Hojo Fan City

 

 

 

Data File

Rated PG - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 30-08-06

Ultimo aggiornamento: 26-05-08

 

Commenti: 72 reviews

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DrameGeneral

 

Riassunto: Une nouvelle rencontre...Une/des enquête(s)...(le titre paraît effrayant mais je trouve qu'il résume bien^^Je ne veux pas en dire plus^^)

 

Disclaimer: Les personnages de "Pulsions Meurtrières" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Pulsions Meurtrières

 

Capitolo 7 :: Peinture, brigands et nuit agitée.

Pubblicato: 26-11-06 - Ultimo aggiornamento: 26-11-06

Commenti: Hello!! Je suis de retour! lol! J'ai pris un peu de retard je sais (je voulais essayer de faire des majes régulières...)Là j'accuse les cours et les contrôles qui ne me lâchent pas! Enfin bref... J'espère que mon histoire vous plait toujours...ça avance ça avance... ^^ Merci encore pour vos review et encore une fois (j'y tiens^^) merci à Vivifolie! Bon bonne lecture et à bientôt!! :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

A la préfecture de police, quelqu’un frappa à une porte et entra sans même attendre d’autorisation.  

 

« Inspecteur Nogami ? » Demanda l’homme en refermant la porte. Ce dernier était grand, à l’allure classique avec son costume et portait des lunettes. Il devait avoir une trentaine d’années.  

 

La concernée était assise à son bureau. Avec sa main droite, elle fit signe à son visiteur d’attendre encore quelques secondes puisqu’elle était au téléphone.  

Puis elle raccrocha et soupira.  

 

« Qu’y a t il ? demanda-t-il.  

- Oh rien de spécial c’est toujours cette histoire de meurtres. La dernière victime vient d’être enfin identifiée par les spécialistes… Mais je suppose que ça ne vous intéresse pas vu que vous ne faites pas parti de l’enquête. Par contre, je dois m’y remettre.  

- Je ne pense pas que se sera possible inspecteur. Intervint le jeune homme.  

- Et pourquoi cela, Monsieur Takahashi ?  

 

-Et bien c’est la raison pour laquelle je suis venu… On vous retire cette affaire. Elle sera confiée à des spécialistes en criminalité.  

« Mais rassurez-vous vos ne resterez pas sans rien faire, ajouta-t-il ironiquement. On vous confie une enquête dont j’ai été nommé le chef il y a quelques semaines. Les autorités supérieures de ce secteur me demandent de travailler avec vous, en collaboration avec d’autres policiers étrangers car nous sommes confrontés à un léger contretemps, à un imprévu si je puis dire ainsi.  

 

-Et quel est cet « imprévu » ? demanda Saeko, contrariée à l’idée de devoir abandonner son enquête qui était maintenant son ex-enquête.  

-Notre enquêteur a disparu.  

-Comment ça ? Elle se leva, intriguée. « Autant m’expliquer tout depuis le début…  

-C’était bien mon intention inspecteur.  

 

Saeko se rassit derrière son bureau. Le jeune homme s’assit également, en face d’elle.  

 

« Voyons voir… Est-ce que vous vous souvenez de voleurs de tableaux…  

 

-Oui bien sur j’ai même faillit m’en occuper…  

 

- Et bien, continua-t-il en ignorant ce qu’elle avait dit, nous avons demandé à un «agent » de tenter de s’infiltrer dans le trafic, pour qu’il nous donne d’éventuelles informations concernant ces vols. Ainsi il nous tenait régulièrement au courant et depuis qu’il nous a affirmé que les trafiquants avaient entière confiance en lui, nous n’avons plus reçu aucune nouvelle. Et cela, depuis ce matin… Et j’ai donc besoin de vous pour le retrouver, pour savoir au moins s’il est toujours vivant, mais aussi pour arrêter une bonne fois pour toute ce trafic qui « fait du tord » au patrimoine culturel mondial.  

 

- Avez-vous des informations qui nous permettraient de les localier ?  

