Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 30-08-06

Ultimo aggiornamento: 26-05-08

 

Commenti: 72 reviews

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DrameGeneral

 

Riassunto: Une nouvelle rencontre...Une/des enquête(s)...(le titre paraît effrayant mais je trouve qu'il résume bien^^Je ne veux pas en dire plus^^)

 

Disclaimer: Les personnages de "Pulsions Meurtrières" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Pulsions Meurtrières

 

Capitolo 4 :: Du travail! (1)

Pubblicato: 09-10-06 - Ultimo aggiornamento: 09-10-06

Commenti: Bonjour à tous!! voici mon chap 4!^^J'espère que vous n'avez pas oublié ce qui c'est "passé" dans les chap précédents...(-_-)heu j'vs dit juste que mon pti Yûsuke a décidé enfin d'aller déjeuner ac K. et R. et puis...vila! sinon comme vs l'orez surement remarqué,j'ai coupé ce chap en deux! mais vous aurez la suite dans pas longtps!(si vous suivez tjs mes majs!!...)Et merci encore à Vivifolie!^^ J'attends vos reviews!(même pour dire ce qui va pas!siouplai^^ oui je sais je suis chiante...) bonne lecture!! :) @+

 


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Un froid glacial s’était installé dans la pièce. Et ce n’était pas à cause du temps qui faisait dehors…  

 

« Salut tu te souviens de moi ? » Demanda Ryô d’un air enfantin (+ le regard comme il sait si bien le faire^^) pour détendre un tant soit peu l’atmosphère.  

 

Yûsuke ne répondit pas. Décidément, la première et unique fois où ils se sont rencontrés, Ryô ne lui avait pas fait bonne impression.  

Yûsuke ne savait pas exactement ce qu’il ressentait. Il sentait qu’il avait peur, peur d’être en présence de cet homme qui dégageait une aura mystérieuse. Cette aura, il ne parvint pas à la capter. Bien que lui-même soit un jeune garçon, l’expérience lui avait appris à ce méfier des hommes. Bien sur, il ne pouvait juger Ryô juste par un croisement de regards mais il était perdu, égaré dans le monde de ses pensées et de ses a priori.  

 

Kaori lui adressa un sourire réconfortant et lui montra la chaise où il s’assit.  

Ainsi ils déjeunèrent tranquillement, en silence. Ensuite Kaori fit habituellement la vaisselle et rejoignit Ryô dans le salon qui finissait de regarder les dernières informations.  

Les crimes avaient pour le moment cessé et la police recherchait toujours le moindre indice qui permettrait à trouver le coupable. De plus, les spécialistes avaient identifiés la dernière victime, mais rien ne permettait de trouver de nouvelles pistes.  

Quant à Yûsuke, il était déjà partit dans sa chambre. Il ne tenait absolument pas à rester en tête-à-tête avec Ryô.  

 

Puis Kaori rejoignit Ryô et lui demanda s’il voulait sortir avec Yûsuke, simple vérification du tableau et « visiter » le quartier.  

 

« Attends je te ferai rappeler qu’il ne m’apprécie pas beaucoup. Répliqua Ryô Et j’ai pas envie de sortir avec un gosse pareil !  

- Oh t’exagères ! Au moins tu pourra faire moins l’idiot dans la rue ! Tan pis tu viendras quand même ! Il faut quand même penser à travailler !  

- C’est à toi de t’en charger !  

- Je n’admets aucune réponse ! s’exclama-t-elle. Combien de fois tu es allé toi-même à la gare pour voir s’il n’y avait pas de demande de femmes ? Et puis tu pourras essayer de mieux le connaître ! »  

 

Sur ce, elle alla prévenir Yûsuke. Ryô était resté à sa place et murmurait des paroles incompréhensibles et semblait contrarié. « Non mais pour qui elle se prends ! » Mais on pouvait tout de même voir un léger sourire sur ses lèvres. (Un qui ferai fondre n’importe quelle femme, pas celui de pervers !^^)  

 

Arrivée dans la chambre, elle vit que Yûsuke –comme d’habitude- ne faisait rien ou plutôt il avait l’air de réfléchir. Il est vrai que durant la journée il ne faisait rien. Il restait dans la chambre et se faisait le plus discret possible. Ce n’est que le soir où apparemment il « osait » sortir du moins d’après Ryô qui l’avait repéré.  

