Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 30-08-06

Ultimo aggiornamento: 26-05-08

 

Commenti: 72 reviews

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DrameGeneral

 

Riassunto: Une nouvelle rencontre...Une/des enquête(s)...(le titre paraît effrayant mais je trouve qu'il résume bien^^Je ne veux pas en dire plus^^)

 

Disclaimer: Les personnages de "Pulsions Meurtrières" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Pulsions Meurtrières

 

Capitolo 2 :: Une triste histoire (?)

Pubblicato: 08-09-06 - Ultimo aggiornamento: 08-09-06

Commenti: Bonjour à tous! Voici donc mon 2èm chap! Merci pour les review que vous m'avez laissé(^^)... Je me suis rendu compte que l'histoire du moins pr les premiers chapitres paraissent un peu...bizarre?ou pas très entrainant mais pas de soucis je metterai un peu d'action!(et des intrigues bref...)Donc voila je vous souhaite bonne lecture (pour ceux qui me lisent!)En fait, Vivifolie (merci pr la review^^) je m'excuse de pas avoir majé ce chap. hier finalement j'ai pas eu le tps! >_< (juste pr prévnir, j'ai finalment mi "complet"ma "fic" poèmes. Je suis pas très douée et je trouve que je banalise la relation R/K. Enfin, j'essaierai de majer régulièrement mais à cause des études...bref^^) @+ :)

 


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Discrètement, comme à l’accoutumé, Ryô avait finalement décidé de suivre Kaori juste pour être sûr, au cas ou. Il savait que le meurtrier qui courrait en ville en ce moment n’avait – pour l’instant - tué que des hommes mais sais-t-on jamais, il pouvait tout aussi bien s’en prendre à des femmes.  

« Surtout vu comment elle s’habille, n’importe qui pourrait la prendre pour un homme » (j’vais t’en coller moi des hommes ! Grr…)  

 

C’est ainsi que le nettoyeur passa une bonne partie de l’après-midi dans la rue, à regarder sa partenaire faire des choses de tous les jours à savoir regarder le tableau des messages, faire des courses…Il est vrai qu’en la voyant marcher seule, il s’imaginait qu’il aurait bien voulu être près d’elle à marcher, côte à côte, comme deux amoureux pouvaient le faire en ce beau jour, qu’ils auraient profité de sortir puisqu’en Janvier, les jours sombres étaient plus fréquent… mais tout cela il se l’interdisait. Encore et toujours. Il s’obstinait à ne pas vouloir changer les choses, quitte à la faire souffrir.  

 

Mais jusqu’où jouera-t-il cette comédie, jusqu’où continuera-t-il à se mentir ? Ne dis-t-on pas que le pire des mensonges c’est de se mentir à soi-même ?  

Car il faut bien dire – bien que tout le monde le sache - que Ryô aimait profondément Kaori. S’il la protégeait, ce n’était plus exactement pour accomplir sa promesse, c’était aussi qu’il ne voulait en aucun cas la perdre.  

 

Quoiqu’il en soit, lorsque Ryô vit de loin Kaori emprunter une ruelle, il redoubla de prudence et alla regarder – toujours discrètement - ce qu’elle allait y faire. C’est au moment où il vit le jeune garçon qui s’y trouvait avec elle s’évanouir, qu’il décida, sans réfléchir, « d’intervenir ». Il n’était pas particulièrement préoccupé de l’état de l’enfant c’est juste qu’il se dit que Kaori aurai besoin de quelqu’un pour le transporter à l’hôpital même si pour cela il devait se mettre « à découvert ». Et connaissant Kaori, il était sûr qu’elle ne le laisserai pas seul, inconscient.  

 

« -Qu’est-ce qu’il lui est arrivé ? demanda-t-il en rejoignant Kaori, qui essayait tant bien que mal à soutenir le garçon.  

