Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated G - Prose

 

Author: rirette

Status: Completed

Series: City Hunter

 

Total: 15 chapters

Published: 31-05-16

Last update: 14-01-17

 

Comments: 4 reviews

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General

 

Summary: Mme Kama est une écrivaine installée de puis une dizaine d'année aux Etats Unis. Après la réception d'une lettre où elle apprend la disparition d'un proche, sa vie bascule

 

Disclaimer: Les personnages de "La Dame de coeur" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: La Dame de coeur

 

Chapter 7 :: chapitre 7:

Published: 20-09-16 - Last update: 20-09-16

Comments: n'hésitez pas à mettre des commentaires même si l'histoire ne vous plait pas, merci et bonne lecture

 


Chapter: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15


 

A Shinjuku :  

 

La porte s’ouvrit sur un ouragan qui se dirigea directement sur Miki :  

 

- Miki chérie, je suis là. Allons batifoler ensemble.  

 

La jeune femme se munit d’une massue cachée sous le bar pour interrompre le vol de l’importun. Le moucheron s’écrasa sur la surface boisée sans avoir pu ralentir sa vitesse. A peine remis, celui-ci aperçu l’extrémité d’un bazooka.  

 

- ahahaha !!! j’ai compris, dit il en levant les mains, enfin ma luciole tu sais que je plaisante ? hein ? !!! on dirait que non !!! Aussi jugea t-il plus prudent de s’éloigner.  

 

Arrivé à une distance correcte, Umi baissa son arme.  

 

Ryo s’installa au bar afin de déguster le café que Miki venait de lui servir. Un second tintement de la porte se fit entendre, Miki se prépara à recevoir le deuxième pervers du japon en la personne de Mike mais à sa grande surprise rien ne vint et elle se retrouva toute bête devant le facteur impassible qui ne s’étonnait plus de rien dans ce bar. Il lui tendit une lettre assez épaisse.  

 

Miki reconnu l’écriture de Kaori. Son cœur se serra, elle lui manquait tellement.  

 

Les hommes ressentirent son changement d’émotion et levèrent les yeux vers cette enveloppe qui était la source de ce bouleversement.  

 

Elle l’ouvrit et sortit un cadre en verre avec un cœur et une arme placés à l’intérieur. Elle observa l’objet sans comprendre la signification de ce présent. Ce n’était pas la période de leur mariage aussi ne s’agissait il pas d’un cadeau pour fêter leur anniversaire. Aucune date ne pouvait l’expliquer …. Mais n’étions nous pas en février ? Il y avait une date importante pour toutes les personnes qui s’aimaient : la Saint Valentin ! Elle tendit le cadre à Ryo.  

 

- je crois que c’est pour toi.  

- Hein ?  

- Eh bien ça vient de Kaori, elle l’a envoyé en Février. C’est pour la saint valentin, sans doute, sourit elle.  

- Hein ?  

- Tu vois une autre explication ?  

- Y a pas de lettre ? demanda Umi  

 

Miki retourna l’enveloppe mais rien n’en sortit.  

 

- non, ajouta t-elle à l’intention de son mari.  

- hum, lui répondit-il. Il n’aimait pas ça.  

 

Ryo non plus, il ne comprenait pas ce cadeau. Il avait peur de passer à côté de quelque chose d’important, peut être lui demandait elle de l’aide. Il tournait et retournait toute date, événement, fête qui aurait expliqué cet envoi mais rien ne lui vint. Il but rapidement son café et fila s’assurer que rien ne se passait derrière son dos.  

 

Miki et Umi espéraient que rien n’était arrivé à l’américaine comme ils l’appelaient désormais quand Ryo n’était pas là. Quand il était présent, tous s’efforçait de ne pas parler d’elle pour ne pas le faire souffrir inutilement.  

 

Ryo se renseigna partout, il mit ses meilleurs hommes sur le coup. Il les envoya dans le milieu, dans les boites sordides. Il avait des oreilles partout même outre manche. On lui rapporta que Mme Kama allait bien même si elle paraissait abattue dernièrement. Personne ne semblait être après elle. Ses informateurs n’avaient rien entendu de leur côté. Tout allait pour le mieux.  