 

« Dis tu veux venir avec nous ? Nous allons nous promener. Tu dois certainement connaître le quartier mais se serait agréable de faire un tour…  

- …  

- Et puis tu pourras te changer les idées ! Tu restes toujours enfermé dans cette pièce depuis que tu es arrivé ! Comme ça tu n’arriveras à rien. »  

 

Elle ne lui avait pas fait ce reproche agressivement. Elle tentait simplement de le faire réfléchir, de sorte qu’il prenne conscience qu’il faut qu’il réagisse. Et il avait du mal. Yûsuke préférait s’enfermer dans son esprit et rompre tout contact avec l’extérieur.  

 

« Est-ce que l’autre viens aussi ?  

- Oui et il s’appelle Ryô. »  

 

Il haussa les épaules comme pour dire qu’il « s’en lavait les mains ». Mais il paraissait contrarié. Certainement du fait de sortir avec un inconnu. Il aurait préféré –inconsciemment- sortir avec Kaori, qui ressemblait à sa mère disparue. D’une certaine manière, il souhaitait la retrouver.  

De son côté Kaori se posait toujours les mêmes questions, sons pour autant pouvoir y répondre. Pour un enfant de cet âge, il paraissait enfantin, mais il se méfiait. Il lui avait donné une réponse, mais elle avait toutefois un doute sur ces « raisons ». Il avait un caractère particulier, et cela commençait à l’inquiéter. Elle voulait par exemple savoir pourquoi il était constamment sur la défensive avec Ryô, sans parler pour autant. Après tout elle savait bien qu’elle ne pouvait pas le garder indéfiniment chez elle et qu’il fallait le plus vite possible faire des recherches concernant sa famille –s’il en avait toujours-.  

 

De plus, elle savait pertinemment que Ryô n’accepterai pas plus longtemps de garder un enfant dans l’appartement. A tout moment, lors d’une quelconque enquête, il pourrait y avoir une attaque ou quelque chose de dangereux…  

 

C’est ainsi qu’ils sortirent tous les trois. Du moins, Kaori du traîner Ryô par terre pour l’obliger à les accompagner. Ce dernier n’avait de toute façon pas l’intention de rester chez lui à rien faire. Il avait eu juste envie d’embêter pour la nième fois sa partenaire. Yûsuke fut surpris par la réaction de Ryô, l’homme dont il se méfiait. Finalement il se dit qu’il fallait peut-être qu’il fasse confiance à Kaori lorsqu’elle lui disait qu’il ne faisait de mal à « personne » (Sauf à Kaori d’après lui. Nda : et encore il y a bien pire !). Sans s’en rendre compte, il sourit à cette situation « comique » (Toujours la même Kaori qui traîne Ryô comme Kazue l’a fait avec Mick dans le chapitre I).  

 

Au bout d’un moment, quand Ryô eu terminé son petit caprice, on aurait presque pu confondre les trois promeneurs avec un jeune couple marié et leur enfant, mais seul Kaori paraissait vraiment joyeuse.  

 

 

 

Arrivés à la gare, ils n’eurent pas trop de difficultés à se frayer un chemin jusqu’au tableau. Yûsuke se demandait ce qu’il faisait dans une gare. Devant la surface verte, Kaori fut émerveillée de voir un beau XYZ écrit dessus en lettres blanches.  

 

« Youpi !! On a enfin du travail ! » S’exclama Kaori. Elle sortit de son sac un petit carnet et un stylo et s’empressa d’écrire les coordonnées de leur client. Mais au fur et à mesure qu’elle écrivait, l’expression joyeuse de son visage fondit comme neige au soleil.  

« Oh non… Je suis sure que c’est une femme… » Dit-elle désespérée -Yûsuke la regardait d’un air étonné, il ne comprenait rien à ce qu’il se passait-. « Tan pis, on a pas le choix… Ryô je te préviens tout de suite tu as intérêt à bien te comporter du m’ent….Ryô ? Ryô ? Il est passé où !!! »  

L’autre moitié de City Hunter s’était volatilisé. Ni elle, ni le jeune garçon n’avait remarqué sont « escapade ». Toutefois, le nettoyeur n’était pas allé très loin car Kaori sentit facilement une aura perverse « flotter » au milieu de la foule qui allait et venait dans la gare.  