- Malheureusement pour l’instant nous n’avons rien concernant l’endroit où « ils » cachent leur butin. Nous ne sommes mêmes pas encore surs que les tableaux soient encore à Tokyo ou même au Japon. Notre informateur a disparu avant même de nous donner la moindre information…  

 

- Vous ne me facilitez pas la tâche… ! S’exclama Saeko. « Attendez que je résume. Vous me demandez de retrouver quelqu’un qui cherchait une bande d’idiots alors que nous n’avons rien de concret ! Et pourquoi faire appel à la police japonaise ?  

 

- Ne vous en faites pas nous avons tout de même des indices ! Nous avons remarqué qu’une grande partie des tableaux volés sont de peintres italiens de la Renaissance. Des tableaux qui ont été exposés ici même à Tokyo pendant quelques jours. C’est pour ça que nous souhaitons collaborer avec la police locale. Donc… Le dernier tableau qui a disparu était « La Naissance de Vénus » de Botticelli. Nous pensons donc que le prochain tableau à être visé serait un du même peintre. Nous nous sommes renseignés et il y aura dans quelques jours une exposition sur des œuvres de l’occident.  

 

- Vous avez pensé à tout Monsieur Yakahashi. Mais mis à part votre «collaboration avec la police locale » en quoi avez-vous besoin de moi ?  

- Parce que j’ai entendu dire que vous menez toujours à bien les enquêtes qu’on vous confie…  

- Très bien… De toute façon je suppose que je n’ai pas le choix… Dit Saeko, résignée. Et quant à lieu cette exposition ?  

- Dans deux jours, répondit-il. Il faudrait que nous élaborions un plan… Quelque chose qui nous permettrait de retrouver ou même de coincer les malfaiteurs grâce à cette exposition.  

- Je suis d’accord avec vous mais deux jours c’est un peu court pour moi. Laissez au moins le temps d’examiner plus près le dossier. Les informations que vous m’avez fournies à l’instant sont trop vagues.  

- Très bien. Je vous donne la journée de demain pour travailler les détails et j’espère que vous aurez d’ici notre prochain entretien une idée. C’est notre seule chance. Je ne veux pas que d’autres tableaux soient volés !  

- Ne vous en faites pas ! dit Saeko sur un ton d’énervement. Elle ne supportait pas que quelqu’un lui donne des ordres de cette façon. Décidément il ne la connaissait pas ! « Si ça peut vous rassurer, j’ai déjà une petite idée mais je vous l’exposerai en temps voulu. Maintenant veuillez m’excuser mais j’ai du travail qui m’attend ! »  

 

 

*-*-*-*-*-*  

 

Ryô était assit au comptoir du Cat’s Eye, à sa place habituelle et buvait tranquillement son café. Trop tranquille. En réalité, on pouvait apercevoir une légère bosse sur son front, et le barman le surveillait consciencieusement. Apparemment, Ryô avait encore fait des siennes…  

Toutefois, il n’avait pas encore terminé sa commande que la porte de l’établissement s’ouvrit pour la deuxième fois depuis le début de la journée. A peine entrée, une tête blonde s’envola dans les airs les bras ouverts, mais il s’arrêta dans les airs.  

 

« Kaori ? demanda Mick surpris.  

- Pas de chance, dit Ryô qui avait reconnu son homologue sans même se retourner. Elle est restée à l’appart’. Elle ne veut pas laisser Yûsuke tout seul et elle était en plein ménage post-printemps quand je suis parti…  

- Sniff je ne vois plus Kaori depuis des jours… Je devrais aller la voir chez elle… Avait-il ajouté plus pour lui-même.  

 

Ryô qui avait tout entendu, riposta :  

« Je te ferais rappeler que c’est aussi là où j’habite t’as pas intérêt à foutre ne serai-ce un pied chez moi ok ?  

- C’est bon c’est bon calme !  

- Tu es venu sans Kazue ?  

- Hein pourquoi elle est là ?! Paniqua Mick.  

- Non... Répondit Ryô calmement (c’est assez rare…)  

- Ouf… -soupir de soulagement- Normalement elle est à l’Hospital…  

 

Il se retourne tout de même plusieurs fois pour s’assurer que Kazue était vraiment toujours à son lieu de travail.  

 

- Bon puisque tu es venu ici c’est certainement parce que tu as des nouvelles sur ce que je t’ai demandé… ?  

