Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG-13 - Prose

 

Auteur: Catzen20

Status: Complète

Série: City Hunter

 

Total: 19 chapitres

Publiée: 11-04-09

Mise à jour: 30-01-19

 

Commentaires: 92 reviews

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DrameRomance

 

Résumé: Qu'arrive-t-il quand la douleur devient trop forte... une nouvelle rencontre peut-elle aider Kaori ? Comment Ryô va-t-il réagir quand il l'apprendra ?

 

Disclaimer: The characters of "Title to change" belong exclusively to Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Quand la douleur est trop forte

 

Chapitre 15 :: Chapitre 15

Publiée: 10-05-11 - Mise à jour: 10-05-11

Commentaires: Coucou tout le monde, *me relève péniblement de dessous les massues moi !* J'ai légèrement-eu-pas-envie-de-majer-hier (possible que j'aie aussi un peu oublié… *met casque protection anti-massue*). Donc, j'avais pensé à attendre le week-end prochain, mais finalement j'ai envie *?* de mettre le chap suivant *hourra, jeter les confettis* lol Mais je parle je parle, certains diront au lieu d'écrire les chaps *peut-être pas tort* et quelque chose me dit que vous avez zappé le commentaire et direct le chap *donnez-vous la peine tiens ;)* Enfin bref, un super merci à Kao et à Cma pour leurs reviews, et non pour les massues ! *mieux vaut préciser au cas où* (Cma, j'ai vérifié partout avec le microscope et non, tout est là et… je m'y retrouve très bien ^_^ lol). Un grand merci aussi à Oph, j'espère que le reste des chapitres t'a tout aussi plu :) Voilà, à bientôt, bisous.

 


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CHAPITRE 15  

 

Il était près des neuf heures du matin, quand Kaori se réveilla doucement puis s'étira, appréciant chaque rayon du soleil qui parcourait son visage et corps telle une caresse. Elle haussa les épaules de contentement, ramenant ses mains jointes contre sa poitrine, la tête légèrement en arrière et les yeux fermés pour apprécier pleinement cette douce chaleur.  

 

A regret, elle quitta son lit pour se diriger vers la salle de bain, puis ensuite aller préparer le petit déjeuner.  

 

Quelle ne fut pas sa surprise, en descendant les escaliers, de constater que la table du petit déjeuner était déjà dressée. Elle n'eut pas le temps de se demander qui avait bien pu faire cela, qu'elle vit Kenjin sortir de la cuisine avec un plateau bien garni entre les mains.  

 

Evidemment, imaginer que cela aurait pu être son feignant de partenaire aurait été utopique, pensa-t-elle.  

 

- Bonjour ma belle, bien dormi ? Lui demanda un Kenjin tout sourire.  

 

- Oui, merci et toi ? Kaori s'assit à la table alors que Kenjin y posait le plateau sur une table déjà bien remplie.  

 

- Une fois dans le lit, je me suis effondré comme une masse, répondit-il le sourire aux lèvres.  

 

- Kenjin, tu n'aurais pas dû, Kaori fit un geste de la main en direction de la table.  

 

- Ta ta ta, il s'assit en face d'elle et remuait son index de droite à gauche. Cela me fait plaisir ; et puis, c'était la moindre des choses après la frayeur que je t'ai faite hier. Il finit sa phrase par un clin d'œil.  

 

Kaori lui rendit son sourire. Elle était heureuse de voir que son ami semblait aller mieux aujourd'hui.  

 

-Bon, dit-elle en regardant la table, et si nous faisions honneur à ce qui semble être un succulent petit déjeuner que tu nous as préparé.  

 

Et c'est ainsi qu'ils mangèrent de bon cœur.  

 

Pendant ce temps, Ryô qui était réveillé depuis qu'il avait entendu Kaori se lever, avait attendu et espéré que celle-ci vienne le réveiller comme à son habitude. Mais il dut se rendre à l'évidence que ce matin, elle ne viendrait pas.  

 

En effet, Kaori avait pensé à aller le réveiller. Puis, elle s'était ravisée. Aujourd'hui, elle n'avait pas eu le courage de faire face à ses délires sur les femmes qui emplissaient soi-disant ses rêves. Elle n'avait pas l'énergie de commencer cette journée de mauvaise humeur et par une massue. Elle en avait assez. Elle ne pouvait pas vraiment dire pourquoi, mais aujourd'hui, elle ne s'en sentait pas la force. Certainement les répercussions des évènements de la veille.  

