Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated R - Prose

 

Auteur: 1grisou

Beta-reader(s): TOKRA

Status: En cours

Série: City Hunter

 

Total: 14 chapitres

Publiée: 04-03-09

Mise à jour: 04-07-10

 

Commentaires: 179 reviews

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ActionDrame

 

Résumé: Quand le temps vous est compté...

 

Disclaimer: Les personnages de "Enterrer" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Enterrées

 

Chapitre 13 :: 13 La gare 2ème partie

Publiée: 27-03-10 - Mise à jour: 27-03-10

Commentaires: Voici un nouveau chapitre. Je suis désolé mais je ne parle pas encore des filles pour le moment. Mais cela viendra de toute façon tôt ou tard (je pense plus tard car pour moi pour le moment tout se déroule en même, mais bon je vais voir ce que je peux faire). Je tiens à vous remercier également pour vos reviews qui me touche beaucoup et me font continuer l’aventure avec vous. Je remercie aussi toto pour sa correction et pour son commentaire pour ce chapitre qui ma vraiment fait très très très plaisir. Enfin je dédis ce chapitre à Cris, Paty et toutes les harceleuses qui veulent la suite d’enterrées. Pour elles, j’ai fais un effort en allongeant mon chapitre. Chose pas facile pour moi (note pour soaria qui me le demande à chaque fois lol). Bonne lecture à vous. Kiss Grisou

 


Chapitre: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14


 

La statue de bronze se dressait fièrement devant eux au milieu d’une petite place remplie de monde. De taille moyenne, elle reposait sur son socle de marbre. Sur le devant, on pouvait lire, sur une petite dalle foncée, le nom d’Hachikô. La statue représentait un chien assis fièrement et regardant droit devant lui, attendant l’arrivé de son défunt maître.  

 

L’accès à la statue était restreint. Beaucoup de personnes, surtout étrangères, tournaient autour et se faisaient prendre en photo devant. A la vue des trois hommes qui arrivaient, mais surtout, à la vue de la carrure imposante du barman, un passage s’ouvrit devant eux, leur facilitant ainsi l’accès à « l’ami » recherché.  

 

- Pour faire dans le discret t’es le roi Umi-chou. lui fit remarquer Angel.  

 

- Ben quoi ? T’avais qu’à manger ta soupe tu aurais moins l’air d’un gringalet aujourd’hui…  

 

La foule portait un regard interrogateur sur ces trois hommes dont il émanait une forte présence. Deux d’entre eux se chamaillaient tandis que le troisième s’était directement dirigé vers la statue sans faire cas de la semi-dispute qui avait lieu derrière lui. Il se tenait debout face à la statue d’Hachikô. Il semblait hypnotisé par elle. La dévisageant sous tous les angles. Ses mains courraient sur le bronze, passant de la tête au dos sans oublier le moindre centimètre carré, donnant ainsi l’impression qu’il caressait le chien.  

 

Ryo était plongé dans ses pensées. Il n’avait senti aucune fissure, aucun trou sur la statue. Rien qui puisse permettre de contenir un nouvel indice ou une trace quelconque des filles. Pourtant, il restait là, à dévisager le chien, lui tournant autour. Pour le nettoyeur, seul comptait la réponse qu’il espérait trouver ici même.  

 

- C’est forcement là. Sous nos yeux. dit Ryo à Umibozu et Mick qui l’avaient rejoint et se tenaient derrière lui.  

 

Les trois hommes regardaient encore et encore la statue. Mais il y avait aucune trace visible qui indiquait que le ravisseur était passé par-là.  

 

- T’es sûr que c’est bien ici ? demanda Mick.  

 

- Oui. L’énigme disait : « Au pied d’un ami, la solution vous trouverez ». Ça ne peut être qu’ici !  

 

En disant cela, l’œil du nettoyeur c’était arrêté sur la petite plaque qui était fixée à l’avant de la statue. Il y avait des marques bizarres… Des marques qui ressemblaient à des griffures. Comme si quelqu’un l’avait fait pivoter ! Ces dernières paraissaient ressentes car, elles n’étaient pas ternies par le temps. Et, elles étaient toujours aussi rugueuses au touché. En passant les doigts sur les têtes des vis qui fixaient la plaque, il constata également que celles-ci étaient abîmées. Il ne faisait aucun doute que quelqu’un avait du forcer pour les dévisser.  

 

Sans même se retourner, le nettoyeur s’adressa au barman.  

 

- Umi ton couteau s’il te plait.  

 

Le barman devinant l’utilisation que le nettoyeur allait en faire, le lui tendit sans poser de question. Ryo se servit de la lame pour dévisser un à un les boulons de la plaque et ce saisit de cette dernière. Il avait vu juste. Derrière, il y avait un trou. Celui ci n’était pas très grand ni très profond.  

