Hojo Fan City

 

 

 

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Rated PG - Prosa

 

Autore: Elsa

Beta-reader(s): Vivifolie

Status: In corso

Serie: City Hunter

 

Total: 16 capitoli

Pubblicato: 30-08-06

Ultimo aggiornamento: 26-05-08

 

Commenti: 72 reviews

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DrameGeneral

 

Riassunto: Une nouvelle rencontre...Une/des enquête(s)...(le titre paraît effrayant mais je trouve qu'il résume bien^^Je ne veux pas en dire plus^^)

 

Disclaimer: Les personnages de "Pulsions Meurtrières" sont la propriété exclusive de Tsukasa Hojo.

 

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   Fanfiction :: Pulsions Meurtrières

 

Capitolo 10 :: Bonne chance Kaori!

Pubblicato: 26-02-07 - Ultimo aggiornamento: 26-02-07

Commenti: Hello!! Me revoilà pour un 10em chapitre! Maintenant on passe à 'l'action'! Enfin vous verrez bien! Bon je sais que mon titre n'est pas très "littéraire" mais bon là j'étais pas très inspirée! Bon sinon j'espère que vous en avez pas trop marre de mon histoire (on ne sais jamais! :) ) ou j'espère que vous avez pas trop oublié ce qu'il se passe et tout (en même temps avec les majes irrégulières, ça serait compréhensible...). Bon, bonne lecture et écrivez-moi ce que vous en pensez vraiment! J'ai beaucoup aimé écrire ce chapitre et le suivant (qui est la suite)! C'était marrant!^^(tte seule... -_-')Bon @++ et merci à tous ceux qui me lisent!! :)

 


Capitolo: 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16


 

Il était environ 19heure 47 lorsqu’une Mini Austin rouge arriva près de l’entrée du ‘Museum of Art’ à Chuo-Ku. Un grand homme qui portait un costume trois pièces en sortit et en fit rapidement le tour pour ouvrir la portière côté passager. Tel un gentleman, il tendit galamment le bras. Un autre bras, plus fin le pris volontiers et une belle jeune femme aux cheveux courts sortir à son tour du véhicule. Elle portait une belle longue robe de soirée. Elle était à peine maquillée, ce qui faisait ressortir sa beauté naturelle. Un voiturier s’empressa d’aller garer la voiture.  

 

Ainsi, le couple se trouva devant les escaliers de marbre qui menaient au bâtiment. N’importe qui aurait pu croire que ces deux personnes étaient de jeune marié de sortie.  

 

De nombreux hommes ne pouvaient s’empêcher de se retourner en voyant cette jeune femme si belle, si naturelle. Mais tous ces regards n’échappaient à son accompagnateur qui appréciait de loin ces ‘coup d’œil’. Toutefois, et il fallait bien le reconnaître, Ryô n’avait pas su non plus le regard de sa partenaire lorsque celle-ce avait descendu les escaliers de leur appartement. Cependant, il savait très bien au fond de lui qu’il fallait qu’il garde son calme et qu’il reste le plus naturel possible.  

 

C’est pourquoi, au plus grand désespoir de Kaori, il ne put s’empêcher une fois de plus de faire l’idiot.  

Bien que Kaori n’ait pas laissé le bras de Ryô depuis qu’elle était sortie de la Mini, le nettoyeur repéra une « belle femme ». De ce fait, ses gestes et son regard faisaient prévoir un changement de comportement vers le mode pervers.  

En réalité, il cherchait à tout prix un moyen de détourner l’attention, pour tenter d’atténuer son désir grandissant, celui qu’il tente depuis toujours de refouler.  

 

Et puis disons-le franchement : Ryô reste Ryô. (^^)  

 

En une fraction de seconde, il se détacha rapidement de la douce emprise de Kaori pour aller aborder la jeune femme qui s’était retrouvée seule. A l’inverse de Kaori, cette « belle femme » portait une robe plus osée, dans le genre décolleté plongeant.  

 

Kaori (et Ryô d’ailleurs) était parfaitement consciente qu’elle n’était pas en rendez-vous « officiel » mais elle n’avait pu s’empêcher de se sentir heureuse rien qu’en pensant qu’elle avait l’opportunité d’être en compagnie de l’homme qu’elle aime, même si ce n’était que pour le travail.  

Toutefois, en s’apercevant que Ryô s’était éclipsé pour se rapprocher dangereusement d’une femme, sa colère grandit de secondes en secondes.  