 

Il acquiesça d’un signe de tête et repris son sérieux. Puis il s’assit à côté de Ryô et commanda aussi un café à Umibozu. En attendant, il avait rapidement demandé à ce dernier où était partie sa femme. « Faire des courses », avait-il dit, et avait ajouté, énervé, que Miki en avait eu tellement marre de Ryô qu’elle avait décidé de prendre l’air…  

Etant servit, Mick repris sa conversation avec son « jumeau » japonais.  

 

« Il s’appelle Souichiro Imagaru, 48 ans et les nouvelles concernant ce qu’il fait ne sont pas très rassurantes. Pour ta cliente je veux dire.  

- Ca ne m’étonne pas…intervint Ryô. Vu comment sa fille nous a parlé de lui… Et alors ?  

 

- Officiellement, il est « enregistré » comme étant un citoyen normal avec un boulot normal. En réalité, il fait partit d’un réseau de trafic d’arts. Mais pas n’importe lequel ! Il est dans un grand réseau qui –bien entendu- ne vole ou revend que des tableaux de valeur… On dit donc qu’il a déjà aidé à voler plusieurs pièces ou tableaux pour être plus précis.  

« Mes informateurs ont aussi ajouté qu’il a aidé dans d’autres « domaines » du genre éliminer discrètement quelques personnes qui pourraient foutre en l’air ce qu’ils font et aussi pour aider à un autre trafic, cette fois de drogue. On peut dire que c’est comme une « grande entreprise » qui propose différents « produits »…  

« Bon tireur parait-il, ajouta Mick, pensif.  

 

- Mais attends ce n’est pas…  

- Le pseudo « tueur en série » ? Impossible. Il a tué de nombreux policiers qui tentaient de les arrêter. Et comme tu dois sûrement le savoir, le « tueur en série » a tué des civils, qui, après enquête, avaient eu un lourd passé de Yakuza. Enfin bref.  

- Sinon, je suppose que tu n’as rien pu savoir concernant sa vie privée, sa famille ?  

 

Mick fit un signe négatif de la tête et paraissait désolé.  

 

-Dans le milieu dit-il, on ne parle pas beaucoup de la vie privée des gens tu le sais aussi. A moins bien sur lorsque c’est nécessaire. Ca te suffit ?  

- Oui merci. Pour le reste ça sera simple maintenant que je sais où il s’est fourré. Faut juste faire l’inventaire de tous les tableaux volés ces dernières semaines pour deviner approximativement quels tableaux exposés ici en ce moment son susceptibles d’être volés à leur tour…  

- Ok. Si t’as encore besoins d’informations tu sais où me trouver. Ca fait longtemps que je ne participe pas à d’affaires, à de l’action…  

 

Il avait dit cette phrase d’un ton détaché, presque triste, comme s’il regrettait. Ryô ne savait pas trop quoi penser de sa situation. Mick avait bien fait de ce « retirer » du milieu étant donné qu’il avait Kazue mais il ne savait pas si lui aussi devait ou plutôt pouvait quitter à son tour ce monde où la mort peut se retrouver en face de nous à tout moment.  

Il pensait que c’était impossible. S’il était le numéro 1, n’importe qui voudrait se débarrasser de lui pour ainsi dire prendre le pouvoir. Et personne ne le laisserait partir « en paix », sans demander son reste. Il pensa une nième fois au fait qu’il voulait que sa partenaire quitte cette vie mais encore une fois il ne savait quoi faire.  

 

 

*-*-*-*-*-*-*  

*-*-*  

 

Il devait être entre cinq heures moins quart et cinq heures du matin.  

Dans la pénombre d’une nuit qui se termine, une ombre se faufilait dans les couloirs d’un appartement.  

Yûsuke était debout, habillé, et recherchait quelque chose. A pas de loup, il entra dans le salon et y découvrit par chance la photographie d’un homme posé sur la table basse. Apparemment soulagé du fait de sa découverte, il la prit. Il retourna rapidement dans sa chambre, enfila son gros sweet-shirt et se dirigea vers la sortie.  

 

Depuis qu’il s’était levé, il avait fait tout son possible pour faire le moins de bruits possibles. Mais il ne savait pas –malheureusement pour lui- qu’il habitait avec un homme dont l’ouie est supérieur à la normale.  

