de rabattre les couvertures sur le corps de sa partenaire, ce qu’il fit les yeux fermés. Son geste fut maladroit et il recouvrit entièrement Kaori, de la tête aux pieds.  

Son erreur réparée, il se mit sur le côté de façon à ne plus voir Kaori et tenta de se rendormir. Il y parvint au bout d’un long moment qui sembla lui durer une éternité.  

 

 

-Huuuummmm.  

 

Le soleil filtrait dans la pièce, et vint chatouillait de ses rayons le visage de Kaori.  

Elle s’étira tel un chat et voulut se relever, mais un poids l’en empêchait. C’est comme si quelque chose l’oppressait au niveau de la poitrine.  

Elle baissa la tête afin de voir ce que cela pouvait être et découvrit à sa plus grande surprise (ou plus grande horreur) que c’était Ryô. Il avait sa tête posée entre ses deux seins et l’une de ses mains étaient posées sur l’un deux. Il avait son visage de pervers, si caractéristique du personnage, et il émettait des petits grognements tout en murmurant « Kaori ».  

 

-KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH  

 

Le cri déchira le silence de la maison.  

Alertés, Kazue et le Doc se précipitèrent dans la chambre des nettoyeurs. Ils ouvrirent la porte en coup de vent, et stoppèrent net devant le scène qui se jouait devant eux.  

 

Croâ, croâ, croâ, croâ, croâ…..  

 

Une myriade de corbeaux et de libellules déferlèrent dans la pièce.  

Kaori se tenait debout sur le lit de Ryô, et elle rouait le pauvre homme qui était maintenant à terre de coups de massue tout en criant « Satyre, satyre ».  

Elle était complètement hystérique.  

Kazue et le Doc se précipitèrent à la rescousse du nettoyeur. Doc saisit la jeune femme par la taille pour essayer de la faire descendre du lit tandis que Kazue la saisit par le bras et tentait de lui faire lâcher prise. Au bout de cinq minutes ils gagnèrent ce combat contre cette furie.  

Pendant que l’infirmière s’occupait de calmer Kaori, le Doc se tourna vers Ryô, ou plutôt ce qu’il en restait. En effet notre nettoyeur était dans un état de décomposition avancée : tout son visage était boursouflé, violet à cause des bleus qui commençaient à apparaître, une grande partie de ses dents s’étaient envolés, et du sang dégoulinait sur son menton.  

 

-Et bien Baby Face, te voilà dans un drôle d’état ! Qu’est-ce que t’as encore fait pour mettre Kaori dans cet état ?  

-Mais vé rin fait ! Ve vormait et elle fa affavé ! Vé une folle !! faut la faire inferner ! filaine !  

(Mais j’ai rien fait ! Je dormais et elle m’a attaqué ! C’est une folle ! C’est une folle, faut la faire interner ! Vilaine)  

-Qui c’est que tu traites de folle ? Attend un peu, tu vas voir ! Lâche moi Kazue !!  

-Calme-toi Kaori ou je te fais une piqûre !  

 

Cet argument eut raison de la fureur de la nettoyeuse.  

Le Doc aida Ryô à se relever et à se recoucher dans son lit. Il lui administra les premiers soins.  

 

-Et bien Kaori, tu ne l’as pas loupé cette fois. Qu’est-ce qui c’est passé pour que tu t’énerves ainsi ?  

 

Au souvenir de ce qui c’était passé, la jeune femme devint aussi rouge qu’une tomate. Elle détourna la tête et retourna dans son lit. Elle ne voulait pas s’expliquer devant ses amis.  

Les trois autres personnes dans la pièce se regardèrent, une grosse goutte derrière la tête.  

 

-Ca fait rien, mais arrêtez vos chamailleries, vous devez encore vous reposez et récupérer des forces.  

 

Doc dit cela sans grande conviction. Apparemment ils avez déjà retrouvé leurs forces. Constatant que tout était redevenu à peu près normal, lui et son assistante quittèrent la pièce, non sans appréhension.  

 

-Tu t’expliques ? Kaori, je te parle !  

 

La jeune femme fit face à son interlocuteur.  

 

-Je me suis juste défendue.  

-Hein ?  

-Bin oui, espèce de satyre, tu t’es permis de me toucher sans ma permission ! Alors je t’es remis à ta place, sale mokkori ambulant !  

-Sale quoi ? je te ferais dire que c’est toi qui a commencé d’abord !  

-Pardon ? Je ne suis pas comme toi moi. Et puis pourquoi je te ferais des trucs, sales pervers !  

On n’est pas ensemble que je sache.  

 

Ryô chuta par terre. (Nda : moi aussi je suis tombée, et, ouste le corbeau, sort de ma chambre ! qu’est-ce qu’on va faire de Kaori ?)  

 

-Dis moi Kaori chérie, t’es sûre que tu sens bien ? T’as déjà oublié tout ce qui c’était passé entre nous ?  

-Oh ! Alors c’était vrai ? C’était pas un rêve ?  

-Ha ha ha……….. (rire forcé)  

-Heu… oh, excuses moi Ryô pour ce matin…..  

Mais attend, C’EST PAS PARCE QU’ON EST ENSEMBLE QUE CA TE DONNE LE DROIT DE ME TRIPOTER QUAND T’EN A ENVIE !  

-Hé, je te signale que c’est toi qui a commencé !  

-Pourquoi est-ce que tu dis encore ça ? Je ne suis pas un pervers, alors arrête tes délires !!  

-Non mais oh, c’est qui qui ma rejoint dans mon lit alors que je dormais tranquillement ?  

-Quoi ?  

