Hojo Fan City

 

 

 

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Rated G - Prosa

 

Autore: Zoe

Status: Completa

Serie: City Hunter

 

Total: 31 capitoli

Pubblicato: 05-07-04

Ultimo aggiornamento: 07-09-08

 

Commenti: 72 reviews

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GeneralRomance

 

Riassunto: Challenge de Kaiko. Imaginez que Makimura est survécu, comment aurait évolué la relation Ryo-Kaori? Et Makimura aurait-il accepté que son ami et sa soeur soient proches? Que se serait-il passé entre eux trois? Si vous voulez le savoir lisez la fic!

 

Disclaimer: Les personnages de "Le trio de choc." sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Le trio de choc

 

Capitolo 8 :: Chapitre 8.

Pubblicato: 19-08-04 - Ultimo aggiornamento: 19-08-04

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31


 

Une rafale de tir…un autre et unique tir…un homme s’écroule, c’est fini.  

 

Kaori est assise sur son lit, un stylo à la main. Sa main tremble tandis qu’elle écrit.  

 

« Mes mains tremblent. Mais j’ai besoin d’écrire, de coucher sur le papier ce que j’ai sur le cœur. J’ai tellement envie de hurler, de dire stop, on retourne en arrière, à ma vie d’avant. Pourquoi tout a-t-il changé aussi vite ? Je ne veux pu voir ce que j’ai vu aujourd’hui, je ne veux pu voir ce regard chez un homme, pu avoir peur.  

Je souris en pensant qu j’ai jamais voulu tenir un journal, peut être mon coté garçon manqué et voilà que là écrire mes émotions m’est vitale pour pouvoir passer à travers cette journée. Si j’écris c’est que je n’ai pas pu en parler avec quelqu’un, c’était pas le moment d’avoir des états d’âmes, tout a été si vite. Je me vois encore allongé par terre, ne comprenant pas ce qui se passait.  

Pourtant ma journée avait plutôt bien commencé.  

On était parti tous les trois ce matin à mon ancien appartement. On déménageait. En arrivant la bas, je me souviens de ma réaction en voyant que Saeko nous attendait. Cette femme était de nouveau là, je peux encore voir le sourire que mon frère affichait mais aussi celui de Ryo. »  

 

Flash-back.  

Kaori se trouve devant son ancien immeuble.  

 

« - Saeko ! Qu’est-ce que tu fais là ? lui avait demandé Makimura.  

- Hier, vous aviez parlé du déménagement, je me suis dit que je pourrais vous aider.  

- C’est une très bonne idée ! ! ! ! ! !bon, nous on va vider la chambre, dit Ryo en entraînant Saeko, à toute à l’heu…, fut sa dernière phrase avant qu’il ne reçoive le coude de Kaori en plein dans le nez.  

- Arrête tes idioties, fit Kaori en lui tournant le dos.  

- Non mais ça va pas, tu as failli me défigurer ! fit-il en se frottant le nez.  

- Al là là, ces deux là, ils n’arrêtent pas de se chamailler, dit Makimura en souriant.  

- Oui, c’est ce que je vois, lui répondit Saeko en observant le comportement de Ryo.  

- Bon, il est temps de se mettre au travail ! dit Makimura. »  

 

Ils montèrent à l’étage et commencèrent à emballer les affaires. Ryo rouspetait sans arrêt car Kaori surveillait le moindre de ses gestes. Au moindre mouvement envers Saeko, il recevait une massue. Il en était à la dixième alors que ça faisait à peine une heure qu’ils étaient là.  

Ryo marmonnait dans son coin :  

 

« A Saeko, mon amour, je me battrai pour que nous vivions notre passion au grand jour, cette folle ne nous en empecheras pas ! » dit-il convaincu et serrant les poings de conviction.  

 

Mais son enthousiasme fut de courte durée, car il avait parlé trop fort, et la punition ultime s’abattit sur lui :  

 

« C’est qui la folle, espèce d’obsédé ! » cria Kaori pendant que sa massue Idiot puissance 1000 s’écrasait sur Ryo.  

 

« - Dis dont si vous continuez comme ça, on aurait bientôt plus rien à déménager ! dit Makimura.  

- C’est pas ma faute ! dit Kaori énervé.  