-Ryô ? Qu’est-ce que tu fais là ? » Répondit-elle, surprise de voir son partenaire dans un endroit si peu fréquenté.  

 

Il avait complètement oublié qu’il était supposé être à l’appartement à vaquer à ses occupation ô combien mystérieuses parfois… (Je fais notamment référence à l’anime où il met en place dans le salon des trucs trop bizarre comme des domino…Tout ça pour admirer un « magnifique poster »…)  

 

« Zut ! Je peux quand même pas lui dire que je l’ai suivie ! » Pensa-t-il.  

 

Toutefois, il ne pu inventer une excuse qu’il aurait qualifiée de « valable » car Kaori, après avoir posé son fardeau au sol, avait repris.  

 

« -Heu…Peu importe ! Je ne sais pas. En rentrant, j’avais entendu des pleurs et en m’approchant, j’ai vu ce pauvre garçon tout seul assis par terre alors j’ai voulu l’aider…  

« C’est tout elle ça… »Pensa Ryô en souriant intérieurement.  

-…Apparemment, il était perdu et n’a plus d’endroit où dormir vu l’état de ses vêtements…En plus il avait l’air fatigué et n’a certainement pas mangé depuis des jours. Je ne peux pas le laisser ici tout seul. Tu veux bien l’amener à la maison, au moins pour savoir ce qu’il lui est arrivé et après on verra ce qu’on pourra faire pour lui…  

-Il serait peut-être mieux de l’emmener d’abord à l’hospital ou au moins chez le Doc…  

-Non je préférerai qu’il soit à la maison, l’interrompit-elle. Il s’y sentira mieux plutôt que dans un lit entre quatre murs stérilisés. Et puis je saurai sûrement le soigner ! Je sais y faire avec le nombre de fois que j’ai du soigner Hideyuki…Il a principalement une sous-alimentation, bien que d’autres facteurs aient pu l’affecter physiquement ou encore psychologiquement… Mais s’il est vraiment mal on l’amènera chez le Doc. Après tout je ne suis pas médecin…  

- Mouai…Je ne suis pas trop d’accord avec ton idée… Notre appartement n’est quand même pas un refuge…  

-Oh c’est bon… !Fais un effort c’est juste pour cette fois ! Tu ne vas pas te plaindre non plus ! Allez prends-le !  

-En plus c’est moi qui dois le porter ?!Aïe ça fait mal ! »  

 

Ryô venait de se recevoir une mini massue made by Kaori (inutile de vous le préciser…je suppose que vous aviez deviné ^^)  

 

« Et tu crois que j’ai assez de force pour le porter toute seule ? Non n’ajoute rien je t’y vois venir ! Et puis je suppose que tu n’es pas l’Etalon de Shinjuku pour rien ! »  

 

Sans répliquer, quoiqu’en murmurant quelques paroles que seul lui pouvait comprendre, Ryô pris le garçon toujours inconscient dans ses bras et le ramena, Kaori à ses côtés, à leur immeuble.  

 

« Pauvre petit », pensa Ryô. Tout en marchant, il repensait à ce qu’il avait vécu lorsqu’il avait son âge. Leur situation était différente certes, mais un enfant abandonné livré à lui-même restait avant tout un enfant seul, sans avoir personne vers qui se tourner.  

 

Heureusement pour lui, l’immeuble de City Hunter n’était pas très loin du lieu où ils étaient quelques minutes auparavant. Non pas que le garçon était lourd mais revenant à la réalité, Ryô s’aperçu que porter un gosse pourrait réellement ternir son image !  

Kaori l’aida tout de même à ouvrir la porte de l’appartement et à poser l’enfant sur le lit de la chambre d’amis.  

Elle passa sa main sur son front et s’aperçu qu’il commençait à avoir de la fièvre. Elle se dirigea vers la salle de bain, pris une compresse froide et vint la poser sur son front pour tenter de faire baisser la température.  

 

Il ne restait plus qu’à attendre qu’il se réveille. Kaori alla donc à la cuisine et prépara du café.  

