Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Zoe

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 31 capitoli

Pubblicato: 05-07-04

Ultimo aggiornamento: 07-09-08

 

Commenti: 72 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Challenge de Kaiko. Imaginez que Makimura est survécu, comment aurait évolué la relation Ryo-Kaori? Et Makimura aurait-il accepté que son ami et sa soeur soient proches? Que se serait-il passé entre eux trois? Si vous voulez le savoir lisez la fic!

 

Disclaimer: Les personnages de "Le trio de choc." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

Tricks & Tips

I'm almost 18. Can I get access to the NC-17 section?

 

No. Legally, you are not major, before you are 18 years old. I don't care if it's in a day or a week. Make your request when you are actually 18.

 

 

   Fanfiction :: Le trio de choc

 

Capitolo 11 :: Chapitre 11.

Pubblicato: 30-08-04 - Ultimo aggiornamento: 30-08-04

Commenti: Bonjour, je voulais dire merci à Lady Gabi et à Clo pour leurs encouragements, ça me touche énormément. Je vous fais un gros bisous les filles. Mais merci aussi à celles et ceux qui lisent ma fic! Ma fic sera un peu plus basé sur Kaori pour le moment mais ce n'est que temporaire! Bonne Lecture!

 


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Osaka, dans un petit studio.  

Un mois s’était déjà écoulé depuis son départ. Elle avait choisi de venir dans cette ville par hasard. Des son arrivée elle avait cherché un travail pour pouvoir se payer le loyer de son studio. Elle ne voulait pas que son frère lui paye tout. Il avait beaucoup insisté pour l’aider mais elle avait refusé, elle voulait être en quelque sorte libre de ses mouvements. Meme si elle savait qu’il ne lui demanderait jamais de compte, elle voulait pouvoir se dire « si j’ai ça c’est grâce à moi ». Elle avait mis que quelques jours avant de se trouver un travail. Elle avait répondu à une annonce et elle avait obtenue la place.  

Elle travaillait dans une crèche auprès des enfants de bas age ce qui la comblait. D’ailleurs tous les enfants l’adoraient, sa douceur lui permettait d’apprivoiser les enfants les plus craintifs. C’est pour ça que souvent c’était elle qui était chargée d’accueillir les nouveaux arrivants. De plus, elle faisait parti de l’équipe du matin ce qui lui permettait d’avoir ses après midi de libre.  

Son studio se trouvait en centre ville, non loin de son travail, elle l’avait décoré de couleur vive, du jaune éclatant. Elle avait choisi cette couleur pour se redonner de la gaieté quand son moral était au plus bas. En effet, les débuts dans cette ville avaient été difficiles. Elle avait choisi cette ville car elle était trés peuplée.. Etant seul autant avoir l’impression de ne pas l’être et surtout ça lui permettait de passer inaperçu. Pourtant, elle avait eu du mal à s’adapter à la ville, elle ne connaissait personne et souvent les premiers jours elle avait été à deux doigts de reprendre l’avion. Mais elle avait tenu bon et maintenant au bout d’un mois, ça allait beaucoup mieux, du moins en apparence.  

Elle s’était fait quelques amis, surtout une, sa voisine de palier, une dénommée Karen. Des le début, une amitié était née entre elle. Karen était le genre de femme à savoir ce qu’elle veut et à faire tout pour l’obtenir, en fait elle était tout le contraire de Kaori. Pourtant dés quelle avait vu cette jeune femme, Karen avait eu envie de la protéger, elle paraissait si fragile. Elle avait beaucoup aidé Kaori dans ses moments de cafard. Mais Kaori avait aussi rencontré Cedric, un ami de Karen. Souvent il sortait tous les trois, et tout le monde avait remarqué que Kaori ne déplaisait pas à Cédric. Il était très attentif aux moindres gestes de Kaori, la faisant souvent d’ailleurs rougir. Mais ces tentatives n’avait toujours rien donné. Karen lui avait parlé d’un homme auquel songeait souvent Kaori, quand elle en parlait son regard était lointain et la tristesse envahissait son regard. Kaori n’avait rien dit sur le lien qui l’unissait à Ryo mais Karen commençait par à comprendre ce qui avait du pousser son amie à partir de chez elle.  

Ce jour là Kaori était rentré directement chez elle après le boulot, elle n’avait pas traîné dans les rues devant les boutiques comme elle le faisait souvent.  