- Heu…enfin un peu de paix serait bien, c’est tout ce que je dis, tu sais, murmura Makimura ayant peur de se prendre lui aussi une massue.  

- Makimura, ta sœur n’est pas humaine, c’est pas possible, m’empêcher de vivre mon amour ! pleurnicha Ryo.  

- Ryo, je crois que c’est pas le moment, je sais pas pourquoi mais Kaori est de très mauvaise humeur aujourd’hui.  

- A qui le dis-tu ! C’est moi qui subis depuis toute à l’heure. »  

Saeko voyant que Kaori n’était pas en très bonne forme, essaya de lui changer les idées.  

 

« - Ca va ? demanda Saeko en aidant Kaori à soulever un carton.  

- Oui, très bien ! répondit cette dernière de manière brute.  

- Tant mieux, vous savez si ça va pas, vous pouvez me parler ! On pourrait aussi se tutoyer, qu’est-ce que tu en dis ?  

- Si tu veux mais en ce qui concerne de me confier, j’ai déjà une amie pour ça, rétorqua Kaori, je n’ai pas besoin de toi. Kaori posa le carton dans la voiture, laissant une Saeko étonnée par cette réaction aussi antipathique mais aussi laissant Ryo et Makimura qui les suivaient sans voix devant une Kaori si froide envers Saeko.  

- Je crois que j’avais raison ta sœur ne m’aime pas du tout. Je me demande ce que je lui ai fait !  

- Je comprends pas, écoute je vais aller lui parler, je suis sure que c’est un malentendu, dit Makimura qui ne comprenait pas la réaction de Kaori. »  

 

Kaori se trouvait dans l’appartement et observait la scène qui se déroulait sous ses yeux. Elle rageait de voir que son frère avait pris la main de Saeko et qu’il paraissait si triste. En fait, elle commençait à s’en vouloir d’avoir réagi comme ça, après tout Saeko ne paraissait pas si méchante mais ça n’empêchait qu’elle n’avait pas aimé son comportement d’hier soir.  

 

« - Kaori ?  

- …elle sursauta et se retourna vers Ryo.  

- Ca va ?  

- Mais oui, pourquoi vous me posez tous la meme question, c’est énervant à la fin, dit-elle en s’activant à nettoyer des objets qu’elle mettait ensuite dans un carton.  

- On s’inquiète c’est tout, tu es étrange aujourd’hui. C’est pas dans tes habitudes de traiter les gens comme ça.  

- De qui tu parle ?  

- Tu le sais, je parle de Saeko, elle voulait simplement être gentille avec toi, pourquoi tu as réagis de cette façon ?  

- Je réagis comme je veux, j’ai pas de leçon de moral de recevoir de quiconque, surtout pas de toi !  

- Excuse-moi, je voulais pas te blesser par mes propos, tu as sans doute raison, je suis pas la personne qualifiée pour te conseiller, j’ai pas vraiment de leçon à te donner vu ma vie, dit-il en fermant la porte.  

- Ryo ! , murmura-t-elle, ce n’est pas ce qu j’ai voulu te dire. Je ne suis qu’une idiote ! J’ai tout gagné, maintenant il me déteste ! Bravo Kaori ! Je vais aller parler à Saeko et m’excuser. C’est le mieux que j’ai à faire. »  

 

Kaori descendit les marches et se retrouva au milieu du petit groupe.  

 

« Et c’est là que tout a commencé ! Je me dirigeais vers Saeko quand j’ai vu Makimura et Ryo courir vers moi. Je vivais tout au ralenti, ces quelques secondes m’ont paru être des heures ! Je n’ai pas tout de suite sue comment mais je me suis retrouvé parterre, quelqu’un me protégeait. C’était Saeko, c’était elle la première qui avait réussi à me rejoindre, elle s’était jetée sur moi et m’avait plaqué au sol. Je me demandais ce qui se passait, mais j’ai vite compris quand j’ai entendu les vitres des voitures qui explosaient, les cris des passants et cette odeur de sang. On nous tirait dessus. J’ai pu tourner la tête et voir que Makimura et Ryo étaient toujours en vie.  