 

Ce n’est qu’en fin d’après-midi, au moment où Kaori changeait de nouveau de compresse, que le jeune garçon ouvrit les yeux.  

Tout comme dans la ruelle, il fut une nouvelle fois très surpris en voyant Kaori. Mais cette fois à cette surprise s’ajouta un regard noir remplit d’agressivité. Rapidement il s’assit au bord du lit et regarde autour de lui comme s’il recherchait à tout prix une sortie. Se sentant perdu, déboussolé, il reposa ses yeux sur Kaori toujours avec son regard méfiant.  

 

Mais ayant compris son intention, elle tenta de le rassurer. En posant ses mains sur ses épaules fragiles, elle lui dit :  

 

« Ne t’en fais pas. Ici, tu es en sécurité, tu n’as rien à craindre, et je préfèrerai que tu restes ici quelques jours le temps que tu ailles mieux. »  

 

Mais l’enfant, malgré les paroles rassurantes de Kaori, ne lui faisait pas confiance. D’un geste vif, il s’écarta de Kaori, se leva, et s’assit dans un coin de la chambre, toujours dans la même position à savoir les genoux contre la poitrine. Kaori interpréta ce geste comme un accord, il ne refusait pas totalement l’hospitalité mais il ne voulait parler à personne.  

 

« D’accord je te laisse tranquille, dit finalement Kaori en se levant à son tour. Si tu as besoin d’aide ou de quelque chose je suis dans l’appartement. Je suppose que tu as faim, que tu n’as pas mangé donc je t’apporterai quelque chose. Oh en fait je ne me suis pas présentée Je m’appelle Kaori Makimura. »  

 

N’obtenant toujours aucune réponse de sa part, elle sortit de la pièce. Arrivée au salon, Ryô, qui lisait le journal (j’essaie de le rendre plus intelligent ^^), lui demanda – surtout par politesse - s’il allait mieux.  

 

« -La fièvre a légèrement diminuée et il vient de se réveiller, répondit-elle. Ce n’est rien de grave mais elle peut toujours s’aggraver ou revenir il a un air si énervé, si méfiant ! Et pour l’instant il ne veut parler à personne. Je ne connais même pas son nom…Mais ce qui est bien, c’est qu’il ne semble pas complètement vouloir s’en aller. Au moins on pourra peut-être l’aider…  

-C’est encore qu’un enfant…dit Ryô en pensant à sa propre expérience. Il n’a nulle part où aller. Il n’a confiance en personne mais ça ne doit pas être facile de dormir au froid tout seul dans la rue… Il faudrait simplement qu’il se sente à l’aise et qu’il se resocialise… (Ryô psychologue o_o )  

-Tu parles avec toi ça va être mission impossible », murmura Kaori pour elle-même.  

 

Puis elle se dirigea à la cuisine pour préparer à dîner. Ryô, qui avait tout entendu, ne répondit rien mais esquissa un léger sourire.  

 

Avant le dîner, Kaori avait fait une nouvelle tentative de parler avec leur nouvel invité qui n’avait pas quitté son coin, mais sans succès. Toutefois, elle lui laisse un plateau repas sur le lit, comme elle le lui avait dit.  

 

 

Trois jours se passèrent ainsi. Plusieurs fois par jour Kaori rendait visite à cet enfant qui ne voulait pas lui parler, mais il répondait au moins aux questions par des signes de la tête.  

 

Cependant, Cela ne l’empêchait pas de sortir quelques fois de la chambre ne serai-ce pour visiter les environs ou pour aller aux toilettes. Il pouvait se permettre ces petites excursions car au fur et à mesure que Kaori entrait dans sa chambre pour le rassurer, il était habitué à sa présence et il sortait peu à peu de son mutisme, et se disait qu’il ne risquait rien en restant.  

