Capitolo 22 :: Chapitre 22.

Pubblicato: 21-11-04 - Ultimo aggiornamento: 21-11-04

Commenti: Merci pour vos reviews et ceux qui me lisent: Bonne lecture!

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La soirée s’était terminé tard. Tout le monde était rentré chez soi et Kaori passait sa dernière nuit chez son frère. Elle l’avait entendu se lever tôt le matin meme. Kaori supposa aussitôt que lui et Ryo avait du travail. Elle se leva précipitamment et fonça chez Miki.  

Hideyuki avait acheté des croissants chauds pour Ryo car à cette heure ci il devait être encore au lit et ça serait dur de le faire se lever. Il grimpa les escaliers qui le menaient à l’immeuble et ouvrit la porte avec son double des clés.  

« - Ryooo ! C’est moi !  

- Hum, bonjour Hideyuki !  

- Hein ? il se retourna et se trouva face à une Reika gênée de l’intrusion de Hideyuki.  

- T’as acheté des croissants tout chaud ? dit-elle en farfouillant dans le sachet.  

- Oui, Ryo va etre difficile à réveiller de si bonne heure.  

- Oui, bon tu lui diras que je suis partie et que je passerai peut être ce soir, murmura-t-elle en sortant.  

- Ok.  

- Quelle bonne odeur ! ! ! Salut Hideyuki.  

- Salut Mick.  

- Deja debout ? et habillé ?  

- Heu…oui, je dois passer chez Miki. Je dois l’aider à se débarrasser de Falcon.  

- Hein ?  

- Elle le sait pas encore mais je suis l’homme de sa vie ! Bon je te pique un croissant ! A plus !  

- Ok, un vrai défilé ici, et pu qu’un croissant, bon il ne le saura pas, il n’avait qu’à se lever plus tôt.  

- C’est quoi que tu mange ?  

- Heu…il se mit à tousser un bout du croissant était mal passé.  

- Des croissaaants et j’en ai meme pas eu ! ! ! bouda-t-il.  

- Je…je t’en avais pris mais ta copine et ton ami, les ont pris !  

- Ouais, j’accepte cette excuse ! Je vais me faire un café !  

- Bonne nuit ? demanda Hideyuki.  

- Ouais.  

- Comme je te l’ai dit j’ai vu Reika partir. Vous etes rentré ensemble ?  

- Dis dont c’est pas ton genre de poser ce genre de question. Saeko te dévergonde, lança Ryo avec un sourire d’obsédé en tapant sur l’épaule de Makimura.  

- Mais…pas du tout, je veux juste savoir comment ça se passe avec Reika, si t’es heureux ?  

- Hier soir je me suis endormi comme une souche, il s’est rien passé.  

- Bon, je te cuisinerai plus tard.  

- Et toi, comment t’as pris la rencontre avec la sœur de Kaori ?  

- Elle a l’air gentille. Tu sais, elles vont vivre ensemble.  

- Et tu n’as rien dit ?  

- Non, tu l’as vu hier soir, Kaori était resplendissante à ses cotés.  

- A vos cotés !  

- Oui.  

- Elle est heureuse, elle a une famille.  

- Je sais.  

- Bon, parlons de notre cliente !  

- Je crois qu’elle veut qu’on récupère un tableau.  

- Je te parle pas de ça ! Comment la vois-tu à sa voix ? Est-elle canon ? »  

Pendant ce temps, Kaori attendait Mick au café. Elle s’impatientait car il n’était toujours pas là.  

« - Bonjour tout le monde !  

- Mick, où étais-tu ? La tête de Kaori gonfla et envahit toute la pièce. Mick se rapetissa.  

- Je…et je suis venu à pied !  

- Bon, ils ont une cliente ?  

- Oui.  

- Et ?  

- Et…il voulait faire tenir le suspens mais Miki et Kaori commençait à s‘enerver et Umi aida Mick à parler en lui tapant sur la tête une fois.  

- Hé ?  

- Bon tu parles ou tu goûte à ma massue ! menaça Kaori.  

- Le matin vous etes pas de bonne humeur !Moi qui viens vous annoncer que Ryo et Hideyuki ont une cliente !  

- Et ? continua Miki essayant d’amadouer Mick.  

- Je parle pu jusqu’à…jusqu’à ce que Kaori me fasse un bisou !  

- Quoi ? ? ?tu vas embrasser ma massue ! cria-t-elle en soulevant sa massue.  

- Je dirai rien si tu me frappe ! ! !bouda Mick.  

- Stop Kaori ! Umi intercepta la massue qui frôla les cheveux de Mick, Bon Kaori te fait ton bisou mais tu ferme les yeux.  

- Ok ! OUI ! sauta de joie Mick.  

- Ca va pas Umi ? demanda Miki à sa femme mais le sourire machiavélique qu’il lui lança la fit se taire et elle sourit à son tour. Kaori ne comprenait pas mais elle voulait pas embrasser cet obsédé.  

- T’es prêt ? demanda Umi.  

- Oui ! lança Mick les lèvres en avant. »  

Umi prit plateau et l’approcha de Mick. Mick embrassa ce qui se trouvait sur le plateau. Les yeux toujours fermés, il dit.  

