Capitolo 10 :: Chapitre 10.

Pubblicato: 25-08-04 - Ultimo aggiornamento: 25-08-04

Commenti: Coucou, je veux des tas de reviews par conséquent tous à vos claviers!!!!!! Et Clo, le couple Ryo/Kaori c'est pour bientot mais patience! Bonne lecture à tous!

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La soirée débutait et Kaori avait passé sa journée à se balader dans les rues de la ville, elle avait fait un peu les boutiques et se dirigeaient maintenant vers chez elle. Elle passa alors devant le café où se trouvait son frère le matin, elle hésita puis entra. Elle sursauta quand elle vit Falcon se retourner vers elle.  

« -Bon…bonsoir !  

- Ah bonsoir Kaori ! Je vous présente Falcon.  

- Bonsoir, fit Kaori.  

- Bonsoir, fit celui-ci en se levant et en passant le seuil de la porte.  

- Désolé, il est pas très causant.  

- C’est un client ?  

- Non, c’est lui l’enjeu du pari.  

- Je comprends pas bien, c’est quoi ce pari ? fit celle-ci en déposant ses sacs par terre et en s’asseyant sur un tabouret.  

- En fait, je veux l’épouser mais il refuse. Et comme j’insistais, il m’a dit que si j’arrivai à tuer Ryo il accepterait !  

- Tuer Ryo ? ! dit Kaori inquiète.  

- Enfin maintenant, il suffit que je l’atteigne avec une balle à encre.  

- Comment ça se passe jusqu’à présent ?  

- Pas très bien, il me reste trois jours, et pu que six balles sur dix.  

- Mince, mais pourquoi il veut pas vous épouser ?  

- Je crois qu’il a peur de me faire vivre dans son monde, il voulait pas que je devienne mercenaire…  

- Vous etes une ancienne mercenaire ?  

- Oui, il m’a recueillie quand j’étais une enfant. Je suis devenue une mercenaire ce qu’il ne souhaitait pas pour moi. Un jour il m’a dit qu’il quittait le milieu j’ai tout de suite fait pareil mais il avait fait ça pour m’éloigner de ce monde et de lui. Je me suis mise à sa recherche et je l’ai retrouvée dans ce pays.  

- Quel dommage, pourquoi est-ce si compliqué !  

- Oui, en plus maintenant je dois vraiment réussir à toucher Mr Saeba où je devrai passer une nuit avec lui.  

- Il a osé ! ! ! ! ! !Le monstre ! fit Kaori hors d’elle.  

- …  

- J’ai une idée, je vais vous aider à coincer Ryo. »  

Le lendemain matin, Ryo se rendait comme ces derniers jours au Cats Eyes. Il entra et comme les autres jours il sauta sur Miki mais cette fois celle ci ne lui répondit pas avec une arme. Elle le laissa se blottir contre elle. Lui se doutait qu’elle faisait ça pour pouvoir me le coincer mais il ne voulait pas bouger d’où il était. Il sentait la douce chaleur de Miki et il était trop content pour s’écarter. A ce moment là, il sentit une tension meurtrière derrière lui, il se retourna et il eut le temps de plonger vers le sol entraînant Miki avec lui. Il se retourna et il vit Miki en face de lui. Son regard passa de la Miki du comptoir à la Miki devant la porte, soudain la Miki du comptoir enleva sa perruque et Ryo déglutit. C’était Kaori. Il se demanda aussitôt comment il avait fait pour ne pas percevoir que c’était Kaori et non Miki.  

Il se reprit et commença à contester.  

« - C’est pas du jeu, vous devez pas vous y mettre à deux !  

- Pourquoi, tant que c’est elle qui t’atteint !  

- Kaori, je crois qu’on a pas fini, dit Miki dans un sourire.  

- Oui, allons-y !  

- Hein ? fit Ryo en voyant Miki bloquer la porte et Kaori se tourner vers lui. »  

Ryo réussit à se relever du sol et courut dans tout le café. Le café devint bientôt un champ de bataille.  

Les chaises et les tables volaient ou étaient réduit en petits morceaux par les massues de Kaori.  

Kaori et Miki couraient après Ryo et le café fut bientôt revêtit de taches de couleur.  

La porte était libre. Ryo courut pour y accéder et au moment où il franchissait la porte et qu'il se retournait pour les narguer, il buta contre quelqu’un et il fut projeter de nouveau dans le café. Avant qu’il ne puisse se relever, Miki se trouva en face de lui et tira. La tache d’encre couvrait une partie de sa veste.  