 

Ryo reconsidéra cet envoi et finit par penser lui aussi qu’il s’agissait d’un cadeau de saint valentin. Il dû lutter contre l’envie de prendre le premier vol pour la rejoindre mais…mais il avait des obligations ici ! Il ne pouvait pas partir comme ça. Il lui manquait peut être et c’est pour ça qu’elle semblait déprimé ?  

 

Non, ils s’étaient quittés pour qu’elle puisse vivre la vie dont elle avait envie. Rien n’avait changé pour lui, aussi devait il la laisser tranquille. C’était si difficile encore aujourd’hui de vivre sans elle, mais il préférait la voir en sécurité au loin. Il avait craint au départ que certains de ses ennemis ne la suivent pour lui porter préjudice. Mais ils avaient fait les choses bien, elle était morte aux yeux du milieu. Ils avaient organisé un simulacre d’enterrement qui avait été bien plus éprouvant qu’il ne l’aurait pensé. Les larmes coulaient, il n’avait pas besoin de les provoquer. Ses amis avaient pensé qu’il jouait bien la comédie mais la douleur était réelle. Elle le quittait même si elle était saine et sauve, même s’il avait toujours voulu une autre vie pour elle. Elle le quittait. La seule femme qui comptait pour lui, qui avait jamais compté pour lui, le quittait.  

 

Elle voulait une vie de femme avec un mari ou au moins un amant, un voir même plusieurs enfants. C’était normal, ce n’est pas lui qui allait le lui reprocher. Mais ce cadeau …. Pouvait-il signifier qu’elle avait changé d’avis ? Qu’elle re-voulait de lui ? Qu’elle lui pardonnait sa lâcheté, sa vie dissolue ? peut-être annonçait-elle sa venue ? Nan, ça aurait été une énorme erreur, sa couverture serait à jamais détruite. Impossible de revenir en arrière.  

 

Il fit surveiller discrètement les listes de passagers de l’aéroport en partance des Etats-Unis par son commissaire préféré. Il devait s’avouer qu’il était partagé, son cœur s’affolait à l’idée de la revoir et sa raison la priait de ne pas faire cette idiotie. Pourrait il la renvoyer d’où elle venait ? Si elle venait lui offrir son cœur, pourrait il faire l’indifférent et lui dire de repartir ? Il le faudrait, il faudrait feindre l’indifférence.  

 

Pourtant les jours se suivirent sans qu’on ne lui annonce le retour de Kaori. Il fut soulager qu’elle ne soit pas si inconséquente. Mais l’espoir que cette histoire avait fait naître, lui avait laissé un trou béant dans la poitrine, revenu au point de départ comme il y a dix ans. Quel idiot ! Il savait pourtant qu’il y avait très peu de chance pour qu’elle revienne. Aussi comme il y a dix ans, il se noya dans le travail encore et encore.  

 

Le hasard faisant bien les choses, Saeko ne tarda pas à demander à Ryo son aide pour une enquête concernant un trafic de drogue.  

 

Ces trafiquants étaient très bien organisés, impossible de le mettre à jour et d’arrêter la tête pensante.  

 

- Ryo, je crois que c’est la première mission que nous n’allons pas réussir à résoudre, soupira Saeko.  

- Inspecteur de mon cœur, je ne crois pas ce que j’entends. Tu n’as plus confiance en ton Ryochou ?  

- Arrête de faire l’idiot, voila 6 mois que nous sommes la dessus. On n’a pas avancé d’un iota. On ne peut pas arrêter les hommes de mains sans griller notre enquête. On ne peut pas les infiltrer : ils connaissent pertinemment tous ceux qui travaillent pour eux. Je suis très pessimiste et je ne sais pas quoi faire. Si je ne peux pas avoir le chef, il faudra bien mettre sous scellé les importantes quantités de drogue que nous prélèveront. Mais si je fais ça, le trafic reprendra ailleurs et tout recommencera.  