Elle prit son courrier, le déposa sur la table au milieu de la pièce, puis elle enleva sa veste et s’assit sur le fauteuil devant la fenêtre. Elle prit son téléphone et composa le numéro. A l’autre bout, la voix d’une femme se fit entendre.  

 

« - Oui, bonjour le Cats Eyes café.  

- Miki, c’est Kaori !  

- Kaori, comment vas-tu ? lui demanda Miki. Depuis son départ, Kaori avait souvent appelé Miki, par elle, elle savait tout ce qui se passait dans son ancienne ville. Elles en étaient meme devenues de très bonnes amies grâce à ces coups de fil.  

- Bien , merci, et toi quoi de nouveau ?  

- Moi, ça va. Je suis toute contente car Umi a accepté, enfin, de travailler avec moi !  

- C’est bien ! dit Kaori qui essayait d’imaginer Umi avec un tablier.  

- Et à part ça, Hideyuki et Ryo ont eu quelques boulots.  

- Des clientes ? demanda Kaori voyant déjà Ryo courir apres les gambettes de ces femmes.  

- Heu…oui mais aussi des hommes.  

- J’imagine la tête de Ryo ! rigola Kaori.  

- Oui, Hideyuki devait le traîner comme un petit enfant têtu.  

- Enfin, rien de nouveau quoi ?  

- Ah si ! On a fait connaissance de la sœur de Saeko, Reika. Elle est aussi détective privé, elle s’est installée près de l’immeuble de Ryo. Enfin, je la connais pas trop mais je me méfie d’elle.  

- Pourquoi ?  

- Je sais pas, je la sens pas quoi.  

- C’est peut être qu’une impression.  

- Enfin, pour finir, tu lui manque, tu sais, dit Miki en essayant de faire comprendre à son amie à quel point elle pouvait être nécessaire à cet homme.  

- A qui ? demanda Kaori non sans espérer une certaine réponse. Sa main la trahissait, elle jouait avec le fil depuis que Miki avait prononcé cette phrase.  

- Ryo, bien sur ! Arrête de croire qu’il ressent rien pour toi, dit Miki exaspéré par le comportement de son amie.  

- Il s’intéresse pas à moi, et tu te fais des idées, je ne lui manque aucunement.  

- Oui, c’est pour ça qu’il me demande souvent si j’ai des nouvelles de toi. Je me demande pourquoi il me le demande pas à Hideyuki, non ?  

- Car…c’est toi qu'il voit en premier, et peut être qu’il lui demande, aussitôt Kaori regretta ses dernières paroles, Miki ne laisserait pas passer.  

- Et s’il lui demande, c’est que tu lui manque drôlement ! dit Miki, fière d’avoir piéger Kaori à son propre jeu.  

- Mais je suis sure que non, je lui manque pas vu qu’il court après ses clientes ! Mais bon passons, je dois te laisser, je vais téléphoner à Hideyuki, dit Kaori pour abréger la conversation qui devenait gênante.  

- Oui, tu t’en dire bien …pour cette fois. Au revoir ma Kaori !  

- Au revoir, Miki ! »  

 

Kaori reposa son combiné, un sourire se dessinant sur ses lèvres, et si tout ce qu’avait dit Miki était vrai.  

Elle devint toute rouge, à quoi pouvait-elle bien songer ? CENSURE.  

Elle se reprit et composa à nouveau un numéro.  

 

« -Oui !  

- Hideyuki !C’est moi !  

- Kaori, ça va ?  

- Oui et toi ?  

- Bien, c’est bien que tu téléphone aujourd’hui, j’aie des choses à te dire.  

- Tu as ce que je t’ai demandé ? demanda Kaori impatiente de connaître la réponse.  

- Oui, j’ai l’adresse, dit son frère tristement.  

- Hideyuki, ça va ?  

- Oui, oui, ne t’en fais pas, c’est qu’on pas mal de boulot en ce moment ! dit Hideyuki d’une voix énergique pour ne pas inquiéter sa sœur.  

- Tu sais Hideyuki, si je fais ça, c’est pas pour m’éloigner de toi, pas du tout, je ne pourrais jamais te quitter. Mais j’ai besoin de savoir si j’ai encore de la famille. Mais tu seras toujours mon grand frère chéri !  

