Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 30-08-06

Ultimo aggiornamento: 26-05-08

 

Commenti: 72 reviews

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DrameGeneral

 

Riassunto: Une nouvelle rencontre...Une/des enquête(s)...(le titre paraît effrayant mais je trouve qu'il résume bien^^Je ne veux pas en dire plus^^)

 

Disclaimer: Les personnages de "Pulsions Meurtrières" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Pulsions Meurtrières

 

Capitolo 8 :: Nouvelles Pistes

Pubblicato: 19-12-06 - Ultimo aggiornamento: 19-12-06

Commenti: Bonjour!! Voici mon 8em chapitre!^^ J'espère qu'il vous plaira... J'essaie d'avancer et aussi de rendre intéressante l'histoire mais bon vous me direz c'est pas évident! En tout cas je remercie comme d'habitude toutes les personnes qui ont le courage de lire mon histoire (lol! non j'plaisente...) et pour leur review...(et aussi à Vivifolie! :) ) bref je me répète toujours j'ai l'impression... En tout cas tant que j'y suis je vous souhaite à tous un joyeux noel (de bonnes faites!!) vu que je ne pense pas majer le jour de noel...(à oins que j'ai une imspiration soudaine!)Bref je vous embête donc bonne lecture et à bientôt!! :)

 


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Grâce à Mick qui a bien voulu donner un coup de main à City Hunter, Ryô avait déjà une piste.  

Bien qu’il soit rentré avec quelques grammes d’alcool dans le sang (il est rentré à pied !^^), le nettoyeur annonça la nouvelle à Kaori le lendemain, pendant le petit déjeuner. Yûsuke n’était toujours pas levé, il pouvait donc parler tranquillement. A la fin de la conversation, Ryô n’avait pas fait allusion à ce qu’il avait découvert la nuit dernière, comme il en avait convenu.  

 

« Après cette affaire, s’était-il dit, je m’occuperais de ton cas. » Et il continua ainsi à réfléchir sur ce qu’il faudra qu’il fasse.  

 

« Ryô ? Allo ! » Une voix féminine le ramena sur terre.  

 

« Ça ne va pas Ryô ? demanda-t-elle.  

-Si si…heu tu disais ?  

 

Kaori soupira. Elle ne savait plus ce qu’elle devait faire de lui.  

 

« Boire avec Mick ne te réussit pas. Ton cerveau n’arrive pas à rester connecté plus de dix minutes… »  

 

Aucune réaction. Elle continua donc.  

« Je disais qu’il serait peut-être mieux de prévenir Haruka de ce que tu viens de découvrir. Ce n’est pas une très bonne nouvelle mais bon ; elle se doute bien de ce qui va l’attendre…  

- Oui si tu veux…  

- … »  

 

Elle se leva, pris le combiné et composa le numéro de sa cliente.  

 

- Allo ?  

- Allo Mlle Haruka ? C’est Kaori Makimura à l’appareil.  

- Oh bonjour Mlle Makimura ! Vous avez des nouvelles ?  

- C’est Exact. C’est la raison pour laquelle je vous appelle. Mais je préférerai vous en parler de vive voix avec mon partenaire… Si vous pouvez passer après le déjeuner…  

-Oui bien sur il n’y a aucun problème ! Je serais heureuse de vous entendre.  

-Très bien nous vous attendrons.  

-A bientôt ! (Bis)  

 

Et elle raccrocha.  

Quelques heures plus tard dans la matinée, elle prépara le déjeuner et alla, comme à son habitude, appeler Yûsuke qui était dans sa chambre. Puis se mirent à table.  

 

« Yûsuke… Commença Kaori. Après le déjeuner il y a notre cliente qui doit venir ; pour le travail donc je pense que ça va t’ennuyer… »  

 

Yûsuke haussa les épaules.  

 

« De toute façon je reste tout le temps dans ma chambre… » Répondit-il simplement.  

 

Kaori n’eut le temps de répliquer quoique ce soit. Yûsuke s’était déjà levé de table, prit son assiette, l’apporta à la cuisine et monta dans sa chambre. Pendant une fraction de secondes un voile de tristesse apparu sur le visage de la jeune femme, attristé par la réaction de son protégé. Mais elle parvint toutefois à retrouver rapidement le sourire, pour éviter d’éveiller tous soupçons. Cependant, Ryô remarqua ce détail.  

 

La vaisselle lavée, une odeur de café s’échappait de la cuisine. Au même moment, la sonnerie de la porte retentît.  

 

« Ryô tu peux ouvrir ? Je suis occupée », cria Kaori depuis la cuisine. Sans dire un mot, Ryô se leva.  

« Non attend j’y vais ! » Ajouta-t-elle soudainement en sortant de la cuisine. « Je n’ai pas confiance en toi » .Une dizaine de corbeaux traversèrent la pièce et Ryô trébucha.  

 

Après avoir ouvert la porte, Kaori invita Haruka à s’installer dans le salon en attendant qu’elle apporte le café. Pendant près d’un quart d’heure, Ryô expliqua lentement ce qu’il avait expliqué à Kaori quelques heures auparavant. Ils étaient conscients qu’ils rendraient triste leur cliente mais tôt ou tard elle l’aurait appris.  