 

- Tout n’est pas négatif, on a déjà pas mal de donnée sur eux. Alors on ne peut pas encore agir mais ça va venir.  

- Tu sais des choses que je ne sais pas ? reprit espoir Saeko  

- Trop tôt pour le dire. Mais Umi, Mike et moi-même ne laissons pas tomber. On les aura.  

 

* * *  

 

- alors ? la cargaison est prête ? mes clients attendent leur commande pour après-demain……. Je ne veux pas le savoir, c’est mineur comme panne. Que feriez-vous si c’était les flics qui débarquaient ? je croyais que vous aviez des nerfs en béton ? débrouillez vous !!! aboya une voix dans un combiné.  

 

- Que se passe t-il ? demanda une autre voix d’homme. Je vous sens très irrité.  

 

- Ces imbéciles ont un problème mécanique dans l’un des moteurs du paquebot, or celui-ci doit partir ce soir sans faute. Mes clients ne sont pas des gens patients, autant dire que si je veux rester leur fournisseur je dois y mettre du mien. Enfin bon tout va s’arranger, termina t-il en s’épongeant le front.  

 

- Parlons de notre accord, mes clients désirent une livraison de plusieurs tonnes de cocaïne.  

 

- Combien exactement ?  

 

- Disons 3 paquebots.  

 

- 3 paquebots ? mais pour quand ?  

 

- Oh ne vous inquiétez pas, il vous laisse 6 mois pour réunir la quantité désirée.  

 

- Et on envoie un bateau par mois ?  

 

- Non….tous d’un coup.  

 

- Comment ? mais c’est de la folie. C’est dangereux, les flics vont avoir la puce à l’oreille. Rester discret dans ces conditions, c’est presque impossible.  

 

- Mes clients ont un apport de 200 millions de dollars. Il s’engage à vous en avancer 50 millions pour les faux frais. Mais bien sur, à l’impossible nul n’est tenu.  

 

Le gros homme ressortit son mouchoir et le passa une nouvelle fois sur son front. Bien sur, tout ne serait pas aisé, se procurer toute les matières premières seraient difficile autant en quantité quand discrétion. Mais il pouvait se fournir à l’étranger, dans certains pays, l’état fermait les yeux sur quelques commerces contre des largesses sonnantes et trébuchantes. Mais tout livrer d’un coup serait difficile malgré tout. Enfin, si la marchandise était prise ce n’était plus de son ressort. L’important étant qu’on ne remonte pas jusqu’à lui.  

 

- eh bien, je pense que nous allons faire affaire. Il faut que nous éclaircissions certains points notamment la date exacte de la livraison, l’avance monétaire et bien sur la facture finale.  

 

- Bien, je n’en attendais pas moins de vous. Mais pour l’heure, je vais aller informer mes clients de notre collaboration. A bientôt.  

 

- Avec plaisir.  

 

Les deux hommes se quittèrent par une poignée de main.  

 

 

* * *  

 

Ryo avait eu l’idée de faire surveiller certaines substances chimiques utiles à la transformation de certaines poudres en cocaïne ou en héroïne. Il avait aussi la mainmise sur les ports pour observer les entrées de ces substances sur le territoire japonais. Sans action directe de la police, les trafiquants se sentaient à l’abri. Ryo était sur que d’ici peu ce commerce allait connaître une explosion s’ils n’arrivaient pas à y mettre un terme.  

 

Cette surveillance fut payante, on lui rapporta le départ de deux paquebots pour la Birmanie. Ces bateaux faisaient partis de la flotte d’où on avait déjà pu observer des débarquements de drogues. Il se préparait quelque chose de très gros. Jamais ils n’avaient pris autant de risque. Ryo en informa ses coéquipiers.  

 

Ils s’étaient déjà renseignés sur le patron de cette entreprise et rien n’était apparu. Il semblait hors de cause.  