Et son « intuition » ne l’avait pas trompé étant donné qu’elle entendit rapidement, non loin du tableau des messages, des cris de jeunes femmes qui tentaient de fuir un homme étrange et particulièrement agaçant qu’on définirait aujourd’hui comme étant un pervers. Mais pas n’importe lequel ! Ces pauvres demoiselles avaient l’immense honneur d’être attaquées par le pire d’entre eux, l’Etalon de Shinjuku !  

 

« …Mais attendez ne partez pas ! » S’écria le concerné qui courait après tout ce qui portait une jupe avec son magnifique visage de pervers.  

 

« RYO… ?!!!!! »  

 

Ce dernier s’arrêta soudain. Lentement, il tourna la tête vers la personne qui l’avait « gentiment » appelé, mais il ne réussit à voir qu’une énorme massue 1000T se jeter sur lui (ça peut devenir lassant de recourir tout le temps à cette méthode mais si c’est la seule…).  

 

« Tu n’écoutes vraiment jamais ce que je dis tu es irrécupérable !! » Cria Kaori.  

 

S’extirpant de la massue mais plus difficilement du sol qu’il avait « légèrement » abîmé, Ryô fit une petite moue et s’apitoyait sur son sort. D’après lui, il n’avait pas approché une jolie fille depuis des lustres et ça le manquait énormément (allez on va tous le plaindre…!). Yûsuke fut aussi surpris que les autres passants lorsqu’il vit pour la seconde fois Kaori martyriser Ryô. La première fois, il fut encore plus surpris, mais content qu’elle puisse lui donner une bonne leçon. Cette fois-ci il cru voir deux personnes se donner en spectacle. Il remarqua tout de même comment Ryô pouvait changer d’un moment à l’autre de comportement.  

La toute première fois qu’il avait croisé son regard, il se sentit mal à l’aise de voir le noir de ses yeux, de voir des choses qu’il n’oserait jamais soupçonner. Il était sérieux, intimidant. Mais aujourd’hui, pour une raison inconnue, il faisait l’idiot.  

 

Sans faire attention à ses plaintes, Kaori rappela à Ryô –au cas où il n’avait pas entendu- qu’ils avaient « enfin » une cliente et qu’elle allait la contacter.  

Ils sortirent de la gare et se dirigèrent vers une cabine publique. Sur le chemin, Yûsuke osa parler pour la première fois en présence de Ryô qui regardait (euphémisme je tiens à le préciser…) du coin de l’œil toutes les filles qui passaient. Peut-être est-ce justement le fait qu’il était « distrait » pour pouvoir parler à Kaori. Une fine couche de poudre blanche commençait à tomber sur la capitale. Ryô et Kaori ne se préoccupèrent nullement des flocons qui se posaient sur eux mais Kaori insista tout de même pour que Yûsuke mette sur sa tête un bonnet.  

 

«- Il sert à quoi le tableau où on était ?  

- Ah c’est vrai que je ne t’ai pas encore dit ce que nous faisons ! » Dit-elle en ajustant le « chapeau ».  

Elle réfléchit quelques secondes pour chercher les morts adéquats puis repris.  

 

« En fait, le tableau que tu as vu permet à nos futurs clients à nous contacter lorsqu’ils ont besoin d’aide. Ils laissent ainsi leur numéro, on les appelle pour un rendez-vous et on accepte en fonction du type de demande…  

-Ah d’accord… » Répondit-il simplement. Il semblait réfléchir.  