Soudain les tirs s’arrêtèrent, Ryo prit son arme, se releva doucement et à travers la vitre il vit qui nous tirait dessus. Au moment, où il pointait son arme, les tirs recommençaient et il du de nouveau se protéger. Il n’avait pas pu tirer. Maintenant, Saeko et Makimura étaient accroupis, ils m’interdisaient de me relever. Ils avaient tous les deux leur arme à la main. Ryo cria que c’était le Maréchal. Ils commencèrent à tirer sur l’homme mais rien ! Cet homme malgré ses blessures continuaient à avancer vers nous. J’étais pris de panique, je croyais que je faisais un cauchemar, comment tout ça pouvait être si réel ! Je ne voulais pu voir et entendre ce qui se passait autour de moi, je ne pouvais pu ! Je me cachais la tête dans mes bras et essaya de me persuader que tout ceci n’était qu’un cauchemar.  

J’y cru un instant quand les tirs s’arrêtèrent mais quand je levais la tente et que je le vis, lui, je sus que c’était bien la réalité. Son regard était éteint, il était fou, c’est ça, il n’était pu humain. Du sang coulait sur ces vêtements mais la douleur lui semblait étrangère. Il riait !  

Saeko m’entraîna plus loin, elle me tenait par le bras, Makimura hurlait de courir. Je me retournais et vit Ryo en face de cet homme. L’homme avait sortit de sa jambe un canon, il avait fait greffer dans sa jambe un bazooka ! Ryo courut aussi vite que possible et lorsqu’il nous eut rejoint, il visa et tira. La balle vint se loger dans le bazooka. C’en était fini pour cet homme. Tout était fini. J’avais du mal à y croire. Je ne bougeais pas, revoyant sans cesse les cet homme devant moi. Ryo et Hideyuki s’approchèrent de cet homme et le regardèrent. Ryo prononça les mots "poussière d’ange" . C’est là que j’ai compris pourquoi cet homme avait eu ce regard.  

Je m’avançais vers eux quand je vis que mes vêtements étaient tachés de sang, pourtant je n’étais pas blessé. Mon regard se porta alors vers Saeko, elle était blessée. Elle se tenait le bras, elle avait été blessée en me protégeant ! Je sentis mes jambes défaillir ; Et je me retrouvais assise parterre. Makimura courut vers moi. Il me parlait mais je n’écoutais pas, je regardais Saeko. Apres tout ce que je lui avais fait dans la journée, elle avait risqué sa vie pour me sauver !  

Ryo l’aida à monter dans sa voiture et la conduisit à l’hôpital.  

Saeko a étouffé l’affaire dés sa sortie de l'hôpital pour éviter que Ryo ou Makimura n’aient des ennuis surtout qu’aucun blessé n’était à déplorer sauf Saeko.  

La soirée qui a suivi fut des plus silencieuse. Je me trouve dans ma nouvelle chambre et ce soir je n’ai presque échangé aucun mot avec Makimura. Tout à l’heure en entrant dans ma chambre, j’ai trouvé des prospectus de différentes écoles. Il veut toujours que je parte ! Peut-être a-t-il raison après tout. Aujourd’hui j’ai été inutile ! A cause de moi, leur amie a été blessée. Tous les trois avaient déjà perçu le danger tandis que moi il m’a fallu plusieurs minutes pour comprendre ce qui se passait. Je ne suis pas de leur milieu, et ils courent un danger en me protégeant.  

Je sens mon cœur se serrer rien qu’à l’idée de partir, est-ce que c’est vraiment ce que je veux, mais est-ce que j’ai le choix ? Je suis perdue !  

Pleins d’émotions veinent m’assaillir ! L’envie de rester mais aussi la peur de rester, la peur de revivre ça un jour, la peur qu’ils soient blessés par ma faute.  

Je dois faire un choix et le plus vite sera le mieux !  

Enfin, j’en ai fini de décrire cette journée. Ca m’a fait du bien de pouvoir en quelque sorte « en parler ».  

Je peux comprendre un peu plus les sentiments qui se mélangent en moi. Des sentiments si contradictoire.  

C’est fini pour ce soir, il est tard. »  

 

Kaori ferma son cahier, et sentit le sommeil l’envahir, elle avait eu trop d’émotion en cette journée.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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