 

Ryo décida de s’immiscer dans le personnel des bureaux, comprendre comment et qui prenait des décisions allaient peut être les aider dans leur enquête.  

 

Il se présenta vêtus d’une chemise blanche et d’un pantalon en toile bleu clair à la porte de « plava boja tirkiz », sa nouvelle boite d’infiltration. Certes le nom ne sonnait pas très japonais, mais tous les employés ainsi que tous les codes du travail étaient bien du pays, eux. Aussi dut-il faire très attention à sa présentation et à ses « manies » car il fallait qu’il reste assez longtemps pour avoir le temps de faire le tour de la question.  

 

Cela commença fort mal, quand Ryo, arrivé devant la secrétaire, faillit se mettre à saigner du nez. Une déesse se montrait devant lui. Une longue chevelure brune, épaisse, brillante encadrait son visage fin légèrement allongé. De grands yeux, parfaitement maquillés lui firent face. Elle était longiligne, avec des formes qui n’étaient pas en adéquation avec sa taille. Ryo, en fin connaisseur, opta pour la chirurgie plastique. Il aurait bien tâté ses bosses excentriques pour confirmer sa thèse mais s’obligea à ne rien faire.  

 

- monsieur ?  

- euh, oui. J’ai rendez vous avec l’honorable Mr Amane pour le poste qui se libère.  

- Votre nom ?  

- Mr Basaé et vous ? ne put-il se retenir  

 

En bonne japonaise, elle ignora sa question et appela Mr Amane pour l’informer de la présence de son rendez-vous.  

Elle le pria d’attendre dans la salle prévue à cet effet.  

Il s’y dirigea. Il y avait bien une chose qu’il reconnaissait aux japonais c’était leur manque d’imagination. Rien, de la réception à cette salle n’était fait pour égayer l’endroit. Ryo ne se serait jamais vu travailler dans une ambiance pareille. Encore que du point de vu des employées, ils avaient l’air de s’y connaitre.  

 

Mr Amane venu accueillir le nouvel employé, le trouva sourire béat aux lèvres et il lui sembla un filet de bave. Ce premier effet fut vite balayé par un Ryo tout en retenue, en politesse et en humilité.  

 

Ryo, ayant passé le test avec succès, fut présenté à ses nouveaux collaborateurs. Mr Amane l’ayant prévenu qu’il était pris pour une période d’essai de quinze jours, lui souhaita une bonne réussite. Ryo remercia et se dit que dans 15 jours il serait ravi de partir et de ne jamais revenir dans ce décor blanc ou les gens semblaient avoir perdu leurs spécificités, leur originalité.  

 

Il se permit de demander une visite des différents services de l’entreprise. En employé modèle, son collègue s’empressa de répondre à la demande. Cela lui permit de repérer les lieux discrètement ainsi que ces futures proies qui serviraient ses desseins. Il remarqua avec plaisir que dans chaque service il y avait au moins une femme à son goût. Il nota mentalement les prénoms de chacune pour mieux les appâter quand leur heure viendrait.  

 

Puisque son collègue était si affable, il en profita pour tirer quelques infos sur les dirigeants. Il apprit ce qu’il savait déjà sur le patron et le conseil d’administration. Néanmoins son attention fut attirée par un détail qu’il ignorait, le commerce des croisières étant fluctuant, une partie des bateaux étaient loués à des particuliers afin d’amortir les coûts de la flotte.  

 

Ainsi, un particulier pouvait très bien louer un bateau destiné au trafic de drogue. Qu’en saurait le propriétaire ? Ryo sentit qu’il tenait quelque chose. Encore fallait-il trouver le nom du loueur qui devait utiliser un prête-nom.  

 

Ayaré montra le bureau de Ryo et lui expliqua en quoi consistait sa tâche. Il devait simplement reporter des données recueillies par ces collègues afin de condenser les informations. Pour simplifier, il devait remplir des tableaux avec le nombre adéquat en dessous de l’intitulé. Au bout d’une heure, Ryo cru qu’il allait s’endormir mais enfin tous ces gens n’avaient ils que ça comme but dans la vie ? Se rendre à leur travail pour y remplir des tâches dont nul ne savait la finalité. Il lui fallu toute sa persévérance pour ne pas fuir à toute jambe.  