 

Les trois hommes se penchèrent, retenant leur souffle sans même sans rendre compte. Ils étaient là, tous les trois, penchés en avant, les yeux rivés vers un tout petit trou. Espérant tous les trois apercevoir l’objet recherché. Leurs regards s’arrêtèrent sur une petite masse. Enfin il l’avait trouvé ! Il était la devant eux. Ryo tendit la main et passa ses doigts dans la fente pour en sortir l’objet.  

 

Il s’agissait d’une simple clef sur laquelle était gravé le numéro 017C. Le nettoyeur la regarda avec étonnement. Il venait de résoudre une énigme et voilà que maintenant une autre apparaissait.  

 

- 017C ! ? C’est quoi ca encore ? se demanda-t-il avec une pointe d’énervement dans la voix.  

 

- Je ne sais pas. lui répondit Mick en lui prenant la clef des mains afin de la voir de plus près. Le numéro gravé dessus me fait penser à une clef de consigne que l’on trouve dans les gares.  

 

- Alors allons-y.  

 

Le Japonais en tête, le petit groupe traversa la route en direction de la gare. Elle aussi était remplie de monde. Il leur fallut jouer des coudes pour arriver jusqu’aux consignes de la gare. Mais comme par magie, la foule se dissipa à l’approche des consignes qui étaient installées à l’autre bout du bâtiment, légèrement en retrait du grand hall qui accueillait les voyageurs. Par chance, l’endroit était peu fréquenté durant le week-end. Ce qui leur assurait la discrétion désirée.  

 

- Tiens, il est là Ryo. lui annonça le barman qui était déjà devant le casier à attendre ses compères.  

 

- C’est bien lui. Le 017C. répondit le nettoyeur en approchant la clef à la main. Il vérifia tout de même que le numéro et la lettre inscrits sur le casier étaient bien identiques à ceux de la clef.  

 

- Ouvre vite Ryo !  

 

L’Américain était de plus en plus impatient. Tout le mystère allait être enfin dévoilé. Toutes les réponses étaient là, derrière cette petite porte de casier grise. Et peut être même plus. Ils allaient peut être découvrir où les filles étaient gardées prisonnières.  

 

Ryo, clef en main, leva le bras et la positionna face à la serrure de la consigne. Il tenta à plusieurs reprise de la faire entrer dans l’emplacement qui semblait être sien, mais en vain. Elle ne rentrait pas !  

 

- C’est pas la bonne clef. ragea-t-il.  

 

- C’est pas possible. Il y en avait une autre sous la statue ?  

 

- Non !  

 

- T’es bien sûr ? T’as bien regardé ?  

 

- Oui il n’y en avait pas d’autre. déclara le nettoyeur mécontent que ses amis doutent de lui de la sorte.  

 

- Donne-moi la clef et laisse-moi essayer. dit Mick en joignant le geste à la parole.  

 

Mais il n’eut pas plus de succès. La clef ne rentra pas mieux dans la serrure.  

 

- Mick je sais quand même comment utiliser une clef. répondit-il en s’énervant.  

 

- Je voulais être sûr, on ne sait jamais. répondit Angel. Dans la précipitation… Une erreur est vite arrivée.  

 

- Mouais ! marmonna le Japonais pas très convaincu par l’argument avancé par son homologue Américain.  

 

Leur espoir de retrouver les filles venait d’être anéanti par une simple petite serrure. Leurs regards s’étaient assombris, ils avaient perdu cette lueur de confiance qu’ils avaient acquis en trouvant la clef. Cette certitude que tout allait enfin prendre un sens…. Décidément, le ravisseur avait de la suite dans les idées. Les avaient-ils menés en bateau ? Ou bien tout cela faisait partie du jeu ? De son jeu un tantinet noir ?  

 

La clef restait le centre d’intérêt de la bande. En fait, elle restait le centre d’intérêt de tout. Elle était comme l’énigme le disait « la solution ». Mais quelle solution ? Où diable pouvait-elle aller ? Servait-elle vraiment à quelque chose ? Toujours les mêmes questions qui revenaient. Pourquoi ? Comment ? Où ? Qui ?  

 

Le nettoyeur regarda la montre à gousset. Il espérait tant que le temps suspend son vol. Comme par magie. Mais ce dernier filait toujours. Imperturbable. Rien ne semblait pouvoir le stopper. Le nettoyeur avait beau fixer la montre, rien à faire. Les secondes s’écoulaient pour se transformer en minutes, les minutes en quart d’heure et ainsi de suite…  

 

- Mick tu es sûr que c’est bien une clef de consigne ?  

 

- Oui ! Je crois… hésita Angel.  