 

Ryô était donc toujours dans son lit sur le dos, fixant un point imaginaire au plafond. Il soupira. Non, elle ne viendrait pas ce matin et cette pensée l'attrista. Il aimait l'observer quand elle rentrait à pas de loup dans sa chambre. Quand elle prenait quelques instants à le regarder, qu'elle pensait qu'elle lui volait quelques moments alors qu'en fait, il faisait la même chose. Il la contemplait et tentait plus ou moins difficilement de garder son self-control, quand il sentait sa main douce et chaude à peine effleurer son front, sa tempe, sa joue, ses lèvres, son menton, son cou pour terminer sur son torse.  

 

A chaque fois, il gardait les yeux fermés et tentait de calmer sa respiration. Une torture ! Voilà ce qu'elle lui faisait subir tous les matins. Une véritable et merveilleuse torture.  

 

Et son regard. Il pouvait à travers les yeux fermés, sentir son regard sur lui, le dévisager, le déshabiller, et dans ces moments-là, il se demandait comment elle faisait, elle qui était si timide. Mais là, elle n'avait vraiment rien de farouche, bien au contraire.  

 

Alors il se mettait à imaginer ce que cela serait, s'il ouvrait les yeux, l'attirait vers lui et qu'ils découvrent le corps de l'autre avec les yeux, les mains, leur bouche. Quand il sentait que les choses lui échappaient, qu'il commençait à perdre complètement le contrôle, et qu'il était plus que sur le point d'ouvrir les yeux et de l'attirer à lui pour que lui aussi entame la découverte de son corps ; il agissait en parfait idiot et marmonnait des prénoms féminins. Il se haïssait de faire cela, de faire subir cela à son ange. Seulement il était lâche.  

 

Pourtant à partir d'aujourd'hui, il ne le serait plus. Mais… elle n'était pas venue.  

 

- C'est bien ma chance, grommela-t-il en se levant.  

 

Il enfila un tee-shirt et un pantalon par-dessus son caleçon. Quelle ne fut pas sa surprise en ouvrant sa porte de chambre, d'entendre des rires provenant de la salle à manger.  

 

- Il est debout ! Gronda-t-il, mais qu'est-ce qui m'a pris de pas me lever, moi !  

 

Après un rapide passage par la salle de bain, Ryô rejoignit Kaori et Kenjin. Ces derniers étaient tellement pris dans leur discussion sur les derniers films en date, qu'ils ne réalisèrent la présence de Ryô que quand ce dernier leur dit bonjour tout en s'installant à table aux côtés de Kaori.  

 

- Oh ! Bonjour Ryô, dit une Kaori visiblement surprise.  

 

 

Kenjin, lui, préféra la sobriété d'un signe de tête que lui rendit Ryô non sans lui avoir jeté un regard sombre. Il ne faut pas perdre les bonnes habitudes, pensa machiavéliquement Ryô.  

 

- La journée commence bien, se lamenta mentalement Kenjin.  

 

Kaori, elle, observait l'échange silencieux qu'il y avait entre les deux hommes. Elle secoua la tête. Décidément, Ryô pouvait vraiment être borné ! Cependant, d'une certaine façon, elle trouva cela assez valorisant. Ryô montrait un intérêt envers elle, et surtout, d'une façon assez étrange, marquait son territoire. Elle se rabroua mentalement,  

 

- Mais qu'est-ce que je raconte, moi ! Marquer son territoire, et puis quoi encore !  

 

Envahie soudainement d'une rage folle, elle sortit de nulle part une massue estampillée "C'est pas bientôt fini tout ce cirque" qui vint écraser Ryô et l'encastrer dans le sol.  

 

- Et moi qui ne voulais pas commencer la journée avec une massue, elle croisa les bras sur sa poitrine en fermant les yeux. Mais, j'aurais dû me douter qu'avec un énergumène pareil, ce soit plutôt mission impossible !  

 

Kenjin avait le nez dans sa tasse et préférait rester silencieux. Il se demandait comment un si petit bout de femme pouvait sortir d'on ne sait où un tel engin; et surtout, comment Ryô pouvait toujours être en vie après cela.  

 

Quant à ce dernier, bien qu'écrasé sous la massue, il était assez satisfait. Bon d'accord, il avait reçu une massue parce qu'il avait encore jeté un petit regard noir de rien du tout envers leur invité. Car Kenjin était bien leur invité à tous les deux. Il avait accepté qu'il vienne.  

 

Mais, cela voulait aussi dire que Kaori avait certainement compris le sens de ses regards. D'ailleurs, le léger rougissement de ses joues en était la preuve ; et puis, deux massues en moins de vingt-quatre heures, Kaori redevenait Sa Kaori. C'était plutôt une bonne, bien que quelque peu douloureuse, nouvelle.  

 

Après s'être extirpé de sous la massue, Ryô vérifia si toutes ses vertèbres étaient bien en place puis s'installa de nouveau à table, pour entamer et surtout dévorer tout ce qui s'y trouvait. A la vue de ce spectacle, Kenjin ouvrit des yeux ronds. A cette allure, il en était certain, tout allait disparaître en un rien de temps.  