 

Un jour où Kaori sortait une nouvelle fois de la chambre en rapportant un plateau repas vide, le garçonnet, intimidé, parla pour la première fois depuis quelques jours.  

 

« Murakami. Je m’appelle Yûsuke Murakami. »  

 

Surprise et ravie d’entendre enfin le son de sa voix, Kaori se retourna et lui fit son plus beau sourire. Un sourire qui était pour Yûsuke un sourire réconfortant, faisant disparaître peu à peu le mur de pierre qui s’était construit lui seul sait pour quelle raison.  

 

« Merci Yûsuke. »  

 

Et elle sortit, sans dire autre chose. Elle ne voulait pas le brusquer. Elle voulait que se soit lui qui vienne lui parler quand il avait besoin de quoique ce soit.  

 

Quant à lui, Ryô n’était pas très enchanté de recevoir dans sa maison un « gamin ». Mais après tout ce dernier ne faisait rien de mal, il passait la plupart de ses journées dans la chambre, et ne sortait que lorsqu’il était sur qu’il était seul dans les environs. Toutefois, il fut heureux sans se rendre compte lorsque Kaori vint lui rapporter qu’il lui avait enfin dit comment il s’appelle, car elle paraissait heureuse.  

 

C’est ainsi qu’un matin, Yûsuke sortit une nouvelle fois de sa chambre pour aller se rafraîchir dans la salle de bain. C’est alors qu’il rencontra pour la première fois Ryô. Yûsuke, qui devenait moins hostile du moins envers Kaori, changea soudain d’expression pour redevenir en deux secondes ce qu’il fut quelques jours auparavant. De plus il avait toujours pensé que Kaori vivait seule étant donné qu’elle était la seule qui venait lui rendre visite et il ne ressentait la présence de personne d’autre.  

 

Ryô ressentit une tension, une aura assez étrangère émanant de ce jeune garçon. Malgré tout, ce dernier, ne sachant exactement quoi faire, fit un geste comme s’il voulait se battre contre Ryô. Mais il se résigna, et s’enfuit en courant vers sa chambre après avoir lancé à Ryô un dernier regard menaçant. Le nettoyeur n’eu pas le temps de dire quoique ce soit.  

Kaori, qui avait vu une partie de la scène, demanda à Ryô ce qu’il lui avait fait.  

 

«-Mais rien du tout ! Il est arrivé là devant moi et a tout de suite changé d’attitude ! Il a été peut-être surpris de me voir, c’est la première fois…  

-Cet enfant doit vraiment avoir des problèmes…Je vais le voir et essayer d’en savoir plus. Il ne peut pas rester ici indéfiniment aussi… ! »  

 

Elle s’avança d’un pas sur vers la chambre d’amis. Comme à son habitude, elle frappa à la porte et entra. Elle le retrouva une nouvelle fois dans le coin de la pièce, dans la même position, fixant un point imaginaire et les sourcils froncés. Kaori s’avança vers lui et s’agenouilla.  

 

«Je ne veux absolument pas te brusquer ni te forcer. Je vois bien qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Autrement, tu n’aurais pas été dans cette rue seul, où tu ne serais pas ici non plus en train de pleurer. Donc si tu veux m’en parler, il n’y a aucun soucis vu que c’est en quelques sorte mon métier –Il leva la tête et la regarda intrigué-. Et pour te rassurer, la personne que tu as rencontrée il y a quelques minutes c’est Ryô, mon partenaire de travail. Et s’il t’a fait peur ne t’en fais pas il ne fait pas de mal à une mouche…Enfin ça dépend qu’elle type de mouche, ajouta-t-elle en souriant. »  

 

Retrouvant lentement son calme, Yûsuke demanda :  

 

« Vous n’êtes pas mariés ? »  

 

Surprise par cette question, Kaori répondit confuse et toute rouge :  

 

« Ah mais non ! C’est vrai qu’on pourrait le penser vu qu’on vit ensemble mais ce n’est pas le cas.  