 

- Bordel Angel. Le ton était monté d’un cran sans que quiconque ne sache réellement pourquoi. La nervosité dans la voix du nettoyeur était palpable. Tu crois ou t’en es sûr ?  

 

- Je sais plus. Voilà t’es content.  

 

Le barman qui était resté en retrait jusqu’à maintenant émit l’hypothèse que la clef pouvait provenir de la gare de Shinjuku. Et par conséquent ouvrir une autre consigne 017C. Cette hypothèse n’avait même pas traversé l’esprit des deux nettoyeurs. Mais elle était tout à fait envisageable. Il ne restait plus qu’à vérifier…  

 

Les hommes retournèrent dans la voiture. Retour à la case départ sans toucher 200 000 yens…  

 

Umibozu avait sans doute du battre son record de vitesse. La gare de Shinjuku était déjà à portée de main et le petit groupe fendait la foule à vive allure sans même s’excuser auprès des personnes qu’ils bousculaient.  

 

Les casiers qui se dessinaient au loin, apparaissaient de plus en plus grands au fur et à mesure de leurs foulés. Ils étaient là, les uns sur les autres, alignés sur plusieurs colonnes. Si Umibozu avait vu juste, c’était derrière cette porte métallique grise que se trouvait le prochain indice…  

 

C’est le cœur battant la chamade tant à cause que leur course que par l’excitation, que les hommes regardèrent la clef entrer dans la serrure. Cette fois ci sans souci. Rien ne vint interrompre son entrée dans l’espace lui étant destiné.  

 

Les murmures des voyeurs avaient été complètement occultés par le bruit métallique de la clef entrant lentement dans la serrure. Les trois hommes purent même entendre grâce à leurs ouïes développées les deux clics distinctifs des deux crochets qui maintenaient la porte de la consigne fermée.  

 

Malgré leur impatience, chacun avait la sensation que la scène se jouait au ralenti… La porte s’ouvrit enfin, dévoilant un contenu encore plus surprenant que ce qu’ils avaient imaginé. Umibozu avait une fois de plus vu juste. Il avait été la voix de la sagesse… Et pour cela il avait été récompensé d’une manière étrange.  

 

La personne derrière tout cela se jouait d’eux. Il n’y avait plus de doute possible maintenant… Ryo, Umibozu et Mick le savait, rien qu’en voyant le contenu du casier. Il y avait trois objets dedans. Trois objets sans rapport les un avec les autres… Ils semblaient anodins au premier abord, mais pour l’affaire qui était en cours, tout était là, expliqué sous leurs yeux incrédules. Tout était expliqué et résumé par ces simples objets…  

 

Tous eurent la même pensée « C’était une vraie perte de temps pour en arriver là ». Partir d’un point A pour aller à un point B et revenir à son point de départ au lieu de partir en direction du suivant. » Mais tout cela paraissait voulu par le ravisseur. Et, il semblait avoir tout prévu. Eparpiller les indices aux quatre coins de Tokyo. Une vraie chasse au trésor. Grandeur nature. Comme tous les enfants en rêvent. Mais la récompense ici était différente. Pas de bonbons, ni même de jouets. Ici, la récompense, si l’on pouvait la qualifier ainsi, était la vie !  

 

La vie de deux jeunes femmes. Et celle d’un être qui risquait de mourir avant même d’être né… Avant même d’avoir prononcer son premier cri… Avant même d’avoir pu voir le monde qui l’entoure…  

 

Ryo sortit avec beaucoup de précaution un à un les objets. Il commença par le plus proche de lui. Une petite bouteille en inox ou se trouvait vissé sur le dessus à la place du bouchon, un petit masque. Il était inscrit dessus oxygène. Il donna la bouteille à Umibozu pour avoir les mains libres pour prendre le second objet. Cette fois ci, l’objet était rectangulaire et peu épais. En le prenant, Ryo se rendit compte qu’il s’agissait d’un petit PC portable qu’il tendit aussi tôt à Mick afin de se saisir du dernier objet. Une enveloppe sur laquelle était écrit «Qui suis-je ? »  

 

« Encore une énigme» se dit mentalement le nettoyeur alors qu’il ouvrait sans ménagement l’enveloppe avant de lire à haute voix.  

 

« Utile pour s’ouvrir sur le monde  

Se connecter avec elle est possible  

Besoin de moi pour cela vous aurez »  

 

- C’est quoi encore ce charabia ? Moi je vous le dis : Il se fou de nous. s’énerva Mick qui donna un coup de poing dans la porte de la consigne.  

 

- Ca ne sert à rien de s’énerver. C’est pas comme cela que l’on va retrouver Miki et Kaori.  

