Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Zoe

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 31 capitoli

Pubblicato: 05-07-04

Ultimo aggiornamento: 07-09-08

 

Commenti: 72 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Challenge de Kaiko. Imaginez que Makimura est survécu, comment aurait évolué la relation Ryo-Kaori? Et Makimura aurait-il accepté que son ami et sa soeur soient proches? Que se serait-il passé entre eux trois? Si vous voulez le savoir lisez la fic!

 

Disclaimer: Les personnages de "Le trio de choc." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

How many words are necessary in a chapter?

 

For normal fanfictions, the minimum is 600 words. For poetry, the minimum is 80 words and for song fics, the minimum is 200 words. These values can be change at any moment, if we think it's necessary. The av ...

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   Fanfiction :: Le trio de choc

 

Capitolo 7 :: Chapitre 7.

Pubblicato: 18-08-04 - Ultimo aggiornamento: 18-08-04

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31


 

L’appartement de Ryo.  

La journée était déjà bien avancée quand Kaori se réveilla. Elle étendit les bras et elle se rendit compte qu’elle se trouvait sur le sofa. Une couverture la protégeait du froid.  

Elle se releva et se trouva assise en face d’un petit encas qui paraissait avoir été spécialement concocté pour elle. Elle prit le verre d’eau et découvrit dessous le mot qu’on lui avait laissé. Son frère lui disait que lui et Ryo étaient partis et qu’ils ne reviendraient pas trop tard.  

Elle prit son verre et se leva du sofa, elle se dirigea vers la fenêtre. Elle repensa alors à la discussion qu’elle avait eu avec son frère le matin meme. Il voulait qu’elle parte. Elle avait refusé mais elle savait qu’il n’abandonnerait pas aussi facilement. Ils étaient aussi têtus l’un que l’autre, la seule différence c’est que lui arrivait souvent à la faire changer d’avis sans qu’elle s’en rende compte. Il la connaissait que trop bien et ce qui pouvait la décider à faire ce qu’elle refusait net au début. Mais cette fois c’était différent, trop de choses étaient en jeu, elle voulait être près de son frère meme si c’était dangereux. Et puis elle ne pouvait pas partir loin de "lui". « Lui » était devenu nécessaire à son bien être meme si elle ne savait pas vraiment pourquoi car quand elle repensait à sa tête d’obsédé, elle se demandait comment elle pouvait se dire ça. Elle soupira.  

Enfin, elle devait plutôt se concentrer sur comment convaincre son frère qu’elle resterait auprès de lui.  

 

« Oh et puis on verra ce qu’il fera mais moi aussi j’ai pas dit mon dernier mot ! » dit-elle à haute voix pour se persuader elle meme que cette fois elle ne changerait pas d’avis.  

 

Elle reposa son verre et vit qu’elle était encore en peignoir. Elle se dirigea aussitôt vers sa chambre non sans avoir pris au passage le gâteau qui se trouvait dans l’assiette.  

 

Quand ils rentrèrent, ils virent Kaori sur le balcon. Ryo partit aussitôt dans la cuisine se préparer un encas.  

 

« - Kaori, peut-tu venir un instant s’il te plait ?  

- Oui.  

- Voilà, Ryo et moi avons trouvé un appartement, on peut y emménager des demain.  

- Un appartement ?  

- Heu, oui, je crois que le mieux c’est de changer d’appartement et de nous rapprocher d’ici au cas où, si un jour Ryo ou moi avons besoin de quoi que ce soit comme aide, tu comprends.  

- Ah bon, dit-elle l’air dépité.  

- Tu as l’air surprise, tu croyais qu’on allait retourner dans l’ancien appartement ?  

- Non, mais…je croyais qu’on resterait plus longtemps ici.  

- Je crois qu’on a assez dérangé Ryo. Et puis, je crois que nos affaires sont réglées pour un petit moment. »  

 

Ryo sortit de la cuisine à cet instant la bouche remplit de nourriture. Il déposa l’assiette sur la table et s’assit dans le sofa.  

 

« - Tu es ok pour partir Kaori, n’est-ce pas ?, fit Makimura de plus en plus surpris par la réaction de sa sœur.  