 

Dès que Yûsuke était sortit de sa chambre pour vagabonder dans l’appartement, Ryô s’était réveillé et guettait chaque pas du jeune garçon. C’est au moment où il entendit la porte d’entrée s’ouvrir puis se refermer qu’il décida de le suivre, une fois de plus.  

En effet, ce n’était pas la première fois qu’il entendait Yûsuke sortir et qu’il le suivait. Il n’avait rien voulu dire á Kaori de peur de trop l’inquiéter, plus qu’elle ne l’était déjà. Il avait décidé de résoudre ce problème seul.  

 

Une fois dans la rue, il vit Yûsuke se diriger vers un autre quartier que celui où il était allé la dernière fois. Il cherchait quelque chose ou plutôt quelqu’un, Ryô en était certain. Malgré l’heure, Yûsuke réveilla tout le long de son parcours un ou deux sans-abri pour leur demander des informations sur quelque chose qu’il leur montrait. Mais Ryô, qui restait éloigner pour éviter d’éveiller tout soupçon, avait du mal à voir ou encore à entendre ce qu’ils faisaient ou disaient.  

 

Il était à présent environ cinq heures cinquante du matin. Yûsuke ne restait jamais plus de une heure trente dehors. Ryô pensa qui allait, comme les autres fois, rentrer à la maison sans que « personne » ne s’en aperçoive mais il n’en fit rien. A la surprise du nettoyeur, le jeune garçon se dirigeait vers un côté abandonné du parc central de Shinjuku. Il s’arrêta près d’un arbre, s’accroupit et commença à creuser. Au bout de quelques minutes d’efforts, il sortit de terre une vieille boîte à chaussures, couverte de terre. Il l’ouvrit mais Ryô ne put voir ce qu’elle contenait. Toujours accroupi l’objet dans les mains, Yûsuke ferma les yeux et murmurait des paroles incompréhensibles. A la lueur de la lune qui apparu quelques secondes de derrière un nuage, Ryô, caché derrière un arbre, vit que le garçon avait les sourcils froncés et des larmes coulaient silencieusement sur ses joues.  

 

De plus, profitant de ces quelques secondes de lumière naturelle, Ryô pu rapidement regarder le contenu de l’objet rectangulaire. Même s’il ne pût voir très clairement ce qui s’y trouvait, l’ombre qu’il aperçut toutefois le laissa de marbre. Pire. Pendant quelques secondes, les yeux écarquillées, il ne savait plus quoi penser. Il voulait vérifier s’il ne s’était pas trompé mais d’épais nuages avaient recouvert de nouveau la lune et l’obscurité revint.  

 

Il se reprit vite et la première chose qui le vint à l’esprit était d’aller lui parler. Il le fallait. Mais il se résigna aussitôt. S’il voulait découvrir ce qui se passait avec cet étrange garçon, il fallait absolument qu’il ait sa confiance –bien que ce soit mal partit- ou du moins qu’il ne perde pas celle de Kaori. Et si Yûsuke avait découvert que Ryô le suivait pendant ses « sorties », tout espoir serait anéantit.  

 

Il attendit donc calmement que Yûsuke ré enterre sa boîte et qu’il s’assure qu’il rentre à l’appartement, pour rentrer lui-même à l’appartement avant lui, tout en s’assurant que rien ne lui arrive.  

Pendant le chemin et jusqu’à ce qu’il retourna dans son lit, Ryô réfléchit sur différentes éventuelles hypothèses qui auraient pu conduire un enfant de cet âge à posséder une pareille chose (je sais je deviens chiante mais vous saurez pas aujourd’hui ce qu’il y avait dans cette boîte^^). De plus, toutes les fois où il le suivait ne lui apprenaient rien de nouveau. Il était obligé de rester à l’écart et par conséquent, il ne savait pas ce qu’il cherchait. Il devait trouver une autre méthode…  

Ryô se rendormit, mais d’un sommeil léger, l’œil aux aguets.  

 

Quand il rentra, Yûsuke fit comme à son habitude, le moins de bruit possible. En passant devant le salon, il reposa sur la table basse ce qu’il avait « emprunté » quelques heures auparavant et alla se recoucher. Pour lui aussi cette sortie ne lui avait pas appris grand-chose. Mais avant de se rendormir, il se promit qu’il n’allait pas abandonner aussi facilement.  

 

 

 

 


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