 

« Je n’arrive pas à croire le fait qu’il aide ces criminels… ! Dit Haruka qui, désespérée, avait mis sa tête entre ses mains.  

- Pardonnez mon impolitesse, intervint Ryô (tu parles !)Mais qu’avez –vous l’intention de faire lorsque vous aurez retrouvé votre père. J’entends par-là que si nous le retrouvons, il sera certainement emprisonné…  

 

- J’en suis bien consciente M. Saeba. Et il est vrai que je préférerai voir mon père en prison. Mais j’ai beaucoup de mal à croire ce que j’ai entendu. Je souhaiterai encore croire qu’il y a du bon en lui. Les souvenirs qu’il me reste de lui sont des souvenirs heureux et j’aimerai au moins lui rappeler qu’il a encore une fille, une fille qu’il a abandonné avec sa mère pour je ne sais qu’elle raison.  

- Je comprends vos motivations. Dit Kaori. Nous ferons notre possible.  

- Je vous remercie une nouvelle fois. Je m’excuse mais je dois partir. J’étais tellement heureuse de savoir que vous avez trouvé des informations que j’en ai laissé mon travail. »  

 

Haruka se leva, suivit de Kaori et la raccompagna à la porte.  

Mais dès qu’elle ouvrit la porte, elle fut surprise de voir Saeko qui se trouvait devant la porte, la main levée, comme si elle s’apprêtait à frapper à la porte.  

 

« Oh pardon je dérange peut-être. Dit-elle en regardant Haruka.  

- Ne vous en faites pas ; intervint cette dernière souriante sans que Kaori n’ait pu ouvrir la bouche. J’étais de sortie. »  

 

Haruka sortit de l’appartement tandis que Saeko entra.  

Kaori fulminait intérieurement. A chaque fois que l’inspecteur Nogami venait leur rentre visite, ça se terminait toujours en catastrophe.  

 

« Bonjour Kaori tu vas bien ?  

- Qu’est-ce que tu veux cette fois ? » Répondit-elle.  

 

« Oula, pensa Saeko. Je sens que ça ne va pas être facile… »  

 

« J’aimerai vous parler à toi et à Ryô… »  

 

Ce dernier s’était levé dès l’instant où il avait entendu le son de la voix de sa chère inspectrice.  

 

« Tiens Saeko ça faisait longtemps ! Laisse moi deviner ; tu as eu des remord et tu es tout de suite venue payer tes dettes !! »  

 

La concernée faillit tomber à la renverse mais parvint à « se rattraper ». Kaori était prête à faire usage de son arme préférée. Elle s’attendait au pire.  

 

« … Heu pas exactement. –Elle fit mine d’être gênée- En réalité, j’aimerais vous demander un petit service.  

 

- Il n’en est pas question ! Crièrent en cœur Ryô et Kaori.  

Mais la synchronisation s’arrêta là. Chacun avait une raison différente de vouloir refuser un service demandé par Saeko.  

- Chaque fois que tu prépares un coup tordu et tu ne nous paies même pas ! Avait dit Kaori.  

- Tu me dois déjà une dizaine de sorties ! Avait dit Ryô.  

- Oh Ryô ne commence pas non plus ! Enchaîna sa partenaire.  

 

Une grosse goutte se dessina derrière la tête de Saeko « Décidément… »  

 

« Cette fois je vous promet que ce n’est rien du tout ! J’aurai besoin de vous pour empêcher un vol de tableaux…  

 

- Tu peux développer ? Demanda subitement Ryô qui était redevenu sérieux.  

 

Surprise mais satisfaite du brusque changement de comportement, Saeko répondit.  

 

- On vient de me confier une affaire. Une histoire de tableaux célèbres qui ont été dérobés. Comme je vous l’ai dit, j’ai besoin de deux personnes qui se feront passer pour des civils. Je vous explique. Demain, il va y avoir une exposition à CHUO-KU, au Museum of Art, et nous pensons que les trafiquants vont voler un tableau qui s’y trouvera exposé.  

 

Les yeux de Ryô et de Kaori se croisèrent et en une fraction de secondes ils comprirent ce qu’ils avaient respectivement en tête. Cette « invitation » pourrait bien les aider à trouver le père d’Haruka. Bien qu’elle ne soit pas trop d’accord, Kaori finit par faire un signe affirmatif à son partenaire. Ce dernier s’approcha de l’inspectrice en prenant un air mystérieux.  

 

« Si j’accepte, qu’est-ce que je gagne dans tout ça ? »  

 

Décidément, il a vraiment toujours les mêmes idées dans la tête.  

 

« Mon entière gratitude ? Risqua Saeko. Mais en voyant le regard meurtrier de Kaori, elle s’empressa d’ajouter,  

« Je plaisante voyons ! Je prévoyais une rémunération, pour services rendus à la police. En quelque sorte bien sur étant donné que personne ne saura que City Hunter travaille pour la police. Comme les autres fois.  

 

« - Pourquoi tu n’y va pas toi-même à cette exposition ? demanda soudainement Kaori.  