- Oui, murmura-t-elle pas convaincue du tout par ce qu’elle disait.  

- Tant mieux, fit Ryo, un peu de tranquillité, je vais pouvoir ramener de nouveau des filles.  

- Et pourquoi tu l’as pas fait, c’est pas nous qui t’en empêchions, fit Kaori énervé.  

- Disons que je voulais pas qu’elle voit qu’une furie était chez moi, en plus tu les aurais fait fuir par ton comportement.  

- Quoi ? fit Kaori dont la colère montait de plus en plus.  

- Et puis j’ai une réputation à tenir que des jolies filles chez moi, tu aurais fait démentir ma réputation, fit Ryo nonchalant ne se doutant pas de la réaction de la jeune femme. »  

 

Makimura s’écarta, sentant la tension augmentait de plus en plus. Kaori était rouge de colere, soudain une massue apparue dans sa main et s’écrasa sur la tête de Ryo.  

 

« - On déménage quand tu veux ! » fit Kaori tournant le dos à Ryo.  

 

L’altercation finie, chacun vaqua à ses occupations. Ryo lisant ses revues coquines, on ne le changera jamais, Makimura et Kaori préparant leurs affaires.  

La sonnerie de la porte retentit. Ryo alla ouvrir.  

BONG !  

 

« - Qu’est-ce que c’est ? demanda Kaori.  

- Ca doit être Saeko qui vient d’arriver. »  

 

Ils descendirent tous les deux et trouvèrent Ryo une bosse sur la tête se tenant à bonne distance de Saeko.  

Hideyuki se dirigea aussitôt vers elle et la salua. Kaori fut présentée à Saeko et aussitôt Hideyuki, Makimura et Ryo commencèrent à discuter.  

 

Kaori resta en retrait, elle les écoutait.  

Ils paraissaient parler de ce qui c’était passer hier et du bazar qu’avaient mis son frère et Ryo dans l’Union Teope. Elle les observa et remarqua sans que le moindre doute existe qu’une complicité existait entre ces trois là. Ils parlaient, riaient et paraissaient se comprendre à demi mot. Ils devaient se connaître depuis longtemps, mais elle comprenait pas pourquoi son frère ne lui avait jamais parlé de cette femme. Soudain, quelqu’un s’adressa à elle et la ramena dans la réalité.  

 

« - Kaori ?  

- Heu…oui.  

- Ca va ?  

- Oui, oui, ce n’est rien.  

- On proposait à Saeko de rester pour dîner, lui dit Makimura.  

- Hein…oui si vous voulez. »  

 

Makimura se leva et se dirigea vers la cuisine en leur disant qu’il allait leur préparer sa spécialité. Saeko, Ryo et Kaori restèrent donc tous les trois. Ryo recommença son cirque.  

Il sauta sur Saeko mais avant que Kaori n’eut le temps de réagir, Ryo se retrouvait le nez dans le mur.  

 

« - Ryo, arrête un peu, soit un peu sérieux ! fit Saeko en se levant.  

- T’es pas gentille avec moi, fit-il d’une voix d’enfant.  

- C’est toi qui le cherche à chaque fois.  

- Qu’est-ce que tu veux comment résister à une femme comme toi ! fit-il pendant que Saeko lui prenait le bras et qu’ils se dirigeaient vers le balcon.  

- Kaori, vous voulez venir avec nous, on va prendre un peu l’air ?  

- Heu…non-merci fit-elle dans un sourire forcé. »  

 

Kaori resta stupéfaite. Elle ne pouvait croire ce qu’elle venait de voir mais surtout elle ne pouvait croire ce qu’elle ressentait au plus profond d’elle meme. Elle était triste, triste de n’être pas cette femme.  