- T’as intérêt oui, dit d’un ton amusé Hideyuki. Je t’envoie tout ça des ce soir. Apres à toi de voir !  

- Merci, Hideyuki.  

- Et ton travail ça va ?  

- Très bien, tu sais que j’adore les enfants !  

- Oui, bon je dois rejoindre Ryo, je te téléphone demain, ok ?  

- Oui, au revoir Hideyuki.  

- Au revoir ! »  

 

Hideyuki raccrocha. Il posa son regard sur cette enveloppe qu’il devait envoyer à sa sœur. Il avait hésité à satisfaire la demande de sa sœur. Mais après tout c’était à elle de décider et non à lui, c’était son histoire qui était là et c’était à elle de savoir si elle voulait la découvrir.  

Depuis que Kaori était partie à Osaka, il se passait pas un jour sans qu’il se demande si elle allait bien, si elle n’avait pas besoin de quoi que ce soit, si elle était bien entourée. Il détestait être comme ça, un vrai frère poule. Mais des qu’il l’avait au téléphone, il cachait ses inquiétudes pour qu’elle ne soit pas triste de le savoir comme ça. Il savait qu’elle allait bien, et c’était tout ce qui comptait. Dans cette ville, elle pourrait se construire une vie stable et c’était tout ce qui importait.  

Il prit l’enveloppe et sorti de l’appartement.  

 

Le soleil était à son zénith et pour une fois Ryo était en avance au rendez-vous de son partenaire.  

Il était assis sur un banc, les jambes allongés devant lui. Il observait ce parc. Ce banc était celui où il s’était assis avec Kaori lors de leur sortie commune. Il avait meme joué avec un enfant à cet instant là. Elle avait du le prendre pour un véritable gamin à ce moment précis mais ce qui avait failli se passer après fit sourire le nettoyeur. Comment oublier cet instant ? Cet instant où il avait été si proche d’elle. Il avait sentit son parfum, son corps, il avait failli déraper mais il avait réussi à se reprendre. Il s’en était voulu longtemps après d’avoir fait ce geste et le regard d’incompréhension que lui avait lancé Kaori au moment où il l’avait repoussé était toujours gravé dans sa mémoire.  

Elle lui manquait de plus en plus. Il lui en voulait d’être partie sans meme lui dire au revoir. Mais il s’en voulait encore plus à lui de n’avoir pas deviné quand elle lui avait dit au revoir tandis qu’il la déposait chez elle. Il revoyait souvent la scène et il apercevait à chaque fois la tristesse qu’avait la voix de Kaori quand elle lui disait ces mots.  

 

« Mais de toute façon qu’est-ce que ça aurait changé qu’elle me le dise ou pas ! Je l’aurais pas retenu ! C’est mieux pour elle qu’elle se construise une vie loin d’ici, loin de moi, meme si pour moi c’est dur. Sois heureuse mon ange ! » songea t-il.  

 

Le soleil s’obscurcit au-dessus de lui, une silhouette lui faisait face.  

 

« - Bonjour Ryo ! dit une voix sensuelle.  

- Reika ! que fait-tu ici ? demanda -t-il en protégeant les yeux de sa main tandis qu’il levait le regard vers la jeune femme.  

- C’est toi qui m’améne dans ce parc ! dit-elle en s’asseyant tout prés de lui, ça te dirait de dîner avec moi ce soir ?  

- Avec toi ? qu’est-ce que tu as à me demander, demanda celui-ci de plus en plus embarrassé du contact de la main de Reika sur sa cuisse. Il recula pour se dégager de son emprise.  

- Je n’ai rien à te demander, je veux juste qu’on se connaisse un peu mieux. Tu ne veux pas me connaître, demanda-t-elle avec un air triste.  

- Heu…si bien sur, Ryo se trouvait maintenant au bout du banc, Reika blottit contre lui.  

- Tu viens alors ?  

- Oui, dit-il gêné du comportement de Reika, meme si elle lui plaisait, il se méfait de la famille de Saeko, il s’était souvent fait avoir par Saeko, la sœur devait être pareille.  

- Ce soir, chez moi ! A toute à l’heure mon chou, fit-elle en lui caressant la joue. »  

 

Peu à peu, l’expression de Ryo se changea en celui d’obsédé, car il commençait à comprendre ce que voulait Reika si elle ne lui demandait pas un service.  

Toujours le meme quoi !  

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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