 

Quant à Kaori, elle resta stoïque. Il faut dire, qu'elle y était habituée.  

 

C'est ainsi que le petit déjeuner se poursuivit. Une fois terminé et repu, Ryô s'étira et d'une voix qu'il voulut tendre, il dit en direction de Kaori,  

 

- C'était pas mauvais du tout. Dans son esprit, c'était un véritable compliment. Et surtout, par cela, il montrait qu'il avait bien l'intention de changer les choses vis-à-vis d'elle.  

 

C'est pourquoi il ne comprit pas que Kaori ne dise rien et se contente de hausser les épaules, une lueur bizarre dans les yeux, jusqu'à ce que celle-ci lui explique,  

 

- C'est peut-être par ce que ce n'est pas moi qui l'ai préparé ! Son ton se voulait neutre. Mais on pouvait y distinguer une pointe de colère et de tristesse.  

 

Ryô avala de travers son café. Il la regarda puis posa son regard sur Kenjin qui lui souriait à pleines dents.  

 

- Merci beaucoup Ryô. Je suis heureux que vous ayez apprécié.  

 

Kenjin était ravi, il se dit que peut-être Ryô allait cesser de le terroriser et pourquoi pas, avec le temps, devenir amis.  

 

Mais le regard d'exaspération que lui lança Ryô lui dit que cela ne serait certainement pas pour tout de suite.  

 

Décidément, Ryô se demanda pourquoi le sort semblait s'acharner ainsi contre lui. Lui, qui aujourd'hui se décidait enfin à la complimenter sur sa cuisine, il fallait justement, qu'aujourd'hui, soit le seul jour où elle ne l'avait pas préparé !  

 

Ryô se dit qu'il devait être maudit !  

 

En plus, il était persuadé que Kaori l'avait mal pris. Il se mettait à sa place, pour une fois qu'il disait que c'était bon. C'était bien sa chance !  

 

Ryô vit Kaori se lever pour débarrasser, Kenjin lui dit qu'il allait s'en occuper mais le nettoyeur lui lança qu'il en avait déjà suffisamment fait et qu'il allait s'en charger. Kaori voulut protester, mais Ryô lui dit d'un ton ferme, qu'aujourd'hui, elle pouvait profiter de ne rien faire.  

 

Kenjin se rassit donc et réalisa que les paroles de Ryô étaient à double sens. Autant dire qu'il était convaincu que du sens dans lequel Ryô lui avait dit cela, n'était pas dans le sens sympathique ou de remerciement.  

 

Après que la table fut débarrassée et la vaisselle rangée dans le lave-vaisselle par les soins de Ryô ; Kaori qui était visiblement surprise de l'attention de son partenaire, se dit qu'il était temps qu'elle aille faire un tour du côté de la gare pour voir s'il n'y avait pas un message. Bien que tout au fond d'elle, elle souhaita qu'il n'y en ait pas. Ils avaient encore assez d'argent pour faire face pour quelques mois.  

 

Elle fut de nouveau surprise par Ryô qui se proposa de l'accompagner tout comme Kenjin. Acceptant volontiers, c'est ainsi que le trio quitta l'appartement.  

 

Ils se rendirent à pied à la gare, Kaori au milieu des deux hommes. Mais pour une fois, Kenjin et surtout Ryô se tinrent tranquille.  

 

Arrivés devant le tableau, ce fut un soulagement pour Kaori de constater qu'il n'y avait aucun message. Elle souhaitait juste ne pas avoir d'affaire pour le moment.  

 

Puis, elle proposa qu'ils se rendent au Cat's, comme elle le faisait à chaque fois.  

 

Alors qu'ils se dirigèrent tranquillement vers le Cat's, Ryô sentit de plus en plus une présence. Présence qu'il avait déjà ressentie lorsqu'il se trouvait au parc. En fait, il l'avait sentie depuis qu'ils avaient quitté l'appartement. Mais avant de voir ce qu'il en retournait, il souhaitait mettre Kaori à l'abri.  

 

Ainsi, quand ils atteignirent le Cat's, Ryô leur dit d'y entrer sans lui. Kaori le regarda avec suspicion. Avec un large sourire, il tenta de la rassurer en lui disant que ce n'était pas pour aller draguer. D'ailleurs, ne s'était-il pas tenu plus que correctement lors de leur promenade. Comme pour mettre du poids à ce qu'il disait, il lui murmura à l'oreille,  

 

- Crois-moi mon ange, à la pensée de te laisser avec lui, je ne suis pas ravi.  