-Oui très chère, au beau milieu de la nuit tu t’es incrustée dans mon lit, j’allais quand même pas te jeter par terre.  

-Mais, tu n’avais qu’à me réveiller.  

-Ah non, jamais je ne me serais permis de faire ça. Tu es si belle quand tu dors.  

-Dis plutôt que tu voulais en profiter !  

-Non non ! Et puis c’est toi qui en a bien profité !  

-Hein ? Qu’est-ce que tu racontes encore ?  

-Rien rien.  

-RYO !!! Parle !!!  

 

L’ombre d’une massue se profilait à l’horizon. Pensant qu’il avait eu sa dose de coups de massue pour la journée, Ryô parla.  

 

-Et bien disons que tu était très entreprenante.  

-Hein ?  

-Oui, comment dire…. Je ne savais pas que tu étais si agile de tes doigts Kaori chérie. Oula, j’ai cru devenir fou moi.  

-Qu… qu… qu… quoi ?  

 

Kaori était devenue toute pâle, n’en croyant pas ses oreilles. Voyant l’état de gêne de sa compagne, Ryô en profita et en rajouta une couche.  

 

-On dirait que tu rêvais de moi. Tu étais si douce, ma Kao d’amour, et puis ces petits cris que tu poussaient, ils étaient trop sexy.  

-Je…. Je… je….  

-Comment c’était déjà? Ah oui : Hum, Ryô, oh oui, Ryô……  

-ARRETE TES IMBECILITES TOUT DE SUITE !!!!!  

 

Et pouf, une massue atterrit sur la tête de nettoyeur.  

 

-C’est… c’est pas vrai, j’ai pas pu faire ça.  

 

Ryô se releva et s’approcha de sa douce. Elle recula, toute gênée par ses révélations. Elle ne comprenait pas ce qui lui était passé par la tête. Elle se frappa soudain le poing dans sa main et s’écria tout contente :  

 

-J’y suis, j’ai compris ce qui c’est passé en réalité !  

-Hein ?  

-C’est à cause de toi Ryô. A force de te voir jouer les satyres et les pervers avec toutes les femmes, voilà que ton comportement a déteint sur moi ! C’est pour ça que je suis allée dans ton lit. Oh mon dieu ! Mais alors ça veut dire que moi aussi je vais me mettre à baver pour un rien, et que je vais sauter sur tout ce qui bouge ? NOOOOOOOOOOON  

AU SECOURS !  

-La ferme Kaori ! Idiote, si tu es venue dans mon lit c’est parce que tu étais sujette à une crise de somnambulisme, et en plus il semblerait que tu fasses d’étranges rêves, d’où ton comportement.  

Des rêves ?  

 

Kaori le regarda les yeux ronds. Elle se mit à réfléchir et une image lui revint en tête tout à coup. Une image d’elle et de Ryô tout nus dans la salle de bain en train de…..  

 

-Ahhhhhh !!!!  

-Mais quoi encore ?  

 

Kazue, qui apportait le petit-déjeuner, venait d’entrer dans la chambre au même moment.  

 

Kaori se mit à fumer telle une locomotive  

 

-Non… rien, excuse-moi Kazue.  

 

Cette dernière déposa son plateau et ressortit de la pièce, la mine suspicieuse.  

 

-Et bien Kaori, tu m’expliques pourquoi tu viens de beugler comme un veau qu’on égorge ?  

-Comme un quoi ?  

 

Elle saisit Ryô et lui fit une prise connue d’elle.  

 

-Aie, arrête, c’est bon. Ouf. T’en as pas marre d’être violente ? J’ai rien dit. Ha ha.  

-Bon alors, pourquoi ce cri ?  

-Heu… c’est juste que j’ai eu un flash d’un de mes rêves.  

-Ha ! Et on peut savoir ce que c’était ?  

-Non !  

-Bah, pourquoi non ? Maintenant qu’on est ensemble, on ne doit plus avoir de secrets l’un pour l’autre !  

-Je t’ai dit non, alors n’insiste pas.  

 

Kaori se dirigea vers la fenêtre et regarda au-dehors. Elle pouvait sentir le regard de Ryô posé sur elle. Elle soupira. Maintenant tout lui revenait en mémoire, et elle comprenait pourquoi elle avait été aussi fatiguée ces derniers temps. C’était étrange en fait, puisque c’était comme si elle avait eu deux vies dans deux mondes parallèles. Mais elle n’arrivait pas à s’expliquer ces rêves, ni comment elle allait faire pour les stopper. Elle fut soudain entourée par deux bras forts, et ramenée contre le torse de Ryô.  

 

-Ce sont ces rêves qui te préoccupent ? Ne t’inquiète pas pour ça, on va demander au vieux de t’ausculter et je suis sûr que tout rentrera dans l’ordre.  

-Tu crois ?  

-Mais oui, j’en suis certain. Alors c’était à cause d’eux que tu étais si faible ces derniers jours ?  

 

Kaori se retourna et le regarda, étonnée.  

 

-Tu l’avais remarqué ?  

-Bien sur que oui. Je remarque toujours tout quand tu es concernée.  

 

Cet aveu fit plaisir à la jeune femme qui ne put s’empêcher de rougir une nouvelle fois. Elle était magnifique. Ryô se pencha lentement et saisie délicatement les lèvres de Kaori, qui répondit avec plaisir à ce baiser. L’échange se fit plus intense, mais Ryô resta correcte. Il ne tenta rien du tout, profitant seulement de ce que sa belle lui offrait maintenant, sachant pertinemment que bientôt elle serait tout à lui, et cette fois-ci pas dans un rêve ,mais dans la réalité.  

Il s’embrassait toujours quand…..  

 

 

A suivre…  

 

 


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