 

« Comment peut-il penser à ‘ça’ alors qu’on a des choses plus importantes à faire ?!! »Pensa-t-elle.  

 

Elle ne pouvait entendre avec exactitude ce qu’il lui disait. Mais après toutes ces années elle connaissait par cœur sa technique de drague. Maintenant, elle pouvait le voir mettre en « pratique » ses dires…  

Mais par chance, Ryô ne put aller plus loin. Et cela pour diverses raisons.  

D’abord, parce que la pauvre victime de l’étalon n’avait nullement l’intention de se laisser faire, et donc elle tenta de se débarrasser de lui.  

Ensuite, parce que Kaori se dirigeait déjà vers eux, prête à infliger à Ryô sa punition ultime, voyant qu’il ne reprenait pas ses esprits.  

Au moment où elle allait sortir sa massue, un vigil qui s’occupait en temps normal du bon déroulement de l’entrée des invités à l’exposition intervint plus vite que Kaori.  

Il devait avoir à peu près la même taille que Falcon.  

Il prit sans difficultés Ryô surprit par le col et l’envoya promener sur le trottoir, en lui faisant comprendre clairement que ce type de comportement ne pouvait être toléré, et que la cérémonie se portera très bien sans sa compagnie.  

 

Kaori fut enchantée que justice soit rendue et jubilait intérieurement. Quelques instants après cet incident, le compagnon de la jeune femme était revenu et ils entrèrent dans l’immeuble comme si de rien n’était.  

 

Malheureusement Kaori se rendit vite compte que Ryô ne pouvait vraiment pas entrer dans le bâtiment, ce qui voulait donc dire qu’il ne pouvait pas entrer pour s’occuper de leur mission. En résumé, tout était fichu !  

Kaori se dépêcha d’aller le rejoindre de l’autre côté du trottoir là où le vigil l’avait éjecté pour lui parler de leur « petit » problème calmement, mais avec une pointe d’irritation dans la voix.  

 

« Ryô…-il se retourna avec un air de chien battu- As-tu une seule fois pensé que si tu ne peux plus entrer, tu ne pourras pas surveiller le tableau ?!  

- Oui oui je sais…  

- Ne rajoutes rien tu n’as aucune excuses ! Kaori tentait du mieux qu’elle pouvait pour se contrôler.  

« Peut-être qu’il y a une autre entrée où tu puisses aller ; Saeko nous a montré le plan…  

 

-Exact dit Ryô qui avait repris étrangement son sérieux. « Il y en a bien une mais malheureusement elle est aussi gardée par des caméras et d’autres gars de la sécurité… En plus comme il est supposé se passer un vol ce soir je ne pense pas que la sécurité ait été moins renforcée. Au contraire. Saeko n’a même pas prévenu les autres agents de sécurité que nous sommes infiltrés pour empêcher le vol d’un tableau… »  

 

Un silence s’installa pendant quelques instants. Kaori n’osait plus rien dire. Elle était déçue et en colère à cause du comportement de Ryô.  

Mais malgré tout, il fallait trouver une solution et vite. Ryô et Kaori savaient que l’entrée ne resterait pas indéfiniment ouverte aux invités. Puis, Ryô eu une idée.  

 

- Kaori. On m’a interdit de sortir mais pas toi. Ce qu’on va faire, c’est que tu vas assister à cette exposition, surveiller ce tableau et m’avertir de tout ce qui se passe. En gros tu me dis tout ce que tu vois à l’aide des micros que Saeko nous a donné. Je serrai dans la mini ok ? »  

 

L’autre moitié de City Hunter ne savait plus quoi dire. En quelques secondes, Ryô avait trouvé une solution. En plus, c’était la principale concernée !  

Surprise, la question sortit automatiquement de sa bouche.  

 

« Tu as confiance en moi ? »  

 

Touché par cette phrase si sincère, il répondit, prenant un air protecteur (Kawai !!^^),  

« Je n’ai jamais douté de toi partenaire… »  

 

Mais la « magie » de l’instant s’arrêta là. Kaori devait entrer le plus vite possible. Après quelques récapitulations rapides de ce qu’elle devait faire et également après avoir vérifié le bon fonctionnement des appareils, Kaori se dirigea enfin vers l’entrée. Ryô, resté en retrait sur le trottoir d’en face, la regardait lentement s’éloigner.  

 

« Bonne chance Sugar Boy… » Murmura-t-il.  