 

Elle allait riposter, mais il ne lui en laissa pas le temps. Puis, il vit son regard devenir inquiet, il la rassura en lui affirmant que ce n'était rien. Juste quelque chose à vérifier. Finalement, il la poussa à l'intérieur du café avant de se retourner pour se diriger vers l'origine de cette aura.  

 

Après quelques pas, il tourna dans la première ruelle. Il s'affaissa contre le mur, ses bras croisés sur son torse, son regard noir droit devant.  

 

Cette ruelle semblait déserte. Pourtant, avec assurance et calme, Ryô lança,  

 

- Allez-vous enfin me dire pourquoi vous nous suiviez ?  

 

A ses paroles, une silhouette sortit de l'ombre du palier située juste en face d'où s'était positionné le nettoyeur numéro du Japon.  

 

- Je constate avec plaisir que votre réputation est loin d'être surfaite, lui répondit une voix féminine en autant cas impressionnée, mais d'une froideur égale à celle de Ryô.  

 

- Tout comme la vôtre, Ryô rétorqua d'un air sévère. Son visage était sérieux, et ses yeux étincelants.  

 

- Ainsi, vous savez qui je suis, City Hunter. La femme essaya de cacher son trouble lié au fait qu'il savait qui elle était, mais Ryô le devina. Elle qui aurait souhaité un petit effet de surprise. Mais bon !  

 

Il ne répondit pas, alors elle continua, voulant le sonder un peu,  

 

- Bien sûr, quelle question ! Je suis persuadée que vous êtes au courant de tout ce qui se passe à Shinjuku. Enfin, peut-être pas dans tout Shinjuku. Elle insista sur le mot "tout" et, le ton que la jeune femme employa à la fin de sa phrase se voulait malicieux. Elle eut même un petit sourire sarcastique.  

 

Ryô la fixait toujours du regard. Ce qu'elle venait de dire ne lui plaisait guère. Se pourrait-il que le milieu fut ou soit déjà au courant de ce qui se passe entre sa partenaire et lui ? Ryô en doutait fortement. La preuve, ses indics lui auraient certainement fait part de quelque chose, s'ils avaient été au courant de ce qu'avait fait Kaori ces derniers mois. Pour leur survie, ils le lui auraient dit.  

Non, d'une certaine façon, il était fier de sa partenaire, elle avait vraiment bien dissimulé ce qu'elle avait fait. Personne n'avait rien suspecté. Lui, le premier.  

 

Alors, comment cette femme pouvait-elle savoir quelque chose ? Cela n'avait aucun sens.  

 

- Que voulez-vous dire, Orchidée ?  

 

- Voyons, nous sommes tous les deux des professionnels. Je suis certaine que vous savez de quoi je parle. Dire que vous n'avez rien vu. Vous, City Hunter…Elle se mit à rire un instant.  

 

Ryô suspecta que derrière ce rire, elle tentait de cacher quelque chose. Mais, pour l'instant, il ignorait quoi.  

 

- Avez-vous la moindre idée de ce que votre très chère partenaire et lui ont fait tout ce temps ? Sa voix se voulut ironique.  

 

Cette fois-ci, il n'y avait aucun doute pour Ryô de la signification de ses mots.  

 

Il se tenait toujours adossé au mur, les bras croisés sur son torse, son regard était glacial. Il ne laissa rien paraître. Il semblait impassible à ses paroles. En apparence, du moins ; car ses mains, elles, se mirent à serrer ses bras avec force et rage quand il l'entendit parler.  

 

Ils se fixèrent durant quelques instants. Puis, Orchidée continua,  

 

- Votre silence en dit long. Elle émit un léger ricanement.  

 

- Que voulez-vous ? La voix de Ryô était cinglante. L'aura qu'il dégageait devenait de plus en plus noire.  

 

Orchidée s'en rendit compte. Elle resta cependant silencieuse tout comme Ryô, qui attendait patiemment sa réponse.  

 

Finalement, elle se décida à rompre le silence,  

 

- Vous le saurez bien assez tôt, répondit-elle avec assurance avant de s'éloigner.  

 

Ryô, bien que cela ne soit pas vraiment dans ses habitudes, n'insista pas et, la laissa partir. Il y avait quelque chose dans sa voix qui interpellait le nettoyeur. Il n'aurait pas su dire quoi. Peut-être était-ce son intonation, sa façon de se vouloir aussi détacher. Elle tentait, avec une certaine réussite, de dissimuler quelque chose. Ryô en était convaincu.  

 

Cependant, avant qu'elle ne se soit trop éloignée, le professionnel, qui avait pris le dessus en lui depuis le début de leur confrontation, lui lança,  

 

- Je le protègerai.  

 

- Je l'espère bien, City Hunter, fut sa seule réponse, avant de totalement disparaître.  

 

 

A SUIVRE…  

 

 

 


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