-Tant mieux, murmura-t-il pour lui-même. Je le déteste.  

-Pardon ? dit Kaori qui n’avait pas entendu. Mais en fait ne détournes pas la conversation ! Tu veux bien me raconter alors les raisons pour laquelle tu étais seul sans tes parents… ?Nous pourrions certainement t’aider ! »  

 

Il eut un léger silence dans la pièce pendant quelques instants, comme si Yûsuke essayait de se remémorer certaines choses, de mettre les idées en place ou tout simplement il hésitait à raconter son histoire à une inconnue qui n’a fait que le recueillir. Finalement, il se décida et commença son récit :  

 

« Il y a trois ans, c’est-à-dire quand j’avais huit ans, mes parents sont morts dans un accident de voiture. J’étais aussi à l’intérieur au moment de l’accident mais je ne sais pas pourquoi j’ai survécu…Après être resté quelques jours à l’hôpital, les infirmières et les psychologues ont essayé de me faire comprendre que je n’avais plus de parents. D’après eux, c’est toujours dur pour un enfant de comprendre ce que c’est la mort…mais ils ne savent pas… ». Son regard s’assombrit pendant quelques secondes puis il repris, normalement.  

« En tout cas on m’a évidement fini par m’envoyer dans un orphelinat. Malheureusement, je ne m’y plaisais pas du tout. C’est pour ça que je me suis enfui et aussi pourquoi je ne fais pas confiance aux hommes. Seule les femmes étaient gentilles mais il n’y en avait pas beaucoup…Assez étrange pour un orphelinat…c’est vrai…Maintenant ça va faire bientôt un an que j’ai quitté cette prison. »  

 

Kaori était émue. La perte d’un parent est toujours douloureuse à supporter. Quand on est enfant, on ne sait pas comment réagir, on a perdu tout point de repère. La seule chose qu’elle put faire est de le prendre dans ses bras.  

 

« Ca a du être vraiment dur pour toi…Je comprends ce que tu ressens… »  

 

Etonné par sa réaction car s’était la première fois que quelqu’un s’inquiétait vraiment pour lui, Yûsuke ne savait pas trop comment réagir. Il ne pensa même pas à repousser cette jeune femme. Cependant, peu à peu il se rendit compte qu’il ne voulait pas quitter ces bras qui le faisait sentir en sécurité et qui lui apportait tant de chaleur… Pendant quelques secondes il pouvait tout oublier…  

Kaori desserra son étreinte et le regarda.  

 

« -Tu pourras peut-être trouver une famille d’accueil si tu ne t’ai pas bien senti à l’orphelinat. Ou bien il doit bien te rester de la famille…Nous pourrions la retrouver…Les adultes t’y accueilleront et te considèreront comme leur propre fils…  

-Je n’ai pas besoin de parents !l’interrompit-t-il soudain. Les parents pour moi ne servent à rien !  

-Tu es encore énervé…Si tu ne veux pas partit ne t’inquiètes pas nous te laisseront pas tomber. Mais ne prends pas des décisions sous impulsions, sans réfléchir… »  

 

Sur ces mots, elle se leva, et se dirigea vers la porte. A première vue, ce mystérieux garçon cachait un passé bien douloureux voyant la manière dont il parlait des adultes- des hommes plus précisément. Elle avait décidé depuis le début de l’aider mais pour l’instant il fallait qu’il reprenne des forces et qu’il gagne confiance.  

 

« Malheureusement ça ne va pas être facile avec Ryô…pensa-t-elle.  

 

Avant de quitter la pièce, elle demanda :  

 

« En fait, pourquoi tu était toujours surpris de me voir les premières fois qu’on s’est vus ? »  

 

Il eu à nouveau un moment de silence, puis Yûsuke, regardant Kaori dans les yeux, répondit tristement :  

 

« Parce que tu ressemble à ma maman… »  

 

 

 

 

 


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