« - Que tes lèvres sont douces ma Kaori ! Encore un et je te dis tout ! dit-il en tendant ses lèvres mais les rires qui fusèrent à coté de lui, lui fit ouvrir les yeux. AHHH ! Vous trouvez ça drôle ! Beurk ! il s’essuyait la bouche. Il venait d’embrasser un truc tout visqueux.  

Qu’est-ce que sait ?  

- On sait pas !…HAHAHA ! C’est un masque pour le visage que je mets et je le laisse reposer sur ce mannequin, rigola Miki.  

- Très drôle !  

- Oui, très ! Les trois amis étaient pliés en deux.  

- Bon, vous arrêtez !  

- Si tu nous dis ce que tu sais ! Oui ! essaya de dire Kaori.  

- Ils ont rendez-vous au café du centre ville dans une heure !  

- Merci, on y va, elle essaya de se retenir mais la tête de Mick quand il avait embrassé le mannequin, c’était comique. »  

Mick qui supportait pu ces rires, s’en alla en traînant derrière lui Kaori qui essayait d’arrêter de rire.  

Hideyuki et Ryo étaient à l’heure au rendez-vous. La jeune femme leur avait donné comme indication qu’elle porterait une veste jaune. Ils la trouvèrent sans difficulté.  

« - Bonjour mademoiselle, nous sommes City Hunter ! déclara Hideyuki.  

- Bonjour, asseyez-vous !  

- Merci, cette couleur vous va à ravir ! dit Ryo.  

- Heu…c’est gentil.  

- Que pouvons nous faire pour vous ? enchaîna Ryo. Un bruit lui fit tourner la tête. Il avait cru entendre une voix familière.  

- Je voudrai récupérer un tableau appartenant à ma famille. Il nous a été enlevé lors d’un cambriolage. Il me rappelle beaucoup de souvenir et meme s’il a peu de valeur, il est très cher à mon cœur.  

- Quand vous l’a-t-on volé ? demanda Hideyuki.  

- 8 Mois.  

- Vous savez qui c’était ?  

- Non. Mais ma famille a toujours été une rivale de la Corporation et peut être ont-ils voulu se venger en volant tout ce qui nous appartenait ? Hideyuki à cette phrase eut un mouvement d’hésitation.  

- Peut être, vous avez une description du tableau ? demanda Ryo.  

- Oui, tenez ! elle sortit une photo de sa poche.  

- Merci, c’est un très beau tableau, fit Hideyuki.  

- Vous acceptez ma demande ?  

- Oui, on vous tiendra au courant ! répondit Ryo mais le regard que lui lança Hideyuki lui glaça le sang.  

- Et une dernière question !  

- Oui ?  

- Quel est le nom de votre famille ? demanda Hideyuki.  

- Les Murundie.  

- Ok. On vous tient au courant.  

- Merci ! La jeune femme s'éloigna.  

- Ryo, pourquoi as-tu accepté ?  

- Elle est craquante ! ! ! son visage sérieux se déforma et le pervers fut.  

- Juste pour ça, on va devoir se mêler d’une affaire concernant les deux grosses familles de la ville !  

- C’est vite régler, on récupère le tableau, je sors avec elle et c’est fini !  

- T’es irrécupérable ! dit exaspérer Hideyuki.  

- J’ai faim, je vais me commander un déjeuner. »  

Dans un buisson, un peu plus loin de la table de Ryo et Hideyuki  

« - Aie ! Kaori, c’était ma main !  

- Oui, mais elle faisait quoi sur mon dos ?  

- Heu…fit-il pris en faute, bon qu’est-ce qui se passe pour Ryo ?  

- Il drague déjà sa cliente ! Il va la faire fuir !  

- …  

- Mick ? elle se tourna vers lui, il avait la tête du pervers.  

- Trop belle ! bava Mick.  

- MAIS… cria Kaori, Ryo se retourna.  

- Chut, ils vont nous entendre !  

- Ouais, mais enferme ton pervers quelques instants.  

- Elle veut qu’il récupère un tableau.  

- Ca paraît simple, murmura Kaori.  

- Trop simple.  

- Quoi ? Ryo qui accepte sans plus d ‘information ! ! !  

- L’idiot mais je le comprends aussi…une petite massue lui écrasa les doigts…j’ai rien dit.  

- Les Murundies ! Les fous, c’est des trafiquants !  

- Oui !  

- Bon, on va avoir du travail !  

- Viens, on s’en va avant qu’ils perçoivent notre présence. »  

Kaori et Mick rampèrent parmi les buissons et purent enfin sortir à l’air pur sans risque d’être vu par Ryo ou Hideyuki.  

Mick décida d’aller claner des informations sur cette affaire, Kaori voulut l’accompagner. Ils partirent tous les deux à la recherche du tableau. Ils firent le tour de la ville. Tous les indicateurs de Mick y passèrent. Mais peu avait entendu parler de cette affaire. Ce qui revenait souvent était le transport de marchandise d’art qui, dans quelques jours, se produirait.  

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