 

Encore une fois, le barman avait raison. La colère était inutile. Dans n’importe quelle situation elle était déjà source d’erreur et synonyme de mort. Mais là elle faisait dévier les hommes de leur chemin. S’ils se laissaient envelopper par leur rage, s’ils se laissaient dicter leur conduite par leur colère et leur frustration de n’avoir aucun contrôle sur se qu’il se passait, leur réflexion et leur analyse de la situation allait en pâtir. Car ici, les armes qu’ils avaient entassé dans le coffre de la voiture n’allaient pas leur servir à grand chose.  

 

Que ce soit le célèbre City Hunter magnum en main, Umibozu avec ses redoutables pièges ou encore Mick Angel et ses couteaux, Rien n’était valable… La mission ici était tout autre. Elle n’était pas physique mais intellectuelle. Il fallait tout analyser. Le moindre mot, le moindre objet. Et en déduire le bon sens, la bonne direction à prendre...  

 

Le nettoyeur fixait un point au loin sans vraiment le voir. Il était concentré sur cette nouvelle énigme. A quoi pouvait-elle bien faire allusion ? Quelque chose d’utile pour eux... ? Qui leur permettrait de voir Kaori et Miki… ? Un ordinateur… Une bouteille d’oxygène…  

 

Elles devaient donc avoir une réserve d’air limitée d’où la montre montée à l’envers et le « tic tac » du XYZ. Mais l’ordinateur… Pourquoi… ? Pour communiquer avec qui ? Le ravisseur ? Les filles ?  

 

- HAAAAA ! Je ne vois pas. se morfondit le Japonais en s’étirant, se qui lui valut de faire tomber les photos de la poche arrière de son pantalon.  

 

« Se connecter avec elle » Cette phrase, le nettoyeur se la passait en boucle mentalement. Il était sûr qu’elle était la clef de l’énigme.  

 

En se penchant pour les ramasser, l’une d’entre elles attira son regard. Il la saisit et se releva sans même toucher aux autres. Il regarda une nouvelle fois le mot… Et cette fois la solution lui sauta aux yeux comme une évidence.  

 

Il constata que chaque début de phrase commençait par une majuscule. Et, chaque majuscule forma un seul mot : USB. La photo qu’il avait ramassée était un cliché d’une clef USB.  

 

- On y va ? se contenta de dire le nettoyeur ramassant les photos rapidement avant de partir en courant, laissant derrière lui deux hommes dans l’ignorance la plus totale. Allez à la voiture ! Je vous y retrouve dans un instant. leur hurla-t-il.  

 

En sortant de la gare, Ryo se dirigea vers un petit magasin d’informatique. Il y pénétra en trombe et se dirigea directement vers le rayon clef WIFI ou il se servit. Il sortit comme il était entré en laissant à la volée une poignée de yens au caissier.  

 

Il ne lui avait fallu que quelques minutes pour quitter la gare et revenir vers la voiture. Il monta à l’avant et se saisit de l’ordinateur qu’il alluma avant d’y connecter la clef USB. L’ordinateur placé au milieu du tableau de bord était visible de tous.  

 

Un seul dossier était visible sur le bureau. Le nettoyeur cliqua dessus et une voix déformée s’éleva.  

 

« Bonjour Monsieur SAEBA. Félicitation pour être arrivé jusqu’ici. Pour vous récompenser je vous permets de voir votre partenaire. Pour cela entrez l’adresse du site qui suivra le message. Mais attention, sachez que la route sera longue pour arriver jusqu’à elle »  

 

Voilà, ils y étaient. Ils avaient enfin avancés. Bientôt, ils allaient être fixés sur ce qui était réellement arrivé aux filles. Enfin peut-être… Car, dans le message qu’avait laissé le ravisseur, il ne faisait aucune allusion à Miki. Etait-elle avec Kaori ? Etait-elle encore en vie ? Une chose était sûre. Il avait organisé son coup depuis longtemps. Mais, Miki n’était pas prévue au programme. Il avait donc du modifier un peu ses plans. Mais de quelle façon ? En se débarrassant d’elle ?  

 

L’heure n’était plus aux interrogations. Sur l’écran noir, les hommes purent voir malgré l’absence de lumière les traits d’une femme se dessiner. La caméra cachée dans ce qui semblait être un véhicule était en mode vision nocturne. Bien qu’il soit aveugle, le barman put percevoir toute la détresse et l’inquiétude qui émanait de la femme. De son côté, l’Américain était figé. Ses doigts s’étaient automatiquement refermés sur le dossier qu’il tenait. Contenant ainsi la rage qu’il renfermait au fond de lui depuis le début du film.  

 

Quant au nettoyeur, son cœur rata un battement en la voyant aussi démunie. Ce qu’il avait sous les yeux lui fit un mal de chien Jamais il n’avait éprouvé cela aussi loin qu’il s’en souvienne… Sa plus grande peur se déroulait sous ses yeux… Ne pas pouvoir la sauver…  

 

 


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