 

En montant les escaliers, Kaori se rendit compte qu’elle devra affronter un obstacle plus tôt que prévu. Un autre agent de sécurité (celui qui avait chassé Ryô était parti^^) l’arrêta net.  

 

« Bonsoir Madame. Votre invitation je vous pris…  

- Naturellement. Kaori la lui tendit.  

- Très bien, dit l’homme. Je suppose que votre compagnon ne va pas tarder…  

- Heu… C’est que…je suis… En fait, mon « fiancé » est déjà entré et j’ai…  

- Je vois vous êtes seule. Je suis désolé Madame mais il faut être accompagné pour pouvoir entrer. »  

 

Malédiction ! Kaori se dit que tout était finit. Et cela, à cause des maudites pulsions perverses de son fichu partenaire. Ce dernier se rendit compte en observant Kaori de loin que quelque chose n’allait pas. Puis il se rappela de ce stupide détail !  

Il fallait une fois de plus qu’il trouve une solution. Mais que faire ?  

 

« Pardon mais qui vous dit que cette jeune femme n’est pas accompagnée… ?  

 

Un homme apparu derrière Kaori.  

 

- Ah pardon Monsieur… Je croyais que… Madame m’avait dit que son compagnon était entré…  

- Vous avez mal cru. Elle a juste dû ‘penser’ que j’étais entré. Nous nous sommes séparés quelques instants n’est-ce pas ? »  

 

Le jeune homme regarda Kaori en souriant. Elle le sut tout te suite, cet homme n’était pas japonais. Il parlait même japonais avec un drôle d’accent. Mais elle apprécia tout de même la grande aide qu’il lui offrait. Tout d’abord surprise par son intervention soudaine, elle décida de jouer le jeu.  

 

« Oui excuse moi je ne savais plus où tu étais passé…, dit-elle en lui rendant son sourire.  

- Pardonnez-moi une fois de plus, dit le vigil en se penchant. Avez-vous votre invitation ?  

- Bien sur, répondit l’étranger en lui tendant sa carte. Je peux même ajouter mais je suppose que vous savez lire, que je fais partie des invités d’honneur en tant que conférencier. Je viens de Boston. »  

 

L’agent de sécurité, au comble de la confusion, s’excusa une fois de plus.  

 

« Je suis extrêmement navré pour le désagrément. Je vous souhaite de passer une excellente soirée. Ajouta-t-il en leur ouvrant la porte.  

- Merci bien, commenta l’Américain. »  

 

Avant d’entrer, Kaori jeta un dernier regard au vigil.  

 

« Ah en fait, dit-elle sarcastiquement, c’est Mademoiselle et non pas Madame ! »  

 

Puis elle entra, le sourire jusqu’au oreilles, fière d’avoir passé cet obstacle sans l’aide de son partenaire, bien qu’elle reconnaissait tout de même que c’était un coup de chance.  

 

*-*-*  

Ryô, qui avait tout aperçu et qui avait pu également entendre la conversation, fut étonné du dénouement. Il n’avait guère apprécié le fait qu’un homme ait « abordé » Kaori de la sorte mais en voyant le bon côté des choses, sa partenaire avait réussi à entrer. Il n’en attendait pas moins de l’autre moitié de City Hunter.  

Sur ce, il se dirigea vers le « garage » pour y récupérer sa voiture, et attendre patiemment que les trafiquants se manifestent.  

En y repensant à deux fois – mais Ryô ne l’admettrait jamais – il se maudissait d’avoir fait ainsi l’idiot. Car s’il s’était comporté normalement, il serait en ce moment même à s’ennuyer devant des œuvres d’art certes mais en compagnie de Kaori. Mais maintenant il se trouvait seul, sans belles femmes (j’dois bien dire ça sinon chuis plus crédible !), et dans sa voiture à 0° C (en moyenne ^^).  

*-*-*  

 

Kaori était fière d’avoir pu entrer.  

 

« Je m’excuse de vous avoir tutoyé Monsieur…  

- Mr Gardner Jonathan. Ne vous en faites pas. C’est plutôt moi qui devrais m’excuser pour m’être mêlé à la conversation Mademoiselle…  

- Makimura Kaori, répondit-elle. Au contraire je vous remercie. Vous m’avez rendu un grand service. Je tenais absolument à entrer… heu pour voir cette exposition ! »  

 

Ils marchèrent quelques minutes ensemble, jusqu’à entrer dans la grande salle où allait se dérouler la conférence, et donc où la majeur partie des tableaux étaient exposés.  