« - J’ai réussi ! cria Miki  

- Bravo, dit Kaori. »  

Les deux jeunes femmes sautaient de joie, le nouvel arrivant se dirigea vers Ryo et lui dit :  

« -Bravo Ryo, c’est ça le numéro un du Japon ! dit Falcon en donnant un coup sur la tête de Ryo.  

- Elles m’ont eu par surprise et elles étaient deux, Falcon ! Et puis pourquoi t’es arrivé à ce moment là ? se défendit Ryo, se frottant la tête.  

- Miki m’a demandé de passer, elles avaient tout prévu. »  

Falcon se dirigea vers Miki.  

« -J’ai gagné Falcon, dit Miki dans un sourire.  

- Oui mais Kaori t’as aidé. Donc on se marrie pas mais j’accepte que tu restes avec moi ! Dit-il en rougissant et en se tenant droit, tout gêné.  

- Merci Falcon. »  

Ryo et Kaori décidèrent de les laisser seuls. Ryo avait enlevé sa veste tachée et son regard se portait souvent vers Kaori. Elle paraissait gêné, elle paraissait lui cacher quelque chose, elle paraissait vouloir lui parler mail il préféra ne rien dire et attendre qu’elle parle. Ils marchaient depuis un moment sans rien dire quand Kaori engagea la conversation.  

« - Ryo, je peux te parler ? dit dans un souffle Kaori par peur de perdre son courage.  

- Ouais, répondit celui-ci feignant l’indifférence mais il sentait que Kaori était angoissée. Elle jouait avec ses mains depuis leur départ du café.  

- Je…je voulais m’excuser pour mes propos de l’autre jour, murmura-t-elle.  

- M’en souviens pas, dit Ryo, une libellule passa derrière Kaori.  

- Quand je t’ai dit que je n’avais pas de conseil à recevoir de toi !  

- Ah oui ! fit celui comme s’il venait d’avoir un éclair de génie.  

- J’étais énervé, je m’excuse de t’avoir dit ça, dit-elle évitant toujours son regard.  

- C’est rien, bon on est arriver chez toi, fit Ryo touché par les propos de Kaori mais faisant tout pour ne pas le montrer.  

- Hein ? , elle se tourna et vit son immeuble, elle n’avait pas fait attention au chemin qu’il suivait, il l’avait raccompagné chez elle, elle sourit, oui je suis chez moi.  

- T’as rien d’autre à me dire, je peux y aller ?  

- Heu…je…enfin… hésita-t-elle.  

- Oui ?  

- Non, juste au revoir Ryo.  

- Ouais, dit-il en partant. »  

Il laissa la jeune femme devant l’immeuble, elle le suivait du regard pour graver tout ce qui le concernait dans sa mémoire, il tourna la rue, et sa silhouette ne fut pu visible à Kaori. Elle regarda la fenêtre de son appartement, vit de la lumière. Il était là. Maintenant, elle devait encore parler à son frère. Elle prit une bonne inspiration et entra chez elle.  

L’aéroport.  

Kaori et Makimura se dépêchent. L’avion décolle bientôt.  

« - Tu es sur Kaori ?  

- Oui, on en a parlé hier, je suis sur, c’est mieux pour toi et moi.  

- Je sais que c’est moi qui t’encourage mais ne te force pas pour me faire plaisir, moi tout ce que je veux c’est que tu sois heureuse.  

- Ecoute, j’ai l’impression de te gêner dans ton travail et puis j’ai besoin de m’éloigner après tout ce qui s’est passé.  

- Tu ne me gêne pas Kaori ! ! !Au contraire ! Mais je comprends que tu es besoin de prendre de la distance, dit-il pendant qu’on appelait les passagers du vol de Kaori.  

- Je dois partir, on m’appelle.  

- Oui, prend soin de toi., dit-il en la serrant dans ses bras.  

- Toi aussi grand frère. »  

Elle s’éloigna de lui, sa détermination diminuait à chaque pas qu’elle faisait pour avancer.  

Elle fit les derniers pas qui la menait à l’avion. Quand elle vit l’avion, elle prit une grande bouffée d’air, et elle se dit finalement qu’elle reviendrait dans cette ville si chère à sa mémoire.  

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