 

Quand l’heure de midi sonna, il en profita pour se retrouver juste derrière Birei du service de location. Il joua l’homme timide et maladroit. Il vit en un éclair qu’il l’avait attendri. Aussi poussa t’il son avantage jusqu’au bout en lui demandant de manger avec elle car il ne connaissait personne et que se restaurer seul n’était pas très drôle.  

Il la vit prendre une grande inspiration et accepta.  

 

- je ne me suis pas présenté, je m’appelle Ryo  

- Birei.  

- Je suis heureux de vous connaitre. Vous travaillez ici depuis longtemps ?  

- Cela fait 4 ans et demi. Mais nous ne devrions pas rester seuls à table, ce n’est pas correcte. Je vais demander à mon amie de venir avec nous, cela vous dérange t’il ?  

- Non pas du tout. Je suis désolé je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise.  

Elle courut le rose aux joues chercher son amie dans la file d’attente de la cantine et lui montra la table ou elle était installée. Puis le rejoignit.  

 

L’amie en question jeta plusieurs œillades à Ryo qui fit mine de ne rien voir car celle-ci n’était pas à son goût. Les dents très avancés, une peau rescapée d’une acné plus que virulente si on en jugeait par les cratères qu’elle y avait laissés composaient un tableau plutôt ragoutant de l’amie de Birei. Néanmoins dans un souci de ne pas déplaire à la première, il porta autant d’attention à l’une qu’à l’autre. Il termina en beauté sa prestation quand la secrétaire entra à son tour dans la salle et qu’un grand nombre de regard masculin se tournèrent vers elle. Sentant la tension montée à sa table, il s’obligea à ne pas tourner la tête ce qui fut très apprécié.  

 

- Birei, votre travail m’a l’air très intéressant. Je ne sais pas si à votre place je saurai gérer toutes ses locations. En effet comment savoir si vous n’allez pas avoir besoin de ces bateaux alors qu’ils sont loués ? et inversement ? vous devez avoir une grande confiance de vos supérieurs.  

- un jour je vous montrerez si vous voulez.  

- Se serait avec grand plaisir. Merci beaucoup Birei. J’ai beaucoup apprécié ce repas avec vous deux mais je dois désormais retourner à ma tâche. C’est mon premier jour, nous aurons bien l’occasion de nous revoir bientôt.  

- Peut être demain ? ajouta un peu trop rapidement Birei, trahissant son intérêt pour notre étalon.  

- J’en serai ravie.  

 

Intérieurement il savait déjà que le soir il serait à l’attendre pour visiter son bureau. Il retourna au sien et dut faire beaucoup d’effort pour être parfait jusqu’à la fermeture.  

 

Quelques minutes avant l’heure, Ryo se dirigea vers le service location.  

 

- Birei, vous avez attisé ma curiosité tout à l’heure, je serai très intéressé de voir votre travail de plus près.  

 

Comme il s’y attendait Birei, pensa qu’il était revenu surtout pour elle ce qui conforta notre dom-juan à lui demander pour la raccompagner chez elle.  

Acte très osé pour la population moyenne japonaise.  

 

Birei, lui montra tout en détail ou presque, il ne put néanmoins relevé les noms des clients mais nota intérieurement le code d’identification de l’ordinateur dans lequel tout était inscrit.  

 

Ceci terminé, ryo raccompagna birei qui lui proposa de venir goûter chez elle si celui-ci ne la jugeait pas trop entreprenante. Elle précisa néanmoins que ses parents seraient là et que sa mère faisait une excellente brioche étant d’origine européenne. Ce détail intrigua ryo qui accepta.  

 

Il passa une heure avec elle et ses parents après s’être bien rassasié. Dans la rue ryo retrouva un visage sérieux, fini le batifolage, il se redirigea vers le port chez « blava toja tirkiz « .  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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