 

« Alors comme ça vous êtes vraiment conférencier ? Demanda Kaori pour engager la conversation, faisant mine d’être intéressée aux peintures.  

- Exact, répondit Jonathan. Je suis un grand spécialiste des peintures de Vladimir Radskin, un peintre Russe. Je peux même dire que c’est mon peintre préféré. Je trouve ça formidable de pouvoir discuter de peintres de « l’occident » au Japon. C’est un honneur pour moi… »  

 

Kaori fut émerveillée par la passion qu’animait cet homme pour son peintre, son métier. Elle sut immédiatement qu’il pouvait parler de son artiste toute la nuit, qu’il connaissait tous les détails de ses œuvres et de sa vie.  

 

C’est ainsi que Kaori en vint à se demander subitement comment aurait été sa vie loin des armes, loin de Ryô, pour se consacrer pleinement à une passion qu’elle aurait eu. Mais en pensant ainsi, elle se rendit compte que finalement, elle aimait réellement ce qu’elle faisait, qu’elle n’aurait pas été heureuse avec autre chose. Aider les gens, prendre des risques, et travailler avec celui qu’elle aime, c’était ça sa vie.  

Une voix la ramena à la réalité.  

 

« Pardonnez-moi Mlle Kaori, je dois aller me préparer pour mon exposé…  

- Ah très bien…  

- J’ai été ravi de faire votre connaissance. Certainement pourrions-nous discuter après la conférence…  

- Bien sur il n’y a aucun problème. J’écouterai avec attention ce que vous direz sur votre peintre, ajouta Kaori, sincère.  

- Je vous en remercie… A bientôt ! »  

 

Jonathan se faufila parmi la foule. Kaori resta donc seule. Elle décida donc de se repérer par rapport au plan que Saeko lui avait donné et surtout de repérer le tableau à protéger, « Le printemps » de Botticelli.  

 

Dans la pièce, chaque mur était rempli par des tableaux. Sans trop de difficultés, Kaori vit que le tableau de Botticelli se trouvait sur le mur de droite, dans le coin de la pièce. Sur le mur qui lui faisait angle, d’autres tableaux y étaient exposés. Kaori remarqua que certains étaient des œuvres de Vladimir Radskin. Elle ne put s’empêcher de les considérer quelques instants.  

Sur ce même mur était placé une estrade, sur laquelle était située une table, là où Jonathan fera son discours dans quelques instants. Quelques autres tables rondes avec des amuse-gueule étaient réparties dans la salle.  

 

Kaori regarda volontairement un tableau pour que personne ne puisse voir bouger ses lèvres. De toute manière se dit-elle, avec le monde qu’il y avait, personne ne la remarquera.  

 

« Ryô… murmura-t-elle. Tu m’entends ? Comme tu as dû certainement le voir, j’ai réussi à entrer et je suis en ce moment même en face de notre tableau…  

- Bravo Kaori, encouragea Ryô qui attendait d’entendre de ses nouvelles, bien qu’il puisse aisément entendre tout ce qui se passait autour d’elle. « J’ai surtout bien vu comment t’es rentrée…  

- Ca ta surpris hein ? Ne me dis pas que t’es jaloux, souris Kaori.  

- Quoi moi ? Non ça m’étonne juste que tu sois arrivée de cette manière là. Surtout pour un garçon manque comme toi. Je suis sur que cet étranger n’a aucun goût… »  

 

Kaori dû se maîtriser intérieurement pour ne pas exploser de colère devant tout le monde.  

 

« Bon, repris plus sérieusement Ryô. Ne quitte pas le tableau des yeux. Mais s’il se passe quelque chose de louche, fait ton possible pour éviter qu’il soit volé. Je ne peux pas te garantir mon intervention en cas de pépins. Mais j’essaierai de me débrouiller. Surtout ne fait rien qui puisse être dangereux ok ?  

- Ok ok.. Tu me connais non ?  

‘C’est bien pour ça que je te le dis’, pensa Ryô en souriant.  

« Bon à plus ! De toute façon j’entends tout ce qui se passe autour de toi. Donc si tu n’as pas le temps de me prévenir, je saurai quand même si quelque chose se passe.  

- Mais oui ne t’en fait pas… ! »  

 

 

Je précise que je me suis 'inspirée' de l'histoire écrite par Marc Lévy, "La prochaine fois". Donc la plupart des descriptions des tableaux et le personnage (Jonathan) lui appartiennent entièrement. Merci! :)  

 


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