- Je t’y voyais venir ma chère Kaori. Pour ton information, je suis dans la police et donc j’ai plein d’autres choses à faire qui sont aussi importantes que ces vols…  

Elle avait dit ces derniers mots en pensant à son ancienne enquête qui lui avait été retirée. Et bien qu’elle s’était retrouvée « chef » ce cette nouvelle affaire, elle avait tout de même décidé de continuer d’enquêter discrètement.  

« Et je sais que je peux vous faire confiance. Vous êtes plus efficaces que la plupart les autres policiers.  

 

- De toute façon je suppose que nous n’avons pas trop le choix… dit Kaori plus pour elle-même.  

 

Satisfaite du résultat, Saeko leur expliqua certaines choses utiles. Ils s’assirent à la table du salon.  

 

- Bon. L’exposition se déroulera donc demain à partir de 20h00. Je viendrais demain apporter vos vêtements de soirée, le plan de l’établissement et quelques autres équipements pratiques pour que vous puissiez communiquer en cas de nécessité.  

Pour aller droit au but, d’après nos experts, le tableau qui sera certainement volé sera « le printemps » de Botticelli. Je vous apporterais un imprimé du tableau et son emplacement dans la salle d’exposition pour que vous puissiez le surveiller… Je pense vous avoir dit le principal… Donc pour la soirée il serai préférable de ne pas vous chamailler car c’est une soirée couple ! Sur ce à demain j’ai une tonne de choses à faire !  

 

A ces mots, elle se leva, leur sourit et partie avant même que Ryô ou même Kaori ne réagissent. Justement, ces derniers ne savaient pas comment réagir. Kaori sentit ses joues s’empourprer légèrement tendit que Ryô sentit l’ambiance refroidir.  

 

Il aurait bien aimé étriper cet inspecteur mais il n’en avait pas eu le temps. Finalement, les deux trouvaient que cela pouvait être une bonne chose ; ils avanceraient ainsi dans leur recherche mais ils voyaient également l’occasion de « sortir ensemble » bien que ce ne soit que d’un point de vue professionnel.  

 

Il eut un moment de silence. Puis Ryô se leva, pris son manteau et sortit, laissant Kaori seule avec Yûsuke dans l’appartement. Kaori pressentit que son partenaire n’allait pas sortir dans la rue sans rien faire, à draguer les filles (ndRyô : que je fais pas que ça quand même !), il était sortit avec un regard sérieux. Il allait certainement faire des recherches.  

 

De son côté, elle décida de réfléchir à un moyen de ne pas laisser Yûsuke seul le lendemain. Il ne pouvait pas rester tout seul. Elle ne voulait pas.  

Si Saeko n’était pas venue lui parler de leur nouveau travail, elle serait allée se renseigner auprès des administrations pour pouvoir enfin aider Yûsuke mais une fois encore elle devait s’occuper prioritairement de l’enquête.  

C’est alors qu’elle eu une idée.  

 

 

*-*-*-*-*-*  

 

Ryô marchait tranquillement le long des rues de Shinjuku. Il savait très bien ou il voulait aller mais il semblait plutôt chercher quelque chose ou plutôt quelqu’un. Il finit par ralentir le pas et s’approcha d’un homme d’une cinquantaine d’années qui était assis sur le trottoir, contre un mur. Sans lui adresser un regard, Ryô posa son pied sur une petite boîte, pour que l’homme puisse lui cirer ses chaussures (oui je sais me diriez-vous, je me suis inspirée de l’épisode 4 ‘bienvenue en enfer’ ^^)  

 

« Salut, alors tu as du nouveau ?  

 

- Je t’attendais répondit le vieil homme. J’ai fait des recherches sur ce que tu m’as demandé. –Ryô changea de pied et l’homme fit mine de lui nettoyer l’autre chaussure.  

 

« Un ami m’a dit qu’un soir ou un tableau avait été volé, une camionnette louche était sortie d’une rue adjacente au musé, et qu’il s’était dirigé vers l’aéroport…  

- Tu ne saurais pas me dire de quel aéroport il s’agit… ? L’interrompit Ryô.  

 

- Je n’ai aucune certitude mais la route qu’a prit la camionnette est plus proche d’être celle pour aller à l’aéroport d’Haneda. Ca m’étonnerait qu’ils prennent le risque de traverser toute la ville pour aller jusqu’à Narita. S’ils veulent exporter les œuvres d’art à l’extérieur, ils auraient plutôt envie de transporter le plus vite possible leur butin… Sinon, je n’en sais pas plus… »  

 

Sur ce, Ryô donna quelques billets à son informateur.  

 

« Merci vieux. A la prochaine ! »  

 

Le vieil homme, le sourire aux lèvres, regarda le nettoyeur s’éloigner. Il était toujours joyeux lorsqu’il parlait avec lui. Pour lui, Ryô était le seul homme qui voulait réellement protéger cette ville, le seul qui voulait réellement aider les habitants. Et d’un côté, il était heureux de penser qu’il pouvait l’aider…  

 

 

*-*-*-*  

 

 

 

 


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