Capitolo 15 :: Quinzième partie

Pubblicato: 22-02-06 - Ultimo aggiornamento: 22-02-06

Commenti: Merci pour vos reviews :) voici un tout nouveau chapitre. Bonne lecture et n'oubliez pas de laisser un petit mot !

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Quinzième partie  

Kaori était dans la salle de bain en train de faire prendre leur bain à Kenni et Kimi. Elle les laissa un instant le temps d’aller arrêter le four.  

La jeune femme constata vaguement que Daïsuké n’était plus devant la télévision mais ne s’en inquiéta pas outre mesure, elle retourna donc s’occuper des jumeaux. En entrant dans la salle de bain, elle se rendit compte qu’ils en avaient profité pour mettre de l’eau par terre.  

- Oh non ! Kimi, Kenni ! vous avez mis de l’eau partout !  

- C’est pas moi !!!! déclara Kimi.  

- C’est pas moi !!!!!! déclara son jumeau.  

- Je me disais aussi que c’était l’opération de l’esprit de l’eau !  

- Viiiiiiiiiii !!!! s’exclamèrent tous les deux.  

- Bon bougez pas de là, et plus d’eau par terre. Si non pas de dessert.  

- On sera sage !!!!!!!!!!!  

- Comme des images compléta la petite fille.  

Kaori s’absenta encore de la salle de bain, et se rendit jusqu’au cagibi pour récupérer une serpillière propre pour ramasser les dégâts. En passant devant le salon elle constata que le petit garçon n‘était toujours pas revenu. Elle l’appela, et il lui dit qu’il était en haut en train de jouer.  

La jeune maman repartit donc tranquillement auprès des jumeaux, qui pour une fois, comme promis n’avaient pas empiré leur cas.  

Kaori regarda son heure, elle trouvait que Ryo mettait un temps monstre pour revenir avec quelques courses.  

« Il a dut aller boire un coup, songea-t-elle » Après tout elle était arrivée dans sa vie comme un boulet de canon. Elle ne pouvait pas lui en vouloir de prendre de la liberté pour respirer un peu.  

Elle sortit les deux garnements de l’eau, les sécha et leur mit tout de suite leur pyjama, ce jour-là ils étaient allés au zoo. Et ils en avaient profité pour jouer dans les flaques d’eaux apparues suite à l’orage de la veille.  

Kaori sourit en repensant à la tête de Ryo quand ce dernier qui s’était vu confié la garde des petits pendant que les femmes allaient se rafraîchir. Et qu’il était tout penaud quand il lui avait montré les jumeaux boueux de la tête aux pieds. Il s’attendait à se faire disputer, au lieu de ça, Kaori avait éclaté de rire. Car le nettoyeur dans l’entreprise d’arrêter les deux minus turbulents, était tombé à genoux dans une flaque d’eaux boueuses. Résultat, il avait eu, lui aussi sa dose de boue jusqu’en haut du pantalon. Si bien qu’on aurait pu croire qu’il avait eut un accident.  

Miki avait éclaté de rire à sa vue, et ce dernier s’était renfrogner en disant que ces gamins étaient de vraies terreurs. Ce à quoi Miki avait dit :  

- Je veux pas vous vexer, mais les chiens ne font pas de chats. Et avec vos deux caractères ils ne pouvaient être que terribles.  

Les parents s’étaient mis un peu à bouder en bougonnant que ça venait des gênes de l’autre. Ce qui fit éclatait de rire une fois de plus la mercenaire.  

Kaori les sécha et s’assura que les chaussons tiendraient bien aux pieds. Ensuite mit dans le parc, pour se permettre de monter récupérer leurs doudous car ils commençaient à fatiguer.  

Une fois dans la chambre des petits, elle constata l’absence de Daïsuké, elle fronça les sourcils ! ou était-il ?  

Tout à l’heure, il lui avait dit qu’il était en haut. Elle le chercha sous son lit, dans l’armoire, puis dans sa chambre à elle. Puis elle vit la porte de la chambre de Ryo ouverte.  

Et là, elle vit un cauchemar se réaliser sous ses yeux. Le petit garçon était assis par terre et jouait, mais le problème c’est qu’il jouait avec une arme à feu. La jeune femme était pâle presque transparente quand elle avança dans la chambre. Son pied cogna contre une chaise, elle ne put retenir un cri et un bruit sourd, le bruit d’une arme qui tire se fit entendre.  

- Nooooooooooooon !!!!!!!!!!  

Kaori s’avança chancelante vers le corps ensanglanté de l’enfant, le prit dans ses bras et poussa un hurlement terrible !!!! C’était le cri d’une mère pour son enfant.  

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