 

Ryô qui depuis le début doutait un peu de ce jeune garçon du fait de sa méfiance, avait repris un air sérieux. Il n’avait pas perdu une miette du mini dialogue et finit par regarder Kaori. Sans lui dire un mot, Il parvint à lui faire comprendre qu’il valait mieux ne pas parler beaucoup des détails de leur métier. Il s’en moquait un peu en réalité mais si le gamin apprenait qu’il utilise des armes et qu’il avait même une salle de tir au sous-sol, il était certain qu’il perdrait la confiance de Kaori. Mais pour toute réponse, Kaori lui lança à son tour un regard qui disait qu’elle n’avait pas trop le choix. D’après elle, elle ne voulait pas lui cacher beaucoup de choses bien qu’elle l’ait fait en omettant délibérément de lui parler de détails tel l’utilisation d’armes à feu o encore les types de travail qu’ils acceptaient. Elle souhaitait également que Yûsuke puisse faire confiance à Ryô même si les choses étaient mal parties.  

 

Arrivés près d’une cabine, Kaori composa le numéro qu’elle avait noté dans son petit carnet quelques minutes auparavant. Une voix féminine répondit.  

 

«- Allo ?  

- XYZ. C’est bien vous qui avez laissé le message ?  

- C’est exact. Vous êtes City Hunter ? Je m’attendais à parler avec un homme…  

- Oui je suis sa partenaire. Voulez-vous qu’on se rencontre ? Je doute que vous voulez parler au téléphone de ce qui ne va pas…  

- Effectivement. Mais pour le lieu je ne sais pas trop…  

- Il n’y a aucun problème, l’interrompit gentiment Kaori. Connaissez-vous le café Cat’s Eye ?  

- J’en ai entendu parler… répondit la voix.  

- Très bien. Je vous propose 17h00 cela vous convient-il ?  

- Oui. Je vous remercie ! A bientôt. »  

 

Elle raccrocha.  

 

« - Bon ; il nous reste encore quelques heures avant d’aller voir notre cliente…  

- Je dois venir aussi… ? Demanda timidement Yûsuke.  

- J’ai pensé justement que ça t’aura dérangé d’aller dans un lieu public… Mais je ne sais pas si c’est bien de te laisser tout seul…  

- Je suis plus un enfant ! Je sais me débrouiller tout seul ! Je préfère rester à la maison… »  

 

Kaori soupira. Elle aurait aimé qu’il ne se sente menacé à tout bout de champ. Mais il devait y aller à son rythme pensa-t-elle.  

 

« D’accord… Mais dès que tu t’en sentira capable, quand tu auras plus confiance à ce qui t’entoures, je pourrai te présenter des amis qui sont justement propriétaires du café où j’irais avec Ryô… Bon et si nous allions nous promener dans le parc tu pourras découvrir la beauté de notre quartier sous la neige… Tu es d’accord Ryô ? »  

 

Le concerné se tenait légèrement à l’écart, les mains dans les poches et semblait déprimé.  

 

« Mouais allons faire un tour. Peut-être qu’au parc il y aura plus de jeunes filles ! Ici je m’ennui… ! »  

 

Une ombre apparu sur lui. A cet instant, un autre morceau de bois, identique à celui de tout à l’heure, alla caresser la tête d’apollon du nettoyeur. Yûsuke sursauta mais finit par sourire.  

 

« - Franchement tu devrai avoir honte ! S’écria Kaori qui n’en pouvait plus de supporter ses idées lubriques. Et je te ferai rappeler que nous sommes en hiver et que par conséquent, la plupart des femmes ne portent pas de jupes, de robe ou je ne sais quoi d’autre qui vole !! »  

« -Je dirais plutôt que c’est toi qui devrait avoir honte, se défendit Ryô en s’extirpant de la massue. Tu as vu comment tu crie dans la rue et tu as fait fuir tout le monde avec ton gros morceau de bois ! »  

 

Kaori rougit légèrement et se rendit compte de son « spectacle » bien que ce ne fut pas la première fois que cela lui arrivait. Elle fronça les sourcils pour montrer son mécontentement.  

 

« Tu ne perds rien pour attendre ! Je me vengerai ! »  

 

Pour une raison inconnue, Yûsuke n’était pas extrêmement choqué de voir Kaori sortir sa massue à tout bout de champ. Ainsi, il se souvenait des quelques moments heureux qu’il passait avec les amis qu’il avait il y a cela quelques années. Il compara ces deux adultes qu’il accompagnait à des enfants.  

 

 

 

 


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