Quand Saeko avait pris le bras de Ryo, le regard qu’ils avaient échangé tous les deux étaient si remplis de tendresse et de complicité, qu’on aurait dit deux amoureux. Ils paraissaient si bien ensemble. Kaori n’avait pas bougé. Elle les observait toujours. Tous les gestes de Ryo paraissaient si tendre envers Saeko. Elle voyait un Ryo différent de ce qu’elle avait vu depuis leur rencontre. Il était tendre, attentif, compréhensif, tout ce qu’il ne lui avait jamais monté à son égard enfin si quand elle s’était disputée avec son frère mais là c’était différent ça paraissait plus fort avec Saeko. Et puis, elle regardait cette femme, elle ne pouvait pu la quitter des yeux. Et plus elle la regardait et plus elle avait mal. Cette femme était tout ce qu’elle n’était pas : elle était sexy, sure d’elle, et surtout elle faisait partit du meme milieu que Ryo et son frère. Elle pouvait comprendre ce par quoi ils passaient. Ils parlaient encore, Ryo paraissait bavard ce soir, enfin avec Saeko.  

Kaori détourna le regard et sut qu’elle s’était fait des idées. Ryo ne s’était jamais intéressé à elle. Comment le pourrait-il alors qu’une femme si splendide ne paraissait pas insensible à son charme !  

Elle se leva et meme si elle se sentait jalouse, qu’elle considérait cette femme comme une rivale, elle ne lui en voulait pas. Apres tout Saeko connaissait depuis plus longtemps Ryo. Et c’était lui qui avait choisi.  

Elle alla s’asseoir à la table du salon pendant que son frère appelait ses deux amis à table. Le repas se passa dans la convivialité la plus totale. Les trois amis de longue date se narraient des anecdotes vécus en commun, riaient, se taquinaient gentiment. Kaori parlait peu, elle les écoutait et elle les regardait.  

Elle n’avait qu’une envie que ce repas se termine au plus vite. Elle supportait de moins en moins de voir le regard que portait Ryo sur Saeko.  

 

Le repas toucha à sa fin. Makimura suivi de Saeko se levèrent pour débarrasser la table.  

Kaori les rejoint peu de temps après et cette fois elle se retenu pour ne pas faire un scandale, elle sortit de la cuisine au bord des nerfs ce que perçu aussitôt Ryo qui venait de lui faire une remarque. La massue s’écrasa juste à coté de lui.  

Kaori monta dans sa chambre. Elle détestait cette femme. Comment pouvait-elle lui séduire deux hommes à la fois, surtout ces deux hommes, deux amis. Et puis c’était « ses » deux hommes. Kaori fulminait. Kaori marmonnait. Cette femme n’avait rien à faire des sentiments de Ryo ou Makimura. Elle s’amusait avec eux. Kaori revoyait ce regard échangeait entre Saeko et Makimura et surtout il lui avait pris la main. D’ailleurs quand ils avaient remarqué sa présence, ils s’étaient tout de suite séparés, gênés. Qu’est ce que tout ça signifiait ? Ryo ne lui suffisait pas ? Elle avait pas intérêt à faire du mal à Makimura !  

Cette fois, Kaori ne se laisserai pas faire.  

 

Saeko se dirigea vers la porte et prit son manteau. Ils venaient de prendre un café.  

 

« - Kaori, j’ai été contente de vous rencontrer.  

- Moi de meme, répondit Kaori, mais je crois que tu vas vite changer d’avis, se dit-elle.  

- J’espère qu’on deviendra amie.  

- Je ne sais pas, fit Kaori sèchement.  

- Heu…oui bien sur, on se connaît pas encore bien, dit Saeko étonnée par la réponse de Kaori.  

- Bonsoir Ryo.  

- Bonsoir Saeko.  

- Merci pour le dîner, fit-elle en sortant.  

- De rien, lui dit Makimura.  

- Tu sais , fit-elle à Makimura pendant que Kaori tournait le dos, je crois que ta sœur ne m’apprécie pas.  

- Mais non, elle est juste surmenée par tous ce qui c’est passé ces derniers temps. Tu verras vous deviendrez de grandes amies.  

- J’ai des doutes. Enfin, je te laisse, merci encore Makimura.  

- Bonsoir Saeko, fit celui-ci en fermant la porte. »  

 

Kaori laissa aussitôt les deux hommes et monta dans sa chambre. Sa colère devenait de la tristesse et elle ne désirait pas qu’ils le voient, ils n’auraient pas compris sa peine faite de jalousie et de peur de voir deux amis se brouillaient.  

Mais elle reprit courage et sut qu’elle ne laisserait pas cette femme détruire une amitié pareille.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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